• La domination par le tablier, nourrir son puni pour sa honte et pour son déplaisir

    Nourrir son puni pour sa honte et pour son déplaisir

     

    Un récit de votre servante Marie-Souillon

     

     

    Avertissement

    Comme tous les jeux de domination, ces jeux ne doivent être pratiqués qu'entre adultes éclairés et librement consentants, dans le respect des règles fixées par avance et des consignes de sécurité. Et, puisqu'il est question de nourriture, il ne faudra jamais perdre de vue l'hygiène ni la diététique.

    Le texte est rédigé en partant du principe qu'il y a une ou des nourrisseuses(s) en tablier, et un ou plusieurs soumis habillé(s) en tenue de servante.

     

    Introduction

    Chez les animaux sociaux, l'animal qui commande est, notamment, celui qui contrôle la nourriture. Il en est de même dans la domination. Celle qui domine doit contrôler la nourriture de son soumis. Mais, vivant dans une société d'abondance, il ne s'agit pas de contrôler la quantité et d'affamer le soumis, bien au contraire. Il s'agit de faire de la nourriture qu'il mangera un moyen de le soumettre, de l'humilier, de le punir.

    Ce texte ne traite que de nourriture seule, il n'aborde pas les dégustations de pipi et de caca, qui ne sont bien évidemment pas exclues de la domination torchonnière, mais qui n'en constituent pas une particularité. Il en est de même pour la salive, les crachats, etc.

     

    Les ustensiles

    Pour humilier avec la nourriture, il faut prévoir quelques ustensiles de préparation et de service. Ne rien utiliser d’électrique, pour des raisons de sécurité et aussi pour la lenteur de la préparation à la punition

    Pour la préparation, de quoi faire bouillir et cuire à la vapeur, pour renforcer la fadeur de la nourriture. Il faut avoir, aussi, de quoi écraser et hacher. En premier lieu un hachoir à viande, le genre que l’on bourre avec un pilon de bois et dont on tourne la manivelle après l’avoir fixé, avec une ventouse, sur le plan de travail ; il peut être utile d’avoir plusieurs grilles de sortie. Puis un moulin à légumes, à main, avec la même remarque pour les grilles. Enfin, un mortier avec un pilon pour réduire en bouillie.

    Il faut prévoir de conserver, sous vide ou au réfrigérateur/congélateur, la nourriture préparée spécialement, ce qui permet d’en faire de plus grandes quantités et donc de s’épargner de la peine. Et des étiquettes pour marquer sur la boîte de quoi il s’agit, parce que l’aspect du hachis ou de la purée n’apprendra rien sur son contenu.

    Pour le service, éviter ce qui peut se casser et blesser. Donc, de la vaisselle en plastique solide, de préférence semi-souple, pour les assiettes, les bols et les verres. Pas de couteau, bien sûr, ni de fourchettes, mais des cuillères en plastique et en bois, de différentes tailles et formes. Des louches en plastique, aussi. Des entonnoirs, des poches à douille seront utiles. Et, pour la boisson, de grands biberons.

     

    La composition de la nourriture

    Il n’est pas question ici de donner des recettes de cuisine punitive, celles-ci sont laissées à l’imagination des nourrisseuses. On se contentera de quelques principes généraux. Ceux qui veulent des recettes peuvent aller les chercher dans un livre de cuisine anglaise...

    La nourriture de punition doit avoir des qualités particulières en termes de consistance, de goût et d’odeur.

    Pour la consistance, elle doit être molle, afin que le puni n’ait jamais besoin de mâcher bien longtemps. Il faut donc veiller à ce qu’elle soit toujours bien cuite, voire même trop cuite et, si nécessaire, hachée ou écrasée en bouillie. Pour que la nourriture soit encore plus humiliante, elle doit même, quand c’est possible, être collante et gluante, en jouant sur la préparation et la cuisson. Les légumes seront bouillis, les pâtes et le riz, comme le tapioca, seront cuits plusieurs minutes de plus que la normale, le pain ramolli en étant mouillé. Attention au gras, qui peut contribuer à la fadeur, mais qui doit être employé avec modération. Il faut aussi veiller à enlever tout ce qui peut être dur ou dangereux à avaler comme les os, les arrêtes, les coques, etc.

    Pour le goût, il n’y a que deux possibilités : fade ou très relevée.

    Pour la fadeur, on privilégiera des légumes comme les choux, les épinards, les blettes, les salsifis, les navets, de la viande blanche, du poisson blanc. On peut faire des purées, pomme de terre, pois cassés, etc. et des hachis de viande et légume. Les abats sont au choix de la nourrisseuse, qui décidera pour le puni, que ça lui plaise ou pas, beaucoup étant rebutés par les tripes, le tablier de sapeur, etc. La nourrisseuse privilégiera la nourriture contenant des fibres, et celle fermentant pendant la digestion, si elle a l’intention de punir aussi par le contrôle des fonctions excrétrices. Elle pourra donner aussi des fromages blancs, des petits-suisses, des crèmes nature. Les fromages bien puants, bien coulants, seront privilégiés et mélanges avec le reste. Pour les desserts, aussi, elle choisira des fruits bien mûrs, bananes, poires, pommes, qu'elle écrasera et qu'elle fera chauffer au micro-onde comme une compote.

    Le principe général, je le rappelle, et de manger une nourriture fade, qui rebute, est ce qu’il y a de plus humiliant, ce qui enlève tout plaisir à l’acte de manger.

    L’autre option, inverse, est de relever abondamment ce qu’on donne au puni. Pas avec du sel, qui serait dangereux sur le plan diététique, mais avec du poivre, du piment, des sauces très relevées. Chaque bouchée que mangera le puni lui emportera la bouche, lui donnera une soif intense, lui échauffera les narines, le fera pleurer. Point n’est besoin de faire autre chose que les préparations fades, il suffit d’assaisonner celles-ci. Mais on peut aussi utiliser de la saucisse très relevée, ou des fromages très, très forts, par exemple. Mais il ne faut pas aller jusqu’à la punition nommée en anglais « hotsaucing », qui est autre chose. Pour ceux qui ont une approche scientifique de la chose, on se réfèrera à l'indice de Scoville, en ne dépassant pas le piment de Cayenne. Ceci marche pour le "salé", pour le "sucré", on peut jouer sur le jus de citron, par exemple.

    Une troisième variante, que je cite pour mémoire, est de faire manger très sucré, jusqu’à l’écœurement, mais, pour des raisons diététiques aussi, il ne faut pas le faire fréquemment. Mais les desserts écœurants ne pourront pas se passer de sucre.

    L’odeur de la nourriture doit, aussi, participer à son caractère désagréable. Le chou bouilli, les fromages trop faits doivent enlever l’envie de manger au puni qui, pourtant, sera obligé de le faire. La seule contrainte est que la nourrisseuse puisse elle-même supporter ces odeurs.

    Je précise que, par sécurité, la nourrisseuse doit goûter, en toute petite quantité, ce qu'elle va donner au puni.

     

    Nourriture spéciale ou restes de la gouvernante?

    Selon le temps dont disposent la nourrisseuse, elle pourra soit concocter des plats spéciaux pour le puni, soit lui donner les restes des plats normaux qu’elle a mangés.

    Faire des plats spéciaux n’est pas très compliqué, vu la simplicité de la nourriture à faire. Ça prend un peu de temps, mais la nourrisseuse peut se faire aider du puni comme fille de cuisine pour éplucher, couper, hacher, etc. Et une fois la cuisson faite, ce n'est pas la présentation qui prendre beaucoup de temps.

    Faire manger les restes des repas de la gouvernante fait gagner du temps. On peut utiliser les restes qui sont dans les plats, ou bien ce que la gouvernante s’est servi dans son assiette et n’a pas mangé. Il faudra, bien sûr, trier ce qui est comestible de qui est véritablement du déchet. Le tri peut être fait par la nourrisseuse devant le puni, ou par le puni lui-même sous son contrôle. Tous les restes de la gouvernante, de l'entrée au dessert, seront passés dans le hachoir ou dans le moulin à légumes, après le tri, pour que le puni mange tout ensemble.

     

    Et la boisson ?

    Je ne conseille pas de donner au puni des boissons désagréables. Pas d’alcool, évidemment, pas de sodas sucrés ni de jus de fruits, pas de boissons « énergisantes ». Je préconise l’eau, plate ou gazeuse, la gazeuse ayant l’avantage de faciliter la digestion et de faire roter. On évitera l’eau trop froide, et on fera boire le puni à température de la pièce. Le bouillon de légume est une boisson appropriée, à condition de ne pas le saler, et de le faire boire chaud sans excès. On peut aussi, en boissons chaudes, faire du thé, ou des tisanes, qui pourront être digestive, dépurative, diurétique, calmante, au gré de la nourrisseuse. Inutile de sucrer le thé ou la tisane, qui doivent garder leur fadeur originelle. Éventuellement, du café très très léger, pour ses qualités diurétiques. On évitera le café au lait, mais on peut faire boire du chocolat ou de la chicorée.

    On fait boire le puni au verre en plastique qu’il tient lui-même (genre avec deux anses), ou en lui tenant le verre s’il n’a pas les mains libres, ou au biberon. Mais il ne faut pas faire laper le liquide au puni, ce genre d’animalisation est contraire aux principes de la domination torchonnière.

    Pour faire passer la nourriture punitive, durcir la punition en faisant gonfler le ventre du puni, mais aussi faciliter l’élimination par les selles et les urines, le puni doit boire abondamment, quatre litres dans la journée par exemple, en petites quantités à chaque fois.

     

    L'heure et le lieu

    Pour un puni, il n’y a pas d’heure des repas. Il mange donc quand la nourrisseuse l’a décidé. Le but n’est pas de l’affamer, mais que la nourriture soit une contrainte, donc qu’il mange même sans faim. Bien évidemment, il ne doit pas manger avant le repas de la nourrisseuse, mais il peut manger en même temps, nous y consacrerons une partie.

    Il faut éviter, bien sûr, de donner la nourriture avant une punition qui pourrait faire vomir le soumis, vomir n’est pas naturel et ne doit pas être encouragé. Si la nourrisseuse en a le courage, elle peut réveiller le puni pendant la nuit pour lui donner à manger, par exemple (et, pourquoi pas, puisqu'on y est, une petite fessée avant de le rendormir)…

    Il vaut mieux faire manger plusieurs fois en petites quantités, tout au long de la séquence punitive, qu’une seule fois par jour.

    Le repas du puni peut être précédé ou suivi d'une autre punition, il peut également être interrompu par une punition.

    Le lieu évident pour nourrir le puni est la cuisine, la pièce privilégiée de la domination torchonnière. Et, dans la cuisine, la grande table est l'endroit idéal, de préférence recouverte d'une toile cirée, pour faciliter le nettoyage.

    On peut faire deux exceptions à la règle de la cuisine. La première concerne le cas où le puni est nourri quand il est attaché dans le lit. Bien évidemment, si le lit est dans la chambre, ou ailleurs, il faudra aller le nourrir où il est. Si le puni est couché sur une alaise de caoutchouc, pas de problème, sinon il faudra prendre des précautions pour éviter de salir la literie. La seconde exception, c'est si la gouvernante veut remplir le puni en même temps qu'il se vide, c'est à dire quand il est sur la cuvette des toilettes.

     

    Ordre des plats et présentation

    Bien sûr, le puni ne va pas avoir un repas entrée-plat-dessert. L’idéal est le plat unique, éventuellement suivi d’un dessert unique.

    Mais plat unique ne veut pas dire recette unique. Si la nourrisseuse a préparé plusieurs choses, elle peut les mélanger, sans se préoccuper de savoir si les goûts s’harmonisent ou pas, pour les donner au puni. Au contraire, le mélange sera encore plus humiliant. Il suffit, pour cela, de cuisiner les recettes en grande quantité, puis de les mettre en congélateur en petites portions, et ensuite de décongeler et de tout mélanger. Il est important de tout mélanger, de tout bien hacher ensemble, écraser, pour que le puni, ne reconnaisse plus ce que sa nourrisseuse lui fait avaler. Il est tout à fait possible de préparer un plat, un dessert, puis de mélanger les deux pour que le puni mange tout en même temps.

    La nourriture, le plus souvent en purée ou en hachis, sera présentée dans une assiette de plastique, de préférence creuse. On peut aussi utiliser un bol de plastique ou directement un récipient de conservation sans le couvercle. En variante, la nourrisseuse peut étaler la nourriture sur une planche à découper en bois, en faisant un petit tas, si elle n'est pas trop liquide. On peut agrémenter la chose en présentant la nourriture sur un torchon, qu'on aura préalablement mouillé pour qu'il n'absorbe pas l'humidité du plat. Il est amusant de poser le torchon sur un coussin très mou, recouvert de plastique, bien sûr. L'important est que la présentation soit la plus sale possible.

    Si la nourriture est joliment présentée, comme un beau gâteau, par exemple, la nourrisseuse pourra se faire un plaisir de s'asseoir dessus, cul nu, avant de le faire manger au puni. Le fait de se voir présenter, pour une fois, quelque chose de joli et de bon, puis de le voir écraser par la maîtresse, est une humiliation supplémentaire. D'une manière plus générale, si la nourrisseuse veut faire manger quelque chose de "normal", elle devra en détruire la belle présentation et l'écrabouiller entre le moment où elle le montre au puni et le moment où il pourra le manger.

    On fera attention à la température de la nourriture, qui ne doit être ni trop chaude, ni froide. L'excès dans un sens ou dans l'autre ferait perdre au puni une partie du goût, ce qui serait dommage, puisque le goût ne doit pas être bon.

     

    Manger de façon humiliante: le soumis actif

    On peut, bien sûr, laisser le puni manger normalement, assis devant son assiette, mais ce n’est pas le plus amusant. Par contre, une fois son assiette sur la table, le faire mettre à genoux sur la chaise, ou debout, et l’obliger à manger comme ça à la cuillère de bois, avec le long parcours de la cuillère chargée de l’assiette à sa bouche, est bien humiliant.

    Mais le plus courant est de laisser le puni manger sans ses mains, celles-ci attachées dans le dos, par exemple. Afin d’éviter toute référence à la domination animale, on ne posera pas l’assiette par terre, mais sur une chaise, ou sur la table, et le puni devra fourrer son nez dedans pour tout manger. Dans ce cas, l'assiette peut être remplacer par le torchon posé sur un coussin bien mou, ce qui oblige le puni à mieux mettre le nez dedans. Bien sûr, la nourrisseuse est là pour faire pression s’il ne va pas assez profond. Personnellement, j’aime la position où la nourrisseuse, assise sur une chaise, étale son tablier et met l’assiette en plastique du puni dans le tablier, pour que le puni mange agenouillé devant elle. Elle peut, dans ce cas, se protéger par un grand tablier de caoutchouc, et poser la nourriture directement dans le tablier. Elle pourra mettre une main sous le tablier et une main sur la tête du puni, pour bien lui fourrer le nez dedans.

    Si l’on veut absolument que le puni mange à plat ventre sur le sol, il mangera sur les pieds nus de la nourrisseuse, ou celle-ci fera barboter ses pieds dans son assiette, en en posant un sur sa nuque quand elle le désire.

    Enfin, il est toujours possible à la nourrisseuse de faire manger le puni sur ses seins, sur son sexe, sur son cul, si elle le désire.

     

    Faire manger de façon humiliante: le soumis passif

    Faire manger le puni suppose de le faire agenouiller devant la gouvernante, mains dans le dos, ou de l’asseoir sur une chaise et de l’attacher jambes et bras dans le dos à celle-ci. La nourrisseuse le fera alors manger comme un bébé, à la cuillère de bois, avec toutes les agaceries, les moqueries, les barbouillages que l’on peut imaginer dans cette situation. Disons, pour résumer, que le puni mange comme un bébé adulte. On peut d'ailleurs utiliser une chaise haute à sa taille.

    Une variante de ce jeu est le pilori. Le soumis, la tête prise dans le pilori, les mains prises aussi, est obligé d'être nourri par sa gouvernante, à la main, à la cuillère, etc. L'avantage du pilori est qu'on peut fesser entre chaque bouchée. Une variante du pilori est la cangue, qui est, finalement, un pilori porté par le soumis.

    Il est possible, aussi, de jouer au gavage en mettant au puni un bâillon anneau ou un écarteur de bouche, pour mettre la nourriture directement dans sa bouche ouverte ou avec un entonnoir…

    Dans tous les cas où la nourrisseuse fait manger le puni, elle portera une attention toute particulière aux « fausses routes » et veillera à sa sécurité. On peut, à la place de l'entonnoir, utiliser une poche à douille. Dans tous les cas, ce jeu de gavage nécessite une nourriture plus fluide que pour les autres jeux. Doit-elle pour autant être meilleure pour le goût, ou au contraire plus insipide ou épicée? La nourrisseuse en décidera.

     

    Manger en même temps que la gouvernante

    Rien n’interdit à la gouvernante, pendant qu’elle prend son propre repas, de nourrir son puni.

    Si le puni fait le service pendant que la gouvernante mange, elle peut le faire venir à genoux à côté d’elle et lui donner, à la main, des petits morceaux de bonne nourriture. Elle peut aussi mettre un morceau en bouche, le mâcher longtemps, et le recracher dans un torchon, ou dans son tablier, pour le faire manger à son puni. Mais il ne faut pas jeter de la nourriture par terre au puni, ce genre d’animalisation est contraire aux principes de la domination torchonnière.

    Une autre solution est de mettre la nourriture du puni sur la table, à côté ou en face d’elle, et d’ordonner au puni de manger son plat à lui, fade ou épicé, pendant que la maîtresse se régale de bonnes choses. L'humiliation du puni sera encore plus grande de voir sa gouvernante manger normalement alors que lui doit subir la punition de manger autre chose.

     

    Questions et réponses

    - Question. Peut-on faire une nourriture végétarienne?

    Réponse. Oui, sans problème, ce sera même encore plus fade et cela favorisera mieux le transit intestinal.

    - Question. Comment faire si le puni avale de travers?

    Réponse. Les "fausses routes" peuvent être très dangereuses, mais on peut secourir la victime en faisant que qui s'appelle "la manœuvre de Heimlich". Il faut donc la connaître et la répéter avant le jeu, puis la mettre en œuvre si la situation ne s'est pas arrangée après avoir un peu toussé, et reçu quatre ou cinq claques dans le dos.

    - Question. Si la gouvernante ne veut pas faire de "plats spéciaux"?

    Réponse. On peut donner au puni de la nourriture normale, mais il faut alors bien l'écraser, la hacher, la mixer, bref, la présenter de la manière la plus écœurante possible. Elle peut, aussi, mettre en bouche, mâcher longuement, et recracher à l'intention du soumis. C'est sans doute la manière la plus simple.

    - Question. Peut-on mélanger à la nourriture des choses qui ne se mangent pas?

    Réponse. Non, tout ce que le puni met dans la bouche doit être comestible et sans danger. Donc pas de cheveux, rognures d'ongle, poussière du sol, rien de tout ça, seulement ce de la nourriture saine.

    - Question. Et ce qui sort du corps de la gouvernante?

    Réponse. Pipi, caca, bave, morve, crachat de la gouvernante, tout cela est comestible et pas malsain si la maîtresse est en bonne santé.

    - Question. La nourriture peut-elle avoir fait un passage dans le cul?

    Réponse. Oui, si la personne est en bonne santé.

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  • Commentaires

    1
    blous62
    Lundi 15 Avril 2019 à 15:09

    J'apprécie particulièrement ce reportage et trouve que cela accompagne évidement ma condition inferieure de bonniche . Le gout "fadasse" rime avec "gourdasse " plus le gout et l'aspect ne ressemblera a rien plus grande sera l'humiliation que d'essayer de l'ingurgiter. Les horaires et la faible quantité ont également une grande importance. plusieurs fois de nuit comme de jour, réveillé  pour une cuillère de bouillie infame  me parait intéressant. Le bol et la cuillère donnée membres sérieusement entravés est pour moi la meilleur des solutions. En revanche humer et sentir le repas traditionnel normal  des maitres sans y avoir droit me parait indispensable dans l'accomplissement de ma condition et mon l'humiliation ; nécessaire a l'épanouissement de mes bienfaiteurs. Dans le cadre de punitions et séquestrations prolongées , la gamelle au sol me parait juste . Une chaine trop courte pour l'atteindre dans le cas de privations .    



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