• Une affaire de famille, Chapitre 14

    Merci à Ramina pour ce nouveau récit.


    On y retrouve des personnages déjà très actifs dans de précédents récits célébrant les bienfaits de la fessée, punitive et érotique. Tante Gladys bien sûr, dont la réputation de sévérité n'est plus a faire,  comme celle de ses amies, toutes ferventes adeptes inconditionnelles de la fessée. Notamment Edwige la pétulante voisine à l'humeur ravageuse... Patricia, digne fille de sa mère, Arnold son fiancé anglais, Bettina, la vicieuse soubrette, Edouard le mari soumis, et un petit nouveau, le cousin Peter... soi même!  A force de réclamer de se faire rougir le derrière, il a fini par se retrouver dans l'histoire ... et quelle histoire... ça claque sec! Bonne lecture aux amateurs de femmes sévères... très sévères!


     

    UNE AFFAIRE DE FAMILLE

    Chapitre 14 : La vengeance de Catherine

    Co-production Ramina / Peter pan 

     

    Edouard n'en même pas large. Il sait que le désir de vengeance de Catherine risque de lui valoir une deuxième fessée probablement plus sévère que celle de Béatrice. Devant la détermination de ces femmes il a bien conscience d'avoir intérêt à obéir, et vite. Les chevilles empêtrées dans son pantalon baissé il se précipite vers sa fesseuse en se dandinant comme un pingouin. Avec un sourire triomphant, elle retrousse sa jupe bien haut au dessus de ses jarretelles et lève les bras pour lui laisser la place. Il émet un petit couinement plaintif en s'allongeant sur les cuisses brillantes de nylon et n’a d’autre choix que de se soumettre immédiatement aux ordres de la jeune femme.
    – «On pose ses mains à plat par terre et on arrondit bien ses fesses pour que je les déculotte! Allez, exécution!»

    Tout le monde suit avec gourmandise les préliminaires de la fessée. Catherine ne boude pas son plaisir et d'un habile tour de main déculotte prestement sa victime en lui faisant soulever le derrière pour faciliter le passage du slip. Le fessier apparaît, bien déployé, entièrement rouge de la fessée précédente qui, il y a à peine dix minutes, retentissait encore sous la main de Madame Klakerspank, L'élastique vient tout juste de claquer en haut des cuisses que la deuxième fessée démarre en fanfare, emplissant de nouveau tout l'espace sonore du salon.

    Comme il fallait s'y attendre, Catherine, imprégnée de son désir de punir sévèrement son harceleur, déploie toute son énergie à lui flanquer la sévère fessée déculottée qui doit lui servir de leçon. Elle tape de toutes ses forces, insistant sur le milieu de chaque fesse puis élargit la frappe sur toute la surface. Elle remonte la raie et repart en allers et retours, fesse droite, fesse gauche, claque par en dessous pour les faire rebondir, et les reprendre à la volée du haut vers le bas. Habituée à fesser régulièrement son petit ami, la jeune femme fait preuve d'une aisance d'exécution qui témoigne de son expérience en la matière. Il ne lui faut pas plus de deux ou trois bonnes claquées pour trouver la distance nécessaire à la meilleure prise d'élan et ajuster sa frappe, en adaptant la courbe de sa main à celle des fesses qu'elle corrige. Le résultat est là, d'une cuisante efficacité. C'est une magistrale fessée, magnifique et triomphante, menée d'une main rageuse par une jeune femme en colère. 

    Edouard, malmené, est immédiatement en souffrance. Regretter son attitude ne lui sert à rien, sinon pour s'en repentir publiquement mais il est trop tard. Sa punition est en cours et ne se terminera que lorsque, Catherine en décidera avec l’assentiment de Madame Klakerspank. C'est elle qui mène la danse. Sévèrement stimulé sous la cadence des claques imprimées par sa nouvelle fesseuse, le gros derrière encore sensible de la précédente fessée, s'est remis en mouvement. Docile, bien dressé, il suit le rythme imposé en se tortillant frénétiquement, ajoutant à la montée en cuisson du postérieur, l'irritation de son ventre et de son sexe frottant sur les cuisses gainées de nylon. S’il a réussi à contenir sa virile excitation lors de la précédente fessée , il n’est pas certain de réussir la même performance cette fois ci en s’empêchant de jouir. Vaincu et soumis, les fesses en feu sous les cuisantes rafales, il ne peut s'empêcher de retenir ses larmes et d'exprimer bruyamment sa douleur en vaines supplications.
    – «Aaaaaah … a... arrêtez Catherine! Pitié! Je... je vous en supplie, ça suffit! J'ai... J'ai compris! Je... je ne recommencerai plus!»

    Emportées par la brûlante atmosphère les dames du salon manifestent leur enthousiasme à entendre claquer les belles grosses fesses du puni et les voir virer à l'écarlate. Madame Duplessy, adepte inconditionnelle de la fessée et fervente pratiquante, en est si excitée qu’elle en a le slip en chaleur.
    – «Ouiiiiii, Catherine, c’est çà ... la fessssée!! La bonne fessssée, bien sévère ! Allez-y, faites-nous claquer ses grosses fesses!!! Sûr, ça va lui faire du bien!» s'exclame, la maîtresse femme. «Il fait moins l'arrogant maintenant , le petit monsieur mal élevé qui se croit tout permis, avec ses mains baladeuses!»
    Solange renchérit en réclamant aussi une correction plus sévère;
    – «Aller, Catherine, plus fort!… Plus fort, encore! Il faut qu'il comprenne! Plus question d'accepter les mains aux fesses! Sers-toi bien de la tienne et flanque-lui la cuisante fessée dont il se souviendra!»

    Catherine exulte sous les encouragements. Sous le regard sévère de Madame Klakerspank, ravie de cette cuisante démonstration d’autorité, elle réajuste la position de son puni qui commence à glisser sur ses cuisses aux bas nylon, et reprend la fessée en redoublant d'énergie. Ça claque dur. Edouard se met aussitôt à hurler en s'étranglant à moitié dans ses larmes.
    – «Ah ... Enfin! C'est ce que j'attendais!» s'exclame la jeune femme euphorique. «Je savais bien que j'allais le faire craquer! Il suffit d’insister là où ça fait mal!»

    Stimulée par les cris et les pleurs de sa victime, qui atteste de l’efficacité de la correction, elle ralentit la cadence pour mieux ajuster les claques et en augmenter la puissance.
    – «Voilaaaa! C'est comme ça que je veux l'entendre! Quand on crie fort c'est que la fessée est bonne!»
    Béatrice ne boude pas son plaisir et confirme avec l’assurance qui lui confère sa pratique régulière de la discipline.
    -- «En principe avec ce que vous lui mettez maintenant sur les fesses, il devrait logiquement monter dans les aiguës!»

    Edouard répond présent et pousse des cris stridents tant la fessée devient insupportable. Ses fesses durement claquées, rebondissent dans tous les sens et irradient la pièce d'un splendide rouge cramoisi. Il en bave de douleur mouillant le carrelage dans une mare de larmes. Catherine au sommet de sa forme tient sa revanche. Elle se soulève au dessus de son siège pour prendre la hauteur nécessaire à une plus grande prise d'élan et conclut sa fessée en lui abattant une formidable claque, pleines fesses, qui fait vibrer en écho les grandes glaces du salon. Les fesses cuisantes et fumantes au dessus du slip, empêtré dans son pantalon en accordéon sur les chevilles, le malheureux s'écroule sur le sol du salon dans un râle d'agonisant. Un petit soutire ironique sur les lèvres, Catherine le laisse s'affaler par terre satisfaite de sa prestation et de la couleur du flamboyant postérieur.
    – «Aaaaah, ça fait du bien de claquer une paire de fesses aussi réceptive!! Je me sens beaucoup mieux maintenant. Rien ne vaut une bonne fessée bien cuisante pour se détendre les nerfs! C'est radical! N'est ce pas cher ami?»

    Edouard, le slip encore baissé en travers des cuisses, geint par terre en se tenant les fesses à pleines mains. A la maison, se frotter le derrière pour atténuer la cuisson lui aurait valu immédiatement une nouvelle fessée. Mais Gladys n'est pas là pour appliquer cette règle de discipline domestique. Pas pour l'instant. On se contente de peu, mais c'est toujours ça d’évité. Il sanglote en bredouillant des plaintes incompréhensibles. Qu'est ce qu'il lui a pris de vouloir toucher le derrière de Catherine! S'il avait su... 

    Brève accalmie après la tempête de claques. Un ange passe dans le salon, les fesses en feu. C'est Solange la première qui rompt le silence seulement perturbé par les sanglots et gémissements d'Edouard. Le claquement de sa fessée semble encore résonner dans la pièce.
    – «Bravo Catherine!» félicite-t-elle, en serrant les poings comme pour souligner une victoire. «Torride, génial! Quelle magistrale fessée tu lui as mise! Je n'en reviens pas comment tu lui as fait claquer le derrière ! Ça va lui servir de leçon, au moins il va s'en souvenir!»

    Madame Duplessy, qui fesse aussi régulièrement son mari est positivement ravie de la démonstration de sévérité et applaudit comme au spectacle. Elle était venue se faire coiffer, elle n'est pas déçue du rendez vous. Deux fessées en trois quarts d'heure dont une magistrale déculottée.
    – «Formidable Catherine! Vraiment formidable! On voit que vous avez du tempérament et que vous ne vous laissez pas faire! Je ne vous croyais pas capable de fesser aussi bien et aussi fort. Après une telle fessée, j'espère qu'il ne sera pas prêt à recommencer!»

    Catherine savoure les compliments. Les mains sur les hanches, elle contemple d'un air goguenard son puni au tapis. Allongé sur le côté, il se balance d'avant en arrière en gémissant et se tenant les fesses à pleines mains.
    – «Alors on les sent cuire ses fesses là, hein? Elles chauffent bien n'est ce pas! La fessée c'est fait pour ça mon ami. Il a compris maintenant ce que ça coûte de tripoter le derrière des dames... Mal élevé!»

    Edouard grimaçant, essaye de se relever, une main sur les fesses l'autre en appui au sol.
    – «Oui Catherine, oui... je vous en prie... je ne recommencerai plus, je vous assure.»
    – «A la bonne heure! C'est qu'on devient raisonnable quand on a les fesses bien rouges!»
    – «Pour ça oui, vous fessez fort.»
    – «C'est vrai...» se rengorge l'intéressée en frottant les paumes de ses mains, encore chaudes, l'une contre l'autre. «Je sais, j'ai la réputation d'avoir la main ferme. C'est ce que me dit toujours Antoine, mon petit ami. Je m'entraîne très souvent sur ses fesses.»
    – «Et bien ça se sent!» commente Edouard qui commence seulement à reprendre son souffle . 

    Béatrice, Solange et madame Duplessy suivent l'échange de commentaires avec amusement. Catherine, en démonstration d'autorité, ne lâche pas sa proie.
    – «Maintenant qu'est ce qu'on dit à la dame qui vous à flanqué une si bonne fessée? Hum?»
    Edouard, les yeux écarquillés, balbutie en reniflant. Les fesses lui cuisent atrocement.
    – «Merc... merci pour cette... fessée! Euuuh... cette bonne fessée!»
    – «Oui... et merci qui?»
    – «Madame!... Merci madame pour cette bonne fessée!»
    – «Voilaaa! C'est ce que je voulais entendre. Il peut se relever et retourner voir madame Béatrice qui l'attend pour la suite de sa correction. Personnellement j'estime avoir obtenu réparation.»

    Béatrice Klakerspank, jusque là simple observatrice pour ne pas perturber le bon déroulement de la correction, sort de sa réserve de circonstance.
    – «C'est bien Catherine, bravo! Excellente fessée et bonne leçon de savoir vivre. Je vais finir la correction de monsieur avant que son épouse vienne le chercher. Gladys ne devrait pas tarder. Et Monsieur pourra nous remercier de lui faire apprécier la diversité de qualité de fessées administrées par des main différentes.»
    – «C'est trop aimable à vous Madame» répond la jeune femme en rosissant sous le compliment. Mais, avec l'expérience que vous avez, vous fessez tellement fort... Je ne tiendrai pas la comparaison.»
    – «Allons Catherine, ne soyez pas si modeste! Vous avez déjà un solide tour de main et une très bonne frappe. Avec une pratique régulière vous parviendrez rapidement à fesser encore plus fort et plus longtemps. Mais pour le moment vos fessées sont déjà bien cuisantes. Il suffit de regarder la couleur des fesses de monsieur.»
    – «Merci Madame! J'apprécie le compliment... Je vous le reculotte?»
    – «Oui, merci. Je préfère le re-déculotter moi-même. Le déculottage fait partie du rituel de la fessée. C'est toujours un exercice très excitant dont il ne faut pas se priver.»
    – «Tout à fait madame, je suis bien d'accord! Vous avez entendu monsieur Edouard? Relevez vous et venez ici que je vous reculotte pour que vos fesses soient présentables devant madame Béatrice.»

    Edouard encore sonné par sa raclée, regarde tour à tour Catherine qui vient de lui flanquer sa fessée et madame Klakerspank qui prépare la suivante.
    -- «Mais... mais... vous n'avez tout de même pas l'intention de me flanquer une autre fessée! Je viens d'en prendre deux, ça suffit! Je vous en prie... pitié... j'ai compris la leçon!»

    Madame Klakerspank, imperturbable, a déjà pris position sur le tabouret. Elle a retroussé sa jupe très haut sur ses cuisses pour fesser à l'aise et relève tranquillement la manche droite de son bustier. Elle l'enroule avec soin autour de son bras pour bien dégager la main qui va claquer. Un petit sourire narquois au coin des lèvres, elle glisse un regard moqueur sous ses paupière fardées en direction de sa future victime:
    – «Voyons mon ami, la première ne compte pas, c'était une simple fessée d'échauffement. Une vraie bonne fessée c’est toujours une fessée déculottée et, figurez vous, ça s'administre le slip aux cuisses! Alors... vous feriez bien de cesser vos jérémiades inutiles. J'attends vos fesses mon cher, et je vais leur faire savoir ce qu'il en coûte de me faire attendre.»

    Prosterné entre les jambes de Catherine, le malheureux se fait solidement reculotter sans ménagement. Elle prend soin de lui ajuster son slip au plus serré sur le derrière, gonflé de claques, pour entretenir la cuisson de la fessée. Grimaçant de douleur, il se redresse alors et tente de remonter son pantalon en trébuchant. La voix autoritaire de Béatrice ne lui en laisse pas le temps.
    – «Mais Edouard... qui vous a autorisé à vous rhabiller? C'est en slip, le pantalon aux chevilles qu'on vient docilement présenter ses fesses pour recevoir sa fessée!»

    Edouard n'a pas le choix. Il n’a d’ailleurs jamais le choix dans ce genre de situation. Il rumine quelques mots de protestation à peine audibles et obéit. Les jambes entravées par son pantalon, la boucle de ceinture raclant bruyamment le carrelage, il traverse le salon d'une démarche chaotique, comme s'il marchait sur des patins. Les fesses lui cuisent si fort qu'il fait le déplacement en pleurnichant comme un petit garçon qui va se faire corriger par sa mère. Le personnage arrogant a définitivement perdu de sa superbe devant ces dames, bien décidées à lui faire payer ses manières déplacées.

    Sûre de sa force et de son autorité, l'imposante Madame Klakerspank le manœuvre sans difficulté. Le malheureux, pas très costaud, ne pèse pas lourd entre ses mains. Dès qu'il arrive à sa portée, elle le saisit sans ménagement par les cheveux, le force à se courber et le couche brutalement, sans résistance, en travers de ses larges cuisses. Emporté par l'ampleur du mouvement qui le projette en avant, il glisse sur ses bas nylon et manque de tomber.
    – «Non mon ami, ce n'est pas la bonne position. Pour la fessée c'est par ici!»
    Elle le rattrape d'une main et le plaque sur ses genoux en lui faisant cambrer les reins pour l'obliger à bien déployer son derrière.
    – «Voilà ! C'est comme ça que je veux vos fesses... à ma main! Ah, Monsieur croyait que j'en avait terminé avec elles!»

    Tout en lui maintenant le derrière en l'air bien tendu, elle le déculotte de son autre main libre. L'élastique du slip vient à peine de claquer sur ses cuisses que la nouvelle fessée démarre aussitôt dans un bruit retentissant, qui résonne de nouveau joyeusement entre les murs du salon. Le malheureux se met immédiatement à hurler sous les cuisantes claquées qui ravivent instantanément la cuisson de ses fesses. Elles sont encore rouges et sensibles de la précédente correction.

    Catherine, Solange et madame Duplessy suivent avec un plaisir admiratif la magistrale déculottée que madame Klakerspank administre avec énergie, sans se soucier le moins du monde de l’état de cuisson déjà avancé de ses fesses . Elle ne se contente d'ailleurs pas de fesser et s'amuse à pimenter la raclée de commentaires ironiques, ajoutant le sarcasme à l'humiliation de la fessée en public.
    – «Alors, on la sent bien sa fessée maintenant... Hum? On la sent tout de même mieux déculotté. Bien meilleure que celle de tout à l'heure à travers le slip!» 

    Edouard, noyé dans ses larmes, à l'impression que la terrible femme est en train de lui éclater le derrière en lui faisant exécuter une trépidante danse des fesses. Le public féminin enthousiaste apprécie la performance et se régale des spectaculaires rebondissements du flamboyant postérieur. Incapable de se retenir malgré sa honte, le pauvre homme, au supplice, se répand en vaines supplications. Il a beau implorer en bafouillant, la clémence n'est manifestement pas à l'ordre du jour des intentions punitive de Madame Klakerspank qui continue à lui claquer les fesses sans états d’âme.
    – «Pitié maaaadame, arrêtez! Vous taaaapez trop fort! Et vous a... vous avez la main tellement du-u-re!»
    – «Comment ça  Vous n'aimez pas cette fessée à la main? Elle claque bien pourtant!»
    – «Aaaah noooon! Voootre main…trop dure! On...on dirait un... battoir! Aiiie!»

    Béatrice ne répond pas tout de suite. Elle interrompt la raclée, la main en arrêt, levée au dessus des fesses écarlates. Elle réfléchit quelques secondes, reprend la fessée en ajustant encore quelques allers et retours, et contre toute attente, décide d'arrêter,
    – «Très bien  Puisque monsieur fait son douillet, c'est d'accord... je veux bien abréger la fessée à la main!»
    Edouard pantelant sur ses cuisses continue de sangloter alors que son corps meurtri se relâche lentement, encore parcouru de brefs soubresauts.
    – «Aaaaah... mer... merci Madame... Merci!»
    La belle femme lui tapote affectueusement le derrière.
    – «Pas encore mon cher, pas encore, attendez avant de me remercier!... Solange, ma chère, voulez vous bien regarder dans mon sac derrière la caisse, vous serez gentille.»
    – «Oui madame, le grand sac rouge?»
    – «C'est cela... Vous allez y trouver deux martinets... Vous prenez le plus gros à lanières plates et vous me l'apportez s'il vous plaît.»

    Edouard rugit en ruant du derrière sur les cuisses de sa fesseuse qui le maîtrise aussitôt d'une claque retentissante sur chaque fesse, son autre main ferme plaquée au creux des reins.
    – «Allons mon cher... On reste bien en place! Je veux des fesses souples et détendues pour la fessée au martinet!»
    – «Ah non, non! Pas ça! Pitié, S'il vous plaît madame, pas la fessée au martinet! Ça fait trop mal!»
    – «Voyons Edouard, votre correction n'est pas encore terminée. Et vous ne savez pas ce que vous voulez. La fessée à la main est trop cuisante, je vous en propose une cinglante au martinet et vous n'êtes toujours pas satisfait! Ça suffit comme ça! Solange... Le martinet s'il vous plaît!»
    – «Non, non! Je vous en supplie, pas le martinet! Pitié, j'ai déjà les fesses en feu!»
    – «Comment ça les fesses en feu! Juste un peu rouges, c'est tout. Et encore, même pas assez! Je vais vous montrer moi, ce que c'est, d'avoir vraiment le feu aux fesses!»

    Edouard ulcéré, continue à vociférer en tapant des poings par terre. Les trois femmes s'amusent à le voir se couvrir de ridicule. Béatrice jubile en le regardant s'énerver tout seul.
    – «C'est bien, continuez à tortiller du derrière, ça le rend plus excitant! J'aime quand on résiste. J'adore mater les fessiers récalcitrants!»

    Indifférente à ses protestations, elle décide de prendre une position mieux adaptée à l'utilisation du martinet qui nécessite davantage d'ampleur de mouvement. Elle lui ceinture la taille et se lève du tabouret en le tenant sous son bras pour le faire décoller du sol, les fesses relevées à la bonne hauteur.
    – «Voilà, nous y sommes! Je ne sais pas si Gladys vous fesse aussi au martinet, mais je pense que vous allez regretter la fessée à la main mon ami!»
    Elle tend la main vers Solange qui lui apporte l'instrument de discipline.
    – «C'est un des martinets que j'utilise pour corriger mon fils, Maxime. J'en ai toujours au moins un dans mon sac en cas d'urgence.»

    Edouard plié en deux sous son bras, attend sa correction, les fesses tournées vers son public. Elle ajoute avec un clin d'œil vers les dames du salon.
    – «Il faut avoir pour principe de ne jamais rater une occasion de sévir. Et pour ça, je vous conseille d'avoir toujours un bon instrument de discipline à portée de main en cas de nécessité. Vous allez voir, ce martinet est une vraie petite merveille. Bien manié, il vous fait reluire une paire de fesses en dix minutes!»
    -- «Je confirme! J’utilise le même à la maison pour corriger mon mari» se plaît à déclarer Madame Duplessy en se trémoussant de satisfaction sur son fauteuil.

    Béatrice fait sauter le manche dans sa main pour assurer sa prise et, le bras fort, haut levé, commence une nouvelle fessée à grands coups de lanières. Le cuir souple, bien enveloppant claque dur sur les fesses déjà cuisantes du malheureux qui se remet aussitôt à hurler. La frappe lourde et cinglante se démultiplie en bruissants allers et retours, traversant la vaste surface du fessier en largeur d'abord puis dans l'autre sens.

    Edouard a beau mugir sa souffrance et réclamer la fin de l'épreuve, rien n'y fait. Fermement maintenu sous le bras de sa fesseuse, il parcoure quelques kilomètres virtuels en pédalant dans le vide, les jambes entravées par son slip et son pantalon. Elle est manifestement plus forte que lui. Les fesses rouge vermillon, étrillées sous les cinglées du martinet, il finit par capituler et se soumettre sans résistance à la correction. La maîtresse femme en profite. Indifférente au tourment qu'elle lui inflige, elle lui fait baver ses dernières larmes sur le carrelage sous une éclatante envolée de lanières qui lui laisse le postérieur en fusion. Il irradie la pièce d'un rouge brique resplendissant 

    Edouard a demandé grâce au moment ou elle desserre sa prise pour le laisser s'écrouler à genoux par terre. Les trois femmes enthousiastes, félicitent la fesseuse. Le monsieur aux mains baladeuses a pris sa leçon jusqu'au bout.

     

    ( A suivre )

      

    Une affaire de famille, Chapitre 14

     

    Une affaire de famille, Chapitre 14

     

    Une affaire de famille, Chapitre 14

     

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  • Commentaires

    1
    Peter Pan
    Mercredi 11 Septembre à 09:37

    Amis des shampooineuses fesseuses bonjour , 

    "Quant la fes-sée-est-boooon-ne ! " Pour paraphraser un célèbre tube pop de 1981... Hi hi ihi  !!! Ah, ces tigresses en bas-nylon !!! Hum... la belle Catherine.... Ma'me Duplessy,, oh oui ! oh ouiiiiii !! et "Taaaante " Béatrice... qui chante à tout va "que fesser est un délice! " !!! Sexy même dans la colère, ces dames ! Tiens moi aussi , j'vais leur mettre la main... au panier... de friandises !!! - Ho, comment osez-vous, PETER !! Petit goujat !! (Schlack). - Pas... pas la fessée cul nu, tata Béa !! J'ai les fesses fragiles !! - Et quoi encore !! - Aiiiieu !! Groooosse dondon en jupon  !! ". La Rédaction précise à son aimable lectorat nombreux (?) que ces dames sont sponsorisées par les gaine-culottes Crunch, le bas-nylon qui croustille !! 

    Peter

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    2
    ramina
    Jeudi 12 Septembre à 13:21

    Amateurs de contes des mille et une fessées, bonjour.

    N'y a t il que dans les histoires qu'on rentre dans un salon de coiffure pour une coupe cheveux et qu'on en ressort les fesses rouges et cuisantes  au fond de son slip ? Allez savoir si ça existe vraiment . Dans tous les cas, mieux vaut éviter de caresser les fesses des petites shampooineuse sexy en jupe serrée, bien moulante, qui ne descend pas plus loin que les boucles de jarretelles ! Surtout quand on tombe sur une patronne  à la main leste. Bien fait pour ses fesses, Edouard n'avait garder ses mains dans ses poches. A moins qu' il n'ai eu envie de se retrouver sur les genoux de la redoutable Béatrice  pour se prendre une de ces magistrales fessées que Gladys , son épouse sévère adorée,  lui flanque habituellement . Comme une envie de changement ... Allez savoir ... Ramina



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