• La catastrophe et la punition

    Un récit de Claudinette… dont j'ai abondamment corrigé l'orthographe, et que j'ai à peine agrémenté.


    La catastrophe et la punition

     

    Voici déjà la catastrophe.

    Alors que Maitresse expérimentait sur moi un nouveau dispositif à lavement, en remplacement la poire, avec une poche suspendue avec tuyau et canule qu'elle enfonçait dans mon anus.

    J'étais couché sur le dos, jambes largement écartées renversées en arrière pour lui donner une bonne visibilité sur mon petit trou. J'ai senti le liquide me pénétrer profondément et abondamment, c'était d'ailleurs une sensation assez agréable, quand tout à coup j'ai senti que je n'allais pas pouvoir me retenir, je lui ai dit d'arrêter, le temps qu'Elle trouve comment faire, trop tard j'ai tout lâché!

    Heureusement Elle portait des gants en latex et un tablier mais j'en ai mis partout sur le sol de la salle de bain!

    Une heure de nettoyage et la menace d'une sévère punition pour cet acte intolérable!

     

    Et voici maintenant la punition

    Comme j'ai du le dire précédemment, la mise en œuvre d'une punition est toujours réalisée selon un rituel. Quelquefois sur plusieurs jours.

    Cette fois cela à commencé après le repas de midi. Je me préparais à faire une petite sieste, Maitresse me rejoint, portant le même tablier que lors du lavement, avec dans les mains une couche culotte renforcée à l'intérieur par une épaisse couche droite.
    – «Puisque tu te comportes comme un "bébé cochon" ( ce sont ses propres mots!) tu vas être traité comme tel!

    Elle me fait mettre tout nu, m'enfile la couche puis une culotte plastique.... Elle me fait coucher sur le dos, me fait boire un biberon, me mets une tétine dans la bouche, enlève sa culotte et me la met sur la tête puis me prévient:
    – «Je te mets la couche par précaution, n'en profite pas pour faire pipi dedans! Sinon gare à toi tu aggraves ton cas car de toute façon tu sais que tu dois être puni pour ce que tu as fais hier dans la salle de bains.»

    Comme je reste silencieux et tout tremblant, je reçois une gifle:
    – «Qu'est ce qu'on dit à Maitresse?»
    – «Oui Maîtresse adorée...»

    Et elle sort de la pièce en fermant la porte à clef.
    J'ai dormi ….

    Une heure après, elle m'interroge:
    – «Qu'as tu fais dans ta couche?»
    – «Rien Maîtresse, je vous jure» 

    Elle tâte ma couche pour vérifier et m’ordonne de me préparer pour sortir.
    – «Avec ma couche Maîtresse?»

    – «Oui ...et comme il fait chaud, mets ton grand short, ça se verra à peine.»

     

    Nous allons dans une galerie marchande où il y a un café. Je dois aller prendre la commande, revenir avec le plateau en marchant jambes un peu écartées à cause de la couche, horriblement gêné avec la crainte que cela se voit.

     

    Elle m'observe déambuler avec un sourire mi-cruel mi-goguenard... Elle me fait boire un grand coca. Elle me dit:
    – «Quand tu sentiras le pipi venir, dis le moi, lèves-toi, place-toi devant moi à quelques mètres, regardemoi dans les yeux et fais ton pipi, bébé cochon!!!»

     

    C'est ce que j'ai fait quelques minutes plus tard avec grande honte et une excitation montante dans ma couche quand j'ai senti le liquide chaud se répandre dans mon bas ventre et entre mes fesses.

    Elle m'ordonne de ma rasseoir, et m'explique la suite des évènements.
    – «Nous allons rentrer à la maison, et je vais te punir, et comme il fait chaud tu recevras ta correction dans le garage. Tu prépareras la corde pour te suspendre au crochet dans la poutre. Je veux que tu règles la tension de la corde pour que une fois installé tu sois sur l’extrême point de tes pieds ton corps tout nu bien tendu. Et alors tu recevras successivement 50 coups de tous les instruments que je vais te décrire.»

    Maitresse fait exprès de m'expliquer tout cela en détail avant pour provoquer en moi la terrible angoisse/excitante qui précède l'exécution de la punition. Ça marche très fort et je me mets à trembler en l'écoutant.

    Elle énumère les instruments:
    – «Dans l'ordre et la graduation voici, du moins douloureux au plus dur, avec quoi je vais te punir. D'abord la palette de plastique, qui chauffe bien. Puis la palette en bois très dure, suivi du martinet qui te cinglera partout, pas seulement sur les fesses, et puis après la cravache.»

    Arrive ce qui me fait le plus peur, les deux derniers:
    – «Et je terminerai avec la canne de bambou, avec ses aspérités qui font des marques, et la poignée de verges.»

    C'est sa spécialité, la poignée de verges, que je dois confectionner à chaque fois: couper des rejets de peuplier minces et flexibles de soixante centimètres, au nombre de six, les assembler à l'aide d'un nœuds de pipe (oui!) ou noeud de capucin qui constitue ensuite une poignée facile à tenir par Maitresse. Vous imaginez ce que 6 badines peuvent produire sur mes pauvres petites fesses!

     

    Nous rentrons à la maison, et tout de suite les ordres claquent:
    – «Prépares tout!»
    – «Déshabille-toi mais garde ta couche pour le moment!» 
    – «Habille-moi!»

    Comme il fait chaud je lui met une mini culotte en tissu plastifié rouge tenue sur le coté par deux anneaux, un mini soutien-gorge du même tissu, des leggins de la même matière rouge brillante, des sandales à hauts talons laissant voir les ongles rouges écarlates, c'est moi qui lui mets le verni et les lèvres aussi.

    Ainsi parée Maîtresse est terriblement belle, impressionnante et excitante, mon clito se tend dans la couche mais il est coincé et justement un nouvel ordre m'est donné:
    – «Enlève la culotte plastique, et la couche, fais moi voir le contenu. Sale cochonne! Tout jaune! Met la couche sur ta tête de manière à ce que le contenu bien mouillé soit sur ta bouche.»

    Elle serre le tout avec une petite ceinture pour que ça tienne bien et fasse office de bâillon.

    Puis Maîtresse me fait mettre à quatre pattes et me guide vers le garage en me tenant par les cheveux qui sortent de la couche.

     

    Elle me pose des bracelets aux poignets, les réunit par un lien, descend la corde au bout de laquelle il y a un mousqueton qu'elle passe dans le lien, puis elle tend la corde jusqu'à ce que je sois sur la pointe des pieds. Elle attache l'autre extrémité de la corde à un autre crochet.

    Me voilà terrifié dans une fâcheuse posture... mais qui je l'avoue m'excite aussi terriblement.

     

    Alors commence la correction bien méritée tant redouté et tant attendu…

     

    Et ici s'achève le récit de Clodinette qui, une fois de plus, laisse en plan nos lecteurs!

    Mais elle m'a écrit la suite, la voici…

     

    J'ai terminé la première partie en indiquant que j'hésitais à décrire la terrible punition, méritée qui avait suivi la catastrophe de mon rejet brutal d'un lavement non contrôlé devant Maîtresse, pour ne pas choquer les âmes sensibles, mais que si des courageux souhaitaient quand même prendre le risque de lire la suite, qu'ils veuillent bien me le signaler.

    Tatie chérie, ma lectrice et correctrice adorée et préférée m'ayant mise en demeure d'écrire la suite de cette terrible aventure, je vais vous décrire la correction que j'ai reçu pour mon comportement inqualifiable.

    Les autres lecteurs(trices) trop sensibles à ce genre de descriptions horrifiques ne doivent pas continuer à lire, ou alors à leur risques et périls et je rejette toutes responsabilités en cas de de malaise ou traumatismes psychologiques provoqués par cette lecture.

     

    Donc je suis suspendu par une corde à un crochet, spécialement fixé sur une poutre de mon garage à cet effet. En réalité pas vraiment suspendu, la tension de la corde étant réglée pour que je sois sur l’extrême pointe de mes pieds; car Maîtresse tient à préciser que les corrections méritées qu'Elle m'inflige ne sont pas des tortures. Pas du tout, mais toujours des traitements salutaires au besoin naturel que j'éprouve de souffrir par ses adorables mains fines mais très fermes, ce qui me procure plaisir et jouissance incomparable.

    Dans cette position, mes fesses sont idéalement bien exposées et offertes aux coups des divers instruments que Maîtresse va utiliser.

    Je rappelle qu'à ce moment j'ai toujours ma couche sale sur la tête, habilement placée de manière à ce que la partie gorgée de pipi soit enfoncée dans ma bouche pour faire office de bâillon, et que néanmoins je puisse voir et admirer ma splendide Maîtresse en action.

    C'est ainsi que je la vois choisir le premier instrument qu'Elle va utiliser pour faire rougir mes fesses: une palette en plastique noire, souple et fine qui normalement sert à retourner les croquettes dans la poêle.

    Elle s'approche lentement en tapotant la paume de sa main, Elle a entrouvert sa longue blouse pour me laisser admirer ses dessous rouge brillant, elle a un sourire un peu cruel et dit d'une voix charmeuse:
    – «Qui c'est qui va goûter de cette belle palette sur son postérieur?»

    Je m'empresse de bredouiller une réponse peu compréhensible à cause de la couche sur ma bouche:
    – «C'est moi Maîtresse» car je sais que si je ne réponds pas la punition risque d’être plus dure.
    – «Et pourquoi il va être puni ce sacripant?»

    – «Parce que j'ai été vilain Maîtresse.» 

    Un premier coup tombe sur mon cul et elle dit:
    – «Plus que vilain! Un sale bébé cochon qui à rejette son lavement devant moi! Et qui fait plein d'autres bêtises comme aller s'exciter sur des sites olé olé comme "zitbiz" et "tabliers et torchons".»

    Elle tourne autour de moi en frôlant mon corps frissonnant du bord de la palette. Elle s’arrête derrière moi... lève la palette... la laisse en suspens quelques seconde angoissante pour moi...enfin les coups de palette s’enchaînent alors sur mes fesses et je commence à me tortiller et à gémir! Elle prévient:
    – «Tais-toi, je ne veux pas t'entendre geindre. Je ne fais que commencer! Plus tu couineras comme un cochon que tu es plus je taperais fort!»

    Je serre les dents sur la couche mouillée! Cette palette n'est pas très douloureuse, elle a pour but de bien chauffer ma peau et de la faire    rougir rapidement.

    Elle s’arrête pour changer d'instrument c'est maintenant le martinet que Maîtresse manie avec maestria et pas seulement sur mes fesses, mes cuisses, mon dos, et comme je me mets à tournoyer au bout de ma corde, mon ventre et ma poitrine n'échappent pas aux lanières cinglantes… Elle ralenti la cadence et énumère lentement «48...49.....50.»   

    Normalement le régime est de cinquante coups de chaque instrument et à ce stade je me dis:
    – « Ouf c'est terminé pour celui-là» et je souffle «merci Maîtresse.» 

    Elle se place devant moi, écarte bien la couche de mes yeux pour que je la vois bien, enlève complètement sa blouse pour que je puisse admirer son corps, ce qui provoque un redressement de mon sexe! Elle s'en aperçoit et dit:
    – «Ça t'excite mon cochon mais compte tenue de la gravité de ta faute aujourd’hui je vais dépasser la posologie(!) d'ailleurs je ne compterai pas!»

    Et Elle reprend le « fouettage » au martinet.

    Enfin elle s’arrête et dit calmement:
    – «Nous allons maintenant passer aux choses sérieuses!»

    Elle saisit la canne de bambous que je crains beaucoup à cause de sa raideur et des nœuds laissées qui me déchirent la peau!

    Je ne sais pas combien de coups j'ai reçu de cette canne et malgré l'avertissement et mes dents serrées sur le tissu de la couche, je n'ai pas pu retenir des profonds gémissements.

    Elle dit:
    – «Terminé, pour le moment, je vais aller me rafraîchir un peu car cela me donne chaud et te donner le temps de réfléchir à tes mauvaises actions et prendre des bonnes résolutions pour devenir un bon garçon à l'avenir.»

    – «Oui Maîtresse je promets… !»

    Elle sort du garage en riant!

    Longtemps après… le temps de me laisser me morfondre, et bien ressentir la douleur de mes poignets tiraillées et meurtris et appréhender la suite des événements.

    J'entends le bruit de ses talons, je suis content mais je me remets à trembler: que va-t-il se passer?

     

    Elle a mis un tablier, et des gants en latex, Elle tient dans ses mains un tube de lubrifiant (heureusement!) et un gros plug qu'Elle brandit sous mes yeux. Puis Elle écarte ma fesse d'une main et avec ses doigts gantés. Elle enduit l'entrée de mon petit trou avec le lubrifiant, et introduit profondément le plug dans mon anus.

    – «Voilà qui doit te plaire mon petit vicieux pour subir le dernier instrument de la punition:  la poignée de verges!»

    Rien que le mot me fait frémir.

    A l'occasion de chaque correction, je dois confectionner moi-même cet objet. Je coupe des rejets de peuplier, 6 baguettes de 60 cm environ que j'assemble avec une cordelette et un nœud de pipe (!) ou nœud de capucins qui constitue une petite poignée pour la main de ma Maîtresse.La catastrophe et la punition

    Je crains vraiment cet instrument qui cingle très fort et marque mon fessier de stries rouges.

    Après je ne sais combien de coups de cette terrible poignée de verge … je me suis mis à pleurer en suppliant Maîtresse d’arrêter, mais Elle n'entendait pas à cause de la couche mouillée dans ma bouche… Je n'ai pas pu me retenir et j'ai fait pipi ce qui qui a provoqué une recrudescence ce des coups.

     

    Enfin la correction s'est terminée... Elle m'a détaché, enlevé la couche, m'a fait coucher par terre, s'est placée au-dessus de moi jambes écartées, tiré sa petite culotte rouge, j'ai eu le temps de voir sa vulve ouverte avant que le flot de son champagne doré m'asperge tout le corps et vienne surtout inonder mon visage, me fermer les yeux, et emplir ma bouche gourmande!  J'avais le droit de me caresser en même temps.

    C'était ma récompense !

     

    Épilogue:

    Après une bonne douche, mon adorable Maîtresse qui est la plus gentille des personnes m'a fait allonger à plat ventre sur le lit et a tendrement et doucement frictionné mes fesses avec de l'huile d'arnica!

     

     

    Cette punition n'ayant pas été filmé, je mets quand même une photo de vidéo d'une autre correction dans le garage; bien que les tenues ne soient pas les, les personnages sont bien ceux décrits ci-dessus.

    La catastrophe et la punition

     

    FIN.

     

     
    « Position difficileA quatre pattes »
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  • Commentaires

    1
    clodinette
    Dimanche 26 Juin 2022 à 19:09

    merci Tatie chérie d'avoir acepté une fois de plus de corriger et d'agrémenter mon charabia et surtout de le publier ! bisous

      • clodinette
        Lundi 27 Juin 2022 à 19:04

        Hello Ramina merci pour ton com ! j'aime bien provoquer Tatie chérie en fesant des fotes pas exprès ! et en portant des tenues qu'elle aime pas ! et je ne sus pas contre qu'elle me donne une fessée couchée sur ses cuisses avec TABLIER ! bie sur :

    2
    ramina
    Lundi 27 Juin 2022 à 13:25

    Question: Est ce que, faire savoir publiquement sur le blog avoir dû corriger  un grand nombre de faute d'orthographe dans le récit de Clodinette  fait partie d'une démarche d'humiliation supplémentaire. Autre forme de correction, après s'en être pris déjà une bien sévère ?

    Jolie photo aguichante, bas nylon noirs à couture, porte--jarretelles rouge et hauts talons assortis... ( que n'aime pas Souillon, qui préfère les talons plats, voir pas de talon du tout...! Tous les goût sont dans la chaussure  (rire))  Ramina

    3
    ramina
    Lundi 27 Juin 2022 à 18:23

    Eh, eh... moi même j'en fais, des fôtes! Un grand nombre de "faute (s) " d'orthographe... C'est mieux au pluriel, puisqu'il y en a en grand nombre ! Oula,  ça mériterait bien un fessée ça !!! . Ramina

    4
    ramina
    Mardi 28 Juin 2022 à 13:44

    Yapadekoi Clodinette!

    Et j'oubliais...Important, le slip descendu juste en dessous des fesses ( de la même couleur d'ailleurs!) pour que le puni ressente bien la honte de recevoir sa fessée, déculotté, du début jusqu'à la fin. Chaque détail compte pour que la correction soit bonne... n'est -il pas ? (rire) Ramina

    5
    PeterP
    Dimanche 10 Juillet 2022 à 09:56

    Re-bonjour...

    Je rebondis sur le dernier comm' de mon confrère Ramina. Le déculottage est important dans le "rituel" de la fessée (voir : article de Josip in : "une bonne fessée" ). Le fait de se faire déculotter et, en  plus, conserver le slip baissé aux genoux ou plus bas, selon l'humeur de la fesseuse, augmente le sentiment de honte ou d'infantilisation  pour le puni. On rejoint un contexte maternel jadis vécu.  On redevient le gamin immature et dépendant de l'humeur des femmes qui nous punissent " Du style : "Non, Maman/Tata/Nounou/Maitresse... pas le slip , sil vous/te plait... ". C'est ce détail que je conserve dans mes saynètes. "Ca fait plus vrai" comme dirait l'autre.                                                                          PeterP.

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