• La domination par le tablier, la fessée dans la domination torchonnière

    La fessée dans la domination torchonnière

     

    Un texte de votre servante Marie-Souillon

     

     

    Avertissement

     

    Comme tous les jeux de domination, ces jeux ne doivent être pratiqués qu'entre adultes éclairés et librement consentants, dans le respect des règles fixées par avance et des consignes de sécurité.

     

    Le texte est rédigé en partant du principe qu'il y a une ou des punisseuse(s) en tablier, et un ou plusieurs puni(s) habillé(s) en tenue de servante.

     

     

    Introduction

     

    La fessée est la première et la plus classique des punitions. Il n'est pas question, ici, de refaire un manuel sur les techniques de fessée. Le lecteur intéressé trouvera bien de la littérature là-dessus. Ce texte présente seulement quelques caractéristiques particulières de la fessée dans le contexte d'une soumission domestique et infantilisante. Précisons juste que la fessée dans ce contexte n'est pas la flagellation comme on la conçoit habituellement dans la sado-masochisme ordinaire, mais une façon particulière d'exciter et d'humilier le soumis par une punition qui, à l'origine, est maternelle. Et donc qu'elle, aussi, est un acte de tendresse et d'amour.

     

     

    Les grands principes

     

    Le premier principe de base, c'est que les fesses du soumis ne servent qu'à deux choses, à s'asseoir et à recevoir la fessée. Et comme on peut très bien vivre en soumis sans jamais s'asseoir, la fessée est donc la principale utilisation des fesses du soumis. Et il faut constamment que le soumis en soit convaincu. Le deuxième principe de base, c'est que le cul du soumis appartient à sa gouvernante. Le reste du soumis aussi, d'ailleurs, mais surtout les fesses. La gouvernante doit donc, régulièrement, affirmer cette possession en lui tâtant régulièrement les fesses et en l'obligeant à les lui montrer quand elle en a envie, surtout pour vérifier la rougeur et les traces de la fessées précédente.

    Il y a au moins dix bonnes raisons de fesser son soumis. Les voici, et vous pouvez y ajouter toutes les bonnes ou mauvaises raisons qui vous viennent à l'esprit. 1) Le soumis a été vilain. 2) Il a l'air d'avoir été vilain. 3) La gouvernante pense qu'il pourrait être vilain. 4) Le soumis doit se rendre compte de qui est la gouvernante. 5) La gouvernante pense que le soumis a besoin de se libérer de ses tensions en pleurant à chaudes larmes. 6) La gouvernante a besoin de faire de l'exercice. 7) La gouvernante veut exciter le soumis. 8) La gouvernante a envie que les fesses du soumis soient d'un joli rouge. 9) La gouvernante à envie de donner une fessée. 10) Le soumis a demandé à recevoir une fessée.

     

     

    Punir à regret ou avec plaisir?

     

    La gouvernante peut avoir, avant, pendant et après la fessée, deux attitudes totalement différentes.

    La première consiste à dire au puni que la gouvernante est désolée de devoir le fesser, mais qu'il le faut, pour son bien. Dans ce cas, la gouvernante va attendre que le soumis ait commis des fautes, des négligences, des impolitesses, ou quoi que ce soit d'autre. Et la gouvernante, qui aime beaucoup son soumis, et qui a le devoir de bien l'éduquer, est obligée, pour remplir ce devoir, de le fesser. Elle va exprimer ce regret avec des mots gentils, des expressions comme "C'est pour ton bien, mon chéri", ou "Si tu savais combien ça me fait de la peine de devoir te punir". Tout ceci sert à culpabiliser le puni, qui, non seulement va ressentir la honte et la douleur de la punition, mais encore se sent coupable d'obliger sa punisseuse à devoir faire acte de sévérité avec lui. Cette attitude va avec le "carnet de punitions", la "confession" du puni, éventuellement avec un barème de punitions, barème arrêté à l'avance, et qui sera appliqué strictement, et même un peu plus que strictement. C'est une attitude bienveillante, au moins en apparence. Le puni devra, d'ailleurs, fréquemment exprimer son regret pour le travail qu'il donne à sa punisseuse.

    La seconde attitude est celle de la gouvernante vicieuse et perverse, qui punit son soumis par plaisir. Et elle le dit à son puni, qui sera fessé quoi qu'il fasse de bien ou de mal, juste pour le plaisir de sa punisseuse. Celle-ci doit souvent rappeler à son puni qu'il est son objet, sa servante d'amour, qu'il n'est là que pour satisfaire ses vices, et qu'il n'a rien à attendre de sa punisseuse. Ceci ne doit pas empêcher le puni de demander sa punition, et de dire combien il est heureux d'apporter, par son cul, du plaisir à la maîtresse qu'il adore.

    Ces deux attitudes vont bien avec certains jeux de rôle, la première avec "patronne et domestique", "institutrice et élève", la seconde avec "bourrelle et prisonnier" et "servante maîtresse". Le jeu de la maman va très bien avec les deux, je pense.

    Ce qu'il faut éviter à tout prix, c'est de donner à la fessée un caractère mécanique, impersonnel, inhumain, qui serait en totale contradiction avec le style de la domination domestique.

     

     

    Quand faut-il donner la fessée?

     

    La gouvernante a le choix entre les fessées régulières et les fessées imprévues.

    Il est bon d'avoir, toujours, une fessée régulière. Il me semble qu'aucun soumis ne peut échapper à une fessée au moins hebdomadaire, à jour et heure fixe de préférence. Mais la gouvernante peut fixer des fessées plus rapprochées, voire même des fessées quotidiennes. Dans ce cas, le début de soirée est le moment le plus appropriée. Cela permet au soumis d'être encore humilié et puni après la fessée, et d'avoir la nuit pour "récupérer". La fessée "à regret" sera bien évidemment moins fréquente que la fessée "par plaisir", sauf si la punisseuse a un sens du devoir disciplinaire particulièrement aigu.

    La gouvernante peut, cependant, décider d'une fessée imprévue à son gré, c'est son droit le plus absolu. Mais il vaut mieux annoncer la fessée plusieurs heures avant sa réalisation, pour faire bénéficier le puni de l'attente et de la délicieuse angoisse qui va avec. Rien n'empêche d'ajouter des fessées imprévues aux fessées régulières, surtout si la fréquence de ces dernières est espacée.

    La fessée "instantanée", sur un "coup de colère", n'est pas recommandée. Elle manque de rituel, de préparation, de réflexion. Mais si la gouvernante est excédée par le puni, elle peut toujours agir immédiatement, à condition que cela reste exceptionnel.

    Sur le plan de la sécurité, Il ne faut pas donner la fessée immédiatement après un repas, mais laisser la digestion commencer, pour éviter que la position ou les coups provoquent nausées ou vomissements. Et, bien sûr, on ne punira le soumis que s'il est en bonne forme; on ne puni jamais un soumis malade.

     

     

    Avant la gronderie, annonces et promesses

     

    La punition en elle-même n'est que l'aboutissement d'un cheminement disciplinaire qui a débuté dès l'annonce du châtiment. Suivant les caractères de la gouvernante et du soumis, cette phase d'attente, précédant la punition, sera source d'angoisse, d'excitation voire même de plaisir bien que la crainte et l'appréhension de la punition ne soient jamais bien loin.

    La gouvernante peut donc annoncer la fessée bien avant celle-ci. S'il y a un "carnet de punitions" pour noter les fautes, chaque faute mentionnée pourra servir à annoncer la fessée. La gouvernante, alors, parlera de la fessée chaque fois qu'elle évoquera le mauvais comportement de son soumis. Et elle s'attachera à ce que, à chaque fois, le soumis acquiesce le bien-fondé de la fessée à venir.

    Si la fessée est donnée à jour et heure fixe, la gouvernante ne manquera pas de la rappeler dès la veille, ou même l'avant-veille, par exemple, puis, le jour de la fessée. La veille, elle profitera de l'heure de la fessée du lendemain pour dire que, demain à la même heure, le soumis sera puni. Le jour de la fessée, pendant toute la journée, elle ne manquera pas une occasion de rappeler la punition qui va arriver, du genre: "Dans quatre heures, tu vas recevoir ta fessée".

    Si la fessée n'obéit pas à une telle régularité, la gouvernante annoncera quand même la fessée imprévue une heure ou deux avant, pour que le soumis ait le temps de s'y préparer et de la craindre à l'avance.

    Enfin, dans tous les cas, la gouvernante n'hésitera jamais à menacer souvent de la fessée, pour que le mot "fessée" s'imprime bien dans l'esprit de son soumis.

     

     

    La gronderie

     

    Le moment de la fessée venu, celle-ci ne peut pas être donnée sans rappeler au puni pourquoi il va la recevoir, et le ramener à de meilleurs sentiments et à un meilleur comportement. C'est l'objet de la gronderie, qui va à la fois humilier le puni et le préparer mentalement à la correction qu'il va recevoir. La gronderie n'est pas la confession ni l'interrogatoire, le puni n'a pas à avouer quoi que ce soit, sa gouvernante sait bien, puisque la punition est décidée, pourquoi elle le punit. Il s'agit juste de le confronter à son mauvais comportement, à lui en faire prendre conscience, à lui faire accepter la punition. La manière dont est menée la gronderie diffère selon que la gouvernante est une punisseuse "à regret" ou "par plaisir".

    La punisseuse "à regret" commencera la gronderie doucement, en rappelant au puni combien elle souffre de devoir le fesser "pour son bien". Elle devra rappeler, dans le détail, tout ce que le puni a fait de mal ou n'a pas fait de bien. Elle pourra, bien sûr, être de mauvaise foi, la maîtresse a tous les droits. Elle utilisera des mots gentils, qui contrasteront avec le rappel des manquements du puni, et insistera sur l'amour qu'elle lui porte et qui l'oblige à le corriger. Elle pourra être au début très gentille, puisqu'elle souffre autant que le soumis d'être obligée de le fesser. Puis elle montera le ton et utilisera des mots plus durs, un air plus sévère, avant de conclure et de passer à l'acte. On sent bien qu'elle monte le ton pour se donner du courage, tant il lui déplait de punir.

    La punisseuse "par plaisir" pourra être ironique, moqueuse, commencer par des mots sévères. Elle n'hésitera pas à insulter son puni, à le rabaisser, sur un ton dur et méchant. Il n'est pas obligatoire de rappeler les fautes du puni, d'ailleurs, il n'y en a peut-être pas (rappelons que ces manquements peuvent être réels ou imaginaires, et qu'il n'appartient pas au puni de les nier). La maîtresse insistera donc sur l'amour que le puni a pour elle, et qui justifie le plaisir qu'il va lui donner en étant fessé. Puis elle pourra se radoucir, gagnée par le plaisir qu'elle va prendre à corriger son soumis, mais toujours avec des mots humiliants. Et elle expliquera, alors, combien la punition qu'elle va infliger lui apportera de jouissance.

    Pour la gronderie, la gouvernante peut être assise, le puni étant à genoux ou debout devant elle, à un mètre au moins, ou bien elle peut rester debout, le puni devant alors être agenouillé à ses pieds. L'important est qu'elle soit dans une position dominante et que le soumis soit dans une position inférieure et humiliante. Si des tenues particulières sont prévues pour donner ou recevoir la fessée, il n'est pas utile de les mettre dès la gronderie, elles pourront venir par la suite.

    La gronderie s'achèvera par la contrition du soumis, qui devra demander pardon à sa maîtresse le plus humblement possible. Il est possible de mettre le puni au piquet avant la fessée elle-même, pendant quelques minutes, que la gouvernante utilisera pour préparer matériellement la punition.

     

     

    La demande de la fessée

     

    Ce n'est pas tout d'avoir avoué ses fautes et d'avoir été grondé. Le puni doit, en plus, demander humblement sa fessée à sa punisseuse. Cette demande doit se faire selon un rituel qui mettra le soumis en condition et contribuera à sa préparation psychologique. Elle intervient immédiatement après la gronderie, ou après un intermède de piquet de quelques minutes.

    Chaque gouvernante choisira le rituel qui lui apparaît le plus humiliant pour le puni. En voici un exemple. Le puni s'agenouille devant sa gouvernante, embrasse le bas de sa blouse ou de son tablier. Celle-ci lui demande ce qu'il veut, et il répond humblement qu'il vient recevoir la fessée qu'il a mérité. La gouvernante peut alors l'obliger à la demander plus humblement encore, en se faisant embrasser les pieds, puis les genoux sur lesquels il va être couché, puis le tablier de la gouvernante dans lequel il va être allongé, puis la main qui va le tenir et la main qui va le fesser.

    C'est pendant la demande de fessée que la gouvernante pourra faire mettre au puni sa "tenue de fessée", et mettre elle-même son "tablier de fessée" s'il y a lieu. Par exemple, elle pourra dire "Je veux bien te donner la fessée, apporte-moi mon grand tablier que je mets pour m'occuper de ton cul". Et, ceci fait, le puni demandera à nouveau sa correction. Il est important de bien faire demander sa fessée au puni, pour qu'il soit bien conscient qu'il consent à la punition, qu'il l'accepte. La gouvernante pourra aussi mettre le puni à contribution pour préparer le matériel, lui apporter les instruments de la fessée, etc...

     

     

    Le retroussage et le déculottage

     

    C'est certainement l'un des moments les plus humiliants de la fessée ou tout du moins de sa préparation, et ce moment est particulièrement important dans la domination par le tablier, puisqu'il touche à ce vêtement. La plupart du temps la fessée sera donnée cul nu. Si elle ne commence pas cul nu, elle finira ainsi, en tout cas. Le déculottage n'est donc nécessaire que pour le cas, le plus fréquent, où la fessée commence cul nu. Sinon, il interviendra encours de punition.

    Le moment du retroussage et du déculottage marque vraiment le début de la fessée, avec la disparition de l'illusoire protection de la blouse et de la culotte. Le puni va ainsi montrer tout, les fesses bien sûr mais aussi le reste. Cette mise à nu doit constituer une épreuve rabaissante pour celui qui la subit. Il existe deux méthodes principales pour déculotter même si les variantes sont nombreuses.

    Le déculottage passif, c'est la méthode où la punisseuse s'occupe de mettre à nu le bas du corps du puni, qui aura donc seulement à se laisser faire docilement. Le déculottage passif rajoute à l'infantilisation du puni, qui n'a même plus la maîtrise de sa tenue. La punisseuse peut le faire soit avant que le puni soit en position, soit après. La première version est la plus humiliante. Elle peut même se faire avant que la maîtresse ait fini de tout préparer pour la fessée, ce qui laissera le puni dans cette position quelques minutes de plus.

    Dans le déculottage actif, la punisseuse ordonne au puni de se trousser et de se déculotter lui-même. Il participe ainsi à la punition qu'il accepte. Dans ce cas, le déculottage se fait avant la mise en position. Mais, pour faire durer le plaisir de l'humiliation cul nu, la maîtresse peut prendre son temps avant de commencer à frapper.

    En règle générale, le retroussage intervient en premier, avec la mise en place du dispositif de retenue du pan retroussé (épingle, bouton, ceinture, etc.). Mais il est possible aussi de retrousser la blouse seulement après que la culotte ait été enlevée. Cette dernière peut être descendue aux genoux, aux chevilles, ou complètement retirée.

    Si la punisseuse déculotte elle-même, elle commentera l'opération. Si le puni se déculotte lui-même, elle lui donnera les ordres au fur et à mesure, avec précision, et, bien sûr, commentaires. Elle pourra faire toutes les remarques désobligeantes et moqueuses pendant et après le retroussage et le déculottage. La gouvernante peut également en profiter pour caresser ou tripoter le puni, ce qui l'excitera avant la fessée.

     

     

    Les instruments

     

    Il n'est pas question de faire le tour de tous les instruments de fessée, mais seulement de dire quelques mots sur ceux que l'on peut utiliser dans une punition domestique.

    Le premier instrument est la main. La fessée administrée avec la main ouverte est sans danger mais aussi très humiliante pour un adulte qui la reçoit; il est ramené au rang de gamin ou de gamine désobéissante… Mais il faut bien dire que la fessée peut être, alors, douloureuse aussi pour la punisseuse.

    On utilise donc divers instruments, appelés "fessoirs". Plus le fessoir est rigide et de faible surface, plus il va être douloureux et laissera des marques. Plus il est souple et grand, plus il sera supportable. La fesseuse doit donc régler l'intensité et le nombre des coups en fonction du fessoir utilisé, sans oublier que la longueur du manche de l'instrument démultiplie la force du coup. On privilégiera les instruments ménagers et enfantins. Je rappelle que, par mesure de sécurité, la punisseuse doit toujours essayer sur elle-même un instrument, avant de l'infliger au puni.

    A tout seigneur tout honneur, commençons par le martinet. Le meilleur est le martinet "de bazar", au manche de bois, avec une dizaine de lanières de cuir de 40 centimètres. Les lanières doivent d'abord être émoussées, pour ne pas que les bords coupent. Elles doivent être régulièrement entretenues, ne pas être mouillées, mais être graissées ou huilées pour rester souples, et le martinet doit toujours rester pendu par le manche, lanières en bas. On peut utiliser aussi ce qu'on appelle un "flogger", qui a la forme d'un martinet, mais avec des lanières plus douces et qui font beaucoup moins mal.

    Ensuite, les fessoirs souples. Tout d'abord la classique pantoufle, que l'on a toujours sous la main, et qui, venant du pied de la gouvernante, est humiliante par elle-même. On veillera à ce que la semelle soit propre, et qu'il n'y ait rien d'incrusté dedans. Viennent ensuite les instruments de l'éducation anglaise, en cuir. Cette matière souple mais résistante lui permet d'épouser la forme de la partie à punir et de répartir l'énergie sur une surface relativement importante. C'est pourquoi ils sont généralement douloureux mais pas dangereux. Il y a aussi des imitations de cuir qui peuvent le remplacer, dans des couleurs plus gaies. La strappe (en anglais, "strap"), lanière de cuir, est l'instrument punitif le plus utilisé dans le monde. De différentes tailles, de différentes formes, elle est toujours généralement constituée d'une manche et d'une lanière de cuir plus ou moins longue (quelques dizaines de centimètres), plus ou moins large (autour de la dizaine de centimètres), plus ou moins épaisse. Bien que souvent très impressionnantes, les strappes les plus grosses sont paradoxalement les moins terribles. La tawse est un redoutable instrument disciplinaire d'origine écossaise aussi répandu chez nos amis anglais que chez notre bon vieux martinet. Sa taille est légèrement plus petite que la strappe. La forme peut légèrement varier mais elle est en général formée de deux ou trois "doigts" (comme un strappe ouverte dans le sens de la longueur) de cuir qui lui permettent de cingler efficacement les fesses. Même appliquée avec force elle est sans danger mais reste redoutable et redoutée. Ce qui fait certainement l’efficacité de la tawse c'est sa capacité à emmagasiner l'énergie et à la restituer en épousant parfaitement la surface à corriger. On peut aussi administrer la tawse sur la paume des mains.

    Enfin, les fessoirs rigides. Ils doivent être utilisés avec précaution, parce que douloureux et laissant facilement des marques. Contrairement aux objets en cuir qui épousent les surfaces à punir, les objets en bois meurtrissent en profondeur les fesses et les cuisses. Mais l'avantage est qu'on retrouve là des ustensiles de la vie courante. La brosse à cheveux est l'instrument punitif le plus employé notamment par les mères de famille et les épouses. On utilise généralement une brosse assez large, assez lourde pour corriger efficacement. On frappe, bien sûr, du côté bois, et si les poils sont doux, ils peuvent servir à des effleurements cuisants ensuite. La règle plate, en bois ou à la rigueur en plastique, sera utilisée dans le jeu de la maîtresse d'école. On peut la remplacer par un instrument de cuisine, par exemple un support à saucisson, en utilisant le côté plat et pas le côté rainuré. La cuillère en bois, la spatule de cuisine sont des instruments de formes variées, et suffisamment légers pour ne pas marquer s'ils sont employés avec précaution. La cuillère a un côté creux et un côté bombé, ce qui permet de varier les effets; certaines sont trouées, ce qui laisse une jolie marque. La spatule est plate et plus large. Pour les fessées sévères, la planche à découper (ou plutôt la planchette), beaucoup plus lourde, sera maniée avec précaution, mais il faut dire qu'elle est particulièrement impressionnante. Elle remplace, dans la domination domestique, le paddle américain. Enfin, le battoir à tapis (ou "tape-tapis"), moins sévère que la terrible planche à découper, ne manque pas d'un certain esthétisme; et il touche les deux fesses en même temps. On préfèrera l'entrelacs de trois boucles de rotin ou d'osier. La gouvernante le maniera avec précaution, vu la longueur du bras qui démultiplie la force. Ses coups doivent être amples et aériens, mais attention, plus le manche est long plus la force est démultipliée et la punition sévère. Le battoir à tapis évoque l'idée que la gouvernante nettoie le puni de ces fautes.

    La canne anglaise, la badine, la cravache, le paddle, le chat à neuf queues, le knout, les fouets ne doivent jamais, jamais être employés dans le cadre d'une punition domestique; je range les verges dans la même catégorie. Tous ces instruments sont trop proches de la punition judiciaire, du dressage animal ou de la torture pour avoir leur place dans la domination torchonnière: il convient de bien marquer la différence entre la discipline domestique et le sado-masochisme. De même, on ne frappera jamais avec du métal, ni avec rien qui puisse être coupant sur les bords.

    Les instruments punitifs sont nombreux et ne sont limités que par l'imagination de la punisseuse. Je rajouterais donc à cet énoncé classique la tranche de viande, qui imite parfaitement la main sans faire mal à la paume de la gouvernante (bien la presser avant pour éliminer le sang), le saucisson long et dur, le grand torchon plié en quatre ou en huit, mouillé et essoré, la nappe de coton roulée, qui ne fait pas vraiment mal. Toujours dans les accessoires ménagers, certains instruments de cuisine en plastique, qui peuvent être détournés de leur usages pour rougir un cul, regardez tout ce que vous avez dans la cuisine avec un œil neuf, vous serez surpris.

    Et n'oublions pas, pour les phytothérapeutes, la fessée aux orties.

     

     

    Les positions pour bien administrer la fessée

     

    La position du puni doit être inconfortable, mais pas trop, pour lui, confortable pour la gouvernante, et, en plus, humiliante et infantilisante. Pour que la punisseuse puisse voir les réactions du puni, elle peut placer un miroir devant lui, ou utiliser un système de vidéosurveillance pour bébé.

    Le puni couché en travers des genoux est la position la plus classique pour administrer une fessée notamment manuelle. Le puni est couché en travers des genoux de la gouvernante, son bassin dans le tablier de la maîtresse, entre ses cuisses. Dans cette position symbolique, fesses en l'air et tête en bas, toute résistance est difficile. Elle est facile à mettre en œuvre, elle permet le retroussage et le déculottage même après la mise en position. Elle est idéale pour la fessée manuelle mais aussi la brosse à cheveux, la cuillère en bois, le torchon mouillé. Par contre, il est difficile de maintenir le puni en en cas de forte gesticulations.

    Une variante consiste pour la punisseuse de ne pas s'asseoir sur une chaise mais sur un canapé ou sur le bord d'un lit. Ainsi le puni peut prendre appui dessus et ne plus avoir la tête en bas. Une autre variante consiste à coucher le puni sur une cuisse, et à passer l'autre cuisse sur ses jambes, pour mieux le maintenir. Autre variante, le puni couché sur un seul genou de la fesseuse, la tête entre le corps et le bras de celle-ci. Et, enfin, le puni avec les cuisses de chaque côté des hanches de la fesseuse, la tête en bas sur les pieds de celle-ci. Une troisième variante, la fesseuse debout, un pied appuyé sur un marchepied, elle courbe le puni sur sa cuisse en tenant son torse sous son bras... Mais il faut de la force!

    Plus inconfortable pour la fesseuse: elle reste debout, cuisses écartées, le puni à genoux ou penché en avant, tête entre ses cuisses. Ou, mieux, le puni à quatre pattes et la gouvernante assise sur son dos.

    Autres positions plus pratiques: le puni courbé en prenant appui sur un meuble: une table, une chaise. Cette position est facile à mettre en œuvre, pratique pour toutes les fessées administrées avec un instrument tel que la strappe ou le martinet. Elle est assez confortable tant pour le puni que pour la punisseuse. Cette dernière a peu de contrôle des mouvements du puni, mais il est possible de lui attacher les chevilles aux pieds de la table. Quand le puni est attaché face à une table, il convient de mettre de torchons ou une nappe entre lui et le bord de la table, pour que celui-ci ne le blesse pas.

    Le puni peut aussi être mis à genoux, au sol, ou sur une chaise pour assurer la bonne hauteur pour la fessée. Cette position permet à la fesseuse de lui tourner autour pour varier les angles de vue. Elle permet d'infliger au puni une contrainte supplémentaire, comme les mains sur la tête. Elle est pratique pour fesser avec un instrument tel que la strappe ou le martinet. Mais le puni est quasiment libre de ses mouvements...

    Le puni peut aussi être couché sur un lit, ou sur une grande table. Cette dernière méthode est très employée dans la discipline domestique car elle permet de nombreux type de fessées. De plus pour les fessées les plus sévères, il est possible d'entraver le puni voire de l'attacher entièrement pour le maintenir durant la punition. Cette position, facile à mettre en œuvre, permet un très bon contrôle du puni dans le cas où l'attache et convient aux fessées avec instruments. Mais les fesses sont peu proéminentes, il faut donc surélever le bassin du puni avec une pile de torchons pliés.

    Enfin, il y la position du puni couché sur le dos et jambes relevées, dite "diaper position" par référence à la position d'un bébé à qui l'on changerait sa couche. Elle est particulièrement humiliante car les parties intimes du puni sont complètement exposées. Elle permet un bon maintien du puni qui ne peut pas gigoter des jambes (encore moins s'il y a au plafond un dispositif pour attacher les chevilles), et c'est la seule position permettant à la punisseuse de voir directement à la fois les effets de la fessée sur les fesses et de voir les réactions du puni. Mais elle est assez difficile à mettre en œuvre.

    Les autres positions, penché en avant mains aux chevilles, attaché face au mur, pendu par les bras, etc., sont trop sadiques pour être compatibles avec la domination torchonnière.

     

     

    La durée de la fessée

     

    Il est évident que la durée de la fessée est fonction de la sévérité de celle-ci, du ou des instruments utilisés, et de la position du puni. Tout dépend du style de fessée, une bonne correction rapide et intense, ou alors un châtiment plus lent, sachant que la domination torchonnière doit privilégier la longueur de la fessée et son caractère humiliant, plus que la douleur. On peut "mesurer" la fessée soit en durée de temps, soit en nombre de coups. La durée de temps est plus adaptée pour la fessée à la main, ou avec un instrument "léger", le nombre de coups est adapté avec le martinet, la strappe, etc.

    Pour la fessée gérée en temps, il est difficile de donner une idée de la bonne durée, puisqu'elle dépend de la fréquence des coups. Et cette fréquence peut varier pendant la fessée, s'accélérer, se ralentir, comme d'ailleurs l'intensité des coups peut varier. Disons qu'une fessée ne saurait durer moins de dix minutes, et que, après une bonne demi-heure, la fesseuse doit se lasser. Que le puni se lasse ou pas, vous l'avez compris, ça n'a pas d'importance. La fesseuse pourra, dès le départ, annoncer la durée de la fessée. Elle peut dire "quinze minutes", ou dire "jusqu'au début de mon émission préférée à la télévision", l'important est que le puni sache qu'il y a une durée prédéfinie. Mais la fesseuse peut ne rien dire, et alors l'angoisse de l'incertitude sur la durée va rendre la fessée encore plus pénible. On peut compter le temps avec un minuteur de cuisine, un sablier, un gros réveil... On peut mettre celui-ci sous les yeux du puni, pour qu'il puisse espérer la fin, ou ne pas lui laisser voir. Une fois le temps écoulé, la fesseuse peut continuer à fesser, c'est elle la maîtresse, seule son bon plaisir doit compter. Elle peut aussi, pendant la fessée, dire combien de temps il reste à faire, et, bien sûr, elle peut dire la vérité ou mentir.

    Pour la fessée gérée en nombre de coups, le principe est le même en ce qui concerne l'annonce du nombre. Si le nombre est annoncé, il n'y a pas d'incertitude pour le puni, qui compte les coups dans sa tête. Mais, là aussi, la fesseuse n'est pas obligée de respecter ce qu'elle a dit. On peut annoncer le nombre de coups en général, ou le nombre de coups par fesse (excepté, bien sûr, si la fesseuse utilise un fessoir comme le tape-tapis ou une grande strappe, qui couvre les deux fesses en même temps). Je pense qu'on ne peut pas parler de fessée s'il y a moins d'une douzaine de coups, et que, au-delà d'une centaine de coups, on quitte le domaine de la fessé domestique. Bien sûr, le nombre de coups varie suivant l'instrument utilisé, le martinet, les fessoirs souples et légers permettent plus de coups, pour une même sévérité de punition, que des fessoirs lourds et rigides.

    La fessée peut être mixte, du genre "un quart d'heure à la main sur les genoux, un 50 coups de martinet penché sur la table". Mais la durée de la fessée dépend, essentiellement, de savoir si la fesseuse veut seulement bien lui cuire les fesses du puni, ou bien aller jusqu'au bout, et lui faire perdre tout son contrôle. Dans le premier cas, il est évident que la durée est une chose pertinente, il suffit de frapper moins fort à la fin. Dans le second cas, seul le résultat compte, et il vaut mieux ou bien ne pas fixer de durée, ou bien ne pas la fixer trop longue, et la rallonger ad libitum jusqu'à l'acquisition du résultat.

    La fesseuse peut, bien sûr, sans manquer à son devoir, et sans que cela soit considérer comme la fin ou l'interruption de la fessée, faire des pauses de quelques dizaines de secondes pour se reposer.

     

     

    Quelques précisions sur le déroulement d'une fessée torchonnière

     

    Je le répète, la fessée à deux utilités, conjointes ou séparées: corriger le puni pour l'améliorer, et satisfaire la punisseuse. Dans les deux cas, il s'agit de châtier mais pas blesser, même si parfois les traces d'une bonne correction durent quelques jours.

    La fessée peut se découper en cinq étapes, mais la fesseuse n'est pas obligée de faire les dernières. La première étape est celle de l'humiliation et du premier chauffage de fesses. La douleur n'est pas très importante, mais le puni est mis en position de soumission honteuse. Puis vient la deuxième étape, où la fessée commence à se faire sentir, à chauffer les fesses, à être cuisante, et le puni commence à se plaindre. Ensuite, troisième étape, ça commence à faire très mal, mais le puni arrive à se contrôler, ce qui ne doit pas l'empêcher, bien sûr, d'exprimer ses regrets et sa douleur. La quatrième étape est celle où le puni tente désespérément de se maîtriser, de ne pas craquer, et où il tâche de garder son contrôle et sa dignité, même s'il exprime encore sa douleur. Et la cinquième et dernière étape est celle où il ne se contrôle absolument plus, où, tout honte bue, il n'est plus qu'une pauvre petite chose, qui va peut-être même ne plus pouvoir contrôler son corps, ses larmes, ni même sa vessie... C'est à partir de là que la fessée va véritablement l'apaiser.

    Une fessée "ordinaire" s'achève à la troisième étape. Une fessée gentille, un "fessouillage" tendre et excitant, s'arrêtera à la fin de la deuxième étape, sans faire très mal. La fessée qui va jusqu'au bout de la cinquième et dernière étape est une fessée sévère, un "fessardage". En aucun cas la fessée ne doit s'arrêter à la quatrième étape: ce serait une victoire du puni. Donc, si la fesseuse décide de le faire craquer, elle doit aller jusqu'au bout, quoi qu'il lui en coûte.

    Pour la punisseuse, dans le cadre torchonnier, il est recommandé que la fessée commence toujours par quelques caresses sur les fesses, et s'achève de la même façon, même si un fessoir a été utilisé, et même si la cinquième étape est atteinte.

    Pendant la fessée, s'il n'est pas attaché, la fesseuse devra faire face à des gigotements frénétiques du puni, qui essaie d'éviter les coups, de les amortir. En plus du cul, les jambes aussi vont s'agiter dans tous les sens. Ces gigotements, ces trémoussements, portent le nom poétique de "danse du cul". Les voir est un des plus grands plaisirs de la fesseuse. La vigueur plus ou moindre grande des coups, leur emplacement, leur cadence lui permettront de chorégraphier à son idée cette valse culière.

    Le puni va, après quelque temps, commencer à gémir, à geindre, à pleurnicher, à pleurer, à sangloter à chaudes larmes, à crier. Cela est normal, c'est la preuve que la fessée produit ses effets. Ses larmes le libèreront et lui feront le plus grand bien. Il va aussi supplier, demander pardon, promettre d'être gentil, promettre de faire tout ce que sa punisseuse voudra, aussi pénible et dégradant que cela puisse être. C'est très bien, il est important que le puni s'humilie et se rabaisse ainsi. Mais rien ne doit décourager la fesseuse d'accomplir son devoir, si elle fesse par devoir. Et si elle fesse par plaisir, ce plaisir sera augmenté par les supplications du puni.

    Pendant qu'elle fesse, la punisseuse peut soit rester silencieuse, et concentrée sur sa fessée, soit parler, que ce soit pour répondre à son puni ou non. Elle continuera la gronderie qui avait précédé la fessée, bien évidemment. Elle pourra soit exprimer ses regrets de devoir punir, tout en continuant à le faire, soit faire état du plaisir que lui cause la souffrance de sa victime. Aux demandes de clémence, aux supplications, aux promesses, elle répondra par un refus ferme accompagné de mots tendres, ou bien par les plus insultantes et les plus ridiculisantes des moqueries. Et s'il demande pardon, la fesseuse lui répondra "Ne t'inquiète pas, tu seras pardonné, mais seulement à la fin de ta punition!"

    Pendant la fessée, si la punisseuse fait des pauses, elle pourra en profiter pour caresser les fesses, ce qui accentuera la douleur, ou par les rafraichir avec un torchon mouillé d'eau fraiche, apaisement provisoire qui ne fera que renforcer la cuisance des coups qui suivront.

    Pour savoir si la fessée est réussie, il faut regarder les réactions du puni, d'abord, et l'état des fesses, ensuite. Les réactions du puni dépendent beaucoup de sa personnalité. Il peut avoir pour idée de réduire ou adoucir sa punition, en "surjouant" les gesticulations, les cris, les supplications. Mais sa gouvernante le connait bien, il lui sera difficile de feindre complètement et son attitude, ses grimaces, ses larmes seront facilement déchiffrées par sa punisseuse qui l'aime tant. Quant à l'état des fesses, la punition laisse des traces qui dépendent de l'instrument utilisé mais aussi de l'intensité et de la durée de la punition. Plus les fesses sont marquées et tournent au rouge vif plus la fessée a été forte et douloureuse, le signal est facile à interpréter. La combinaison entre l'état des fesses et la réaction du puni permet à la fesseuse de décider quand la fessée a été suffisante.

    Enfin, quand la fesseuse décide que la punition est finie, et qu'elle libère le puni de sa position inférieure, celui-ci doit, quelle que soit sa douleur, remercier humblement sa punisseuse, premièrement d'avoir bien voulu le punir, deuxièmement d'avoir eu la bonté d'arrêter la punition. Les remerciements peuvent s'exprimer, concrètement, de la même manière que la demande de fessée.

     

     

    La consolation et l'apaisement

     

    Une fois la fessée finie, il est important que la punisseuse console, réconforte, câline le puni. Certes, la douleur est toujours là, et parfois même elle augmente encore pendant quelques minutes. Ces quelques minutes font encore partie de la punition, ou plutôt sont la transition entre la punition et la fin de celle-ci, c'est le moment de la consolation et, éventuellement, du piquet.

    Une fois la punition administrée, la faute est pardonnée et il est indispensable que ce pardon se concrétise par des actes de tendresse et d'amour. C'est le dernier acte de la punition torchonnière parce que, contrairement aux punitions scolaires ou judiciaires, ces punitions sont des actes d'amour. Toute cette phase de consolation doit se faire alors que le puni a encore les fesses rouges et cuisantes, tout l'intérêt est dans le contraste entre la douleur qui persiste et la gentillesse de sa gouvernante à ce moment-là.

    La fesseuse pourra commencer par une phrase, du genre "Allons, c’est fini. Quand on a reçu sa punition, la bêtise est oubliée et pardonnée… jusqu’à la prochaine fois." A elle de choisir les mots, les expressions, le ton qui, tout en restant dans la logique de la gronderie initiale, seront les plus à même à la fois de consoler le puni, de lui faire encore mieux accepter la punition a posteriori, et de lui donner l'envie perverse dans recevoir une autre.

    Le puni qui pleure sera gentiment essuyé et mouché, pris sur les genoux de la fesseuse, dans ses bras. C'est le moment où elle pourra l'embrasser, que ce soit des baisers tendres ou un vrai baiser sur la bouche. Le puni pourra aussi, librement, embrasser sa fesseuse, là où elle lui offrira sa peau douce. Il pourra se servir de ses mains pour caresser sa fesseuse, sur ses vêtements ou en-dessous, sur la peau nue de celle-ci. La fesseuse pourra aussi caresser le puni partout où cela lui fera plaisir.

    C'est le moment aussi, pour la gouvernante, de faire jouir son puni. Sa culotte encore baissée et sa blouse encore troussée, son sexe pourra être l'objet d'autant d'attentions gentilles que ce que son cul l'a été de coups sévères. La gouvernante peut, à ce moment, branler le puni, plus ou moins longuement, et le faire jouir dans sa main ou dans un torchon. Si la fessée a été donnée couché sur la table, elle pourra mettre le puni, délicatement, sur le dois, pour le sucer et le faire jouir dans sa bouche. Qu'aucune maîtresse ne se choque de cette idée de sucer son soumis: une dominatrice, aujourd'hui disparue, disait que jamais une femme n'a plus de pouvoir sur un homme que quand elle le suce.

    Ce n'est qu'une fois que le puni aura été bien consolé, que la fessée sera bien devenue, pour lui, un moment de bonheur, qu'il pourra aller au piquet. Mais certaines punisseuses envoient au piquet d'abord, et consolent ensuite.

    Mais ce n'est que tout à la fin que la fesseuse pourra calmer la douleur de ses fesses avec un torchon passé sous l'eau froide, une poche de glace, ou une lotion apaisante. Ce traitement final sera, comme il se doit, fait avec beaucoup de tendresse et d'amour, le puni confortablement installé, soit en travers des genoux comme pour la fessée, soit allongé à plat ventre.

     

     

    Questions et réponses

     

    - Question. Quand faut-il utiliser le tablier de caoutchouc, de PVC ou de toile cirée pour fesser?
    Réponse. Il y a deux cas, celui où le puni risque de faire pipi ou d'éjaculer pendant la fessée (en principe, on connait ces petits vicieux), et le cas où la fesseuse veut rendre la punition plus inconfortable.

    - Question. Que faut-il faire si le puni bande? Réponse.
    Rien, il faut continuer comme si de rien n'était, c'est plutôt bon signe.

    - Question. Le puni peut-il être entièrement nu?
    Réponse. Oui, si la gouvernante pense que cela ajoute agrément et humiliation à la fessée. Mais je préfère quand même la tenue de servante pour le puni.

    -  Question. Faut-il lier les mains ou les pieds du puni?
    Réponse. C'est possible, surtout les pieds si on veut l'empêcher de trop bouger, et les mains pour lui enlever la tentation de se protéger les fesses. On utilisera des torchons pour ça.

    - Question. La gouvernante peut-elle donner une fessée sans aucune raison?

    Réponse. Bien sûr, elle a tous les droits sur les fesses de son soumis.

    - Question. La gouvernante peut-elle donner des claques sur le cul de son soumis, ou sur ses cuisses, en dehors des vraies fessées?
    Réponse. Oui, mais elles ne remplacent pas la punition organisée, ces claques sont plutôt des gestes affectueux ou des rappels à l'ordre venant renforcer ce que dit la gouvernante.

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  • Commentaires

    1
    Charles
    Dimanche 3 Mars 2019 à 10:39

    Bonjour à vous,

    Excellent scénario pour une BD expliquant les motifs et les étapes d'une fessée. Instructif. Dommage de ne pas l'avoir illustré. Mais votre Blog est assez riche en fessées diverses pour se les imaginer.             Charles.

      • Dimanche 3 Mars 2019 à 16:58

        J'accepte toutes les illustrations qu'un artiste pourrait faire à mes récits, et je les insère ensuite. Avis aux amateurs! smile

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    2
    Solange
    Samedi 16 Mars 2019 à 16:35
    Bonjour,
    Il y a un moment que je ne suis pas venue ici,manque de temps. Mais comme toujours,tu es parfaite dans tes ecrits,tes publications et ton partage.
    Je profite de ce message pour savoir oû se proccuerer des tabliers fantaisie en plastique translucide comme sur beaucoup de photos que je voies sur le site. Ma preference reste au nylon mais avec du pvc les jeux sont tout autres. De plus sur une blouse en nylon je pense que se doit etre du plus bel effet.
    Bises à toute et tous.
    Solange grosse cochonne en blouse nylon.
    3
    Aimefouet4911
    Mercredi 13 Janvier 2021 à 14:55
    J'ai adoré votre texte et surtout les parties où vous faîtes la distinction entre " fessée de maintenance ", fessée pinitive et fessée administrée par plaisir par la compagne dominatrice. Je rêve depuis toujours d'une femme qui m'impose un tel traitement selon la procédure précise que vous décrivez quoique je serais partisan de me voir ensuite administrer encore une centaine de coups de cravache et une autre avec un fouet après les cris et les pleurs pour bien ressentir le pouvoir que ma compagne aurait sur moi et ne se laisserait pas impressionner par la douleur que je ressens et qui est en definitive le but du jeu lorsqu'il s'agirait de me punir. Malheureusement, je n'ai jamais eu le bonheur de rencontrer une femme dominatrice qui prenne plaisir à me fouetter. Avis à toutes les candidates éventuelles ( et pourquoi pas à vous !?) qui souhaiteraient rencontrer un soumis mourant d'envie de rencontrer un soumis convaincu de la supériorité et de la suprématie féminine. et
      • Jeudi 14 Janvier 2021 à 11:25

        Merci pour ce commentaire. Mais je ne suis pas une femme, je ne suis pas libre, et je n'aime pas le fouet cool



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