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Soumission anale
J'ai trouvé ce texte ailleurs sur Internet, en faisant une recherche sur mots-clés, et je l'ai allègrement "pillé" en le modifiant, quand même, sur certains points...
Je suis une jeune grand-mère ayant juste passé la soixantaine, forte femme ou plutôt femme forte, divorcée et seule avec mon petit-fils de 19 ans que j'héberge pendant ses études à l'Université. Je ne suis pas fière de le dire, je suis indigne, je me sers de lui pour satisfaire un fantasme qui m'a envahie et dont je ne peux plus me passer.
Je suis plutôt gentille et je dirais que ce n'est pas difficile car mon Louis est un gentil garçon aussi, mais malheureusement j'ai aussi un côté très caché (des autres) dont il est devenu la victime. Il n'a pas pu s'y opposer, parce qu'il est seul en France chez moi, ses parents sont à l'étranger, et son argent de poche passe par moi. De plus, il n'est pas très grand, plutôt mince, et pas de taille face à moi, sur le plan physique, je veux dire. Je ne lui fais pas "du mal" et d'une façon générale je ne cherche pas à "faire mal". Mais je lui fais régulièrement subir des pratiques bizarres pour mon seul plaisir. Ce que je lui fais, ce sont des examens très particuliers.
Ce ne sont pas des examens pour jouer. Ils sont devenus de plus en plus poussés et concernent toujours la même partie de son corps: son anus. Tout a commencé avec une grosse constipation et une selle que j'ai dû "aller chercher". Il est venu me dire un jour qu'il avait des problèmes de ce côté, et c'est en voulant réellement l'aider que j'ai dû y aller avec les doigts. J'ai mis un tablier en toile cirée que j'avais de pendu dans la cuisine, j'ai pris des gants de latex que j'avais pour autre chose, et je les ai enfilés.
Je lui ai demandé de se coucher sur dos sur le canapé, après avoir mis une serviette pour le protéger, de relever ses jambes, et j'ai enduit mes doigts de crème hydratante. Ça n'a pas été facile car la selle était dure et "coincée". Je la repoussais chaque fois au dedans et je devais demander à Louis de pousser pour la faire revenir. J'ai eu l'idée d'essayer de l'écraser un peu pour faire de la place d'un côté mais ça la faisait tourner sur elle-même et je l''entendais gémir avec les mouvements et la pression que j'exercais dans son rectum. J'ai dû batailler un bon moment pour réussir à passer un doigt derrière, je l'ai mis en crochet et à ce moment j'ai entendu un gros soupir. J'ai compris que c'était à cause de la place que prenait mon doigt dans cette position. J'ai commencé à tirer sous ses gémissement et le morceau est venu. J'ai alors vu qu'il avait le visage tout rouge et.. une érection. Je le regardais, et je regardais aussi ses excréments sur mes mains gantées. Je trouvais cette situation très sexuelle et j'avais aimé aller dans cette partie de lui même. Le caca ajoutait une couche d'interdit et d'acte "cochon". Sans réfléchir je lui ai dit d'attendre dans la même position pour aller voir si il y en avait encore. En réalité je voulais juste continuer à mettre mes doigts dans son intimité.
J'ai remis de la crème et poussé mon doigt au fond. Ça l'a fait soupirer et j'ai réalisé que j'en avais apparemment très envie, et qu'il en avais envie aussi car j'ai tout enfilé tout de suite.. J'ai alors commencé à tourner et à "chercher". Il y avait des selles plus petites et je les ai retirées une à une, en faisant semblant de chercher à chaque fois que j'entrais. Puis j'ai dit qu'il y en avait encore mais plus profondément, et je suis entrée cette fois avec deux doigts, doucement, mais il y avait la place. En entrant avec l'index et le majeur ensemble j'ai pu aller beaucoup plus loin; la largeur doublée et le surplus de longueur faisaient vraiment de l'effet à mon "patient". Je lui ai demandé de pousser et alors qu'il était en plein effort je l'ai réellement fouillé comme j'en avais envie. Il était rouge comme une pivoine et poussait maintenant par réflexe, il ne pouvait plus s'arrêter. Moi non plus, je le faisais transpirer et il avait à nouveau une érection. Tout cela m'excitait vraiment et j'ai continué, d'autres morceaux sont venus, puis j'ai commencé à voir un liquide brun à la base de mon pouce. Il était entrain de pousser des selles pas prêtes. J'ai fini la main pleine de caca et la culotte trempée, ce qui ne m'était plus arrivée depuis ma ménopause... La serviette est allée à la lessive à 90°.... J'avais le coeur qui battait fort car c'était une vraie révélation. Ça a été le déclenchement de tout ce qui allait suivre.
Je me suis remémorée ce moment en me masturbant pendant la nuit, et le lendemain j'ai décidé de chercher un prétexte pour recommencer. Je lui ai dit que les garçons avaient quelque chose de spécial dans le derrière (je pensais à la prostate, et même si ce n'est pas tout à fait juste c'est au moins en partie la vérité) dont la bonne santé était très importante, et qu'il me semblait que j'avais senti quelque chose de bizarre.
Le coeur battant, je suis ensuite allée à la pharmacie et j'ai remplacé les gants latex ordinaires par des gants d'examen et la crème par de la vaseline. Je suis rentrée à la maison dans un état de grande excitation, sachant qu'il m'y attendait. Je lui ai demandé de se remettre dans la même position que la veille, mais sur la table de la cuisine, pour être mieux placée, et parce que celle-ci est couverte d'une toile cirée qui la protège. Puis j'ai pensé à me protéger moi-même en mettant un tablier de cuisine, genre plongeuse, que j'avais, blanc, un lien autour du cou. Le tablier que j'avais mis la dernière fois ne m'apparaissait pas adapté à ce que j'allais faire. Je n'arrivais pas à ouvrir mon pot de vaseline, je tremblais. Je lui ai demandé d'enlever son pantalon et son slip, il se tortillait sur la table pour les baisser, je l'ai aidé et je les ai posés sur une chaise. Puis je lui ai fait écarter les jambes et plier les genoux.
Je l'ai longuement fouillé, avec beaucoup de douceur mais profondément. Je lui ai dit que son petit bâton était tout raide et qu'il devrait avoir honte. Il est devenu encore plus rouge et ça me plaisait. Il poussait de plus en plus et au bout de dix minutes, comme la veille, de la diarrhée à commencé à suinter sur mon gant. Je lui ai dit que je sentais quelque chose de "bizarre" et qu'il faudrait savoir ce que c'est. Je lui ai parlé d'aller à l'hôpital mais, comme je l'espérais, cette idée le rebutait. Je lui ai alors proposé me laisser regarder, mais que pour cela il faudrait que j'achète quelque chose. Il n'a rien dit, balancé entre l'inquiétude et l'envie de se laisser faire. Pour qu'il penche du bon côté, j'ai enlevé mes gants sales, je lui ai caressé les couilles, et je l'ai branlé. Il ne savait pas quoi dire, ne disait rien, d'ailleurs, mais il gémissait de plaisir et il a éjaculé... Je suis allée chercher un torchon pour l'essuyer, et je l'ai laissé remettre son pantalon.
L'idée de lui mettre un spéculum m'avait donné une poussée d'adrénaline. Le lendemain j'étais à nouveau à la pharmacie. J'ai provisoirement acheté un spéculum en plastique et j'en ai commandé deux autres en inox sur Internet. J'ai cherché longtemps où acheter ce genre de choses, et j'ai trouvé une sex-shop qui a un rayon spécialisé "SM gay". Lorsque j'ai créé mon compte sur le site mes doigts appuyaient sur m'importe quelles touches tellement j'étais fébrile. Je suis tout de suite allée dans la rubrique qui m'intéressait et je me suis retrouvée comme un enfant dans un magasin de bonbons. J'ai commencé par du gel lubrifiant et j'ai commencé à cliquer sur d'autres articles en m'imaginant entrain de les utiliser, une pompe à lavements, des canules gonflables (de type bardex), des tubes et des connecteurs, des plugs, etc..... J'ai encore commandé, mais dans un site médical cette fois, un bassin en inox, du désinfectant et un stéthoscope pour faire plus vrai (après tout j'allais effectuer un véritable acte médical...).
Je n'ai pas pu attendre, je lui ai posé le spéculum le soir même après un long massage pour l'assouplir. Je l'avais fait mettre dans la même position sur la table de cuisine, et j'avais remis le même tablier. J'ai pu ouvrir entièrement les mâchoires et voir l'effet sur mon patient qui me regardait d'un air hagard avec le fondement complètement ouvert. J'avais la bouche sèche et ma culotte était collante comme jamais. Je n'ai pas rentré les doigts cette fois-ci, mais il bandait fort, et j'ai compris ce qu'il me fallait faire, je l'ai donc masturbé pour qu'il jouisse dans ma main, alors qu'il avait encore le spéculum dans le cul.
Je me suis dit qu'il supportait bien un spéculum vaginal et j'ai décidé de modifier ma commande pour des écarteurs rectaux à trois branches, de tailles plus importantes. J'ai finalement trois modèles de tailles de plus en plus grosse.
Depuis ces premiers jeux, je suis allée assez loin avec lui, il a reçu chaque spéculum de nombreuses fois (bien sûr je n'utilise plus que le gros, maintenant) et je lui ai ensuite expliqué qu'ils n'étaient pas seulement nécessaires pour l'examiner, mais aussi pour le préparer à des instruments plus gros. Je sais que ça lui fait peur mais je lui dis que c'est pour son bien. Il n'en peut plus de honte car en plus d'être perpétuellement ouvert devant moi, j'aime que ce soit un peu "sale" (son caca fait partie de chaque discussion sur ses examens, que j'ai fini par appeler son "problème"). J'aime aussi lui faire des allusions avec ça devant d'autres femmes, comme "Il faut qu'on rentre pour s'occuper de ton problème". Lorsque certaines demandent quel problème il a, je me tourne vers lui pour le laisser répondre. Je vois son désarroi que je laisse monter alors que la femme attend sa réponse. Alors j'enfonce le clou en répondant à sa place. "Un problème de garçon" est ma réponse favorite, mais une fois j'ai osé répondre à une vendeuse qui l'a demandé qu'il avait un problème "DANS le derrière". Devant son air d'interrogation, j'ai demandé à Louis si il voulait expliquer à cette femme ce problème. Il était rouge cramoisi et je savourais ce moment, il était tellement désemparé. Alors j'ai souri et j'ai ajouté que je comprenais qu'il avait honte de le dire. Cette simple phrase en a dit long sur ce qu'à pensé la vendeuse car elle a rougi elle aussi.
Mon petit-fils Louis, malgré son âge, est très pudique et émotif et je ne sais pas pourquoi, j'aime le confondre et l'humilier sur ce sujet précis. Je lui parle beaucoup avec deux mots que j'aime (que j'adore) utiliser, et sans que je sache pourquoi, qui m'excitent beaucoup. Ils lui font honte et j'insiste lourdement dessus, toujours en le regardant. Ces deux mots sont CACA et CUCUL. Et quand je lui parle, le mot "cucul" ne veut pas dire fesses, mais anus, rectum, ou colon et veut toujours dire DEDANS. Et j'en abuse, en lui disant des choses impressionnantes ou avec des questions gênantes "Ça te donne envie de faire caca ?", "Contrôle du cucul", "Tourner dans le cucul", "Faire une fouille du cucul", "Ouvrir le cucul"...
J'ai toujours voulu pratiquer des examens médicaux, surtout pour l'émotion et l'anxiété qu'ils inspirent et j'aime parfois vraiment cette sensation de faire peur comme un médecin. Et surtout j'aime cette partie intime, taboue et tellement gênante à montrer. De plus, contrairement à un vagin, l'anus n'a pas de "fond", il peut se remplir de plusieurs litres, se dilater, et derrière le muscle anal il y a un potentiel de place énorme, il provoque aussi de grosses sensations, de besoin, de pousser, d'expulser, donne des érections et permet de jouer avec le contrôle du soulagement. Je ne laisse parfois pas mon Louis aller à la selle. Je ferme la porte des toilettes à clé, que je garde sur moi, et il doit me demander pour un pipi, que je surveille pour ne pas qu'il défèque en cachette. Quand il sort de la maison, je li met une culotte spéciale achetée sur catalogue, du caoutchouc très épais, avec une chainette à la ceinutre, fermée par un cadenas… Il peut passer son sexe sur le côté pour faire pipi, mais il ne peux pas l'enlever, il est donc obligé de se retenir toute la journée, sauf à salir ses vêtements. Il devient ainsi constipé naturellement, ce qui motive mes examens.
J'aime le voir marcher lentement, le ventre chargé et je sais que c'est assez inavouable mais j'aime l'avoir "plein" pour commencer un examen. Il ne pourra se soulager que sur le dos, sous mes yeux, les genoux remontés au maximum. Je lui dis que c'est pour voir si il n'a pas de problème pour pousser.Pour faciliter ma passion, j'ai mis Louis au régime, un régime spécial, soi-disant pour compenser les "cochonneries" qu'il mange à midi au restaurant universitaire. Je lui fait, le soir et le week-end, surtout des légumes avec des fibres, qui vont donner des selles volumineuses et des gaz. Avec quelques essais, j'ai trouvé ce qu'il faut lui donner la veille pour que, le lendemain, ce que je trouverai dans son derrière soit à la mesure de la honte et de l'humiliation que je veux lui infliger. Je le fais boire beaucoup, aussi, pour faciliter le transit, et parce qu'une vessie pleine augmente la pression sur son rectum.
J'ai la chance d'avoir un pavillon en proche banlieue et j'ai souvent pensé que je pourrais facilement avoir un endroit discret, bien équipé pour satisfaire mon obsession. Un jour j'ai craqué... j'ai acheté une chaise gynécologique d'occasion sur e-bay! Je l'ai installée dans la salle de jeux du sous-sol, qui était vide depuis longtemps. Pour en faire MA salle de jeux. Dédiée exclusivement aux examens rectaux. Mais je me plais à continuer de l'appeler la "salle de jeux". Je l'ai décorée à mon goût, avec des armoires en inox aux portes vitrées, une lampe d'examen, un chariot médical, des miroirs, un portant à vêtements. Plus j'avançais et plus mon coeur battait quand j'y étais. Je voulais que cet endroit soit impressionnant. Et j'aime que mon patient ait le coeur qui bat quand il entre. Cette pièce est devenue un vrai cabinet médical.
Je me suis aussi équipée avec des tenues spéciales que je porte pour ces examens. Je mets d'abord une blouse, de style rétro car je les trouve plus impressionnantes, une blouse longue, descendant sous les genoux, avec une ceinture, et le boutonnage dans le dos; ce n'est pas pratique, je le reconnais, mais plus strict. Mes blouses sont avec des manches longues mais que l'on peut retrousser et faire tenir avec des boutons car j'aime voir les muscles de mes bras bouger quand je le "travaille". Ces blouses sont blanches ou bleues. Je mets aux pieds des socques comme en portent les infirmières, et, sur les cheveux, une grande coiffe d'infirmière, qui retombe sur les côtés. Je complète la tenue avec un tablier, et j'ai vraiment l'allure d'une infirmière des années 1950, à l'époque où les infirmières laïques commençaient à remplacer les bonnes soeurs, tout en gardant quelque chose de la tenue religieuse.
Je me change dans la salle de jeux avant d'aller le chercher, en enlevant ma culotte et mon soutien-gorge pour rester nue sous la blouse, afin que le frottement du tissu m'excite encore plus. Quand il me voit arriver vêtue comme ça, je le vois se décomposer car il sait pourquoi je viens. J'aime marcher à côté de lui en le tenant un peu fermement sous le bras, comme pour qu'il sente que je "l'emmène". Quand nous entrons dans notre salle d'examen, il y a le silence et une lourde atmosphère. Le "jeu" commence. Je lui parle différemment, comme un médecin. Je lui demande de se déshabiller. Je ne fais rien pendant ce temps, je veux le regarder, et je veux qu'il le sache. Ensuite je veux que ce soit lui qui me regarde quand je finis de me préparer. Je commence par mettre un masque de chirurgie, puis je prends un tablier d'examen parmi ceux qui sont pendus au mur, un épais tablier de caoutchouc rouge ou blanc, que je mets en le regardant. Il voit mon visage masqué et je sais qu'il a peur quand je vois ses lèvres sèches et son coeur qui cogne dans les veines de son cou.
Puis viennent les gants. Mais pas n'importe quels gants. J'en ai acheté de plusieurs sortes, mais j'aime surtout les gants de vétérinaire! Ils me montent jusque aux coudes. Ça me prend un certain temps pour les mettre entièrement, temps que je passe les yeux dans les siens, en penchant un peu la tête, pour montrer que je suis très à l'aise et décidée. Le visage que je vois en face de moi me fait tremper de plaisir. Il m'arrive de couler sur mes cuisses, et mon odeur intime, j'en suis sûre, parvient à ses narines. Son angoisse est presque palpable et je donnerais n'importe quoi pour un moment comme celui-ci. Je sais que j'ai presque l'air d'une bouchère et c'est ce que je veux, face à lui, nu, désarmé et sur le point d'avoir un examen rectal. J'imagine son désarroi à ce moment précis. Mais je ne suis disposée à ne lui épargner aucun moment difficile. Quand je dis difficile, ce n'est pas de douleur que je parle, je ne veux pas lui faire "mal". Je veux qu'il se sente dilaté, ouvert, honteux, et qu'il ne sache plus comment faire pour sortir ses choses qui rentrent dans son derrière.
Je le fais monter sur la chaise gynécologique, en position assise, et je lui écarte les jambes pour mettre ses mollets dans les goutières prévues à cet effet. Avec des sangles de caoutchouc, j'immobilise ses mollets et ses cuisses, puis, avec d'autres sangles, j'attache ses poignets derrière le dossier de la chaise et, enfin, je passe une sangle sous ses aisselles pour immobilser son torse. Sa tête repose sur une tétière qui ne lui permet pas de la tourner entièrement, mais qui la maintient à peu près de face, afin qu'il puisse me voir, et se voir lui-même dans les miroirs que j'ai prévus pour ça. Quand il est immobilisé, je tourne la roue sur le côté de la chaise pour incliner celle-ci, et, avec une pédale, je la monte à la bonne hauteur. Il ne me reste plus, avec une molette de chaque coté, à écarter les supports de ses jambes pour bien l'écarteler... J'ai pour moi un tabouret à dossier, réglable en hauteur, pour "travailler" à mon aise.
J'ai acheté des écarteurs et récemment j'ai encore commandé des manomètres pour contrôler la pression des lavements. Je lui dis que tout cela est pour son bien et qu'il en a besoin.
Je l'ai fait gémir, uriner, déféquer, et éjaculer. Je ne lui fais pas de masturbations, mais des "extractions séminales". Il est en érection A CHAQUE FOIS, tout au long de l'intervention! Parfois il gicle tout seul, après des secousses de plus en plus nombreuses de sa verge où il est à la limite. J'aime ces moments, qui lui font honte quand il se lâche sur la table. Je lui dis que c'est un petit sale, parfois même un petit porc, et lui dis que c'est honteux de faire ça devant sa mamie. J'ai pris l'habitude de lui serrer les testicules et la base de la verge avec une sorte de garot, soit disant parce qu'il ne sait pas se contrôler. En fait cela le rend encore plus dur, et le fait gicler avec beaucoup plus de force. Il en met partout, jusqu'à son visage, et ça dégouline sur les attaches de son sexe.
J'ai rendu ces séances encore plus embarrassantes en lui faisant prendre, en plus de mon régime spécial, un suppositoire de glycérine (et même parfois plusieurs) avant un examen pour provoquer une diarrhée que je sais extrêmement honteuse pour lui. Et pour marquer encore plus fortement cet aspect impudique, je lui dis que plus il expulse dans les trois premières secondes, plus ça montre qu'il n'a pas de problème, et donc que l'examen sera d'autant moins dur pour lui. En réalité, l'examen ne sera PAS moins dur, je cherche seulement à le faire pousser de toutes ses forces car j'aime le voir faire ça, ne plus pouvoir se retenir, tout éclabousser et avoir une énorme honte. J'utilise un bassin très arrondi, ce qui fait que presque tout ressort avec la force des jets et des pets. Sa diarrhée gicle autour de lui, par terre, sur mon grand tablier de caoutchouc. Je le fais ensuite descendre de la table en lui disant que je dois "nettoyer son caca". Je ramasse le plus gros sous ses yeux, avec de vieux torchons, en faisant de grosses traces sur le sol. Je laisse le liquide et quelques morceaux pour rester dans cet ambiance taboue. Tout l'examen se passe dans l'odeur de son caca et certaines coliques qui arrivent ensuite jaillissent alors que je le fouille ou qu'il a des instruments à l'intérieur, mêlant tout ce qui entre en lui à ses excréments. J'essuie sommairement le tout avec un torchon que je pose dans un autre bassin sur le chariot et qu'il peut voir. A chaque nouvelle expulsion j'utilise le même torchon, qui dégouline et pour finir n'essuie plus rien, je remue simplement sa diarrhée sous ses yeux.
Les injections rectales sont aussi devenues rituelles. Je le lavemente régulièrement avec des mélanges très épais et j'ai imposé plusieurs règles quand je lui fais, ce qui est fréquent, des lavements successifs. On ne revient jamais à une capacité inférieure à la précédente. Les canules ne doivent jamais avoir une longueur ou un diamètre inférieurs à la précédente. Le liquide à injecter doit être chaud (environ 35°C) et par dessus tout TRÈS SAVONNEUX. J'insiste BEAUCOUP sur le savon car je connais le besoin d'expulsion qu'il provoque. Les coliques sont systématiques et je le vois souvent se tordre avant la fin de l'injection. Mais une de mes autres règles est d'aller jusqu'au bout. Je peux faire des pauses momentanées, lui masser le ventre pour l'aider et l'encourager, mais il sait que je lui impose à chaque fois la totalité. Quand approche la fin, je précipite l'injection et me sers d'une autre pompe pour ajouter de l'air et j'augmente la dilatation de la canule. Il expulse souvent lui même sa canule et je me rends parfois compte à ce moment à quel point il était écarté. C'est lors d'une de ces fins de lavements précipitées qu'il a commencé à uriner. Ça m'a mit dans un état indescriptible, j'ai littéralement arraché sa canule et je l'ai remplacée par mes deux doigts pour le masser de toutes mes forces. Le pauvre poussait tant qu'il pouvait, et tout est sorti en même temps, les pets, le caca, l'urine, et finalement il a aussi éjaculé.
Il subit maintenant des examens très fréquents, et c'est une exigence, je veux qu'un jour soit consacré chaque semaine exclusivement à "son problème de cucul". Avec pose la veille d'un gros plug gonflable dans l'après-midi, toilettes inaccessibles (sauf pour le pipi) et le jour en question : laxatif matinal sous forme de suppositoire de glycérine, et après le petit déjeuner, entrée en salle d'examen pour toute la journée.
Et j'ai corsé le plaisir de son humiliation. L'examen fini, je lui fait mettre une blouse de fllle, un tablier, et il doit nettoyer les instruments, le sol nettoyer sa merde avec des torchons. L'arrière de sa blouse se tache de sa merde, mais je ne la change jamais ni de la nettoie jamais. Et quand il a fini, je le mets à genoux, au piquet, le torchon merdeux dont il s'est servi pour nettoyer sur le visage, jusqu'à la prochaine partie de la séance.
Je me demande parfois où tout cela va nous emmener, mais une chose est sûre, j'aime ce que je fais et je ne suis pas disposée à arrêter. Mon étudiant à encore de longues heures qui l'attendent avec plein de choses dans le derrière..
Tags : Anal, Domination/soumission
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Commentaires
3JojoJeudi 18 Août 2022 à 12:42Bonjour j aimerai beaucoup être à la place de votre petits fils4ChristSx 1Dimanche 14 Avril à 19:18Sincèrement, cette histoire incroyable, souvent j'en ai moi même fantasmé que de vivre de cette situation. Je rêve que cela puisses m'arriver de subir de rabaissement, d'humiliation profonde, cuisante, de honte comme jamais une femme ne m'aurait fait devant elle. J'ai connu une fille justement, qui aimait me déshabiller, me voir tout nu toue une journée entière, voir même des weekends complets. Non seulement elle me maintenait entièrement nu, et comme ce garçon le subissait avec sa mamie, me prenait par la main, ou le bras, sous ses regards, me conduisait dans son wc. Arrivé devant la cuve du toilette, me prenait pas les épaules afin de me retourner, je devais lui faire face, en me donnant l'ordre de me laisser faire et de la laisser faire les choses sur moi. Elle me faisait prendre les positions les plus vulgaires que possible, et les plus excitantes pour elle. Puis, une fois installé comme exigé par elle, ou, Françoise, son prénom, me fit écarter grandement les cuisses, elle voulait tout voir de moi, tout pouvoir m'examiner pendant que je devais sous ses yeux, faire mes besoins naturels, pipi et caca en même temps. Elle aimait ça, malgré le côté crade des choses, les odeurs, jusqu'aux bruits que pouvaient faire les écoulements de mes urines dans la cuve du chiotte, le gargouillements intestinaux, les clapotis de l'anus à la sortie de ma merde en plus des couinements là aussi de mon anus, mes flatulences également. Malgré en effet le honte, ma gêne devant elle qu'elle me découvre dans cette intimité qu'est la mienne à faire mes besoins, rempli d'humiliations que de me faire ainsi assister sur le "pot" comme un petit garçon, car en plus, en faisant mon caca, Françoise me tenait le zizi en demandant que je fasse mon pipi. Elle me faisait écarter grandes les cuisses car aimait, voulait regarder s'écouler mon jet en même temps que de regarder coup à coup, mon anus se dilater, puis s'ouvrir, mon caca commençant à sortir et tomber dans l'eau au fond de la cuve du wc. Comme Françoise aimait ça, m'assister, m'ausculter ou m'examiner de la tête aux pieds, même ma bouche, mes narines, aimait m'examiner, ma langue y passait, mes gencives, mes dents, introduisait ses doigts pour me saisir la langue, me faire baver, passait un doigt le long de mes gencives, me faisait sucer ses doigts pendant l'opération de m'examiner dans le fond de la bouche, veillant que je salive comme il faut, que j'avale bien, que tout était bien fonctionnel dans mes ingurgitations de bave, mais aussi quand j'avalais la nourriture. C'est elle qui me faisait manger, me portait fourchette ou cuillère à la bouche, comme pour son bébé. En effet, Françoise me traitait vraiment comme un garçon de bas âge, j'étais son enfant, car elle ne pouvait en avoir, donc, pour elle, j'étais un bébé, son bébé qu'elle devait assister en tout, compris sur le pot, pour me laver elle même, me savonner, me passer sus les jets de douche. J'étais pour elle, et me le disait, me l'avouait, vraiment son bébé et me voulait comme son enfant, son petit garçon, me traiter comme tel. Cela l'excitait à fond, prenait son rôle très au sérieux en plus. Du fait de voir qu'elle était sincère, sérieuse, moi pensant dans les débuts que ce n'étais que du jeux sexuel, juste parce que d me traiter ainsi, de faire la maman, l'excitait très fortement, j'ai compris, que ce n'était pas que pour jouer, que par fantasme sexuel, mais était sérieuse, j'étais bien devenu un bébé, garçon de bas âge, en fait Françoise m'avait versé dans la stricte et totale regression. Elle allait très loin sur moi, me doigtait quand elle voyait que je peinais à faire caca, me pressait le bas ventre pour le pipi, jusqu'à ce que mes urines finissent enfin par couler, en même temps que je devais pousser alors qu'elle avait un doigt tout au fond de moi, dans mon rectum, et qu'elle agitait, me tournait et aussi m'infligeait de sortes de coups, que je nomme coup de buttoir, cela jusqu'à bien sentire ma merde descendre progressivement, et sortir enfin de mon anus. Elle avait son doigt souillé qu'elle me faisait flairer. Elle me grondait car j'était un garçon sale, que je ne savais pas aller au pot tout seul, faire mon besoins comme il faut et que je devais forcement être assisté d'une femme, par des femmes. Je la laissait dire, gêné , rabaissé, dégradé, humilié des plus honteux qu'une fille me rendait. Françoise voulait tout contrôler de moi, me prendre en main, sous son joug en m'infantilisant, m'imposer le maternage. Je devais li dire quand j'avais envie de pipi, caca ou les deux, me présenter devant elle pour qu'elle vérifie les choses, qui alors me déculottait, soulevait mes vêtements de corps en me demandant de tenir ma chemise, mon tricot, selon ce que je portais sur le dos, passait une main sur mon bas ventre afin de voir s'il était bien gonflé par du pipi dans ma vessie, puis, me demandait de me tourner, de présenter mes fesses, me les claquait en me faisant, "voyons les choses de ton anus", en m'écartant les fesses pour le mettre à jour. Elle crachat sur mon trou à caca comme elle nommait, vérifiait si dilatation et ouverture, puis me logeait son doigt pour en effet me fouiller jusqu'au fond. Lorsqu'elle me découvrait être plein, bien rempli de pisse et de merde, me faisait me contenir jusqu'à de nouveau, me trainer dans son séjours ou se situait aussi son lit, sa chambre en fait, me mis tout nu, et me conduisait ainsi aux wc. C'est Françoise qui décidait de mas passages aux chiottes, du rythmes de passages, avec laquelle je devais pisser et chier. Tant qu'elle ne voulait pas que j'urine trop vite, elle obstruait mon urètre avec la paume d'une main, ou un doigt, un pouce, même chose quand elle voulait que je ne fasse pas trop vite caca, me bouchait l'anus, et devais bien me donner à ses regards, écarter en grand mes cuisses, la laisser regarder, faire, m'étudier. Françoise avait même entrepris de me partager avec quelques copines à elle à qui elle avait parler de moi, des choses sexuelles qu'elle me faisait subir, qui à excité ses copines, et a fait savoir cela, que ses copines à qui elle s'était dévoiler de ses activités sexuelles avec et sur moi, les ont franchement excité elles aussi, qui du coup, lui ont demandé si vraiment, Françoise avait envie de me partager avec elles, si elle voulait bien qu'elles participent avec elle de ses activités sexuelles sur moi. Françoise m'a indiqué à ces moments où j'étais encore avec elle, que ces copines fantasmaient sur elle, sur moi, étaient très excité, qui se masturbaient la nuit, à tous moments où elles le pouvaient, quand elle le pouvaient, et quand elle trouvaient aussi les lieux pour se donner à la masturbation. Ce qui à accentué chez moi mes excitations aussi, elle, compris. Mais pour raison perso entre nous, nous n'avons pas pu poursuivre notre relation, et nos activités asexuelles, donc, le projet avec ses autres filles, ses copines, n'a pu aboutir. Je reste à fantasmer que de croiser une femmes comme cette mamie avec son garçon, de subir même chose, être sous contrôle, sous le joug d'une femme pour m'infantiliser, m'imposer son maternage, de m'étudier et de m'exploiter à ses fins, des fins sexuels bestial, vulgaire, des plus dégradant qu'elle me ferait subir, punitions humiliantes comprises, même si elle devait me traiter comme, et en porc, me dire que je ne suis pas gentil garçon, mais un sal cochon, un mal propre bien souillon. Une femme qui même, me livrerait à des femmes enticement nu, pendant que je devrais faire devant toutes mes besoins, me faire étudier, exploiter de mon corps, mes déjections, faire pipi et caca en me faisant fouiller, tenir le pénis par les unes et les autres, à tour de rôle entre elles, recevoir la fessée si je ne donne pas asse, que je ne produit pas asse de pipi, de caca, de diarrhée, de sperme, de baves aussi. Si je ne me remu pas asse les fesses pour exécuter leurs ordres, me laisser faire, ou les laisser faire de moi comme elles auraient envie, de recevoir le martinet, la tric, le fouet, qui me mettraient au coin, attaché, même en laisse, cela, je le fantasme bien des fois. Même que je sois par la femme, être donner à ce qu'autre de sa connaissance, me dresse pour son compte, et une autre, une femme vétérinaire qui m'examinerait devant ma "Maîtresse" de haut en bas, au sol comme sur des tables d'auscultation d'animaux, même dans local d'examens vétérinaire, de porcherie, où la, entièrement nu, devant ma Maîtresse, je serais étalé sur le dos, à la renverse, les cuisses bien ouverte pour bien examiner, contrôler les choses, tous mes orifices à me faire examiner le cul, l'anus, fouiller vulgairement même subissant des lavements, de me faire bourrer le fond du rectum pour qu'elle m'écrase le caca et le sorte par mon anus. De voir ma Maîtresse et la véto, même des femmes assistantes porchères et vétos, se partageraient mes déjections pour mélanger avec celles des porcs et des truies pour servir à engraisser leurs terres, en faire donc du purin, du fumier, et bien faire que je me vois très animalisé, trait en porc moi même et que rien qui me permettrait de cacher de mon corps, de mon intimité sexuelle et de mon intimité à faire mes besoins, rien pour pouvoir échapper à leurs regards sur moi, pour pouvoir leur échapper, les fuir, m'évader, toujours exhiber, prêt à emploie sexuel, exploitation sexuelle et de mon corps entier, de mes déjections, pipi, caca, en plus de mes érections et éjaculations, du sperme. Peut être même des mes poils pubien, de la raie et l'anus, de mes baves également.
6TiméoLundi 21 Octobre à 12:477TiméoLundi 21 Octobre à 12:48Et mythomanes fantasmeuses !
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Superbe histoire, j'ai beaucoup aimé, surtout la fin ou l'on voit vraiment l'utilité du tablier , des gants. Dommage que l'on en trouve pas en video des histoires comme ça......
Merci pour cette belle histoire.