• Orties au vinaigre

    Une histoire trouvée par hasard, en faisant une recherche sur les fessées aux orties, sur malespank.net et je l'ai modifiée pour qu'elle rentre dans le cadre de ce blog.


    Orties au vinaigre


    Cécile avait l’intention de punir Théo une seconde fois pour sa mauvaise conduite. La première fois, évidemment il fut sévèrement fessé et bien marqué. Elle voulait le punir encore par une fessée puis aux orties. Cécile me téléphona pour m’inviter à passer un week-end, en partie parce qu'elle voulait que j’assiste à cela.


    J'arrivais donc dès le samedi matin, je n'étais qu'à une demie-heure de voiture. Elle m'ouvrit la porte, vêtue tout simplement d'une blouse droite, un peu stricte, et me fit rentrer dans sa petite maison. Dans le séjour, Théo était debout, dans une blouse rose de femme, boutonnée dans dos, bien serrée à la taille par une ceinture. Il me salua en me faisant une jolie petite révérence…

    Voyant que je regardais les cuisses de Théo, elle me confirma que oui, en effet il avait bien reçu une magistrale fessée pour insolence. D’où les raisons qu'il ait du mal à marcher et qu’il soit un peu boudeur. Elle ajouta que cela lui passerait après ce qu’il lui arrivera quand elle se mettra au travail avec lui. 
    Je me suis dis que le derrière de Théo bien rebondi allait encore passer un sale quart d’heure même un quart d’heure piquant.

    Après qu'il m'eut embrassée, elle envoya Théo aux toilettes, le temps de m’offrir un café et un morceau de gâteau, elle était une excellent pâtissière. Céline me proposa de me "mettre à l'aise", ce qui voulait dire, tout simplement, qu'elle m'invitait à prendre, dans mon sac de week-end, la blouse que je mettais d'habitude, et que j'enfilais donc, en gardant que mes sous-vêtements, pendant que Céline allait poser mon sac et mes vêtements dans la chambre d'amie.

    Quant Théo fut revenu, elle a commencé à m'expliquer comment elle fonctionne quand elle utilise les orties après une fessée manuelle puis au martinet.

    La voyant très sérieuse subitement, je m’inquiétais car jamais je ne l’avais aussi sérieuse et grave. Je pensais que j’avais fait une erreur d’être venue, me mêler, ou même assister, à des choses qui ne regardait qu'elle et Théo. Après je n’ai nullement regretté mon choix d’être venue, tellement la correction de Théo fut de taille.

    Elle me dit qu’il y a plusieurs procédés selon la taille des bêtises, ou selon sa volonté de punir Théo à sa guise.
    - Ordinaire: Le fesser à la main, en travers des genoux, puis le mettre au piquet à genoux les mains sur la tête, cul nu.
    - Sévère: Le fesser à la main et après martinet. Puis caresser les fesses avec les orties, enfin tremper un torchon dans du vinaigre blanc, bien l'essorer, puis lui passer sur les fesses et bien les frotter avec.
    - Très sévère: Fessée au bouquet d’orties, puis placer une couche sur la grande table, le faire coucher sur la couche sur le ventre, verser le vinaigre blanc sur les fesses, bien étaler et frotter avec le torchon, déposer ensuite le bouquet sur les fesses et refermer la couche. Et frictionner le fond de la couche à plusieurs occasions des heures suivantes pour réactiver les effets urticaires des orties.

    "Une bonne fessée déculottée sévère, terminée au martinet avant les orties, ne sera que plus bénéfique pour qu’il obéisse après!" me dit-elle.

    Et elle ajouta: "S’il se gratte ensuite, l'effet des orties pendant plusieurs jours est assuré et cela ne me gêne pas, vu que parfois je frictionne ses fesses pour réactiver les effets piquants, urticaires et démangeatoires."

    Elle me dit également que pour sa part qu’elle utilise des couches pour adultes avec attaches adhésives, ce qui lui permet de fermer la couche d’un côté, avant de placer le bouquet dans le couche, et de bien resserrer pour fermer l’autre côté, résultat garanti! En plus, elle les prend bien épaisses, pour que le soumis soit bien ridicule avec son gros cul sous sa blouse de fille.

    Elle rajouta que sa sévérité était à son point de vue, nécessaire, pour ne pas dire obligatoire, dans l’éducation, un soumis qui a les fesses rouges qui lui démangent pendant trois jours, va réfléchir à deux fois, avant de réitérer et s’il réitère, avec elle, la punition était simplement doublée, et pas de discussion ni de report quand Théo lui en faisait des demandes!

    Elle me rappela que parfois elle lui mettait des orties dans le fond de sa culotte, et qu’il partait travailler avec les orties à l’intérieur de la culotte, travailler ou aller faire des courses avec elle dans les magasins.
    Et s’il enlevait les orties, il en avait une plus grosse quantité en rentrant et le lendemain.

    Je rajoutais après qu’elle eut fini de parler que j’étais de son avis, pour obtenir de sa part respect et obéissance. Certes il ne faut pas voir cela comme une maltraitance car cela n’en est pas une. Bien des faits de maltraitance sont largement supérieurs à des fessées aux orties, martinet etc. Et que de toute façon, il était adulte et libre de partir. C'était donc seulement une juste sévérité.

    Elle était de mon avis sur la différence entre sa sévérité et la maltraitance, même si la sévérité n'était pas exemple, loin de là, d'une certaine perversité dans ses motivations et son application.

    Après ces explications, elle se leva, nous sommes allées dans la cuisine, suivies par Théo. Elle prit une solide chaise et l’installa au milieu de la pièce. Elle ouvrit un placard, attrapa le martinet, une couche, puis une culotte de caoutchouc qui serre bien le postérieur. "Ainsi cela serre bien les branches d’orties pour plus d’efficacité", dit-elle. Après elle pris dans un autre placard du vinaigre blanc et de la corde à linge, et elle le tout posa sur la grande table, pas trop loin de la chaise.

    Là je me dis que voilà l’heure de la fessée aux orties qui ne va pas tarder arriver pour Théo, et qu’il doit se dire qu’il y a tout le temps, pour éviter d’avoir encore chaud aux fesses une nouvelle fois dans la journée.

    Cécile appela Théo pour qu’il vienne près d'elle, et lui demanda de lui apporter le tablier de fessée.

    Théo alla prendre, sur un crochet, un grand tablier de cuisine blanc long et enveloppant, avec une bavette et des bretelles croisées.

    Elle lui dit d’avancer plus vite pour la fessée manuelle, il traîna des pieds. De plus comme la blouse état bien serrée devant par une ceinture, on voyait la bosse de son sexe devant. Il arriva quand même, le tablier à la main, le tendit à Cécile, et l'aida, maladroitement, à le mettre par-dessus sa blouse, et à nouer sa ceinture.

    Cécile, énervée par cette maladresse, lui donna 6 claques par dessus sa blouse, bien appuyées, ce qui fit réagir le soumis par des cris de douleur "Aie, aie, aie ouille..."
    Dans ma tête, je me suis dit que s’il a mal avec seulement 6 coups sur la blouse, qu’est-ce que cela va être pour la suite.

    Théo après avoir reçu les 6 premières claques par sa gouvernante sur la blouse avait eu mal à son postérieur. En plus la ceinture était bien serrée, la blouse moulait très bien son cul destiné à souffrir.

    Cécile connaissait parfaitement les règles et méthodes pour bien faire mal lors des fessées. Plus le tissu est serré, les claques font suer la peau des fesses, cela donne des meilleures démangeaisons, et encore davantage quand ultérieurement les orties seront miss à l’intérieur de la culotte.

    Théo reçut d’autres séries de claques sur la blouse, et il s’agita et rua ses jambes. Cécile s'assit, et le coucha sur son genou gauche, et avec le droit bloqua ses jambes pour éviter toute agitation.
    Là, je me dis, cela va devenir davantage sérieux, et Théo n’aura pas de répit durant un bon moment.


    J’imaginais ce que Théo allait et pouvait ressentir. Il allait avoir bel et bien chaud aux fesses et bien davantage ce qu’il avait en ce moment. Bien qu’il en avait l’habitude de recevoir ces types de fessées, la douleur pour lui était toujours comme la première fois, la toute première fois qu’il avait cela. Au niveau des orties, j’avais eu l’occasion de m’y être frottée sans faire exprès dans mon enfance lors d’une promenade à la forêt, j’avais eu les mollets qui m’avaient démangés plusieurs heures. Alors lui, il a reçu des fessées avant que j'arrive, puis rebelote maintenant et les orties. Là pour lui démanger, cela va démanger et passer l’envie de faire d’autres écarts de conduite et de bêtises.

    Cécile recommença les séries de claques sur la blouse, de façon aléatoire, et toujours avec d’écrasantes et claques bien appuyées.

    Elle le releva pour lui retrousser la blouse, puis elle lui baissa la culotte. Elle le remit sur ses genoux, on pouvait admirer la grosse rougeur sur la peau nue du fessier qui s'était propagée sur presque sur toute la surface.

    Les choses sérieuses allaient un peu plus se compliquer Théo. Ce qu’il avait eu c’était l’apéritif me disait Cécile, et la réaction ne se fit pas attendre. Le fessier tremblait immédiatement, Théo la supplia qu'il serait super de super sage maintenant, de lui faire confiance, qu'il serait toujours gentil et obéissant...

    Mais Cécile avait souvent entendu ce genre de choses, qu’il n’allait plus recommencer et aussitôt c’était de recommencer même deux fois plus que la normale. Hors de question de cesser sa fessée aux supplications de ce garnement.

    Même adulte, il devait lui obéir comme un enfant obéit à sa mère. Elle comptait bien lui montrer tout ce que ça voulait dire. Elle leva sa main, et là une superbe et forte claque tomba sur la fesse droite. Théo fit "Ouille" très fort. Les suivantes sur la fesse gauche et après la droite en alternance étaient du même gabarit, de la même puissance. Des "ouilles" et des "aïe" se firent entendre régulièrement et le son de ces mots que prononça Théo parfois étaient selon les impacts reçus. Quand c’était très fort, c’était des "ouille" très forts, quand c’était des claques légèrement moins fortes, les "ouille" étaient moins élevés, bref proportionnelle à la douleur des impacts.

    Sauf qu’au fil du temps, les claques et leur effet s’accumulèrent et s’irradièrent dans le fessier au point qu’au bout de 10 minutes, il commençait à bien gigoter pour essayer de sortir des jambes de sa fesseuse qui le maintenait fermement.

    Elle lui donna un grand coup sur le haut des cuisses pour stopper toute résistance. Il cria et cela le calma.

    Le fessier au fur et à mesure commençait à rougir et bien davantage. Cela virait vers une couleur violette maintenant. Elle n’avait pas l’intention de s’arrêter tant que le fessier ne serait pas d’une couleur bien violette acceptable et à point. Ceci dans le but ensuite de le fesser avec les orties et le frictionner au vinaigre blanc. Et en plus elle voulait que la cuisson à point soit très douloureuse et que les signes de cette douleur soit significative à la réaction de Théo. Tant qu’il ne criera pas d’une certaine manière et s’agitera quand il n’en pourra plus à supporter, là elle continuera un peu pour stopper cela. Pour l’instant, il résiste, certainement suite à ma présence pour montrer son courage à endurer cette rude punition corporelle.


    Céline poursuivait la fessée et là, elle décida d’accélérer la cadence par claquer successivement sans s’arrêter sur la fesse droite et la gauche pour amplifier les effets des impacts. Elle voulait donc que le puni ait aucun répit entre chaque impact pour amplifier les effets des claques. Et cela pour que Théo passe au stade suivant de craquer en vue de faire avec les orties. Mais Théo ne cédait pas et ne craquait pas à son haut niveau.
    Elle claquait donc bien plus fort mais souvent à la cadence accélérée.

    Je vis que le front de Théo transpirait énormément suite à la cuisson des fesses qui augmentait bien largement que à l’accoutumée même s’il essayait de convaincre que cela n’était pas le cas. Néanmoins, les signes sur son visage et les grimaces qui augmentaient à chaque impact en étaient la preuve qu’il allait certainement craquer dans un bref instant.

    Les claques continuèrent avec la même intensité car Céline voyait aussi des signes qui ne trompaient. Et là peu après, Théo hurla qu’il ne pouvait plus supporter les douleurs et ses fesses très très brûlantes.

    Céline continua pour la forme une vingtaine de claques.

    Puis elle le releva, lui donnant l'ordre de rester le cul nu, et de tenir sa blouse retroussée. Elle lui dit qu’elle va dans le jardin chercher des orties, ce qui visiblement n’avait pas l’air de plaire à Théo. Une réaction normale vu qu’il en avait l’habitude et connaissait ce qu’il allait arriver.

    Durant l’absence de sa bourrelle, Théo se tourna vers moi et commença à me parler :
    - "Est-ce que tu peux raisonner Céline de ne pas me fesser avec les orties, cela fait très mal, s’il te plaît?"
    - "Je croyais que Céline voulait que tu l'appelle Maman? Je vais lui dire."
    - "Non, pitié, ne lui dis pas, je t'en supplie, dis-lui au contraire que je t'ai appelé Tatie et que je t'ai demandé de ne pas me punir encore!"
    - "Mon garçon, je ne peux pas, elle m’a invitée pour que j’assiste à ta fessée aux orties. Il ne fallait pas avoir une mauvaise attitude avec elle, et tu n’aurais pas eu à recevoir les orties à venir."
    - "Oui, mais cela démange très fortement par-dessus les fesses rougies, crois-moi!"
    - "Je ne doute pas de ta parole, mais dans ce cas, faut obéir!"

    Céline revint et me vit parler avec Théo.
    - "Ah, je vois que tu es en train de causer avec mon chenapan de fils!"
    - "Euh, en vérité c’est lui qui a engagé la conversation pour me demander de te raisonner et de ne pas lui donner la fessée aux orties, je lui ai dit que non, j’étais venu exprès pour cela".
    - "Ah il a essayé de se soustraire à sa fessée d’une manière ou d’une autre!"
    - "En plus, il a dit Céline et pas Maman, et il m'a demandé de ne pas te le dire!"

    Je prenais, c'est vrai, un malin plaisir à le dénoncer.

    Céline se tourna vers son "fils" et lui dit:
    - "Non seulement tu es insupportable, et en plus pour ta fessée tu essaies de ne pas la recevoir complètement." Elle haussa la voix. "TU VAS VOIR ATTENDS UN PEU!"

    Malgré l'interdiction, Théo se frottait ses fesses rougies. Céline attrapa le martinet pour lui asséner une vingtaine de coups après lui avoir ordonné de s'agenouiller sur la chaise et de se pencher sur le dossier.

    A chaque fouettée, il hurla de plus belle, gigota ses jambes et son postérieur pour esquiver les lanières en vain. Les lanières tombèrent sur le bas du fessier, le haut des cuisses et en plein milieu du fessier.
    Pendant qu'elle lui donnait le martinet, je passais devant lui pour contempler son visage en pleurs, ses grimaces, et jouir de sa souffrance.

    Céline me regardait, comme pour savoir si Théo avait assez mal. Je voyais bien qu'il souffrait, mais je dis à ma soeur:
    - "Oh, tu peux continuer, Céline, je crois qu'il n'a pas encore compris la leçon."
    - "Veux tu le fesser toi aussi, Gisèle?"
    - "Oh, non, il est à toi, peut être plus tard, mais là, non, il est à toi ce chéri."

    Du coup, si j'ose dire, elle continua:
    - "Je ne sais pas combien de coups je vais donner, mais à partir de maintenant, tu vas compter, jusqu'à 50."

    Je ne dis pas comment il compta, avec des cris, des sanglots, des pleurs, mais finalement, Céline arriva aux 50 coups, pendant que je passais du visage du puni à ses fesses, pour voir d'un côté ses joues rouges et de l'autre ses fesses violettes.

    Au bout des 50 coups, alors qu'il poussait un soupir de soulagement, Céline attendit une demi-minute et, avec un rire pervers, lui donna encore une demi-douzaine de coups pour faire bon compte.

    Alors, les vannes s'ouvrirent, et de longs pleurs coulèrent, sans discontinuer, sur les joues du pauvre garçon, toujours affaissé

    Après le martinet, Céline prit une couche avec des attaches et l’ouvrit sur la grande table de la cuisine, pour que Théo puisse s’allonger par-dessus à plat ventre. Il s'avança, la blouse retroussée sur son cul violet, avec des marques plus anciennes sur ses cuisses. Je vis que ce cochon bandait, la punition l'avait excité autant qu'elle l'avait fait souffrir. Céline le fit se couche, la quéquette dure, dans la couche étalée sur la table. Puis, avec la corde à linge, elle lui attacha les poignets, les bras tirés en avant, aux pieds de la table, et, avec une autre corde, la passa sous la table à hauteur de la ceinture, pour bien plaquer ses reins sur la couche. Je lui donnais, bien sûr, un coup de main pour ligoter sa victime, qui continuait à pleurer doucement. Le bondage fini, il ne pouvait que gigoter des jambes et rien de plus, mais alors nous lui avons attaché les chevilles aux pieds de la table, pour bien exposer sa raie fessière et l'intérieur de ses cuisses. 

    Céline vint devant lui pour enfiler des gants de ménage, lentement, vicieusement, pour qu'il comprenne que les orties le piqueraient lui, mais pas elle. Puis elle prit les orties pour les lui montrer.
    - "Pitié, pitié!"
    - "Pitié qui?"
    - "Pitié maman…"

    Se faire appeler maman l'excitait, je dois dire, et cela m'excitait d'être la tatie de ce soumis pervers.

    - "Tu n'avais qu'à réfléchir et être obéissant, maintenant c'est trop tard".

    Elle leva le bras tenant les orties et le fouetta sur les fesses. Elle donna bien une vingtaine de coups, pendant qu'il hurlait de douleur, heureusement que la petite maison était isolée. Il essayait, en se tortillant, d'éviter les orties, mais il était attaché. Cessant de le fouetter, Céline lui passa plusieurs fois les orties sur la peau en insista bien en bas du fessier avec ces tiges urticantes, sur le fameux endroit sensible.

    Elle le frictionna avec les orties sur le fessier rubicond, cramoisi encore 15 minutes, après avoir posé les feuilles usées, et prit de nouvelles tiges fraîches d’orties.

    A la fin de ses 15 minutes, elle laissa quelques minutes de répit à Théo, qui n'avait même plus la force de crier. Elle profita de ce répit pour mettre du vinaigre blanc dans une casserole pour le faire doucement tiédir. L'odeur du vinaigre envahit la cuisine, et les narines de Théo purent lui donner un avant goût de la suite. Avec un thermomètre de pâtissière, Céline surveillait la température du vinaigre, il fallait qu'il soit à peine plus que tiède, mais surtout pas brulant.

    Elle posa la casserole sur la table, entre les cuisses écartées de Théo, prit un torchon et le trempa dans le vinaigre blanc. Son acidité, jointe aux dards urticants des orties, allait avoir un effet garanti de démangeaisons et de chaleur sur le fessier.

    Après l'avoir essoré, elle passa le torchon sur le fessier bien rubicond, il le fut bien davantage, le garçon hurla et s’agita, mais il était à plat ventre, écartelé chevilles et poignets, et il ne pouvait pas faire grand chose.

    Céline, qui avait gardé ses gants de ménage, resta bien 10 minutes à passer le torchon mouillé de vinaigre blanc sur le fessier qui était de plus en plus rougi, n'hésitant pas à retremper le torchon dans la casserole, pour l'essorer et continuer.

    Puis elle reposa le torchon et enleva un de ses gants de ménage pour commencer à attacher le côté droit adhésif de la couche. Elle prit ensuite, de sa main gantée, des branches d’orties, et les mit à l’intérieur de la couche posé au fond et sur les parties charnues. Elle referma avec l’autre attache adhésif la couche en prenant soin de bien serrer la couche sur les fesses.

    Théo gémissait doucement, les larmes coulaient sur son visage, il n'avait plus la force de crier, ni même de supplier.
    Céline et moi nous lui avons détaché les mains et les pieds, mais, avant qu'il se relève, Céline lui enfila une épaisse culotte de caoutchouc qui lui serrait la couche, donc cela lui appuyait sur la peau des fesses encore plus que la couche seule. Enfin, elle lui rabattit la blouse, qui vint mettre en relief son gros derrière, le rendant ridicule.

    Avec une autre torchon, elle le moucha et essuya le plus gros de ses larmes, le laissant se frotter les fesses à volonté. Celine le laissait faire, elle savait bien que, au lieu que ça lui passe, cela faisait tout le contraire. Puis il dut enlever le tablier de fessée que portait sa punisseuse, ranger le vinaigre, laver la casserole, comme une bonniche punie, sous nos deux regards amusés.

    Durant toute la fin de la journée il se frottait ses fesses, quelquefois Céline lui demandait de venir près d'elle pour lui frictionner la couche et raviver davantage les effets urticants des orties. Ceci, bien sûr, sans parler des autres punitions que Cécile, avec mon aide, décida de lui infliger pour agrémenter notre week-end.


     

    Fin de ce récit avec Théo.

    Si vous voulez compléter l'histoire en racontant ce que Céline et Gisèle font à Théo ensuite, prenez la plume et envoyez-moi votre récit. Merci.

    « BouchavonnageCaca cuisine »

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  • Commentaires

    1
    lefevre jean
    Vendredi 26 Mai 2023 à 19:19

    super cette punition j aimerais avoir la meme



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