• Orties et vinaigre

    Un récit que j'ai trouvé je ne sais plus où, et que j'ai agrémenté… Théo est certes un garçon majeur, mais ça ne change rien à la fermeté de sa mère.


     

    Cécile, qui savait combien j'aimais assister à des fessées et autre punitions, m'avait invitée à venir chez elle pour profiter d'une fessée aux orties, une punition qu'elle aimait à infliger à son fils. Je sonnais donc à sa porte, et je fus accueillie, oh surprise, par son fils, qui était habillé en femme de ménage, blouse et tablier-taille. Il me fit vite entrer, pour ne pas être vu ainsi. Une fois la porte fermée, il me fit une révérence maladroite. Cécile vint m'embrasser, et me dit que je pouvais embrasser son fils aussi, ce que je fis bien volontiers, sur les deux joues, lui mettant discrètement la main aux fesses pour voir sa réaction. Cécile n'y voyait pas de mal, son fils, elle, et moi, nous connaissions depuis longtemps pour autoriser quelques familiarités.
    Je remarquais que, autant les bises sur les joues ne lui faisaient pas d'effet, autant ma main sur ses joues du bas le troublait considérablement.

    Cécile m'offrit un rafraichissement et envoya son fils dans sa chambre durant 30 minutes, le temps de m’expliquer de quelle manière elle utilise les orties, après une fessée manuelle puis au martinet.

    La voyant très "professionnelle", subitement, je me demandais si je n'avais pas fait une erreur en venant. Après tout, je me mêlais de ses affaires de famille, qui ne me regardaient pas. Après je n’ai nullement regretté mon choix d’y avoir été tellement que la correction de Théo fut de taille.

    Cécile me dit qu’il y a plusieurs niveaux de fessée aux orties, selon la taille des bêtises et, surtout, selon qu'elle avait envie d'être plus ou moins perverse.
    - Normale: Fessée à la main, puis passer les orties dessus.
    - Sévère: Le fesser main et après martinet. Puis caresser les fesses avec les orties, puis tremper un torchon dans du vinaigre blanc, et le passer pour lui frotter les fesses!

    - Très sévère: Fessée à la main, au martinet, puis fessée au bouquet d’orties, placer une couche, le faire coucher sur la couche sur le ventre, verser le vinaigre blanc sur les fesses, déposer ensuite le bouquet sur les fesses et refermer la couche!

     

    Je lui demandais s'il n'y avait pas là une sévérité inutile.
    - "Une bonne fessée déculottée sévère, terminée au martinet avant les orties, ne sera que plus bénéfique pour qu’il obéisse après!" me dit-elle.

    Et elle ajouta:
    - "S'il se gratte, l'effet des orties pendant plusieurs jours est assuré et cela ne me gêne pas, vu que parfois je frictionne ses fesses pour réactiver les effets piquants et urticaires!

    Elle me dit également que pour sa part, il fallait bien le reconnaître, elle prenait plaisir à faire souffrir son fils en mettant des orties dans des couches pour adultes. Elle utilise des couches avec attaches adhésives, ce qui lui permet de fermer la couche d’un côté, avant de placer le bouquet dans le couche, et de bien resserrer pour fermer l’autre côté, résultat garanti !

    Après ces explications, elle se leva, prit sa chaise et l’installa au milieu de la cuisine où nous étions. Elle attrapa le martinet, puis dans un placard une culotte de caoutchouc:
    - "Une qui serre bien le postérieur", m’annonce-t-elle. "Et ainsi cela serre bien les branches d’orties pour plus d’efficacité."

    Puis elle prit dans un autre placard une bouteille de vinaigre blanc et la posa sur la table de cuisine recouverte de toile cirée, pas trop loin de la chaise. Enfin, elle prit un grand tablier à bavette de caoutchouc blanc, passa le lien autour du cou, noua la ceinture par devant, puis pris deux gants de ménage roses et les passa à la ceinture.

    Là je me dis que l’heure de la fessée aux orties ne va pas tarder arriver pour Théo, et je commence à me demander si je dois être complice d'une telle torture.
    - "Tu vas vraiment lui faire ça, Cécile?"
    - "Oui, bien sûr, Maryse, je t'ai même demandé de venir voir, pour que tu puisses le faire à ton tour à qui tu voudras."

    Puis elle appela son fils:
    - "Théo, descend prendre ta raclée, mon chéri. Et ne me demande pas ce que tu as fait de mal, tu n'as rien fait, je vais juste te punir pour montrer à Maryse comme je fais avec toi!"

    Théo arriva vêtu toujours en servante, avec sa blouse de femme et son tablier. Cécile m’expliqua qu'elle avait pris l'habitude de l'habiller ainsi pour le faire travailler et le punir. Cette humiliation le préparait à la souffrance et le mettait tout de suite dans une situation qui facilitait son obéissance.

    Théo s'approcha, tout contrit, tout peureux, et s'arrêta à quelques mètres, la tête baissée, les mains derrière le dos. Je voyais que non seulement Cécile savait s’y prendre pour bien fesser, mais encore qu'elle avait un rituel avant, après et durant la fessée.

    Elle lui dit d’avancer pour recevoir la fessée première manuelle. Il traîna des pieds. De plus, comme la blouse lui serrait les jambes, il avait du mal à marcher. Sous son tablier de servante, on devinait la bosse de son sexe, très légèrement.

    La mère énervée se leva, lui donna six claques par dessus la blouse, bien appuyées, ce qui le fit réagir par des cris de douleur "aie, aie, aie ouille..."

    Dans ma tête, je me suis dit que s’il avait mal avec seulement six coups à travers le tissu, "qu’est-ce que cela va être pour la suite".

    Théo, après avoir reçu les six premières claques par sa mère sur la blouse, avait mal à son postérieur. En plus comme la blouse était très serrée aux cuisses et aux fesses, le tissu montrait très bien la forme du cul, et permettait de bien le claquer.

    Cécile connaissait parfaitement les règles et méthodes pour bien faire mal lors des fessées. Plus serré est le tissu, plus les claques font transpirer la peau des fesses, cela donne des cuisantes démangeaisons, et encore davantage quand ultérieurement les orties en seront mises à l’intérieur d'une culotte.

    Théo reçut d’autres séries de claques sur le cul, par sa mère toujours debout. Puis elle s'assit, le coucha sur son genou gauche, et avec le droit bloqua les jambes de son fils pour éviter toute agitation.

    Là, je me dis, cela va devenir davantage sérieux, et Théo n’aura pas de répit durant un bon moment.

    Elle pris plaisir, la victime en position humiliante, de me répéter ce qu'elle m'avait dit:
    - "Tu vois, Maryse, la fessée sévère, ça consiste à le fesser main et après au martinet. Puis lui caresser les fesses avec les orties, puis tremper un torchon dans du vinaigre blanc, et le passer et lui frotter les fesses avec! Et la fessée très sévère, je commence par le fesser à la main, puis au martinet. Ensuite la fessée au bouquet d’orties. Ensuite il faut placer une couche au sol, le faire coucher sur la couche sur le ventre, suivi du versement du vinaigre blanc sur les fesses. Déposer ensuite le bouquet sur les fesses et refermer la couche! Et le frictionner le fond de la couche à plusieurs repris, les heures suivantes pour réactiver les effets urticaires des orties."

    - "Et aujourd'hui, Cecile, ce sera quelle fessée?"
    - "En ton honneur, ma chérie, la très sévère, bien sûr."

    J’imaginais ce que Théo allait et pouvait ressentir. Il allait avoir bel et bien chaud aux fesses et bien davantage que ce qu’il avait en ce moment. Bien qu’il avait l’habitude de recevoir ce types de fessées, la douleur pour lui était toujours comme la première fois, la toute première fois… Au niveau des orties, j’avais eu l’occasion de m’y être frottée sans faire exprès dans mon enfance lors d’une promenade à la forêt, j’avais eu les mollets qui m’avaient démangés plusieurs heures. Alors lui, il a certainement déjà reçu des fessées les jours précédents, puis rebelote maintenant, et les orties. Là pour lui démanger, cela va lui démanger, d'autant que la main conjugale pendra soin de lui passer l’envie de faire d’autres écarts de conduite et de bêtises.

    Cécile avait raison de bien sévir, c'est comme ça qu’il faut se faire respecter, et j'avais beaucoup à apprendre d'elle.

    Cécile recommença les séries de claques sur le fond de la blouse, toujours de façon aléatoire, toujours d’écrasantes claques bien appuyées. Nous bavardions, pendant ce temps:
    - "Tu vois, la blouse en nylon, bien serrée, ça le fait transpirer, ça frotte, la sueur est pénible pour lui."
    - "Et il a une culotte dessous?"
    - "Oui, une culotte en plastique, bien serrée aussi."

    Elle le releva pour lui retrousser la blouse qui le serrait, et je vis la culotte de plastique transparent, bien serrée au cuisses. Elle lui enleva, puis elle le remit sur ses genoux, on pouvait admirer les rougeurs sur la peau nue du fessier qui était propagée sur presque sur toute la surface.

    Les choses sérieuses allaient un peu plus se compliquer pour Théo. Ce qu’il avait eu, c’était l’apéritif, me disait Cécile, et la réaction de Théo ne se fit pas attendre. Il tremblait, Théo la supplia, disant qu'il n'avait rien fait, qu'il était son humble servante, qu'il serait obéissant, qu'elle pouvait lui faire confiance...

    Mais la mère avait souvent entendu ce genre de choses, qu’il n’allait plus recommencer et aussitôt c’était de recommencer même deux fois plus que la normale. Hors de question de cesser sa fesser aux supplications de son garnement de fils, même à son âge quasiment adulte.

    Les jeunes doivent respecter leur mère et lui obéir. Elle comptait bien lui montrer les significations de cela. Elle leva sa main, et là une superbe et appuyante claque tomba sur la fesse droite. Théo disait "OUILLE" très fort. Les suivantes sur la fesse gauche et après droite en alternance étaient du même gabarit, de la même puissance. Des "ouilles" et "aïe" se firent entendre régulièrement et le volume était selon les impacts reçus. Quand c’était très fort, c’était des "ouilles" très forts, quand c’était des claques légèrement moins fortes, les "ouilles" étaient moins élevés, bref proportionnels à la douleur des impacts.

    Sauf qu’au fil du temps, les claques et leur effet s’accumulèrent et s’irradièrent dans le fessier au point qu’au bout de 10 minutes, il commençait à bien gigoter pour essayer de sortir des jambes de sa mère qui le maintenait fermement.

    Elle lui donna un grand coup sur le haut des cuisses pour stopper toute résistance. Il cria et cela le calma.

    Le fessier au fur et à mesure commençait à rougir et bien davantage ce qu’il en était. Cela virait vers une couleur mauve maintenant. Elle n’avait pas l’intention de s’arrêter tant que le fessier ne serait pas d’une couleur rouge acceptable et à point. Ceci dans le but ensuite de le fesser avec les orties et le frictionner de vinaigre blanc. Et en plus elle voulait que la cuisson à point soit très douloureuse et que les signes de cette douleur soient bien visibles sur le cul de son fils. Tant qu’il ne crie pas d’une certaine manière et s’agite d'une façon elle continue. Pour l’instant, il résiste, certainement suite à ma présence pour montrer son courage à endurer cette rude punition corporelle.

    La mère poursuivait la fessée et là, elle décida d’accélérer la cadence par claquer successivement sans s’arrêter sur la fesse droite et la gauche pour amplifier les effets des coups. Elle voulait donc que le puni n'ait aucun répit. Et cela pour que Théo passe au stade suivant, et qu'il craque, afin de passer à la phase des orties. Mais Théo ne cédait pas et ne craquait pas.

    Elle claquait donc bien plus fort mais souvent à la cadence successive.

    Je vis que le front de Théo transpirait énormément suite à la cuisson des fesses qui augmentait bien largement qu'à l’accoutumée même s’il essayait de convaincre que cela n’était pas le cas. Néanmoins, les signes sur son visage et les grimaces qui augmentaient à chaque coup en étaient la preuve qu’il allait certainement craquer dans un bref instant.

    Les claques continuèrent avec la même intensité car la mère voyait aussi des signes qui ne trompaient pas. Et là peu après, Théo hurla qu’il ne pouvait plus supporter la douleur de ses fesses très très brûlantes. Il supplia sa mère d'arrêter la fessée.
    - "Tu veux que j'arrête de te fesser, mon chéri?"
    - "Oui maman, je t'en supplie…"
    - "Tu sais que tu vas avoir les orties ensuite?"
    - "Oui maman, je sais."
    - "Tu veux les orties, alors?"
    - "Oui maman."

    La mère continua pour la forme une vingtaine de claques.

    Puis elle le releva. Elle lui dit de se mettre à genoux pendant qu'elle allait dans le jardin chercher des orties, ce qui visiblement n’avait pas l’air de plaire à Théo. Une réaction normale vu qu’il en avait l’habitude et savait ce qu’il allait arriver.

    Durant l’absence de sa mère, Théo se tourna vers moi et commença à me parler:
    - "Est-ce que vous pouvez raisonner ma mère de ne pas me fesser avec les orties, cela fait très mal, s’il vous plaît ?"

    - "Mon garçon, je ne peux pas, ta mère m’a invité pour que j’assiste à ta fessée aux orties. Il ne fallait pas avoir une mauvaise attitude et tu n’aurais pas eu à recevoir les orties, mon petit".
    -"Oui, mais cela démange très fort par-dessus les fesses rouges, croyez-moi"!"

    - "Je n’en doute pas, mais il faut obéir à ta maman!"

    Cécile revint, plusieurs grands bouquets d'orties à la main, dans son gant de caoutchouc rose, et me vit parler avec son fils.
    - "Ah, je vois que tu es en train de causer avec mon chenapan de fils!"

    - "En vérité c’est lui qui a engagé la conversation pour me demander de te raisonner et de ne pas lui donner la fessée aux orties, je lui ai dit que non, j’étais venu exprès pour ça."
    - "Ah il a essayé de se soustraire à sa fessée d’une manière ou d’une autre!"

    Elle se tourna vers son fils et lui dit:
    - "Non seulement tu es insupportable, et en plus pour ta fessée tu essaies de ne pas la recevoir complètement." Elle haussa la voix. "TU VAS VOIR ATTEND UN PEU!"

    Théo se frottait ses fesses rougies. La mère posa les orties sur la table, enleva ses gants, et prit le martinet pour lui asséner une vingtaine de coups après lui avoir demandé de se lever et de se pencher sur le dossier de la chaise.

    A chaque fouettée, il hurlait de plus belle, gigotait ses jambes et son cul pour esquiver les puissantes lanières, en vain. Les lanières tombaient sur le bas du fessier, le haut des cuisses et en plein milieu du fessier. Elle fit une pause et me tendit le martinet:
    - "Maintenant, puisque tu as dérangé Maryse, c'est elle qui va te donner 30 coups de martinet, et tu vas les compter à voix haute."

    Je ne pouvais pas refuser ce service à Cécile. Je pris donc le martinet, et je donnais, lentement, posément, 30 coups sur les fesses écarlates. Je prenais bien soin de frapper partout, mais, comme j'ai le coeur tendre, je ne frappais pas aussi fort que Cécile. Théo comptait les coups, chaque chiffre accompagné d'un sanglot. Quand il dit "trente", je m'arrêtai. Cécile l'attrapa par l'oreille:
    - "Tu ne dis pas merci à Maryse? Moi, tu n'as pas à me remercier, en te fessant je fais mon devoir de mère, mais Maryse fait ça pour toi! Elle va te donner 5 coups de plus."

    Je lui donnais donc les 5 coups, qu'il compta jusqu'à 35, en me disant humblement merci à la fin. 

    Sans me reprendre le martinet, Cécile prit une couche avec des attaches et la posa sur la toile cirée de la table. Puis son fils dut monter sur la table, et s’allonger par-dessus à plat ventre.

    Une fois Théo couché a plat ventre sur la table, elle lui attacha les bras en croix, avec de la corde à linge, aux pieds de la table. Puis elle remit ses gants, prit les orties et le fouetta sur les fesses. Elle frappait fort, le bouquet perdait des feuilles, heureusement, elle avait pris une quantité suffisante, en prévision de ça. Au fur et à mesure, les fesses de Théo se couvraient de petites cloques blanches.

    Elle lui passa plusieurs fois le bouquet d'orties sur la peau en insistant bien en bas du cul avec les tiges urticantes, sur le fameux endroit sensible. Elle le frictionna avec les orties sur le fessier rubicond et cramoisi environ quinze minutes, en changeant une fois pour de nouvelles tiges fraîches d’orties. Théo, couché sur la table, les cuisses à peine écartées, les bras en croix, subissait en sanglotant, il gémissait, reniflait, mais il ne criait pas. Je regardais attentivement sa technique parce que, autant je savais fesser, autant la manière dont il faut utiliser les orties m'était inconnue, et j'étais venue pour apprendre. A un moment, il se mit à gigoter des jambes, et, d'un signe, Cécile me demanda de lui tenir les chevilles, ce que je fis bien volontiers. Je sentais ainsi tous ses mouvements, ses frémissements de douleur, qui parcouraient tout son corps.

    A la fin des 15 minutes, elle posa le bouquet d'orties. Elle prit un torchon de cuisine, en fit une boule, et versa sur celui-ci du vinaigre blanc. L'odeur du vinaigre blanc, qui évoque pour moi une bonne odeur de "propre", me prenait les narines. Entre son acidité et les petits dards urticants des orties, l'effet était garanti, de cuisantes démangeaisons et de chaleur sur le fessier.

    Elle passa le torchon, comme un tampon, sur le fessier bien rubicond, il le fut bien davantage. Le garçon hurla et s’agita en étant à plat ventre, mais il était attaché et bien tenu. Elle frottait chaque fesse à son tour, remettait du vinaigre sur le torchon pour qu'il soit toujours bien humide. Le vinaigre blanc avait, en principe, un effet apaisant, mais, en pratique, il servait surtout à rendre la douleur supportable et donc à allonger la durée de la punition.

    Elle mit bien 10 minutes à passer le torchon rempli de vinaigre blanc sur le fessier qui était de plus en plus rougi. Puis elle alla chercher sur l'évier une petite brosse à vaisselle. Délicatement, elle frotta, avec les poils de plastique, les pauvres fesses écarlates, pour renforcer la douleur de Théo, qui pleurait à chaudes larmes. Ses fesses étaient maintenant couvertes de petites cloques, qui devaient le démanger affreusement.

    Cécile me demanda de libérer les chevilles de son fils et, tout en le laissant attaché, elle lui fit soulever son bassin et se mettre sur les genoux, la tête en bas, toujours, comme prosterné. La couche, sur la table, était un peu humide. Elle écarta les cuisses de son fils, je vis ses couilles, rasées, mais pas sa zézette. Cécile passa la main entre les cuisses:
    - "C'est bien ce que je pensais, il bande, ce petit cochon, les orties le font bander".
    Se tournant vers moi, elle continua:
    - "Tu vois, Maryse, c'est un inconvénient, ça lui fait mal, mais ça l'excite et ça le fait bander. Mais je sais comment faire pour que cette envie lui passe. Tu vas voir… En attendant, veux-tu bien lui détacher les mains, s'il te plait?"

    Je détachai Théo. Elle le fit se remettre à plat ventre, enleva un gant, pour fermer, avec une grosse épingle à nourrice, un côté de la couche. Elle prit, de l'autre main gantée, des branches d’orties, et les mit à l’intérieur de la couche, posées au fond, et sur les parties charnues. Elle referma avec l’autre attache adhésive la couche en prenant soin de bien serrer la couche sur les fesses.

    Puis elle obligea son fils à se retourner sur le dos, tout son poids pesant sur les orties qu'il avait sur les fesses. La couche tenait d'un côté par l'adhésif, de l'autre par l'épingle à nourrice. Elle enleva l'épingle, ouvrit la couche et, prestement, elle prit quelques feuilles d'orties, et les posa sur la couche, que, tout de suite, elle rabattit sur la quéquette de Théo, appuyant de sa main ganté, refermant, de l'autre main, la deuxième attaché adhésive. Théo laissa échapper un long gémissement, et ses yeux furent encore inondés de larmes.

    Cécile me regarda avec un grand sourire, sans faire de commentaire. Elle lui enfila la grande culotte de caoutchouc épais. Elle lui serrait la couche, donc cela lui appuyait sur la peau des fesses. Puis elle l'autorisa à se lever.

    Théo se frotta ses fesses à volonté car cela lui faisait mal, mais au lieu que cela lui passe, cela faisait tout le contraire. Il dut rabaisser sa blouse de fille bien serrée, son tablier de servante, puis s'agenouiller devant sa mère:
    - "Merci maman de m'avoir puni", dit-il en sanglotant.

    Excitées toutes les deux par la punition de Théo, Cécile et moi sommes montées dans sa chambre pour nous gougnotter. Théo dut nous accompagner, Céline le fit agenouiller le nez contre le mur, mains sur la tête. Il ne pouvait pas nous voir nous gouiner, mais il entendait nos soupirs et nos gémissements de plaisir, ce qui devait le faire bander sur les feuilles d'orties. Et, je dois le dire, cela nous excitait de le savoir au piquet, bandant sans nous voir.

    Durant toute le reste de la journée, que je passais avec Cécile, il dû rester dans sa tenue de petite servante. Il se frottait ses fesses, espérant en tirer un apaisement qui était toujours trop bref. Quelquefois la mère lui demandait de venir et de retrousser sa blouse, devant et derrière, pour lui frictionner la couche et raviver davantage les effets urticants des orties. Ce qui, à chaque fois, lui tirait de nouvelles larmes. Elle en profitait pour lui donner le martinet, pas sur les fesses, bien sûr, mais sur les cuisses et les mollets, et elle m'invitait à lui donner le martinet aussi.

    Je la quittai en fin d'après-midi, en la remerciant. Théo du venir m'embrasser, et je suis repartie, pleine d'idées perverses à essayer sur mon mari.

     

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  • Commentaires

    1
    clodinette
    Dimanche 13 Février 2022 à 16:26

    Tatie chérie tu me fais peur....et pourtant je suis adepte des punitions . Mais toi qui n'aime pas les punitions trop sévères tu décris vraiment des chatiments très cruels !   

      • Mardi 13 Février à 00:06

        Sévère, certes, mais maternelle et domestique comme j'aime…

         

    2
    Lisa
    Vendredi 18 Février 2022 à 11:34

    Ce doit être un supplice infernal ces orties partout sur les parties génitales et sur les fesses dans la couche....brrrr....

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    3
    Marine
    Lundi 12 Février à 03:56
    Les orties sont très disciplinaires , quand la saison s y prête , je suis régulièrement fessée avec un bouquet d orties . Il m arrive fréquemment de devoir rester avec des feuilles d orties dans ma petite culotte sous ma blouse . Parfois je dois relever ma blouse baisser ma culotte et rester assise sur un tabouret recouvert d orties pendant 15 a 20 minutes après une punition au martinet .
    4
    ramina
    Mardi 13 Février à 15:40

    Amis de la santé par les plantes et de la soupe aux orties... bonjour !

    C'est vrai que, selon les sujets, allergiques ou hypersensibles aux plantes urticantes, il vaut peut être mieux déguster les orties en soupe plutôt que sur les fesses . Surtout après une magistrale fessée déculottée comme l'ultra sévère maman, aime les administrer Pour le plaisir, sans autre raison qu'une spectaculaire démonstration devant Maryse, qui finit par y participer aussi. Ouile, ouille ouille, ça brûle !  Façon originale de se faire mettre en cloque ... sur les fesses. Maintenant, pour les amoureux de la nature, et éviter l'arrachage des orties , on peut toujours utiliser le "Dolpic". Fameuse plante musculaire chauffante, qui fait aussi merveille pour entretenir et prolonger la cuisson des fesses, sans les abîmer,  pendant et après une bonne déculottée . Mais bon, c'est pas pareil... Notamment pour Théo, que la fessée aux orties, semble mettre dans tous ses virils états  Du coup,  Maman Cécile, aussi perverse qu' intraitable, lui en remet une couche urticante et une deuxième fessée au martinet. !  Comme dit justement Souillon, " sévère, maternelle et domestique"... quand même, ça pique !  Ramina

    5
    Fesses rouges
    Mardi 7 Mai à 12:08
    Un fouettage avec deux tiges après une fessée a la spatule j ai dégusté
    6
    Fesses rouges
    Mardi 7 Mai à 12:12
    C est horrible 3 jours de cuisson a l avenir plus de bêtises difficile de s asseoir
    7
    Marine
    Mardi 30 Juillet à 20:28

    Depuis le début de la saison des orties je suis punie par la fessée aux orties chaque semaine . C est très punitif mais il faut bien le avouer très efficace pour le respect de la discipline domestique stricte . J ai toujours une certaine appréhension lorsque je dois relever ma blouse et baisser ma culotte pour que la fessée aux orties me soit administrée . 



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