• Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 13

    Une histoire originale de Ramina, sur une idée de Clodinet(te)


    Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 13: Fessées en double

     

    Pendant que Clodinet, sous le regard curieux et amusé de Mad, se prend une de ces cuisantes fessées déculottées qui font la redoutable réputation de Tante Gladys, Julia, à son tour, a pris les choses en mains. Elle s'est installée sur l'autre chaise à fessées que sa belle mère a pris soin d'apporter dans le salon pour la séance de l'après midi.
    – «Allez Sacha, viens ici toi! A plat ventre sur mes genoux pour ta fessée suivante!»

    Il s’approche en passant les mains sur ses fesses qui débordent des élastiques de son slip enfoncées dans la raie. Gladys a pris soin de le lui ajuster bien serré sur le derrière en le reculottant, il y a de cela à peine dix minutes. C'est le plus long temps de pause qu'elle a fixé  entre chaque séance pour que les derrières conservent un maximum de sensibilité aux fessées successives. Il se couche docilement sur les genoux de son épouse, jambes repliées, reins creusés, son imposante paire de fesses, encore rouges, bien ressorties. Il émet un petit gémissement plaintif.
    – «Julia, s'il te plaît… pas trop fort la fessée... j'ai les fesses encore cuisantes de celle que maman vient de me flanquer. Et tu sais comme elle fesse dur.» 
    – «Elle fesse dur... oui, et alors? Elle fesse comme on doit fesser! Et quand on en a une paire de fesses, aussi bien développées que les tiennes, il est tout à fait normal de se prendre de grosses fessées et le plus souvent possible.»

    Le regard brillant de plaisir la sévère épouse prend le temps de savourer ce merveilleux sentiment de puissance devant la docilité de son soumis à lui présenter ses fesses à corriger dans la meilleure position possible. D'un geste possessif, elle caresse d'abord la vaste surface du volumineux fessier, puis d'une main bien enveloppante soupèse chaque fesse l'une après l'autre comme pour en tester la souplesse et la fermeté. 

    Soudaine, vigoureuse, la nouvelle fessée démarre à grands claques cuisantes sur un derrière encore en pleine cuisson de la précédente déculottée administrée par tantine. Sous la sévérité des claquées, Sacha le derrière rebondissant en cadence sur les cuisses de son épouse, ne résiste pas longtemps. Il se met d'abord  à pleurnicher, puis gémir pour finalement éclater en sanglots  pour la plus grande satisfaction de Julia qui peut ainsi mesurer l'efficacité de la fessée qu'elle lui inflige.
    – «C'est bien mon ami, tu peux sangloter, pleurer, trépigner, autant que tu veux, j'adore voir ton gros derrière rougissant se tortiller sous les claques! Au moins je n'ai pas besoin de te demander si tu la sens bien ta fessée.» 

    Sacha en larmes, arc-bouté sur les bras, essayait vainement de lutter  pour dégager son derrière en feu de la cuisante trajectoire des allers et retours que Julia lui faisait crépiter d'une fesse à l'autre, avec un enthousiasme qui faisait plaisir à voir. Le malheureux commença assez vite à craquer en hurlant sa douleur.
    – «Oooh la la, ouiiii!!! La fessée!! La fessée… Je la sens bien... Ouiii je la sens comme elle claque fort sur mes fesses!!! roaaaaah la fessééééée! Ça cuit, ouille ouille ouille!!! ... ça cuit!! Pitié maîtresse!! Pitié... pas si fort!!» 

    Loin d'attendrir l'implacable fesseuse, les pitoyables supplications ne font que l'inciter à faire preuve de davantage de sévérité. Pendant de longues cuisantes minutes sa main lui inflige, pleines fesses, une nouvelle série encore plus intense pour sanctionner ce qu'elle estime maintenant  des pleurnicheries de petit garçon.

    A ce moment de l'après midi, la séance de fessées organisées sous l'autorité de l'impétueuse tante Gladys tient toutes ses promesses. Deux magistrales fessées retentissent simultanément dans le salon qui s'emplit progressivement d'une excitante odeur de fesses chaudes, mêlée au lourd parfum de ces dames. Au claquement des fesses déculottées de Clodinet en plein rebondissement sur les fortes cuisses de tantine, répond celui du derrière tout aussi déculotté de Sacha soumis au même traitement courbé en deux sur les genoux de son épouse.

    La séance de fessées bat son plein sous l'impulsion des deux maîtresse femmes qui corrigent leur puni conformément aux procédures disciplinaire clairement établies au préalable. Fesser sévèrement, sans état d'âme, sans pitié ni faiblesse, quelque soit le nombre de fessées administrées. A ce régime, les deux paires de fesses semblent rivaliser d'endurance et de rendement sonore sous les claquées.

    Mad, détendue et attentive, observe du fond du canapé, la montée en couleur et en cuisson des deux derrières tressautant, avec cependant une attention particulière pour les fesses de son Clodinet dont elle connaît si bien les réactions pour les pratiquer régulièrement à la maison. Son ton est un peu ironique.
    – «Alors mon ami... heureux? Depuis le temps que tu rêvais te reprendre une bonne tournée de fessées de la main de ta tante… tu es gâté là! Elle fesse toujours aussi bien semble t-il, c'est la fête à tes fesses on dirait!»

    Elle rit en croisant haut les jambes. Ses bas nylon crissent sur ses cuisses.

    Clodinet gémissant, larmoyant, la tête au ras du sol ballotant au rythme des claques qui lui tombent sans discontinuer sur les fesses, peine à articuler une simple phrase. Gladys toujours intrusive intervient aussitôt d'une voix autoritaire, sans pour autant ralentir le rythme de la fessée.
    – «Et bien Clodinet, si c'est une nouvelle fessée au martinet qu'il te faut pour répondre à ta maîtresse, ça ne va pas traîner!»
    – «Non, non tantine, pitié, pas la fessée au martinet», hoquette-t-il, la voix entrecoupée de sanglots. «… Je... je …  vais répondre … raaah … non! Maîtresse... maîtresse... je vais... je réponds,  je... je réponds!»

    Mad jubile intérieurement. Peut être son Clodinet est il enfin en train de réaliser que les grosses fessées de tante Gladys infligées sous la contrainte, n'ont rien à voir avec celles administrées dans l'intimité complice d'une discipline conjugale librement consentie à la maison.

    L'atmosphère dans le salon était de plus en plus tendue, les fesses des deux hommes aussi qui claquaient toujours sans interruption. Clodinet maintenant, n'en menait pas large, quand tantine mit fin brusquement à sa fessée d'une puissante dernière claquée allongée rageusement pleine fesses. Le visage rayonnant d'un sourire triomphant, elle attendit que le rebondissant fessier écarlate stabilise ses volumineuses rondeurs qu'elle venait de faire sauter sur ses cuisses, pour lui ordonner de se relever. Courbé en deux, jambes fléchies pour mieux se tenir les fesses à pleines mains, la bouche emplie de larmes et de bave mêlée, grande ouverte sur une douleur muette, il s'entendit sermonner sèchement une voix autoritaire.
    – «Tu cesses immédiatement de te caresser le derrière pour essayer d'atténuer la cuisson de ta fessée! C'est d'autant plus inutile qu'elle est loin d'être terminée.»
    – «Oooh tantine, s'il vous plaît … Vous m'avez bien puni, bien corrigé, bien fessé... ça suffit!»
    – «Pas assez mon ami, pas encore assez! Maintenant, tu vas aller te mettre à genoux sur le canapé à côté de ta maîtresse et bien tendre tes grosses fesses! Tu vas voir la fessée au martinet comment tu vas la recevoir!!» 

    Exagérant sa crainte, dans une ultime fanfaronnade, Clodinet supplia, dansant d'un pied sur l'autre en tenant ses mains à quelques centimètres de ses fesses en feu sans oser les toucher. 
    – «Oh non tantine, pas le martinet, je vous en prie, pas la fessée au martinet! je demande pardon, je dirai ce que vous voulez... mais  pas le martineeeet, plus la fessséééee! Noooon, plus de fessééééée!!»

    Mad buvait du petit lait, son soumis était sur la voix de la conscience. Sans fléchir, Gladys lui attrapa une oreille et la tordant sans ménagement, entraîna son neveu couinant de douleur vers le canapé où il s’agenouilla en pleurnichant. Il offrit aussitôt à l'assistance, la vue, sous un nouvel angle et en gros plan, de son volumineux postérieur épanoui, que la fessée, c’était évident, chauffait désormais terriblement au vu de sa couleur écarlate. Il ne jouait plus du tout la comédie quand tante Gladys commença aussitôt sans transition, à faire siffler le martinet sur ses fesses rebondies encore entièrement rouges de sa récente fessée à la main. Et quelle main! Il se mit à  pleurer  pour de bon!

    Mad n'en perdait pas une miette et, pour aller au bout de l'expérience de décrédibilisation de l'influence de tantine, visiblement contente, se mit à se moquer de son soumis, sans retenue.
    – «Alors mon Clodinet, on fait moins le malin maintenant, tu la prends bien ta fessée hein! Tu en voulais de la fessée de tante Gladys, n'est-ce pas, et bien elle t'en met la chère tantine... et, en double même! Allez-y Gladys, corrigez bien ses grosses fesses  que cela lui fasse une bonne leçon, faut pas arrêter, plus fort! plus fort! Il en a rêvé de vos fessées alors mettez en lui, et des bien sévères!»

    Ces exhortations à la sévérité s'adressaient tout autant à Clodinet pour l'impressionner, qu'à Gladys qui n'avait pas vraiment besoin d'être stimulée pour fesser fort. Les lanières du martinet solidement manié, cinglaient durement et méthodiquement chaque fesse l'une après l'autre, claquaient dans la raie, descendaient sur les cuisses et remontaient insistant avec gourmandise sur le plein milieu des fesses.

    Soudain, préférant sans doute le contact direct avec la main, pour mieux savourer la chaleur des fesses en montée de cuisson, Gladys  jeta le martinet par terre et réinstalla Clodinet sur ses genoux. Elle sentit aussitôt son sexe durci glisser sur ses bas nylon.
    – «Mais dit moi mon cher neveu, qu'est-ce que je sens là entre mes cuisses... hein? On dirait que les fessées au martinet te font autant d'effet que les fessée à la main! Belle érection ma foi!»

    Elle rit en l'enserrant entre ses fortes cuisses gainées de nylon et cette fois s'adresse à Mad que la situation amuse beaucoup.
    – «J'ai l'impression que votre grand vicieux ne va pas mettre longtemps à jouir dès que je vais recommencer à lui chauffer les fesses!»
    – «Mais c'est bien naturel», répond Mad avec un grand sourire. «Qu'est ce qui peut lui arriver de meilleur que de jouir sous la cuisson d'une fessée. C'est  toujours mieux que de se tripoter devant des récits sur l'écran de son ordinateur. Au moins on n'est pas dans le virtuel ... C'est plus sain!»
    – «Vous avez raison», dit Gladys en lui rendant son sourire.« Mais s'il se lâche sur mes jarretelles, je les lui fait nettoyer avec la langue avec une autre fessée à la clé… Le petit cochon!»
    – «Vous avez raison», reprend Mad  avec malice. «C'est une idée amusante, je la garde en réserve!»
    – «Moi aussi je prends!» s'exclame Julia toujours en train de fesser un Sacha pas loin du même état d'excitation que Clodinet. «J'ai l'impression que mon chéri ne va pas tarder à exploser… il a une de ces triques! Plus je fesse fort plus il bande... Bonjour l'état des bas nylon!»

     Pour une fois complices,  les trois femmes éclatent de rire en même temps.

    Pendant ce temps, Clodinet, de retour sur les cuisses de sa tante, et malgré ses sanglots ininterrompus, s'est remis docilement en  position pour bien présenter ses belles fesses rouges à sa nouvelle fessée: reins cambrés au maximum, fessier proéminent... parfaitement développé. Du prêt à claquer à disposition de l'infatigable tantine.

    Le temps pour elle d'ajuster son slip un peu plus bas sur les cuisses pour bien dégager toute la surface qu'elle veut corriger et, de nouveau, la distribution de claques repart au rythme d’un métronome sur le derrière bondissant couvert de marques de lanières. Clodinet retombe aussitôt en larmes qui forment rapidement une petite flaque sur le sol au niveau de sa tête.
    – «Oh tantine… la fessée… ça cuit tantine! ça cuit… pourquoi la fessééééée... encooore!! Vous m'avez déjà bien puni!!»
    – «C'est très simple mon cher neveu. Je ne supporte pas laisser des traces disgracieuses sur les fesses de mes punis après une déculottée au martinet. J'estime donc  nécessaire d'administrer une fessée supplémentaire à la main. C'est la meilleure méthode pour faire disparaître les marques de lanières sous un beau rouge écarlate uniformément réparti sur toute la surface. Évidemment  cette nouvelle fessée est particulièrement cuisante  mais très efficace pour obtenir le résultat souhaité. Et c'est ma façon d'honorer une belle paire de fesses.»

    Cette fois ni les pleurs désespérés  ni la danse frénétique des grosses fesses toutes rouges n’étaient feints. Loin d'émouvoir l'inflexible tantine, non seulement ça ne risquait pas de l'inciter à abréger la fessée, mais cela l'encourageait plutôt à la faire durer aussi longtemps qu'elle en aurait envie. 

    Ce n'est qu'au bout d'une trépidante série, fesse droite, fesse gauche qu'elle s'arrêta et laissant sa main cuisante posée sur le fessier bouillant, demanda à Mad:
    – «Voulez vous prendre le relais chère amie et continuer à le fesser, le temps que je me détende le bras et la main. C'est que monsieur en a une paire sacrément ferme! C'est agréable à claquer mais ça demande une bonne dépense d'énergie.»

    Mad esquisse un sourire malicieux et répond avec détachement:
    – «Vous savez Gladys, je l'ai sous la main en permanence à la maison, je vous le laisse donc volontiers en charge pour la journée. Après tout il est bon, de temps en temps, de changer de contexte et de mettre ses fesses à l'épreuve d'autres manière de fesser que celle de sa maîtresse habituelle. Ne serait ce que pour éviter l'accoutumance. Et puis, qu'il aille au bout de son expérience, cela fait trop longtemps qu'il fantasme sur vos fessées.»
    – «Ma foi ce n'est pas pour me déplaire», se rengorge Gladys dans un impressionnant mouvement de poitrine, «j'aime savoir qu'on craint mes fessées, ce qui confirme ma réputation de sévérité!» 

    Mad entendait dissiper le malaise ou le malentendu, une bonne fois pour toutes. Elle répondit par allusion, avec fermeté mais sans agressivité.
    – «En attendant chère Tantine, je vous laisse profiter de ses fesses. Il est bien assez grand maintenant pour faire la différence tout seul avec ce que nous vivons à la maison. Ce qui ne vous empêchera pas, à l'occasion, de continuer à lui flanquer de ces magistrales fessées que vous seule savez si bien administrer. Si ça peut lui faire du bien.»
    – «Et bien ça me semble tout à fait raisonnable comme point de vue», répond avec à propos Gladys, qui révélait d'autres qualités que celle de savoir bien claquer des fessées. «Vous avez eu raison d'en parler... Maintenant  je propose une suspension de séance, le temps d'une pose thé ou café pour reprendre des forces, cette journée fessées est loin d'être terminée!»

    Elle fait se relever Clodinet, en larmes, le visage défait, et l'envoie directement en pénitence, le nez au mur, où il se colle, slip aux cuisses, pantalon sur les chevilles. Elle interpelle ensuite Julia qui joue les prolongations sur les fesses en feu de son mari.
    – «Julia ma chérie, vous pouvez lâcher le derrière de Sacha cinq minutes, le temps de vous reposer un peu la main. Vous allez en avoir besoin pour la suite de la journée.»
    – «Attendez belle maman, on est sur une bonne cadence de fessée... je les sens bien ses fesses, je les ai bien en main, ça claque fort, ça serait dommage de les lâcher maintenant! Encore une bonne dizaine de claquées, et je l'envoie au coin à côté de son cousin!»

    (A suivre)

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  • Commentaires

    1
    PeterPan
    Samedi 21 Janvier 2023 à 18:11

    Bonsoir Ramina,

    Wahou ! On assiste aux "Interville de la fessée". C'est à qui décrochera la timbale... Tante Gladys, en véritable colonel domestique en jupons, dirige les opérations, toujours égale à elle-même. Trio de dames sur canapé. Les cousins vont dormir sur le ventre ce soir. Courage les champions ! Encore une fois, heureusement que le jeune Peter n'assiste pas par hasard à cette joute fessatoire !!! La petite fessée de Gladys Tapefort pendant l'apéro-dinatoire passerait pour un petit hors-d'oeuvre, en comparaison.  "Eh, les gars, si on lui faisait une bonne farce à la grooosse tata ? - Ouais... quest-ce' tu proposes ? - Ch'ais pas.. euh... planquer un grenouille dans ses jarretelles ? - Jouer à la balançoire avec ses gros soutifs ? - Faire ses lance-pierres avec les élastiques de ses gaines ? - Ou b...  - Peter ?  Rami' ? Gérome ? Où êtes vous ? Y'a du linge à étendre ! Venez m'aider ! Vous serez des amours ! - Mince, ma mère ! Allez, à plus ! On  fait ce qu'on a dit ! - Ok, Cap'  ! - Ciao, les potos ! " Coupez. Peter. 

    2
    clodinet
    Dimanche 22 Janvier 2023 à 15:59

    vous ne me croirez peut ètre pas mais en lisant ce dernier opus et surtout le très long passge où j'ai reçu ( car cest bien de moi qu'il s'agit et je le resens comme tel !!!) successivement fessées à la main puis au martinet et encore à la main... j'ai été très fortement ému , excité aussi mais surtout des vrais larmes me sont venus aux yeux !!! 

    clodinet 

      • PeterPan
        Dimanche 22 Janvier 2023 à 17:00

        Bonjour Clodinet, 

        Oui, je te crois. Revivre par l'évocation verbale la description de moments forts dans notre vécu, plus ou moins lointain, peut procurer une immense émotion qui peut confiner aux larmes. 

        Peter.

         

      • PeterPan
        Lundi 23 Janvier 2023 à 14:32

        Bonjour clodinet, 

        En lisant ton message, ci dessus, qui décrit le cérémonial du récit, ça m'a fait penser au roman du célèbre philosophe J-J Rousseau, intitulé " Les confessions" dans lequel il décrit la fessée qu'il reçut de la main de sa gouvernante, la fameuse  Mlle Lambercier, fille de pasteur. Que ta divine maitresse n'en prenne pas ombrage. Seulement une petite réminiscence de lecture (bac de Français). 

        Peter.

    3
    ramina
    Dimanche 22 Janvier 2023 à 23:43

    Bonsoir Clodinet,

    je ne vais pas me réjouir de te savoir les larmes aux yeux à la lecture de ce récit qui fait remonter des cuisants souvenirs . Mais je sais au moins que l'interprétation que j'en fais, à partir de tes indications, est finalement assez proche de la réalité et suscite des émotions qui te sont peut être bénéfiques aujourd'hui. Dans ce cas je trouve gratifiant la proposition que tu m'as faites de cette curieuse et passionnante expérience d'écriture . Ramina

      • clodinet
        Lundi 23 Janvier 2023 à 14:11

        et en plus je sais que après coup ( sans jeu de mots !) je devrais relire ce texte devant Maitresse qui surveillera attentivement les effets que cela produit sur moi, ce qui ne sera pas difficile car je serais cul nu ! et tout à l'air ! et que, Elle aura à coeur de faire aussi bien en eel que tantine Gladys virtuellment ! 

        clodinet 



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