• La vie de château

    Ceci est un texte original de votre servante Marie-Souillon.


     Capturé par mes bonnes


    J'avais l'habitude de peloter et de tracasser dans les couloirs le personnel féminin du château : Colette la femme de chambre et Josiane la bonne à tout faire, qui étaient jolies et à peine plus âgées que moi, et même Maryse la cuisinière et la fille de cuisine Jeanne, deux robustes paysannes. Ça ne leur plaisait pas, mais elles subissaient en silence. Un matin, étant resté seul pour une semaine, j'étais dans la cuisine où je tracassais Josiane, la bonne à tout faire. Je sentis des mains m'attraper par derrière, un tissu  s'enrouler sur ma tête. Je me débattais sans vraiment pouvoir crier. Je fus ainsi maintenu, puis attaché sur une chaise. Le château était isolé, j'avais peur. On me bâillonna sous le tissu qui me couvrait la tête, et on me l'enleva.
    J'étais assis sur une chaise de la cuisine. Face à moi, les quatre domestiques : Colette la femme de chambre, Josiane la bonne à tout faire, la cuisinière Maryse et la fille de cuisine, Jeanne. Colette avait sa blouse rayée blanche et bleue avec un petit tablier à bavette blanc par dessus, Josiane une blouse bleue avec un tablier à bavette plus grand, Maryse son grand tablier de cuisinière blanc, et Jeanne un tablier-taille en grosse toile bleue. Maryse, la plus ancienne, prit la parole :
     - "Depuis le temps que tu nous emmerdes, comme patron et comme homme, nous allons te le faire payer. Et ne dis pas que tu vas te plaindre : tu es seul, et personne ne te croirais!"
    Jeanne poursuivit :
     - "Nous allons te traiter comme la dernière des domestiques, comme une souillon; d'ailleurs, ce sera ton nom."
     - "Tu nous obéiras, n'est-ce pas, demanda Colette ?"
    Je fis non, de la tête.
    Elles détachèrent mes mains de la chaise, pour me les lier entre elles par devant. Elles avaient des vieilles ceintures de blouse, en tissu, comme liens. J'essayais de me débattre, mais elles me maintinrent solidement.
     - "Je savais bien qu'il résisterait, dit Colette. Attends, tu vas voir!"
    Elles délièrent mes pieds de la chaise, puis les entravèrent. Elles me firent avancer jusqu'à un grand banc de cuisine, pour m'y coucher à plat ventre. Deux me tenaient le dos et les jambes, mais je ne savais pas qui. Jeanne s'accroupit devant moi pour maintenir mes mains liées. Je sentis qu'on baissait mon pantalon et mon slip, qu'on enlevait mes chaussures et mes chaussettes. Je vis Josiane traverser la pièce et revenir avec un martinet. Elle me dit :
     - "Je vais te fesser comme ça, pour rien, ou plutôt pour t'être débattu et avoir menti. Jeanne, enlève-lui le bâillon."
    Jeanne ôta le torchon qui me bâillonnait. J'allais protester, quand le premier coup de martinet cingla mes fesses. Je criai.
    Jeanne fit :
     - "Ça fait mal, hein ?" Et elle sourit, pendant qu'un deuxième coup, puis encore d'autres tombaient sur mes fesses.
    Je tortillais mes fesses, je me débattais, je gémissais sous la fessée. Les larmes me montaient aux yeux.
     - "Il va pleurer, fit Jeanne."
     - "Mais non", dit Colette dans mon dos.
    Les mains qui me maintenaient me lâchèrent, et se portèrent vers mes côtés et vers mes pieds, puis se mirent à me chatouiller. Je me tordais sur le banc sous les chatouilles, riant les larmes aux yeux. Puis, au milieu des chatouilles, le martinet recommença à me cingler les fesses. Encore une dizaine de coups, et ce fut fini. Avec le torchon qu'elle portait toujours à la ceinture, Jeanne m'essuya le visage. J'entendis couler le robinet, et une de mes fesseuses me posa sur les fesses un torchon mouillé d'eau fraîche, qui calma ma douleur.
     - "Maintenant, dit Maryse, tu nous obéiras !"
     

    Mon premier tablier


    Elles me détachèrent. Je restais debout au milieu de la cuisine, la culotte baissée sur mes pieds. Mon sexe en érection les fit rire.
     - "Il aime ça !"
    J'allais remonter mon pantalon, quand Colette me dit de me déshabiller. J'hésitais, mais elle brandit le martinet. J'obéis alors, et je me retrouvais nu devant elles. Josiane sortit de la pièce, pour revenir avec un panier à linge. Elle fouilla dedans, en sortit une culotte de femme, une vieille blouse qu'elle mettait de temps en temps, et un des grands tabliers bleus de Jeanne, ainsi qu'une coiffe. Elle me tendit le tout. Les linges étaient sales, ils sentaient la sueur.
     - "Mets-les ! allez, vite !"
    Je dus enfiler la culotte, qui était jaunâtre entre les cuisses, la blouse blanche qui sentait la sueur, et mettre le tablier bleu tâché et gras. Josiane me noua la coiffe comme il faut, pendant que Jeanne me donnait une vieille paire de mules.
     - "Maintenant, nous sommes tes maîtresses, et tu es notre domestique, dit Maryse. Tu répondras au nom de Souillon."
    J'étais ridicule dans cet accoutrement, mais j'étais à leur merci.
    Colette me dit :
     - "Il faut que tu apprennes les bonnes manières. Voici comment on fait une révérence." Elle plia gracieusement les genoux, en baissant la tête, et en relevant avec les mains le bas de sa robe et de son tablier. "Tu as compris ? Allez, viens nous saluer !"
    J'avançais vers elle, et je fis ma révérence, la tête basse, en relevant ma blouse et mon tablier.
     - "Plus bas les genoux, et plus haut le tablier; je veux voir ta culotte!"
    Je recommençais, les joues en feu sous cette humiliation. Je dus ainsi saluer Josiane, Maryse et Jeanne. Elles riaient de mon trouble. Je dus ensuite me mettre à genoux devant elles, et embrasser les mains qu'elles me présentaient. C'étaient des mains de paysannes, robustes, faites pour travailler,  relativement fines chez Colette et Josiane, plus larges, comme des battoirs chez Jeanne et Maryse. Je les baisais avec humilité; puis je me relevais.
     

    La confession


     - "Nous allons te confesser, dit Maryse; mets-toi à genoux devant moi."
    Elle s'assit sur une chaise, et je m'agenouillais en face d'elle. Pendant ce temps, Jeanne frottait un oignon coupé dans un torchon, qu'elle mit sur les genoux de Maryse.
     - "Comme ça, nous sommes sûres que tu pleureras pour te faire pardonner."
    Les trois autres s'assirent sur d'autres chaises, en demi-cercle; Josiane avait un martinet à la main, Colette une touillette en bois, pour me frapper, sans doute.
     - "Allez, confesse-toi!", me dit Maryse.
     - "Que dois-je avouer, Maryse ? Aïe !"
    Un coup de touillette m'avait fait sursauter.
     - "Tu dois dire ''Maîtresse'', dit Colette. Et joins les mains devant toi."
     - Jeanne reprit: "Humilie-toi en te disant des insultes, et demande-nous pardon pour toutes tes cochonneries."
    Je joignais les mains devant la poitrine.
     - "Maryse, je suis un petit salaud…Aïe!" Un coup de touillette m'interrompit.
     - "Parle de toi au féminin, salope !"
     - "Maryse, je suis une salope, une petite garce, et je te demande pardon pour toutes les méchancetés que j'ai faites."
     - "C'est bien, continue. Qu'est-ce que tu as fait ?"
     - "D'abord, j'ai peloté et caressé mes domestiques."
     - "Ah, tiens, dit Josiane, ironique, comment, au juste ?"
     - "Quand elles avaient les bras chargés, je leur mettait la main au cul, ou bien je leur prenais les nichons, en glissant la main dans leur blouse."
     - "Et puis ?"
     - "Je les embrassais dans le cou, ou sur la bouche."
     - "Et elles ne disaient rien ?"
     - "Elles avaient peur de se faire renvoyer, alors elles se laissaient faire."
     - "Ça t'excitait, connasse ?"
     - "Oui maîtresse."
     - "Et qu'est-ce que tu faisais encore ?", dit Maryse.
     - "Je disais à Josiane de laver le carrelage, et je la regardais faire."
     - "Pourquoi ?"
     - "Pour voir ses nichons ballotter sous sa blouse, et son gros cul tendre le tissu quand elle était à genoux."
    Une main appuya sur ma nuque, et je courbais la tête jusqu'à mettre le nez dans le torchon, sur les genoux de Maryse. L'odeur de l'oignon me prit au nez, les yeux me piquaient, et je me mit à pleurer.
     - "Et que faisais-tu le matin ?"
     - "Je me faisais monter mon petit déjeuner au lit par Colette, et je la regardais me servir en me branlant sous le drap."
     - "Bien, ça suffit pour aujourd'hui. En pénitence, tu vas nous servir, mais, pour commencer, tu vas nous lécher le cul."
     

    Sur le banc de la cuisine


    Je me relevais vivement.
     - "Ah non! Pas ça!"
    Quatre mains me saisirent par derrière. Je me débattis. Jeanne me tenait les bras dans le dos, Josiane attrapa mes jambes qui gigotaient et Colette m'attacha les pieds ensemble. Maryse se campa devant moi et, tranquillement, me donna une paire de gifles.
     - "Je vois que tu n'as pas compris. Couchons-la sur le banc."
    Elles me traînèrent sur le banc de cuisine et m'y couchèrent sur le dos. Elles m'attachèrent les pieds sur le banc, et les mains aussi, au-dessus de la tête. Cette position était moins inconfortable que lors de ma première punition, et au moins, comme ça, elles ne pouvaient pas me fesser.
    Colette, sans relever sa blouse, enleva sa culotte, et la posa sur la table. Elle enjamba le banc, et s'assit sur mon ventre.
     - "Alors, comme ça, tu n'aimes pas lécher les culs ?" dit-elle, moqueuse, en s'avançant sur ma poitrine.
    Elle avança encore, et son tablier atteint mon menton. Elle le souleva, avec sa blouse. J'eus à peine le temps d'entrevoir sa pachole frisée. Elle s'avança encore, et posa son cul sur ma figure. Ses fesses étaient chaudes et douces, elles frottèrent mes joues, pesèrent sur mon visage, puis s'écartèrent et je sentis son entrecuisses, la mounine sur mon nez et son trou du cul sur ma bouche. Elle sentait fort, et elle était mouillée d'un peu de sueur. Je sentis que je bandais. Jeanne s'en aperçut aussi.
     - "Cette salope bande, Colette, ça doit lui plaire. Allez, Souillon, lèche le cul de ta maîtresse."
    La raie du cul de Colette écrasait ma bouche. Je dus ouvrir les lèvres, et promener ma langue dans les remplis du troufignon qui me parut un peu âcre. Un trouble m'envahit; l'humiliation que je subissais commençait à me plaire, et je léchais vivement le cul de Colette, que d'ailleurs j'avais souvent regardé avec envie, sans penser que je l'aborderai de cette façon.
    Après Colette, Josiane vint se faire brouter la raie sur ma figure. Elle me proposa son trou rond comme un petit camembert, puis modifia sa position pour se faire lécher la pachole. Elle était déjà mouillée, et je dus, à grand coups de langue, l'essuyer, mais plus je léchais et plus elle coulait. Le plaisir que Josiane tirait de ce gougnotage lui fit remuer le cul sur moi, et j'entendis même quelques soupirs de satisfaction.
    Maryse remplaça Josiane. Son cul était bien plus gros, mais surtout sentait très fort. Elle ne devait pas se le laver tous les jours, et il avait une odeur de merde, de pisse, de sueur et de femelle, une odeur forte et entêtante, qui me fit bander encore plus. Jeanne prit le dernier tour et s'assit sur mon visage. Son cul était moins gros et moins puant que celui de Maryse. Elle me dit :
     - "On dirait que l'odeur du cul de Maryse t'a fait bander plus fort. Tu dois aimer quand ça pue, alors je vais te faire un petit plaisir."
    Et elle lâcha un pet sonore; son souffle chaud passa sur mon visage, et son odeur envahit mes narines.
     - "C'est dégueulasse, criai-je !"
     - "Mais non, voyons, répliqua Colette, et puis ça te plaît; la preuve, tu rigoles."
    Et elle me chatouilla les pieds. Je me tordis sous les chatouilles, et je ne pût pas me retenir longtemps de rire, les mouvements de ma bouche excitant fortement Jeanne qui lâcha un autre pet. L'odeur, confinée sous sa blouse, se rapprochait de celle d'un fromage très fort. Je léchais avidement le trou du cul, excité par les chatouilles, par les flatulences de Jeanne, et ça lui plût beaucoup.
    Elle se releva, et mes quatre maîtresses me détachèrent.
     

    La branlette au torchon


    Ma saucisse faisait une bosse sous mon tablier. Jeanne dit ;
     - "Il bande comme un âne; il ne peut pas rester comme ça."
     - "On ne va pas le laisser nous baiser, quand même, fit Josiane."
     - "Non, dit Colette, sûrement pas, mais on pourrait peut-être le branler."
     - "Non, c'est elle qui va se branler", dit Maryse, en appuyant sur le féminin que, devant mon érection, ses compagnes avaient omis d'employer.
    Toutes l'approuvèrent. Elles me firent asseoir sur une chaise, m'attachèrent les chevilles à ses pieds, le torse et le bras gauche au dossier; seules ma main droite restait libre. Je dus retrousser mon tablier, ouvrir ma blouse et baisser ma culotte. Pendant ce temps, Jeanne avait frotté du saindoux dans un torchon, et me l'apporta.
     - "Tiens, tu te branleras dans un torchon gras, tu verras, c'est bon."
    Elle s'assit à ma droite, enveloppa ma saucisse dans le torchon, et posa ma main dessus, me tenant par le poignet.
     - "Je vais rester là pour que tu n'ailles pas trop vite."
     - "Et nous, fit Josiane, nous allons t'exciter."
    Avec Colette, elles ouvrirent le haut de leurs blouses, et rabattirent la bavette de leurs tabliers. Assises sur un banc devant moi, elles se caressaient les nichons, qu'elles avaient gros et fermes. Je commençais à me branler dans le torchon. Le gras dont il était enduit lubrifiait le mouvement, c'était bon. Ces deux gouines étaient très excitantes. Elles commençèrent à s'embrasser. J'allais me branler plus vite, quand Jeanne arrêta ma main.
     - "Je t'en supplie, Jeanne, lâche-moi !."
    Elle prenait plaisir à voir ma tension, mon désir inassouvi. Elle desserra son étreinte après quelques minutes, et je recommençais ma branlette. Plusieurs fois, elle m'interrompit, et je dus la supplier, l'appeler "ma chère maîtresse", "ma péteuse adorée", et d'autres choses gentilles pour qu'elle me laisse faire. Pendant ce temps, Colette et Josiane continuaient leurs caresses. Une laissait couler sa bave sur son menton, et l'autre la léchait. Ou bien, elle ouvrait sa bouche pour que sa gouine lui bave dedans. Elles frottaient et caressaient leurs loloches, se tétaient mutuellement. Je me branlais de plus en plus fort et Jeanne, miséricordieuse, me laissa éjaculer dans le torchon.
     

    A genoux sur le carrelage


    Après un moment, Josiane demanda, sans arrêter son gougnotage, à Jeanne de me détacher.
     - "Il est temps que tu te mettes au travail, Souillon! Tu vas frotter le carrelage de la cuisine."
    Jeanne me délia, et me dit:
     - "Mets un tablier en caoutchouc, pour ne pas abimer celui-là par terre."
     - "J'oubliais, dit Josiane, c'est vrai: tu vas passer la wassingue à la main, à genoux."
    Je dus mettre un tablier en plastique rouge; Jeanne me donna des gants pour ne pas abimer mes mains. Je remplis un seau d'eau, mis de la lessive, et je commençais à astiquer le carrelage, agenouillé. C'était fatigant, et je transpirais à grosses gouttes; je comprenais maintenant pourquoi les vêtements qu'elles m'avaient donnés sentaient la sueur. De temps en temps, je relevai la tête pour les regarder. Elles bavardaient tranquillement, sans faire attention à moi. Voyant que je la regardais, Maryse se leva et passa derrière moi. Je me remis aussitôt au travail. Elle me flatta la croupe, du même geste que j'avais pour elle quand elle était penchée sur ses fourneaux. Josiane se leva à son tour et se promena dans la pièce, marchant avec ses socques là où j'avais déjà nettoyé.
     - "Attention, Josiane!" Les mots m'échappèrent.
     - "Attention à quoi? tu relaveras, c'est tout! Je ne vais pas me gêner!"
    A genoux, la wassingue à la main, je la regardais, et les larmes me montèrent aux yeux.
     - "Je n'en peux plus, c'est trop dur, dis-je dans un sanglot."
    Colette alla prendre le martinet et un petit sablier qui servait à la cuisson des œufs; Josiane, debout devant moi, écarta les jambes et me prit la tête entre les genoux.
     - "Tu vas être fessée pendant un sablier", dit Colette en le posant par terre devant moi.
    Les coups de martinet commencèrent à pleuvoir sur mes fesses, heureusement couvertes de la blouse. La tête coincée, craignant de renverser le seau, les yeux sur le sablier trop lent à mon goût, je subis les trois minutes de correction.
     - "Retourne le sablier! Tu as trois minutes pour souffler et chialer si tu veux; si tu ne recommences pas à travailler après, c'est la fessée aux orties!"
    La punition me fit peur, et, avant que le sablier soit fini, je me remis au travail et finissais le carrelage en ravalant mes larmes. Je dus vider le seau, rincer la wassingue, et pus enfin enlever le tablier de plastique et les gants.
     

    Pipi caca


    La culotte et la blouse qu'elles m'avaient fait mettre étaient trempées de ma sueur. J'avais envie d'aller aux toilettes, et je me dirigeais vers la porte.
     - "Où vas-tu?" demanda Josiane.
     - "Aux toilettes, maîtresse."
     - "Pour la grosse ou la petite commission?"
     - "Les deux, maîtresse."
     - "Sans me demander la permission?"
    Je compris ce qu'il me fallait faire. L'envie me tenaillait.
     - "Maîtresse Josiane, est-ce que je peux aller au petit coin, s'il te plait?"
     - "On fait une révérence, et on se met à genoux, avant de demander une faveur."
    Les trois autres me regardaient, narquoises. Je pliais les genoux et m'inclinais en avant, en retroussant bien haut mon tablier, puis je m'agenouillais devant Josiane.
    - "Maîtresse Josiane, est-ce que je peux aller au petit coin, s'il te plait? J'ai très envie."
     - "Je ne sais pas, va demander à Maryse."
    J'avais compris le jeu; je me levai et j'allai faire ma révérence et m'agenouiller devant Maryse.
    - "Maryse, maîtresse chérie, est-ce que je peux aller au petit coin, s'il te plait?"
     - "Quel vocabulaire solennel pour une servante, dit Maryse. Tu ne peux pas employer des mots de ta condition, petite?"
     - "Pardon maîtresse. Est-ce que je peux aller faire pipi et caca, s'il te plait?"
     - "Tu parles comme un bébé, maintenant?"
    Il fallait bien que j'emploie les mots grossiers qui leur plaisaient.
    - "Maîtresse Maryse, j'ai très envie de pisser et de chier; je peux y aller, s'il te plait?"
    Elle ota son pied de sa socque, et me le présenta devant le visage. Je le baisai sur la plante, et commençai à le lécher, puis à sucer les orteils.
     - "Je te donne la permission; mais tu vas le faire devant nous, ici même."

    Jeanne ouvrit le buffet et en sortit un plat à rôti peu profond, qu'elle garnit au fond d'un torchon propre, puis posa sur la toile cirée de la table de cuisine. Mes quatre maîtresses se mirent autour de celle-ci.
     - "Ote tes socques et monte sur la table! dit Maryse, en me montrant le banc."
    Pieds nus, je montais sur le banc puis debout sur la table.
     - "Lève ta culotte!"
    Je retroussai mes tabliers et fis glisser ma culotte jusqu'à mes pieds. Ma saucisse était dure et relevée, ce qui les fit sourire.
    - "Reste troussée! Accroupis toi sur le plat!"
    J'écartai les jambes, et je me baissai sur le plat. Je tenais d'une main ma blouse troussée derrière, et de l'autre ma blouse et mon tablier relevés devant.
     - "Maintenant, dit Colette, tu sais l'effet que ça nous faisait, quand tu te mettait à la petite fenêtre du cabinet pour nous regarder."
    Elle me calotta les fesses de sa main vigoureuse. Les coups libérèrent ma vessie, et la pisse me monta au gland. Mais comme je bandais, elle jaillit sur mon ventre, mouilla ma blouse, avant de couler entre mes cuisses et de retomber dans le plat. Une partie descendait jusqu'à mes pieds et faisait des taches sur la toile cirée. Après une dizaine de claques, Colette s'arrêta. Mes miches se détendirent, et je chiais une petite merde qui tomba dans le plat plein de pisse, ce qui m'éclaboussa les mollets et salit encore la nappe. Je m'accroupis plus bas, et le deuxième estron ne fit pas trop de dégâts.
    J'avais fini, mais je n'osais pas me lever, et je restait accroupi.
     - "Lève-toi et remets ta culotte."
     - "Mais je ne me suis pas essuyé, maîtresse!"
     - "Tu resteras avec le cul merdeux, dit Jeanne, l'odeur ne nous gène pas."
    Je descendis de la table, jupes troussées, et je remis ma culotte, qui tout de suite se colla sur moi. Mes jambes étaient mouillées, ainsi que mes pieds dans mes mules. Jeanne continua:
     - "Tu as mouillé la toile cirée; essuie-la avec ton torchon."
    Je pris le torchon pendu à ma taille, et j'épongeais la pisse sur la nappe, jusqu'à ce qu'elle soit sèche, soulevant le plat de merde pour essuyer dessous. Une fois fini, je remis mon torchon sale dans ma ceinture, attendant ce qui allait encore bien pouvoir m'arriver.
     

    La fessée aux orties


    - "Le nez dedans", dit Maryse.
    J'hésite un instant, je la regarde, et Jeanne me prend par les bras et me pousse vers la table.
    - "Allez, mets le nez dans ta merde!" Josiane rit en disant ces mots, les poings sur les hanches.
    Je me débat violemment, je donne des coups de pieds, et j'arrive à échapper à Jeanne. Je cours vers la porte, mais ma blouse m'entrave. Maryse bloque une porte, je vais vers l'autre, mais Jeanne et Colette me rattrapent et me saisissent les bras. Josiane arrive aussi, elle me tient les jambes. En un instant, Maryse est sur moi avec des liens. Elle me lie les chevilles, les genoux, pendant que Jeanne et Colette m'attachent les bras dans le dos. Je suis ficelé, et elle me traînent vers la table, me couchent dessus à plat ventre.
     - "Jeanne, dit Maryse, mets les gants de caoutchouc et va chercher des orties."
     - "Non! Pitié! Non!" Je hurle, mais Colette me fourre un torchon sur la bouche.
     - "Ma petite, dit-elle, tu y a échappé quand tu as fait la mauvaise tête en lavant par terre, mais maintenant tu y auras droit."
    J'essaie de parler, mais je suis bâillonné. Devant mes efforts, elle retire le torchon.
     - "Je t'en supplie, Colette, non, je mettrais le nez dans ma merde, je la mangerai si vous voulez!"
    Elles rient; Josiane enfile elle aussi une paire de gants. Jeanne revient, portant dans ses mains une demi-douzaine d'orties fraiches. Maryse vient s'asseoir à côté de mon visage, pendant que Colette et Josiane m'obligent à me prosterner sur la table, cul en l'air, cuisses un peu écartées, ce qui laisse ma saucisse à l'air. Elles attachent mes bras et mes jambes, qu'elles écartent, aux pieds de la table, puis retroussent ma blouse et baissent ma culotte. Je vais supplier, mais Maryse me bâillonne avec le torchon. Elle s'approche de mon visage, je sens son souffle sur moi.
    - "Et maintenant, mon petit, tu vas savoir ce que c'est que de désobéir. Et pour commencer, Jeanne va te frapper les fesses."
    Je sens un léger coup sur mes fesses. Rien. Puis, un instant après, la morsure cuisante des orties, qui me brule la peau. J'ai mal, les larmes me montent aux yeux, je gémis dans mon bâillon. Ça pique, ça cuit, c'est affreux.
    - "Encore, Jeanne, dit Maryse, plus fort."
    Jeanne frappe une nouvelle fois, puis d'autres. La douleur m'envahit, plus forte, et je commence à pleurer, je gémis, je crie sous mon bâillon. Je tortille le cul, j'essaie d'éviter les coups, je danse des fesses. Quelques coups de plus, puis elles s'arrêtent, mais la cuisson des orties persiste sur mes fesses brulantes.
    Avec un sourire, Maryse essuie mes yeux avec un coin de torchon.
    - "Ça ne te suffit pas, dit-elle. Tu sais, nous sommes désolées, mais il faut que tu apprennes. Pour ça, Jeanne est va être obligée de te frapper sur les cuisses, trois coups."
    Jeanne, qui a entendu, le fait. Par trois fois, elle abat les orties sur moi. Les cuisses sont plus sensibles, et je commence à sangloter, à pleurer à chaudes larmes. Quand elle a fini, elle contourne la table, suivie de Colette, pour me voir pleurer. C'est à peine si, dans mes larmes, j'y fais attention. Accoudées sur la table, elles regardent en riant mon visage humide. Jeanne ôte ses gants de caoutchouc, et les jette sur mon dos. Je crois que c'est fini, mais non.
    - "Et pour finir, dit Maryse, Josiane va te passer les orties de la raie aux couilles."
    Je n'ai pas le temps de réagir, déjà je sens la brûlure dans la raie de mon cul, puis sur l'anus; je hurle, j'essaie de m'arracher aux liens, mais six mains me maintiennent, je me débats pourtant. La tige vénéneuse arrive maintenant sur mes couilles, c'est là le plus supportable, puis elle remonte sur ma saucisse, caresse le gland. Les larmes jaillissent de mes yeux, je sanglote, elles coulent comme un robinet ouvert. Enfin, la morsure s'arrête, la douleur diminue, les mains me lâchent, je suis épuisé, trempé de la sueur qui me coule sur le dos, les fesses, le ventre. Je ne sais plus qui me détache, je garde les yeux fermés et je m'effondre sur la table.
     

    Au piquet merdeux


    Je sens la fraicheur d'un tissu mouillé sur mes fesses. C'est Colette qui a posé sur mon cul rouge un torchon passé sous le robinet et essoré. Je frissonne de plaisir et de soulagement, toujours attaché cependant. Je sens que le torchon est coincé dans ma culotte. Colette me détache et me fait mettre à genoux par terre, puis me rattache les mains dans le dos, me lie à nouveau les chevilles.
    Jeanne est assise, sur son tablier elle tient le plat de merde. A genoux, je m'avance devant elle. Maryse et Josiane sont à côté d'elle, Colette derrière moi. Je mets le nez au dessus du plat. Au fond, sur le torchon imbibé de pisse, mes deux étrons mous. Je me penche sur eux, leur odeur envahit mes narines.
     - "Embrasse-les !"
    Je pose du bout des lèvres un baiser sur chaque étron.
    - "Mieux que çà ! Lèche !"
    J'embrasse alors la première merde, puis l'autre, grasses toutes les deux, je sors la langue, et je lèche les boudins marrons, à pleine langue, le goût un peu âcre dans la bouche.
    Maryse et Josiane soulèvent le torchon par les coins, la pisse en dégouline dans le plat.
    - "Le nez dedans", dit Maryse.
    La main de Colette pèse sur ma nuque, mais, volontairement, je mets le visage sur les deux étrons, je fouille dedans avec le nez, je relève la tête et regarde Jeanne avec des yeux humbles et soumis. Elle me sourit, je hasarde un sourire, mais, passant les mains sous le torchon, elle l'écrase sur mon visage, pressant dessus pour bien coller la merde sur moi. Je sens qu'on passe un torchon dessous, qui vient se nouer derrière ma nuque, ce deuxième torchon maintenant solidement sur mon nez le premier.
    Toujours à genoux, on me fait me retourner, puis avancer jusqu'au mur, au piquet, mains attachées.
    J'y resterai jusqu'à la suite...

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