• Le tablier de fessée

    Un petit récit ou un homme doit mettre un tablier pour recevoir la fessée de Tante Angélique. Ce récit est sur le site fesrouge.free.fr, qui est actuellement en reconstruction.
    Cependant, voila le lien direct pour y aller : fesrouge.free.fr/h/la_boutique.htm

    Mais, au cas où le lien serait coupé, je me permet de recopier le texte en entier, en remerciant son auteur, et en lui demandant de bien vouloir me signaler s'il veut que je l'enlève, je le ferai aussitôt.



    La boutique « Fessées service ».


    Montpellier 1962
     

    La cloche tinta au-dessus de la porte de la réception de la boutique « Fessées service »…
    Isabelle la réceptionniste de la boutique ouvrit, elle accueillit Daniel Leclerc, un jeune homme de dix-sept ans. Il était habillé d’un costume élégant et portait une serviette.

    -  Bonjour, Monsieur, elle lui sourit et consulta sa montre. Vous êtes à l'heure, Tante Angélique sera contente.
    -  Hum, oui… marmonna Daniel en rougissant, je… .uhhhh….

    Daniel s’assit, les mains entre ses genoux. Isabelle dissimula un sourire. Celui-ci allait être amusant à fesser, pensa-t-elle, espérant que Tante Angélique l'autoriserait à l’aider. Isabelle ouvrit la porte au bureau où se trouvaient Mlle Angélique et Madame Bénédicte Leclerc, la belle-mère de Daniel, qui prenaient le thé.

    -  Comment  est-il ? demanda Bénédicte, en passant une langue rose sur ses lèvres.
    Isabelle dit en riant,
    -  Nerveux.
    Elle ajouta en regardant Daniel.
    -  Nous allons avoir besoin de vous préparer, jeune homme.

    -  Merci Isabelle, emmène-le au vestiaire et mets-lui un tablier. Madame Leclerc, vous pouvez l’appeler par son prénom devant votre beau-fils, elle pourra vous aider.

    -  Oui, Madame.

    Le visage de Daniel rougit quand la jolie blonde réceptionniste le mena par la main au salon d'essayage. Il secoua la tête maudissant la soumission naturelle des hommes. Daniel était debout dans le salon d'essayage. Il y eut un déclic quand Bénédicte entra dans de la pièce.
    -  Daniel, roucoula-t’elle, séduisante en souriant comme il frissonnait, passant un doigt sous le menton de son beau-fils: Sommes-nous prêts pour avoir notre derrière bien fessé ?
    Daniel murmura:
    - Non.
    - Oh ! Bénédicte fit la moue, Isabelle et moi devons te préparer, n’est-ce pas Isa? Tante Angélique m’a parlé de tablier à fessée. C’est amusant, n’est-ce pas ?

    Isabelle fit un signe de la tête avec un grand sourire et ouvrit l'armoire pour montrer les tabliers. Bénédicte applaudit des deux mains en s'exclamant:
    - Oh! Comme c’est mignon !
    Daniel regarda les vêtements, avec une plainte d'embarras.
    Bénédicte fouilla dans les tabliers.
    - Pouvons-nous choisir celui qui nous plait ?
    - Bien sûr ! Celui que vous voudrez, répondit Isabelle. A l'exception de celui-ci.
    Elle montra à Bénédicte un tablier blanc avec une croix rouge.
    -  C'est pour un client spécial, et celui-ci.
    Elle le mit devant sa poitrine.
    - Pour qui est-ce ? questionna Bénédicte.
    - Pour moi, confessa Isabelle en rougissant.
    - Que pensez-vous de celui-ci? demanda Bénédicte, en sortant un tablier bleu avec des petits gâteaux dessinés dessus.
    - Oh oui! dit Isabelle enthousiasmée. Parfait pour un méchant garçon. Regarde, Daniel, le joli tablier de fessée que ta belle-mère a choisi pour toi.
    Daniel regarda l’hideux vêtement et fit un bruit de dégoût. Isabelle le réprimanda.
    -  Ne fais pas ta chochotte.
    Bénédicte approuva, disant,
    -  Si Mademoiselle Isabelle doit te donner une fessée pour t’apprendre à être poli, qu’elle ne se gêne pas!  Maintenant enfile ce tablier que nous allions voir Tante Angélique.
    Daniel fit un signe de la tête et dit:
    -  Oui, Mère. Je me changerai dès que vous serez parties.
     

    Les deux femmes échangèrent un regard et Bénédicte demanda,
    -  Pardon? Isabelle et moi n'allons nulle part.
    -  Mais…mais… marmonna Daniel, impuissant.
    -  Oh par pitié! gronda Bénédicte en lui faisant les gros yeux. Tu es mon beau-fils, tu n’as plus rien à me cacher et je doute que tu sois le seul jeune homme qu’Isabelle ait vu tout nu.
    -  Bien sûr, Bénédicte, confirma Isabelle. C’est pourtant un des plus méchants que j’ai vu cependant. Si tu n'es pas rapidement tout nu et dans ce tablier, je te mets sur mes genoux et je te fesse mon petit bonhomme.
    Daniel se déshabilla sur le champ. Bénédicte tenait le tablier d’une main pour le taquiner
    -  Viens et mets moi ça, mon chéri.
    -  S'il te plaît, Bénédicte, gémit Daniel.
    Isabelle proposa, appréciant la sensation de pouvoir de cette humiliation.
    -  Si vous voulez, Bénédicte je vais le lui enfiler.
    Bénédicte secoua la tête en disant,
    -  Non, merci Isabelle. Ici, Daniel !

    Bénédicte lança le tablier à son beau-fils qui le mit mais fut incapable de l'attacher dans le dos.
    -  Viens ici, Daniel ! Dit gentiment Isabelle.
    Elle le retourna et commença à attacher le tablier.
    - Laisse Mademoiselle Isabelle t’aider.
    Elle caressa facétieusement son derrière nu, blanc.
    -  Daniel, dit Bénédicte,  remercie Mademoiselle Isabelle !
    -  Oh, oui, bien sûr, grogna Daniel trop honteux pour regarder ses yeux bleus étincelants, merci Mademoiselle Isabelle.
    -  C’était un plaisir, mon chéri, répondit Isabelle.

    Bénédicte prit la main de son beau-fils et l'entraîna par saccades vers la porte.
    -  Viens, ne faisons pas attendre Tante Angélique et allons réchauffer ce gentil derrière.

    Angélique posa sa tasse et leva les yeux sur Daniel.
    -  Oh ! tu es adorable comme ça !
    -  Hum… je ne crois pas…. murmura Daniel.
    Angélique fronça les sourcils. Elle prit le poignet de Daniel et le réprimanda.
    -  Pourquoi ne dis-tu pas : Merci, Tante Angélique, comment veux-tu que je le devine ?
    Elle ponctua chaque mot d’une forte claque sur les fesses exposé de Daniel.
    -  Oui, Tante Angélique! gémit-il, en mettant sa main libre derrière lui pour protéger son séant.
    -  Daniel, dit Angélique d’un ton menaçant, si tu ne veux pas sentir les verges sur ton derrière, déplace ta main immédiatement.
    Daniel enleva sa main et renifla, en faisant face à Angélique.
    -  Mon Dieu ! s'exclama la professionnelle de la fessée. Regardez moi ça : Un tel garçon maussade et désobéissant! Tu peux croire que je vais te donner une bonne fessée en effet.

    Comme Daniel était debout devant Angélique, sa belle-mère le regarda, en se demandant ce qui allait se passer. Angélique continua.
    -  S'il vous plaît Bénédicte  pourriez-vous l’emmener dans la salle de bains, qu’il fasse pipi ? Vous pourrez le réprimander pendant que je prépare sa fessée.
    -  Volontiers, j’en serais enchantée, roucoula Bénédicte.
    Elle prit Daniel par la main, en chuchotant à son oreille de façon séduisante,
    -  Viens mon bébé, laisse Maman Bénédicte te faire faire pipi.

    Angélique débarrassa la table en fredonnant puis elle prit une brosse à cheveux et un martinet qu’elle posa sur la table, elle prit aussi une bouteille de lotion pour bébé qu’elle rangea sur la table à côté du martinet et de la brosse. Elle écouta à la porte de la salle de bains et sourit en entendant Daniel grogner en se faisant gronder et le bruit d’une tape sur une cuisse ou une fesse. Angélique s’assit sur le divan. Bénédicte sortit de la salle de bains une minute plus tard, satisfaite, le sourire aux lèvres, elle essuya sa main avec une serviette, puis entraîna son beau-fils vers Angélique sur le divan.

    -  Jetons un coup d'œil, dit Angélique en examinant Daniel devant et derrière.
    Elle tripota le dos de ses cuisses les fesses, et toutes ses petites affaires que Bénédicte avait soigneusement lavées.
    -  Bien mieux ! déclara Angélique. Tu es fin prêt pour ta fessée, maintenant sur les genoux de Tante Angélique.
    Elle plaça une main sur les reins du bonhomme et poussa doucement, Daniel s’allongea docilement.
    -  Parfait ! constata Angélique. J'adore quand un garçon sait comment s'allonger sur les genoux d'une femme.

    Daniel sursauta en sentant les mains d’Angélique caresser, frotter et doucement pincer son derrière. Il savait qu'elle faisait ça pour sensibiliser ses fesses. Il sentit son anus se faire titiller par un doigt indiscret. Puis Angélique souleva les hanches de Daniel et avec une de ses jambes coinça celles du puni pour qu’il ne bouge plus quand elle commencerait la fessée. Pan ! La première claque résonna dans la pièce, Daniel poussa un cri perçant et avant que le bruit s’étouffe, une autre claque résonna aussi forte que la première puis une autre et une autre. Des marques rouges enluminaient ses fesses. Assise de l'autre côté, Bénédicte retenait son souffle et se léchait les babines. Comme la cadence de la main d'Angélique sur les fesses de Daniel continuait à faire rougir  le derrière avec un bruit délicieux mêlé des cris perçants affligés du jeune homme, Bénédicte sentit une chaleur agréable envahir son ventre. Elle s'enfonça dans le divan, sa main glissa sous la ceinture de sa jupe et continua dans sa culotte. Bénédicte ferma les yeux et laissa sortir un petit bruit de plaisir.

    -  Bénédicte! dit Angélique, sans interrompre son ouvrage sur Daniel. Il y a un temps pour tout, madame. Ce n'est ni le lieu ni l’heure pour vous gâter ainsi. Je suis sûr que si vous le demandez gentiment à Daniel après que son derrière ait été récompensé à ma façon, il sera trop heureux de vous satisfaire.
    Bénédicte enleva sa main et envoya un sourire coupable à Angélique. La fesseuse ne put s’empêcher de lui répondre d’un clin d’œil. Angélique tenait Daniel fermement et conclut la fessée avec le dos de sa main sur son derrière, les fesses fumantes.

    -  Ooohhh que c’est beau! s'exclama t’elle. Bénédicte, venez voir et constater combien ce petit popotin est chaud. Vous devrez viser cette couleur et cette température quand vous le fesserez chez vous.
    Bénédicte gourmande mit sa main sur la croupe rouge de son beau-fils et l’enleva rapidement en disant:
    -  Mon Dieu! Ça brûle !
    - Oh, mais ça peut devenir beaucoup plus chaud, assura Angélique à la jeune Madame Leclerc, beaucoup plus chaud, répéta-t’elle sadiquement. Qu’en penses-tu mon chéri?
    -  Oui, Madame, répondit Daniel, en retenant ses larmes.

    Sa belle-mère était une fesseuse talentueuse, elle savait comment allumer le feu sur ses fesses, mais Angélique était une véritable artiste et Daniel n'avait aucun doute que son derrière se retrouve en flamme avant qu'elle en ait finie avec lui.
    -  Oh, oui! dit Angélique, en ramassant sa brosse à cheveux. Nous allons vraiment rôtir ce charmant tambour.

    Angélique mit la brosse, côté des poils sur le derrière tendre de Daniel et commença à en caresser doucement la surface. Daniel se tortillait et implorait,
    -  S'il vous plaît, Tante Angélique. Pas cela. Je serai sage, je le promets.
    -  Oh, je pense que tu sais ce qui vient, ne fais pas de manière ! dit Angélique d'une voix traînante, en regardant sa proie, ce derrière rond, rouge, musclé tout préparer pour les baisers du dos de la brosse. Elle leva l’instrument et l’abattit sèchement au centre du derrière de Daniel. Le garçon se mit à hurler et à se tortiller.
    -  Nous avons bobo, je vois.
    Angélique fit cette remarque en délivrant de violentes caresses sur toute la surface des fesses du polisson. Daniel sanglotait alors que Angélique admirait comment son derrière passait du rouge clair au vermillon le plus intense. La fesseuse décida de donner un peu d’attention à ses cuisses encore blanches. Daniel rugit et donna des coups de pied dans le vide.
    -  Ma chère, dit-elle à la spectatrice n’oubliez pas le haut des cuisses, c’est très sensible, elles méritent toute votre attention.
    Angélique vit les yeux  de Bénédicte briller, hypnotisée par la punition. Elle posa la brosse au sol et laissa Daniel se reposer allongé sur ses genoux. Elle l'encouragea :
    -  C'est bien, mon chou, c’est mignon ces petits sanglots, mais garde quelques larmes en réserve, mon chéri, tu en auras besoin.

    Angélique appela Isabelle pour lui demander du thé. La jeune fille revint quelques minutes avec plus tard avec une bouilloire fumante. Elle prit son temps à préparer et à servir le thé à Angélique et Bénédicte, ce qui lui permit de profiter de la vue du derrière rouge de Daniel.
    -  Je parierais que la prochaine fois il réfléchira à deux fois avant de refuser de faire la vaisselle, dit Isabelle avec un rire nerveux en tendant une tasse de thé à Bénédicte. La jeune femme ne répondit pas, mais prit la tasse avec un:
    -  Merci, Isabelle, vous êtes un amour.
    Angélique réprimanda son employée :
    - Isabelle ! Tu ferais mieux de garder tes commentaires pour toi, à moins que tu souhaites que ton derrière ressemble à celui de Daniel.
    Celle-ci baissa la tête en disant prudemment :
    -  Pardon, Madame.
    Elle battit en retraite du bureau précipitamment.

     

    Angélique termina son thé avant d'annoncer :
    -  Je pense qu’il est temps de finir la punition de Daniel. Qu’en dites-vous Bénédicte ?
    -  Vous avez bien raison, Angélique. Je pense que mon petit bonhomme s'est presque assoupi. Réveille-toi mon chéri et va voir Tante Angélique pour lui demander gentiment la suite de ta fessée.

    Daniel boita vers Angélique qui l'attendait sur le divan. Il ferma ses yeux avant de parler. Sa mère le lui avait fait faire souvent, et il détestait devoir demander d’être fessé, c’était humiliant à dix-huit ans d’admettre d’avoir fait quelque chose de mal et d’être traité comme un enfant.
    -  Je sais que j’ai fais des bêtises…Je…hum… Tante Angélique… bégaya Daniel en sentant le rouge lui monter aux joues. Puis-je avoir le reste de ma fessée ?
    -  Puisque tu le demandes si gentiment, mon chéri, je me ferais un plaisir d’accéder à ta demande. Dit la belle fesseuse brune en ouvrant ses bras.
    Daniel y tomba et Angélique le serra fermement. Elle laissa tomber sa main pour lui caresser les fesses.
    -  Oh que c’est chaud, on pourrait y faire cuire un œuf ! n'est ce pas, Daniel?
    -  Oui, Madame.
    -  Si rouge et si chaud, murmura Angélique. J’aimerais jouer avec ces petites cerises toute la journée, mais j'ai peur que nous ne devions passer à des choses plus sérieuses mon ange.

    Angélique prit Daniel par la main et l'amena en pleurs au divan, elle le pencha sur le sofa et ordonna :
    -  Mets ton derrière en l’air, bien en l’air, je le veux bien présenté. Bénédicte, regardez bien, je pense que vous  trouverez ça très instructif.

    Angélique ramassa la bouteille de lotion pour bébé sur la table basse. Bénédicte avait une vue imprenable sur ce qui allait se passer. Daniel grinça des dents en voyant le sourire taquin sur les lèvres de sa belle-mère et le sadique reflet de ses yeux sombres. Daniel sursauta en sentant le liquide frais sur son arrière-train endoloris, il laissa sortir une plainte de plaisir comme les mains d'Angélique étendaient l'huile sur son derrière. Elle reposa la lotion sur la table, essuya ses mains et ramassa le martinet. Elle mit un doigt sur ses lèvres pour signifier à Bénédicte de ne pas parler. Angélique prit position derrière Daniel, secoua le martinet et le posa sur le derrière du garçon. Daniel se rendit compte de ce que faisait Angélique. Il savait d'expérience  qu'une fessée sur un derrière mouillé brûlait beaucoup plus que sur un sec. Daniel  commença à sangloter et demanda :
    -  S'il vous plaît Tante Angélique. S'il vous plaît, je serai sage!
    Suivit un cri perçant angoissé comme les lanières noires de cuir chantaient dans travers l'air avant d’atteindre le centre du derrière de Daniel. Angélique fit signe à Bénédicte. Elle lui donna le martinet avec un grand sourire complice et lui  montra où se mettre. Daniel, sa vision obscurcie par ses larmes, ignorait ce qui se passait.
    -  Maintenant visez bien au milieu.
    Bénédicte, ses joues luisantes et les yeux brillants, toute excitée leva le martinet et fouetta. Comme Angélique l’avait recommandé, elle fouetta  au centre de sa cible. Daniel cria et ses pieds quittèrent le sol pour sauter en l'air.
    -  Bien joué! fit Angélique en félicitant Bénédicte. Visez un peu plus haut, mais faite attention à ne pas frapper la région des reins.
    Bénédicte fit un signe de la tête et frappa la partie charnue des fesses, appréciant la façon dont le derrière de son beau-fils flamboyaient, aussi rouge que les roses Tatiana  de son jardin. Angélique fit un signe de la tête et prit le martinet de la main de Bénédicte en chuchotant “Bravo !"

     

    Puis elle conduisit Daniel dans un coin et plaça ses mains sur sa tête avec un avertissement ferme de rester jusqu'à plus ample informé. Comme Daniel sanglotait dans son coin tranquillement, ses fesses dansaient de leur propre volonté. Angélique et Bénédicte discutaient punition.
    -  Vous n'avez pas besoin de lui donner toujours  une fessée si sévère, Bénédicte.
    -  Combien de fois par an ?
    Angélique  médita.
    -  Je pense qu'une fois par mois devrait être suffisant. Vous pouvez me l'amener ici chaque trimestre pour un rafraîchissement si vous le désirez.
    Bénédicte fit un signe de la tête sagement et elles continuèrent à parler en admirant le chaud derrière couleur cerise dans le coin.
    -  Oh, tu es un beau-fils merveilleux et je suis sûre que je pourrais allumer les bougies de mon gâteau d’anniversaire sur ton derrière, dit Bénédicte en riant.

    Elle passa un bras autour de Daniel puis le couple quitta le bureau.

    « La femme travaille même s'il n'y a pas d'homme pour se reposerUne étude sur le fétichisme, et notamment la podiaphilie »

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