• Pension Tapefort - Le thé de 17 heures... épisode 16

    Un texte de mon ami Peter Pan, que je remercie encore.


    Pension Tapefort - Le thé de 17 heures... épisode 16

     

    Gladys, son verre de Scotch glaçonné en main, prit place sur son tabouret à fessée favori, dont le siège rembourré recouvert de simili cuir était patiné par son imposant fessier dont elle était très fière, tout autant qu'elle l'était de sa très généreuse poitrine hâlée par le soleil de la Riviera... Puis elle croisa ses deux longues jambes ennylonnées avec le bruit caractéristique de cette matière qui attire l'oreille des maris... et la colère des épouses!! Tandis que Maman Louise saisissait avec impatience Edouard par le bras pour le forcer à s'allonger à plat-ventre sur ses genoux. Gladys se redressa.
    - «Edouard, tu obéis ou bien je prend sa place de Louise.»

    Patricia brûlait d'intervenir mais sa mère l'en empêcha d'un geste. Elle se rassit. Maman positionna Edouard sur ses genoux et le mit en garde.
    - «Edouard, je vous interdis de vous soulager sur ma jupe. Arrangez vous pour résister à l'émotion de votre "for intérieur", C'est bien compris?»
    Edouard, la tête penchée vers le tapis d'Astrakan, lui bredouilla des mots inaudibles. Maman lui claqua la fesse droite.
    - «Alors?»
    Il se redressa et répondit distinctement.
    - «Parfait. Voilà qui est clair.»
    Puis elle lui retroussa sa chemise blanche en lin et dévoila un petit tatouage discret et dédicacé à son épouse, avec un simple prénom: Gladys.
    - «Oh, mais je ne vous imaginais pas aussi romantique, Edouard. Voilà une très belle preuve d'amour. Vous me surprenez agréablement».

    Maman lui baissa un peu plus son slip blanc Eminence au niveau de ses chevilles. Puis elle lui fit un sermon sur son comportement qu'elle jugea indigne d'un bon mari. Elle se retroussa la manche droite de son chemisier rose bonbon.
    - «Alors, vilain garçon, on a désobéi? (…) C'est pas beau de rentrer ivre à la maison! Et en entrainant dans sa beuverie un jeune homme! Ho, ça mérite une bonne fessée! Et même une grooosse fessée!!»

    Quant à nous quatre, nous observions la scène dans un silence quasi-monacal, à peine seulement dérangé par le bruit régulier de la grosse horloge francomtoise posée près de la cheminée où crépitait une bonne flambée... Gladys tira un peu plus sur sa courte jupe noire plissée en Jersey. Maman jubilait. Cinq fois... dix fois... vingt fois... sa longue main sèche s'abattit sur les fesses musclées du mari de Gladys avec une régularité métronomique!! Elle le rappela à l'ordre quant il commença à s'agiter sur ses genoux.
    - «Edouard, que vous ai-je dit? » On voyait qu'il faisait des efforts pour ne pas relâcher ses... "émotions" comme disait Maman et les fesses d'Edouard avaient viré du blanc laiteux au rouge carmin en quelques minutes.
    - «Ha, fesser un homme a toujours été mon rêve, ma bonne Gladys! Et quelle jouissance! Merci pour cette belle marque de confiance!»

    Gladys rit grassement et se leva. Puis elle enserra ses deux longues jambes autour du cou de son mari.
    - «Tu ne bouges pas, Ed' chéri! Ou bien ce sera le martinet!».
    Elle se pencha alors et claqua les fesses de son "Tarzan d'amour", dans un mouvement de concert avec Maman Louise . Son buste magnifique tressautait à chaque claque qu'elle administrait à son incorrigible époux. Son sautoir en fausses perles du Japon dansait la gigue.
    - «Ha, tu aimes toujours ça, Edouard!? Avoues-le? Tu adores quant deux belles femmes mûres s'occupent de tes fesses! Hein, vieux satyre!»
    Les deux femmes s'acharnèrent à le faire crier.
    - «Oui, j'avoue, Madame Louise, je... je suis un... un époux immature. Mea culpa! Ado... déjà... Ma... Maman Elizabeth et... et Tante Sophie me... me fessaient au... au martinet... à … à la moindre... faute!!! Aaaaaaaieeeeee!!! Pardon, ma chérie!»

    Elles ressemblaient toutes les deux à ces imposantes lavandières de jadis, aux bras d'acier, toujours penchées à la rivière à essorer au battoir en bois la lessive de leur turbulente marmaille. Tandis qu'en aparté, Patricia se la jouait "grande sœur sévère" avec son cher Arnold tout frais moulu qui commençait à craindre le pire pour son "bottom" comme ils disent là-bas, Outre-Manche. Malicieuse, elle lui caressait ses fesses musclées tout en susurrant à son oreille quelques mots.
    - «A good spanking for you!»
    Quelques mots qui l'épouvantèrent et il se tourna, alors, paniqué, vers son impérieuse fiancée.
    - « Rea... really, my darling?»
    Patricia inclina la tête, en souriant dans un signe d'approbation.
    - «My God! A very hard bare-bottom spanking!» gémit Arnold. «My poor bottom, tonight!»

    Maman continuait de rougir les fesses d'Edouard, en plaisantant avec Gladys. Elle semblait déchaînée tout d'un coup. Elle déversait toute sa rancoeur d'épouse frustrée sur le pauvre derrière tout cramoisi. Elle le sermonnait entre deux tournées de claques, comme s'il s'agissait d'un de ses élèves en leçons d'anglais particulières. Après son départ de la start-up publicitaire pour "incompatibilité professionnelle", Maman donna des leçons privées d'anglais et de français aux enfants de ses amies intimes et ils furent nombreux. Faisant preuve d'autorité, il n'était pas rare que certains de ses élèves rentraient chez eux en boitant légèrement. Cette soirée avait ravivé ce sentiment. Elle lui parlait de honte, de péché, de moralité, de retenue... et Edouard grommelait entre deux tirades tant la douleur de la fessée qu'il recevait lui était insoutenable! Gladys en rajoutait en frottant ses chevilles ennylonnées contre les joues fraîchement rasées de son beau Tarzan. Puis Maman suspendit sa main quelques instants pour contempler son œuvre. Elle fit une moue mi-déçue, mi- satisfaite. Et elle enchaîna à nouveau la cadence, en descendant sur l'arrière des cuisses poilues d'Edouard. Patricia ne perdait pas une miette du spectacle et nous, également.
    - «Voilà, ma bonne amie, comment j'apprécie toujours les hommes! Pour moi, ils doivent être toujours soumis et implorants envers nous, leurs vertueuses épouses, gardiennes des traditions familiales! N'est-ce pas, Patricia? Quelle victoire! Ma Doué!».

    Edouard s'agitait sur les genoux enjuponnés de madame Louise, qui le rappela à nouveau à l'ordre.
    - «Je ne veux sentir aucune humidité à travers ma belle jupe plissée, Edouard!! Ou vous recevrez la fessée au martinet! Comme un collégien effronté!! Est-ce clair?? Et ne souillez pas ma belle jupe plissée en flanelle 100 % laine pure des Causses!» Gladys, amusée, passa sa longue main manucurée sur les fesses de son incorrigible mari.
    - «Hooo... mais tu as les fesses... toutes écarlates, et toutes brûlantes, mon chéri!! Et très douces comme une peau de pêche!! Une vraie peau d'angelot!!»

    Maman jubilait et elle semblait prendre énormément de plaisir à cet exercice inattendu. Robin regardait Maman avec ébahissement. Et dans son regard se lisait même une certaine angoisse. Je devinais qu'il s'imaginait sur ses genoux à la place de Beau-Papa Edouard. Tel père, tel fils, dit-on...  

    Peter Pan. 

     

    « Fesseuse eurasienneMummys boy »

    Tags Tags : ,
  • Commentaires

    1
    clodinette
    Samedi 27 Janvier à 10:19

    «Edouard, tu obéis ou bien je prend sa place de Louise.

    en lisant cette phrase , j'ai commencé à ne pas compredre :  Gladys veut prendre la palce d'eduar sur les genoux de Louise ?

    ensuite, on croit Edouard allongé sur les genoux de Louise , et on decouvre que Gladys  serre son cou entre ses cuisses ? 

    ou bien c'est moi qui suis derangé ou bien c'est l'auteur qui s'est mélangé les lanières du martinet !!!

    clodinette

      • Peter Pan
        Samedi 27 Janvier à 10:57

        Bonjour mon bon Clodinet, 

         C'et une erreur de ma part : j'ai voulu dire " ... ou je prend LA place de Louise..." puisque que c'est Louise qui fesse Edouard sur ses genoux, sous l'oeil de Gladys. En corrigeant la phrase de départ, j'ai oublié de changer le démonstratif "sa" , ce qui change le sens de la phrase. Mais c'est bien Louise qui fesse Edouard. Gladys, assise, observe la scène puis se lève pour venir serrer ses jambes autour du cou d'Edouard, allongé sur les genoux de Louise.                                                Sinon, mis à part cet incident de parcours, que penses tu du texte, mon bon ami ? Et il y a deux suites ! ha ha ha !!! 

        Peter.

         

         

    2
    clodinette
    Samedi 27 Janvier à 11:59

    bon alors si je comprend bien cette fois : Edouard ( Mari  de Gladys et  ou fils de Louise ? je m'y perd !)  est allongé sur les cuisses de sa  mère Louise qui le fesses avec ses mains , et pendant ce temps, Gladys vient serrer le cou du dit Edouard , entre ses robustes cuisses , et elle lui donne aussi des coups de martinet ! Elle doit donc ffaire attention de ne pas frapper sur les mains de Louise ? mais alors pourquii le menace-t-elle du marinet s'il "mouille" sa belle jupeplissée ? puisqu'il reçoit déja le martinet de Gladys ....et qui sont les 4 autres qui regardent ?

    clodinette un peu perdue ??? 

      • Peter Pan
        Samedi 27 Janvier à 13:48

        Rebonjour mon bon Clodinet, 

         Tu t'égares un peu. Je compose mon récit un peu comme une scène de théâtre. Dans ce récit, il y a un échange des punis. D'un côté, les observateurs sont au nombre de quatre : Peter, Robin, Nathalie (la soeur de Peter), et Patricia, (la soeur de Robin) qui regardent seulement. Et de l'autre :  Edouard est fessé par Louise Lamalisse devant Gladys qui observe et qui le menace du martinet s'il refuse d'obéir à Louise. Puis Gladys aide Louise et claque en même temps  à la main les fesses d'Edouard, allongé.  Louise menace Edouard du martinet s' il se soulage pendant la fessée sur sa jupe plissée. Car Louise ne supporte pas qu'il souillerait sa jupe comme un garnement qui ne saurait pas se retenir pendant la fessée (tu as bien compris l'allusion...) !! Je pense avoir éclairé ta lanterne... 

        Peter.

    3
    ramina
    Samedi 27 Janvier à 14:32

    Amis des chroniques littéraires au coin du feu ... aux fesses, bonjour !

    Achtung ! Cuidado! e péricoloso sporger si !  Euurrrh! Euurrrh! Euurrrh... Alarm ! Grosseuu paniqueuu !! ... La petite Clodinette un peu perdue,  attend ses amis au bureau des réclamations, en trépignant sur ses talons aiguille.  Ayudo , please por favor,  comment s'y retrouver, dans le déroulement de cette magistrale séance de fessée aux multiples rebondissements... fessiers, bien sûr. Elémentaire mon cher Klacson ! Inventaire à la Peter, au meilleur de sa forme, qui nous envoie un croustillant récit bien construit entre dialogues fournis  et descriptions détaillées. Même si, des fois, c'est vrai qu'on se perd un peu, justement, dans les détails ... Dans la famille Tapefort, on demande c'est kiki fesse et c'est kikéfessé ? Mais bon pas besoin, non plus, d'une boussole et de quinze jours de vivre et de munitions pour trouver l'anguille dans la botte de radis ! Edouard est  bien le mari soumis de Gladys, sa sévère épouse qui l'a dressé à la fessé, et non le fils de Louise ... m'enfin ! Quand aux quatre autres, s'agirait-il des fameux trois Mousquefesse ?

    Au demeurant, magnifique fessée comme on les aime, claquante, cuisante, humiliante à souhait, menée de maîtresses mains par l'impérieuse Gladys et Maman Louise, toute les deux, en même temps, à la manœuvre ... Jusqu'ici tout va bien , sauf pour les fesses d'Edouard qui se prend une sévère double déculottée, main, martinet, en version original et en simultané. Et même en superposé, au point que notre taquine et mutine Clodinette se demande si maman Louise, qui fesse à la main, ne se prend pas des coups de martinets sur les doigts. L'a pas tort la gourgandine en bas nylon sur le cumule de mandales, mais  Edourad  avec ses grosses fesses présente tout de même une belle et vaste surface à corriger !  Ramina

     

    4
    ramina
    Samedi 27 Janvier à 14:43

    Amis des chroniques littéraires au coin du feu ... aux fesses, bonjour !

    Achtung ! Cuidado! e péricoloso sporger si !  Euurrrh! Euurrrh! Euurrrh... Alarm ! Grosseuu paniqueuu !! ... La petite Clodinette un peu perdue,  attend ses amis au bureau des réclamations, en trépignant sur ses talons aiguille.  Ayudo , please por favor,  comment s'y retrouver, dans le déroulement de cette magistrale séance de fessée aux multiples rebondissements... fessiers, bien sûr. Elémentaire mon cher Klacson ! Inventaire à la Peter, au meilleur de sa forme, qui nous envoie un croustillant récit bien construit entre dialogues fournis  et descriptions détaillées. Même si, des fois, c'est vrai qu'on se perd un peu, justement, dans les détails ... Dans la famille Tapefort, on demande c'est kiki fesse et c'est kikéfessé ? Mais bon pas besoin, non plus, d'une boussole et de quinze jours de vivres et de munitions pour trouver l'anguille dans la botte de radis ! Edouard est  bien le mari soumis de Gladys, sa sévère épouse qui l'a dressé à la fessé, et non le fils de Louise ... m'enfin ! Quand aux quatre autres, s'agirait-il des fameux trois Mousquefesse ?

    Au demeurant, magnifique fessée comme on les aime, claquante, cuisante, humiliante à souhait, menée de maîtresses mains par l'impérieuse Gladys et Maman Louise, toute les deux, en même temps, à la manœuvre ... Jusqu'ici tout va bien , sauf pour les fesses d'Edouard qui se prend une sévère double déculottée, main, martinet, en version original et en simultané. Et même en superposé, au point que notre taquine et mutine Clodinette se demande si maman Louise, qui fesse à la main, ne se prend pas des coups de martinets sur les doigts. L'a pas tort la gourgandine en bas nylon sur le cumul de mandales, mais  Edourad  avec ses grosses fesses présente tout de même une belle et vaste surface à corriger !  Ramina

     

    5
    clodinette
    Samedi 27 Janvier à 19:17

    Ha merci Ramina interprète qui a tellmeent peur que la petite clodinette un peu perdue et dure de la comperlotte  ait toujours  pas compris le scénario de l'ami Peter, publie deux fois ses messages explicatifs !!! sauf qu'elle se mélange aussi les pinceaux  en disant que Edouard a reçu aussi le martinet alors que non  ! sauf s'il s'est répandu sur la jupe plissée!!! mais sauf erreur de ma part 'histoire ne le dit pas !  peut ètre au prochain épisode !!!

    et Alors Cher Ramina ....cea ne vous fait pas envire de re-publier à votre tour ???

    Bisous Clodinette  ( mutine !!! j'aime bien !!!) 

      • Peter Pan
        Samedi 27 Janvier à 19:41

        Bonsoir ma bonne Clodinette mutine et coquine, 

        (voilà qui est original !) L'assiette est rétablie comme on dit dans l'aviation. Edouard va t-il recevoir le martinet  ? Diantre !! A son âge ? Tel un ado boutonneux et honteux  ? La suite au prochain épisode !!! La groooosse Tante Glad' et Mam' Loulou veillent comme deux impérieuses gouvernantes sur leur protégé !!! Hé hé hé !!

        Peter.

    6
    ramina
    Samedi 27 Janvier à 19:18

    Ah ben tiens ... le facteur sonne toujours deux fois. Je jeu des deux erreurs... il y a deux fautes d'orthographe corrigées dans un des deux commentaires. Lesquelles. Ne vous bousculez pas au portillon pour répondre .. Ramina

      • Peter Pan
        Samedi 27 Janvier à 19:51

        Bonsoir monsieur le préposé à la distribution du courrier du soir, 

        (- Vous plaisantez, mon bon ami ? Vous avez déjà vu un facteur faire sa tournée le soir dans la campagne givrante, sur son vélocipède, à la lueur d'une lanterne ? M'enfin ! ) Il sonne toujours deux fois ? (film avec Jack Nicholson et Jessica Lange ? )Ouais, pour les recommandés et les mandats !! - Heu, M'sieur Rami, moi j'ai trouvé : au fond du couloir à gauche !!. 

        Peter. 

    7
    ramina
    Samedi 27 Janvier à 19:40

    Rien ne semble échapper à la lecture implacable de Clodinette qui ne laisse rien passer. Décidément ce récit est la croix et la lanière pour la comprenette ! ...Fichtre , Diantre, Palsanbleu,  mais où suis-je donc aller chercher que Edouard recevait du martinet, sans doute influencé par cette réplique trop célèbre '' si tu ne viens pas à la lanière, la lanière viendra à toi ! '' façon comme une autre de faire apprendre les bonnes lanières.  Oui bon , d'accord,  je ne recommencerai plus!  Ramina

    PS: Ah seigneur Jésus, messi, messi, bien sûr que je vais republier à mon tour... à la demande générale d'une muse mutine.  

    8
    Samedi 27 Janvier à 20:40

    Bonsoir Peter,

    Comme diraient les anglois "nobody is perfect !"

    Bonne soirée.

    Paul.

      • Peter Pan
        Samedi 27 Janvier à 23:00

        Messire Pauuul, 

        " - C'est okaaaaaay ! - Va me quérir l'enchanteur prestement !!!  - Pas la potion, messire ! Ca puire ! " .La chaine 10 TMC a rpassé les 3 épisodes  cette semaine.  Bon film. 

        Peter.

    9
    clodinette
    Samedi 27 Janvier à 21:48

    Muse mutine.et coqine !!!...à cette llecture mon popotin se tortille de plaisir !  il ne retse plus qu'à la "lutiner " et la jouissance sera total !!!

    et maintenant cher Peter j'ai tout compris ...enfin presque ! 

    Clodinette "muse mutine cokine et lutinée !!!"

      • Peter Pan
        Samedi 27 Janvier à 23:02

        Ma bonne Clodinette , 

         J'aurais pu y ajouter : gourgandine, non ? Ce sera pour une prochaine fois...

        Peter.

    10
    Dimanche 28 Janvier à 15:21

    Bonjour Peter,

    Oui, pas la potion de l'enchanteur, ça a un goût de fiente de porc.

    Bon après-midi.

    Paul.



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :