• La leçon de piano

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    1
    PeterPan
    Mardi 12 Mars à 11:40

    Bonjour amis du concerto en fessée majeur ! 

    "Oncle Peter raconte " : La Comtesse Eléonore Elizabeth Ernestine de La Claquerie  donnait en son manoir de la Courtilière, dans le nord du  Flandrinois, en un temps aujourd'hui révolu, et  à ses heures perdues, des leçons de piano aux jeunes gens de la bourgeoisie locale et ceux-ci se pressaient d'y assister. On les comprend, les gourgandins !! Cependant, quant elle travaillait avec ses élèves, son frère, le comte Julius Joachim Jasper, toujours oisif, et bien fait de sa personne, en profitait pour lutiner la jeune Térèze, une orpheline devenue la chambrière et confidente attitrée de sa soeur, la Comtesse. Une grande amitié liait les deux jeunes femmes... Mais cette fois, le poteau rose fut découvert !! Des bruits suspects venant de l'alcôve de la domestique alertèrent la comtesse qui interrompit sur le champ sa leçon du jour avec son élève. D'un pas leste, elle se dirigea vers le lieu du forfait et surprit son frère le comte en petite tenue. Son sang ne fit qu'un tour !! "Comment oses- tu, bougre de goujat !! Oser t'adonner à ces façons de godelureau de bas étage sous notre toit familial ?? Vous, Térèze, je vous excuse !! Je connais les manigances de mon cher frère ! Vous n'êtes pas la première à céder à ses avances. -Pa... pa... pa... pardon...Mademoiselle la... la Comtesse !! Il m'a... me... me... menaçait de me... donner mes... mes huit jours !! J'ai honte, mademoiselle la Comtesse !! (...) Furieuse, elle emmena les deux fautifs dans le petit salon, richement meublé et bien éclairé. - Tu sais ce que ça te rappelle le petit salon, mon petit frère adoré ?? Hum ? la confession du soir et la très cuisante fessée  déculottée que tu recevais chaque soir de la main de notre chère Mère et en travers de sa longue robe à crinoline... Et parfois le martinet de notre gouvernante hispanique et colérique Senorina Isabella ? Hum ? T'en souviens-tu encore ? - Mais... oui... euh... non... je... mais laisses-moi t'expliquer Eléonore... c'est pas ce que tu crois, soeurette ! C'est elle qui m'a... - Ca suffit !! Je ne suis pas idiote ni sénile, Julius !! Mes yeux ne m'ont jamais trahis !  (...) Qu'en dites vous, Térèze ? - Monsieur le Comte m'a fait des... des... des avances indécentes et des... des propositions si... si malhonnêtes que j'aurais honte de vous les rapporter !! Je vous le jure, mademoiselle la Comtesse !! - Sale petite vipère !! Sorcière ! Tu vas me le p... - Cela suffit, cher frère !! L'heure n'est plus aux excuses ! Puisque tu t'es conduit comme un vulgaire pourceau, je vais te punir comme Mère punissait ses domestique masculins libidineux !! Je n'ai pas le choix ! Je suis désolée, Julius ! (...) La Comtesse s'assit sur le tabouret en cuir du piano, les genoux serrés. Puis elle prit délicatement presque avec déférence le bras de son frère et le fit s'allonger à plat-ventre en travers de sa robe longue damassée en crèpe de Saxe, comme le faisait jadis sa mère la Comtesse Marie-Athénaïs . " L'héritage familial s'est toujours transmis de mère en fille, Julius ! Et une pecadille ne dérogera jamais à la règle. J'en fais serment ! ". Furieuse, elle saisit le caleçon de son frère, le comte et le baissa d'un geste rageur jusqu'aux genoux. " Non, soeurette adorée, pas le caleçon !! Ne me baisse pas le caleçon ! Tu n'as pas le droit !! " La jeune comtesse ricana de l'attitude puérile de son frère. "Te voilà a présent déculotté comme un élève paresseux, Julius !". Le comte, les deux mains posées au sol, protestait et suppliait sa soeur de ne pas le fesser devant la jeune bonne . " - Non pas... Eléonore... pas la fessée... pas la fessée !! Pas... pas devant elle !! J'ai trop honte !! Noooon ! Par les Dieux !! Je t'en supplieeeee !!"    Coupez  !!   Pas mal ,hum ??? On s'amuse. 

    Pit, troubadour et austre conteur. 

    2
    PeterPan
    Mardi 12 Mars à 16:52

    Re-bonjour amis du concerto en fessée majeur,

    Hé oui, on s'amuse. La jeune Comtesse Eléonore déversa sur les fesses musclées de son frère Julius une averse de claques qui le firent bondir sur ses genoux. "Et estimes toi chanceux que je ne prenne pas le martinet de la gouvernante !". Son frère criait, implorait, vociférait mais rien n'atténuait le colère de sa soeur. Térèze, l'offensée, regardait la scène avec effroi et ses mains se mirent à trembler. "Regardez, ma petite Térèze,  Regardez  comment les hommes sont punis dans cette maison ! Et prenez exemple sur moi !". Térèze faillit en lâcher son plateau tellement elle était troublée. "C'est de sa faute, soeurette !! Elle... elle m'a tentée ! Je t'le jure !! " La Comtesse se tourna alors vers la jeune domestique et lui fit une moue de reproche. "Est-ce vrai , Térèze ?. Gênée, la domestique baissa la tête et bredouilla des excuses presque inaudibles pour tenter de se justifier. " Vous êtes aussi coupable que mon cher frère ! Voilà qui est clair ! ". Elle termina sa phrase en accélérant la cadence. Puis, l'orage de claques cessa subitement, laissant le Comte, les fesses en feu, pantelant sur ses genoux. Avec difficulté, il se remit debout et sa soeur l'envoya au coin, face vers le mur et les fesses toujours dénudées. Elle se leva et interpela Térèze. "A présent, c'est votre tour ! " La domestique tergiversa en implorant la clémence de sa jeune  maitresse.      " Assez de minauderies, Térèze  ! Otez votre robe et approchez vous ".  La jeune domestique essaya de retarder sa punition. En vain. "Non, pas la punition des filles insolentes,  Mademoiselle la Comtesse ! J'vous supplie. J'aurais vraiment trop honte !". La Comtesse fulmina. " Ah, il est bien temps ! Mais il fallait y réfléchir avant, Térèze. Dans cette maison , toute bêtise est sévèrement punie ! Allons. Quant à toi, Julius, tu vas mettre le tablier à bavette de Térèze ! Ce sera ton tablier de punition !! Allez, obéis !! ". Honteux, Julius, connaissant le caractère versatile de sa soeur, passa le tablier, sans protester. Eléonore, malgré sa colère, se montrait certes sévère mais pas cruelle avec sa domestique. Elle la tira vers elle et l'invita à s'allonger en travers de ses genoux. Puis, Térèze reçut une série de claques cuisantes sur ses fesses rebondies que sa jeune maitresse avait pris soin de découvrir. Cinq fois... dix fois... vingt fois... la main longue et soyeuse de la jeune Comtesse martela la chair soyeuse de son arrière-train qui, d'une teinte laiteuse, s'empourpra après quelques fessées. Eléonore ne prononça aucun mot. Elle était concentrée sur son labeur. Seule le bruit régulier de l'horloge venait troubler cette mécanique parfaitement ordonnée. Puis, elle suspendit sa main. "Allez, levez-vous ! " Térèze se redressa et frotta avec énergie son derrière écarlate. La comtesse se leva  et réajusta sa robe. "Nous en resterons là pour aujourd'hui. Mais demain, vous serez tous deux fessés devant le personnel féminin par madame la gouvernante. Est-ce bien compris ??  A présent, retirez vous ! Je suis lasse de cette agitation. disposez ! " . Coupez. 

    Pit, conteur et austre amuseur.    

    3
    PeterPan
    Mardi 12 Mars à 17:02

    Re-bonjour amis du concerto en fessée majeur,

    Hé oui, on s'amuse. La jeune Comtesse Eléonore déversa sur les fesses musclées de son frère Julius une averse de claques qui le firent bondir sur ses genoux. "Et estimes toi chanceux que je ne prenne pas le martinet de la gouvernante !". Son frère criait, implorait, vociférait mais rien n'atténuait le colère de sa soeur. Térèze, l'offensée, regardait la scène avec effroi et ses mains se mirent à trembler. "Regardez, ma petite Térèze,  Regardez  comment les hommes sont punis dans cette maison ! Et prenez exemple sur moi !". Térèze faillit en lâcher son plateau tellement elle était troublée. "C'est de sa faute, soeurette !! Elle... elle m'a tentée ! Je t'le jure !! " La Comtesse se tourna alors vers la jeune domestique et lui fit une moue de reproche. "Est-ce vrai , Térèze ?. Gênée, la domestique baissa la tête et bredouilla des excuses presque inaudibles pour tenter de se justifier. " Vous êtes aussi coupable que mon cher frère ! Voilà qui est clair ! ". Elle termina sa phrase en accélérant la cadence. Puis, l'orage de claques cessa subitement, laissant le Comte, les fesses en feu, pantelant sur ses genoux. Avec difficulté, il se remit debout et sa soeur l'envoya au coin, face vers le mur et les fesses toujours dénudées. Elle se leva et interpela Térèze. "A présent, c'est votre tour ! " La domestique tergiversa en implorant la clémence de sa jeune  maitresse.      " Assez de minauderies, Térèze  ! Otez votre robe et approchez vous ".  La jeune domestique essaya de retarder sa punition. En vain. "Non, pas la punition des filles insolentes,  Mademoiselle la Comtesse ! J'vous supplie. J'aurais vraiment trop honte !". La Comtesse fulmina. " Ah, il est bien temps ! Mais il fallait y réfléchir avant, Térèze. Dans cette maison , toute bêtise est sévèrement punie ! Allons. Quant à toi, Julius, tu vas mettre le tablier à bavette de Térèze ! Ce sera ton tablier de punition !! Allez, obéis !! ". Honteux, Julius, connaissant le caractère versatile de sa soeur, passa le tablier, sans protester. Eléonore, malgré sa colère, se montrait certes sévère mais pas cruelle avec sa domestique. Elle la tira vers elle et l'invita à s'allonger en travers de ses genoux. Puis, Térèze reçut une série de claques cuisantes sur ses fesses rebondies que sa maitresse avait pris soin de découvrir. Cinq fois... dix fois... vingt fois... la main longue et soyeuse de la jeune Comtesse martela la chair soyeuse de son arrière-train qui, d'une teinte laiteuse, s'empourpra après quelques fessées. Eléonore ne prononça aucun mot. Elle était concentrée sur son labeur. Seul le bruit régulier de l'horloge venait troubler cette mécanique parfaitement ordonnée. Puis, elle suspendit sa main. "Allez, levez-vous ! " Térèze se redressa et frotta avec énergie son derrière écarlate. La belle et jeune  comtesse se leva et réajusta les faux plis de sa longue robe. "Nous en resterons là pour aujourd'hui. Mais demain, vous serez tous deux fessés devant le personnel féminin par madame la gouvernante. Est-ce bien compris ??  A présent, retirez vous ! Je suis lasse de cette agitation. Disposez ! " . Coupez. 

    Pit, conteur et austre amuseur.    

    4
    ramina
    Mardi 12 Mars à 17:55

    Peter le troublant troubadour,  no limite...

    Donnez lui 12mn de vidéo, il vous fait un commentaire long métrage de deux heures et demie. Donnez lui un oeuf, il vous raconte l'histoire d'une omelette pour six personnes... Dessinez lui un mouton , il vous explique la fabrication des pelotes de laine et vous donne toutes les recettes pour cuisiner le gigot. Offrez lui un pneu, et il vous refait toute l'histoire de l'automobile depuis l'invention du caoutchouc. Il est question du petit Jésus qui allait à l'école, il réécrit un nouveau, nouveau testament.   Parlez lui de la météo et du changement climatique, il vous écrit cinq pages sur un orage de claques sur une derrière déculotté... C'est le Niagara de l'épopée, le chevalier teutonique du stylo à bille, l'arpenteur de clavier, le poète échevelé, livide au milieu des tempêtes... de mots...  Ramina

    5
    PeterPan
    Mardi 12 Mars à 19:20

    Bonsoir amis du conteur du soir au bougeoir, 

    Hou la la !!  Une chute d'eau ! Que dis-je ! C'est une avalanche de mots... une cascade  de verbes à n'en plus finir... les rapides du verbiage... les Olympiades de la prose !! Vite, mon gilet !!  La rat d'eau de la Méduse !! Hi hi hi !!! Il est temps de jeter l'encre pour cette nuit  !!  

    Piteur, le conteur farceur ! 

     

    6
    Mercredi 13 Mars à 17:48

    Bonjour Peter,

    Comme dans "la foire aux cancres " "donnez-moi deux mamelles et je repeuplerai la France" LOL. Film de 1963 en noir et blanc avec Dominique Paturel, Christian Marin, Jean Bouise etc.

    Bonne fin de journée.

    Paul.

      • PeterPan
        Mercredi 13 Mars à 19:57

        Bonsoir Paul, 

        Je ne connais pas ce film qui est surement une de ces comédies loufoques de ces  années-là. Dominique Paturel est connu pour ses doublages dans les dessins animés et les films. Jean Bouise a joué le rôle du Capitaine Haddock  dans deux films des années 60 dont " les Oranges bleues", Christian Marin évidement  le facétieux Ernest Laverdure des "Chevaliers du Ciel". ( entre autres) . Série tournée en 1967 (?) et repassée dans les années 90, sur la 5. "La Cinq : tous les soirs, un film ".

        Peter.

         

    7
    Jeudi 14 Mars à 10:24

    Bonjour Peter,

    Il y a eu 3 séries de tournage des chevaliers du ciel, entre 1967 et 1970 avec deux génériques chantés par notre "ha que Jaunit national (RIP)" avec l'inquiétant Valery Inkijinof, acteur d'origine bouriate inhumé au cimetière russe de Saint Geneviève des Bois, comme pas mal de personnalités d'origine russes, comme Rudolf Noureev, Patrick Topaloff, deux des sœurs Poliakoff (Hélène Vallier et Odile Versois) ainsi que quelques nobles russes de la famille Youssoupoff entre autres. Marlène Jobert a joué aussi dans cette série, notamment un épisode où elle apparaissait dans une ravissante blouse nylon bleu ciel semblable à celles que portaient les guichetières des PTT de cette époque bénie.

    Bonne fin de matinée.

    Paul.



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