• L'histoire de Marcel, pipi au lit, blouse de fille et punitions

    J'ai trouvé un bout de texte sur Internet, j'ai voulu le diffuser tel quel, et puis je me suis mis à l'enrichir, le compléter, etc.

    Pipi au lit, blouse de fille et punitions
     
     
    Plus jeune, il m’arrivait encore de faire pipi au lit durant la nuit. Par précaution, maman me faisait enfiler une culotte en caoutchouc s’ajustant entre mes cuisses, qu’elle garnissait d’un lange replié. Bien sûr, le matelas était protégé par une alaise de caoutchouc, et mon lit fait avec de vieux draps blancs, très usés, qu'elle faisait souvent bouillir.

    Malheureusement, cet incident se produisait aussi parfois dans la journée. A l’école, préférant jouer plutôt que de «prendre mes précautions» et d’aller au petit coin, patatrac! je m’oubliais dans ma culotte. C’était plus ennuyeux et très vexant car, comme je grandissais sans changer mes habitudes, maman décida alors de m’éduquer sérieusement à la propreté. Pour un pipi-culotte, c’était le martinet!

    Elle donna des consignes très strictes à ma maîtresse. Chaque fois que je m’oublierais en classe, elle avait l’autorisation de me faire honte en me donnant une fessée cul nu devant tous les élèves garçons et filles. Bien entendu, cela arrivait souvent malgré tous mes efforts pour me contenir. Dans ce cas-là, la maîtresse m’emmenait dans les toilettes, ôtait complètement mon pantalon court et ma culotte souillée et, après m’avoir lavé les fesses à l’eau froide, me ramenait le derrière à l’air en classe où elle me donnait la fessée promise en m’ayant couché sur ses genoux.

    Le temps passant, comme je ne faisais aucun progrès, maman décida de passer à la vitesse supérieure avec une méthode encore plus mortifiante pour me punir de mes oublis, je veux dire mes pipis au lit, et aussi de mes mauvaises notes à l’école. A la maison, le martinet entra alors en service d’une façon permanente. Je dus aussi porter des blouses boutonnées dans le dos avec une ceinture bouclée par derrière avec un gros nœud et qui ressemblaient à des robes.
    Ces blouses étaient des blouses de fille, celles que mes deux soeurs plus âgées avaient portées. Elles étaient longues au mollets, stricte mais féminines, en coton vichy rose, et, quand je les portais, j'étais franchement ridicule. Surtout que, afin de "ne pas me salir plus encore", disait maman, je ne portais dessous que ma culotte souillée de la nuit.
     
    Maman disait que c’était plus facile pour me corriger. Elle déboutonnait ma blouse, laissant deux boutons fermés en haut du dos, relevait les pans comme pour une robe, puis baissait ma culotte. Ceci fait, je devais lui présenter poliment par le manche le martinet que j’étais allé décrocher dans la cuisine. Le martinet, en effet, était toujours pendu au mur, au milieu des torchons. Je devais aller le chercher, puis venir devant maman, me mettre à genoux, présenter le martinet sur mes deux mains à plat, puis l'embrasser, et lui tendre, par le manche, pour qu'elle me fesse.
     
    Elle me courbait sous son bras et se mettait à fouetter mes fesses nues jusqu’à ce que, en pleurant, je la supplie d’arrêter.
    La correction finie, je devais remettre le martinet à sa place puis, toujours déculotté, me mettre au coin en pénitence, à genoux, mains sur la tête. Bien que le pipi-culotte eût cessé entre-temps, l’usage du martinet, du port de la blouse et des culottes courtes se prolongea longtemps et tard dans les années de l’adolescence pour m’obliger à marcher droit.
     
    Je dois dire que mes deux soeurs ainées et moi vivions seuls avec maman, notre père nous ayant abandonnés. Notre maison était à l'orée du village, avec un jardin derrière, mes soeurs Josette, la première, et Lucette, la deuxième, partageaient la même chambre, j'en avais une, plus petite, pour moi seul. Maman travaillait dur, pour que nous ne manquions de rien, enfin, selon la vie de l'époque. Et, mis à part sa sévérité et ses méthodes éducatives, notre mère nous aimait et prenais soin de nous.
     
    Au bout d'une année de pipi à l'école, et de punitions par l'institutrice, l'inspection d'académie commença à avoir vent de mon traitement. Heureusement, c'était la fin de l'année et il y avait, dans le village d'à-côté, une école privée, mais de filles seulement où, d'ailleurs, allaient déjà mes soeurs. Mon institutrice fit valoir ses droits à la retraite, et y rentra, pour quelques années encore, comme chef d'établissement. Et, par je ne sais quelle manigance entre elle et ma mère, j'y fut admis, bien que garçon, dans la classe des filles. J'y portais, bien sûr, la blouse d'uniforme des autres élèves.
    Il est arrivé aussi que des professeurs m’appellent «Mademoiselle» ce qui me faisait rougir et faisait rire les élèves. Mais ce n'était pas méchant, et j'étais bien dans cette classe des filles qui appréciaient mes tenues à la mode «féminine» de l’époque. Elles me considéraient comme l’une d’entr’elles. J’aimais leur faire des confidences sur mon éducation stricte : je soulevais ma blouse pour leur montrer les traces visibles sur le haut de mes cuisses nues d’une correction au martinet tout en reconnaissant qu’elle était justifiée et méritée ! Mais, je savais qu’elles ne me plaindraient pas car c’était une punition courante à l’époque; j’étais loin d’être le seul ado à avoir souvent les cuisses zébrées par les lanières de cuir! Je leur faisait des confidences sur mon éducation, parce que celle-ci était toujours aussi stricte, voire même encore plus. Mais elles aussi étaient élevées "à la dure" et elles compatissaient.
     
     
    Maintenant que j'allais à la même école que mes soeurs, j'étais en permanence sous leur regard et, bien sûr, elles rapportaient tout à maman.
     
    Les corrections au martinet étaient maintenant quotidiennes. Le matin, mes langes mouillées me valaient, avant de partir à l'école, un avertissement sur la correction du soir et, le soir, mon attitude et mes résultats à l'école allaient, le plus souvent, aggraver cette correction. Surtout que j'avais du garder, toute la journée, ma culotte de caoutchouc et des langes secs que maman me mettait le matin, et que je devais rapporter, secs, le soir, ce qui était rarement le cas. La punition en classe du début avait été supprimée, et remplacée par la correction du soir, avant le repas, qui était devenue, comment dire, organisée de manière officielle, si j'ose dire.
     
     
    Avant le repas, avant de mettre la table, maman me faisait venir dans la grande cuisine de la maison, où la table n'était pas encore mise. Je savais ce qui allait se passer, j'en avais peur, j'en avais honte, et pourtant, pour rien au monde, je n'auras voulu éviter ce moment, qui me procurait, toujours, un plaisir trouble. J'attendais ce moment dans ma chambre, à l'étage, en faisant mes devoirs.
     
    Maman prenait une des lourdes chaises de cuisine, et la mettait toujours au même endroit, à côté du petit bout de la grande table. J'entendais le déplacement de la chaise, et je savais que, dans quelques dizaines de secondes, j'entendrais la voix de ma mère, forte, mais sans crier, m'appeler:
    - Marcel, descend, nous avons un compte à régler.
     
    Je descendais, rapidement, les genoux un peu tremblants, et je rentrais dans la cuisine, où je me trouvais face à ma mère, debout devant sa chaise. En général, mes soeurs, qui devaient obligatoirement assister à la séance, étaient déjà là, ou arrivaient juste après.
     
    Maman avait toujours, à ce moment de la journée, son grand tablier à bavette blanc sur sa blouse bleue, elle s'asseyait sur la chaise, tirait sur sa blouse et sur ton tablier pour bien les tendre, mes soeurs, dans leurs blouses habituelles, restaient debout, ou s'asseyaient à leur guise. Et la séance habituelle commençait, pour ma confusion, ma douleur et, je dois l'avouer aussi, pour le troublant plaisir que j'en retirai.
     
     
    Je m'avançais à un mètre d'elle, et je restait debout, mais dans le dos, dans ma blouse de fille. Mes soeurs trouvaient ça normal, elles avaient pris l'habitude au bout de quelques séances. Elles n'étaient pas méchantes, elle hésitaient, dans leurs sentiments, entre la compassion et la moquerie, et, parfois, pire… Mais j'aurais l'occasion d'en parler plus tard.
    Maman me disait toujours, d'un ton sévère:
    - Marcel, tu sais pourquoi je t'ai fait venir.
    - Oui maman.
    - Dis-moi pourquoi, dis-le moi devant tes soeurs, que tu aies bien honte.
    - Parce que j'ai fait pipi au lit, maman.
    - Oui, parce que tu es un pisseux, et quoi encore, Marcel? Quelle autre bêtise?
    - J'ai mouillé ma culotte aussi dans la journée, maman, et…
    - Et, Marcel?
    - Et je me suis mal conduit à l'école, maman.
    - Tu sais, mon petit Marcel, que je t'aime, comme une mère aime ses enfants…
    - Oui maman.
    - Et, parce que je t'aime, je dois t'élever, t'éduquer, pour te faire grandir…
    - Oui maman.
    - Et quand tu fais quelque chose de mal, je dois te punir, pour ton bien, tu le sais aussi?
    - Oui maman.
    - Alors, est-ce que je dois te punir?
    - Oui, maman, tu dois me punir, je l'ai mérité.
     
    Maman me faisait alors mettre à genoux, et ordonnait à mes soeurs:
    - Josette, Lucette, apportez-moi la couche du pisseux, et donnez-moi mon tablier de caoutchouc et mes gants de ménage.
     
    Une d'entre elle allait chercher, dehors, la cuvette en tôle émaillée dans laquelle, depuis le matin, ma couche, enfin, mes langes, était restée en attendant ce moment. L'autre allait chercher, pendu au mur, le grand tablier de caoutchouc blanc que maman mettait pour certaines tâches, et les gants de ménage en caoutchouc rose.
    Maman mettait, par dessus sa blouse et son tablier habituel, le tablier de caoutchouc, le lien autour du cou, renouait la ceinture devant, le tablier lui tombait aux pieds. La voir le mettre était impressionnant; elle passait les gants de caoutchouc dans la ceinture, puis elle se rasseyait. Mon autre soeur lui donnait la cuvette contenant mes langes et elle la regardait d'un air dégoûté. Cet air dégoûté était un peu exagéré, un peu "joué", même, mais il fallait bien qu'elle tienne son rôle d'éducatrice ferme et imposante. Elle avait raison, si je n'étais pas "tenu" fermement, j'étais porté à faire des bêtises, je le savais.
     
    Je devais alors, à genoux, m'avancer, pour regarder mes langes pisseuses, une partie du pipi s'était évaporé, mais il restait le tissu jaune, humide, odorant, et du pipi au fond de la cuvette. A la campagne, une odeur de purin n'est pas exceptionnelle, mon pipi ne sentait pas fort, mais je devais, pour mon humiliation, voir et sentir le résultat de mon incontinence nocturne.
    J'avais droit alors aux remontrances humiliantes:
    - Regarde tes couches pisseuses, Marcel, est-ce bien pour un garçon comme toi?
    - Non maman.
    - Regardes les bien, approche-toi, penche-toi dessus, renifle les, dis moi ce que tu es. Dis le bien fort, que tes soeurs t'entendent.
    - Je suis un pisseux, maman.
    - Oui, un pisseux, mon fils chéri est un pisseux, et je dois le punir pour le faire grandir, c'est mon devoir de maman. Tu veux bien que je te punisse?
    - Oui maman, punis moi.
    - Mais avant, il faut que je sache si tu as fait d'autres bêtises.
     
    Et là, la séance continuait. Maman rendait la cuvette à une de mes soeurs, me faisait mettre debout, retroussait ma blouse de fille, que je devais tenir avec les mains, puis elle mettait ses gants de ménage, baissait ma culotte de caoutchouc pour enlever mes langes de la journée. Je n'avais pas le droit de bouger, et mes soeurs riaient de me voir cul nu, et de voir ma quéquette. 
    Bien sûr, j'étais toujours un peu mouillé, ce qui me valait de nouveaux reproches de maman. Elle en profitait pour demander à mes soeurs comment je m'étais comporté à l'école pendant la journée. Elles n'étaient pas dans ma classe, dans deux classes différentes, même, mais elles savaient, par leurs copines, ce qui se passait dans l'établissement. Je dois dire que mes soeurs répondaient honnêtement, elles ne m'accablaient pas et même, parfois, me défendaient, en disant par exemple qu'elles avaient appris que je n'avais pas su répondre à une question en classe, mais que c'était une question difficile…
     
    Quoi qu'il en soit, la suite était toujours la même, et maman décidait qu'il fallait me donner le martinet, et m'envoyait le chercher.
     
    Je devais donc, la culotte de caoutchouc descendue aux chevilles, aller chercher le martinet pendu à côté des torchons. Ce martinet, bien qu'exposé toute la journée dans la cuisine, était une sorte d'objet sacré dans la maison. Personne, ni moi ni mes soeurs, ne devait y toucher. Et quand je le prenais, je devais toujours le prendre par le manche, sans jamais en toucher les lanières. Je le décrochais et le tenait d'une main par le bout du manche, de l'autre main, je tenais l'autre bout, surtout sans toucher les lanières, et je le portais à ma mère. Je faisais ces 4 ou 5 mètres à tous petits pas, entravé par la ma culotte, à l'aller, en exposant mes fesses et ma quéquette, au retour, je ne tenais plus ma blouse, mais le martinet, que je tendais à maman en arrivant devant elle.
     
    Elle se levait, prenait le martinet en me remerciant, et me le présentait pour que j'embrasse le manche, puis, séparant chacune des dix lanières, je devais embrasser chacune d'entre elles. Elle gardait pour cela ses gants de caoutchouc, et j'ai encore, devant mes yeux, l'image du manche de bois verni, des lanières rondes (moins douloureuses que les carrées, maman n'était pas sadique) en cuir, tenu par les gants de caoutchouc rose, sur le fond de son tablier de caoutchouc blanc.
     
    Je me penchais, ensuite, sur la table de la cuisine, recouverte d'une toile cirée, soit le visage dans mes coudes, soit les bras en avant, ou écartés. Maman retroussait ma blouse, la faisait tenir avec une épingle à linge, plaçait, entre ma quéquette et le bord de la table, un torchon plié, pour que je ne me blesse pas sur le bord.
     
    Et la fessée au martinet commençait. Maman était très habile au maniement du martinet. Elle pouvait fesser longtemps, en réglant ses coups pour qu'ils fassent juste assez mal pour être supportables, elle n'était pas cruelle. Mais elle savait, quand même, me mener aux supplications et aux pleurs, et laisser des marques qui allaient durer jusqu'au lendemain, et donc être visibles quand elles étaient sur les mollets.
    Parce qu'elle frappait sur les fesses, essentiellement, mais aussi sur les cuisses et les mollets. Le plus souvent, c'était les fesses, bien sûr. Elle frappait soit en enveloppant mon cul avec toute la longueur des lanières, ce qui était une douleur encore supportable, soit, parfois, en ne faisant porter que le bout de celles-ci, comme des piqures plus douloureuses encore. Heureusement, c'était surtout les lanières, qui laissaient leurs marques pendant quelques heures, pour ma honte après ma douleur.
    Je n'arrivais jamais à retenir mes pleurs, mes gémissements, mes supplications, et maman savait toujours exactement à quel moment elle devait arrêter, me laissant pantelant et faible sur la table. Parfois, si maman voulait frapper plus fort et plus longtemps, elle demandait à mes soeurs de me tenir les mains, ou elle m'attachait avec des torchons aux pieds de la table. Mais c'était rare, maman n'était pas méchante, mais elle punissait et je pense qu'elle aimait ça.
     
     
    Après la séance de martinet, maman me faisait rapporter le martinet, le pendre au milieu des torchons, et m'agenouiller contre le mur, le nez dans les torchons, pour dix minutes ou un quart d'heure de piquet, culotte baissé, blouse troussée, cul à l'air.
    Puis, le piquet fini, elle m'asseyait sur ses genoux, dans son tablier, me serrait dans ses bras, me pressait sur sa poitrine et me faisait un câlin, en me disant des mots gentils, que j'allais être sage, et que, même si j'étais un pisseux, elle m'aimait et prendrait toujours soin de moi.
     
    Parfois, cette punition au martinet était complétée par une seconde punition, c'était le cas si j'avais mouillé mes langes dans la journée, le plus souvent.
    Après quelques minutes au piquet, elle m'appelait:
    - Marcel, vient chercher la suite de ta punition.
    - Oui maman.
    - Tu sais pourquoi, Marcel?
    - Non maman, mais si tu l'as décidé, c'est que je dois la mériter.
     
    Je devais venir, toujours entravé par ma culotte, ma blouse épinglée pour découvrir mon cul. Maman, assise, avec son grand tablier de caoutchouc, me faisait coucher en travers de ses genoux. Mes jambes pendaient un peu, mes mains touchaient à peine le sol.
     
    Mes soeurs se rapprochaient alors pour ne rien manquer de la suite.
    Maman commençait par effleurer mes fesses rouges et brulantes de la fessée au martinet. Chaque effleurement, presque une caresse, me faisait frissonner, entre la douleur et un étrange plaisir. Puis elle appuyait plus fort, pressait, triturait un peu et donnait de petites claques, très légères, mais qui faisaient un effet extraordinaire sur mon cul douloureux. Elle aimait, aussi, écarter mes fesses, pour bien montrer mon petit trou, tout cela sous le regard de mes soeurs.
     
    Mes soeurs n'étaient pas méchantes, même gentilles avec moi, il faut dire que chaque correction que je prenais ne leur tombait pas dessus. Il leur arrivait parfois de recevoir le martinet, dans les mêmes conditions que moi, mais ce n'était pas systématiquement quotidien. En tout cas, quand maman me donnait ma seconde punition, elles avaient le droit d'y participer, de toucher mes fesses, me tripoter, et même me les claquer, ce qui les faisait glousser. Elles aimaient écarter mes fesses, je sentais leur petites mains sur mon cul enflammé, et mettre dans mon trou du cul le bout d'un doigt mouillé de salive, en riant et en disant "Que ça sent mauvais!".
     
    La punition était certes moins douloureuse que la cinglée au martinet, mais elle était humiliante, et l'absence de rythme des coups, la variété des attouchements et des claques, tout cela était pénible et délicieux à la fois. D'ailleurs, ma quéquette réagissait dans la tablier de caoutchouc, en se durcissant, jusqu'à ce que la punition prenne fin et se termine par un câlin et des mots d'amour.
     
    Le soir, avant d'aller au lit (étant le plus jeune je me couchais le premier), après mon lait chaud du soir, maman me faisait aller aux toilettes, je faisais caca, je faisais pipi pour bien me vider. Puis elle me mettait au lit, dans la chambre que j'avais pour moi, alors que mes soeurs partageaient la même chambre. Mon lit avait le matelas recouvert d'une alaise de caoutchouc, un drap du dessous usé, en coton, qui était toujours un peu taché, un drap du dessus, identique, et un édredon que, par précaution, elle laissait dans une housse de plastique. Les draps devaient me faire la semaine, et ils séchaient pendant la journée si par malheur mes langes débordaient, ce qui était rarement le cas. Je me couchais tout nu, elle me mettait les langes de coton, un peu "éponge", blancs, bien propres. Elle les pliait en pointe, m'enveloppait dedans, les fermait avec des épingles à nourrice. Puis elle m'enfilait la culotte de caoutchouc. C'était une culotte en caoutchouc épais, blanche ou rouge, avec des élastiques aux cuisses et à la taille. Le caoutchouc avait, toujours, une légère odeur de pipi. Quand j'étais bien langé et bien protégé, elle me faisait mettre, pour la nuit, une chemise de nuit de fille, en coton, qui avait été utilisée par mes soeurs quand elles étaient plus petites. Puis je me mettais sous l'édredon, elle me bordait, m'embrassait en me souhaitant une bonne nuit.
    Il m'était très agréable d'être ainsi câliné et douillettement enveloppé, je dois dire.
     
    J'avais le sommeil profond, je me dépensais dans la journée en courant et en jouant, j'étais en pleine santé, à la campagne, et je ne me réveillais pas la nuit. Parfois, rarement, je me réveillais et je me trouvais mouillé dans mes langes. Je dois dire que j'étais habitué et, au lieu de m'en faire pour la punition qui tomberait demain, je me rendormais, bien souvent en ayant lâché un autre pissou dans mes langes. Il m'arrivait, aussi, parfois, de rêver que je faisais pipi, et, ma fois, c'était bien agréable, et jamais ce rêve ne me donnait envie de me réveiller comme le ferait un cauchemar.
     
    Le matin, je me réveillais toujours mouillé. Je me levais, j'appelais maman, qui venait constater les dégâts. Elle me grondait, mais pas méchamment, non, maternellement et gentiment:
    - Mon petit Marcel, mon grand bébé, mon pisseux à moi, tu t'es encore oublié. Je vais te nettoyer, mais tu le sais, tu connais la règle, ce soir, ce sera le martinet, cul nu devant tes soeurs, pour te faire grandir.
    Elle m'emmenait à la salle de bain, enlevait ma culotte, mettait mes langes dans une cuvette, me savonnait, et me remettait une culotte de caoutchouc, avec des langes plus léger, sans épingles à nourrice, pour la journée. Ainsi, je pouvais aller faire pipi et caca, et remettre mes langes si je m'oubliais, ce qui arrivait parfois et même souvent.
     
    Il faut maintenant que je vous dise ce que j'ai appris plus tard, mais que, peut-être, sans doute, je savais inconsciemment. Mes incontinences nocturnes étaient provoquées, ou, plutôt, leur poursuite après l'âge "de propreté" était provoquée et voulue.

    Dans mon lait chaud du soir, ma mère ajoutait une tisane diurétique, en toute petite dose, queues de cerise ou feuilles de bouleau, pas tous les soirs, non, mais quand elle estimait qu'il fallait m'aider à être pissou, ou quand elle se rendait compte que j'allais peut-être perdre cette habitude. Je pense qu'elle faisait ça pour que je ne grandisse pas trop vite, que je reste son petit garçon, et que je ne prenne pas de mauvaises habitudes d'impertinence, de contestation, de rebellion, puisqu'elle devait m'éduquer seule. Elle travaillait comme préparatrice en pharmacie, elle savait donc quoi utiliser pour m'aider à faire pipi la nuit.
     
    Mais le pire, enfin, non, le plus vicieux, c'était mes soeurs. Elles se couchaient après moi, parce qu'elles étaient plus grandes, et qu'elles aidaient maman à tenir la maison. Avant de s'endormir, elles venaient dans ma chambre, dans mon premier sommeil, et utilisaient des trucs pour me faire faire pipi. Soit elle me mettaient la main, ou quelques doigts, dans une petite cuvette d'eau chaude, soit elles m'enveloppaient les mains dans des torchons mouillés d'eau chaude et le contact de l'eau déclenchait mon pipi. Soit elle me faisait "psssss, psssss" à l'oreille, ou faisaient doucement couler une petite poire d'eau dans une cuvette, et le bruit de l'eau qui coule déclenchait le pipi. Mouillé en début de nuit, je me lâchais ensuite encore plus, et j'étais trempé le matin. Elles faisaient ça sans méchanceté, par jeu, et pour que je reste leur "petit frère", celui avec lequel elles pouvaient jouer à des jeux de fille, tracasser, mais aussi materner et protéger.
     
    J'étais, en tout cas, protégé, aimé, à ma place, et le martinet, la punition quotidienne, faisaient partie de ma vie. Dans la journée, je n'y pensais pas, c'est le soir, en rentrant que, d'après l'état de mes langes du matin, et de ceux avec lesquels j'étais rentré à la maison, que je commençais à y penser. Je rentrais avec mes soeurs, avant que maman rentre du travail, et, devant mes soeurs, je devais me déshabiller, enlever ma culotte de caoutchouc, mettre mes langes de jour dans la cuvette, et remettre une culotte normale, de fille, et une blouse de maison. Mes soeurs étaient gentilles, elles m'aidaient à boutonner la blouse dans le dos, elles m'aidaient à faire mes devoirs (je n'étais pas très doué, je manquais d'application) s'ils étaient un peu difficile, et à apprendre mes leçons, pendant qu'elles travaillaient de leur côté.
    C'est à ce moment que je commençais à me demander si la punition serait légère ou plus sévère, et à regarder le martinet pendu avec à la fois de la peur, de la honte et, il faut le dire, un troublant désir.
     
     
    Les jours où je n'avais pas école, c'était différent… Si maman travaillait, elle me laissait à la garde de mes soeurs, et sous leur autorité, mais qu'elle soit là ou pas, les journées se passaient de la même façon.
     
    D'abord, mes devoirs et mes leçons, puisque c'était le plus important aux yeux de maman, et elle avait bien raison.
     
    Ensuite, je devais m'occuper de mes langes pisseux, qui avaient été conservés chaque soir. Je devais les laver à la main, à l'eau chaude et au savon, un savon de ménage, genre "savon noir", qui lavait très bien, les rincer, et les étendre. Pour le lavage, j'utilisais une grande cuvette de zinc, que je remplissais avec des brocs d'eau du robinet, puis que je vidais ensuite, une cuvette pour le lavage et l'autre pour le rinçage. En principe, je mettais la cuvette sur la paillasse de l'évier, et je montais sur un petit tabouret pour être à la hauteur. Mais, parfois, je devais, comme une punition et une humiliation supplémentaire, mettre les cuvettes par terre et laver à genoux. Bien sûr, pour faire ça, je portais, par dessus ma blouse de fille boutonnée dans le dos, un tablier de caoutchouc qui avait été fait pour mes soeurs, et qui maintenant était à ma taille.
    Je devais laver, de la même façon, mes culottes de caoutchouc. Les draps, eux, allaient dans la machine à laver.
    Et une fois que j'avais lavé et rincé langes et culottes, je devais aller moi-même les faire sécher, sur l'étendoir qui était dans le jardin, près de la haie qui nous séparait de la maison d'à côté. Ce qui fait que la voisine pouvait voir, non seulement ce qui séchait chez nous (mais nous aussi nous voyons ce qui séchait chez elle), mais encore qui étendait et ramassait cette lessive particulière, c'est-à-dire moi.
     
    Il était très rare que maman me demande d'aider à la maison, "ce n'est pas le travail d'un garçon", disait-elle. Mes soeurs la soulageaient de beaucoup de choses, parce que maman faisait beaucoup d'heures à la pharmacie. Moi j'aidais en mettant la table, des petites choses comme ça et, surtout, en faisant le jardin "un travail d'homme pour mon petit homme", disait maman. J'aimais bien faire le jardin, parce que je pouvais enlever ma blouse et mettre une salopette, pour ne pas abimer la blouse.
     
    Mais maman n'étais pas toujours là les jours sans école, elle n'était là, même, que le dimanche, quand la pharmacie était fermée. Les autres jours, j'étais avec mes soeurs, et c'est Josette, l'ainée, à qui maman confiait la responsabilité de la maison, de ma soeur Lucette, et de moi.
    Josette prenait son rôle très au sérieux, surtout que maman l'autorisait à punir sa soeur et à me punir moi. Mais il lui était interdit d'utiliser le martinet, instrument du seul pouvoir maternel. Josette organisait, surveillait, travaillait beaucoup, aussi, et elle n'hésitait pas à sévir. Pas à sévir sur Lucette, non, "faisait tout bien", mais assez souvent, sur moi.
     
    C'étaient des jeux enfantins, je m'y prêtais avec un plaisir trouble. Josette me faisait enlever et remettre ma blouse boutonnée dans le dos, au motif qu'elle était mal arrangée. Elle me faisait mettre, dessus, un tablier qu'elle portait quand elle était plus petite, pour jouer, disait-elle, à la patronne et à la bonniche. Les deux m'obligeaient à faire pipi souvent "pour ne pas me salir", puisque je n'avais pas de langes, et, bien sûr, à le faire devant elles. Je devais m'asseoir sur les toilettes, comme une fille, trousser ma blouse, baisser ma culotte de fille, faire pipi, me secouer, alors qu'elles riaient en face de moi.
    Et, bien sûr, Josette trouvait des prétextes pour me fesser en travers de ses genoux, à la main. C'étaient des petites fessées, bien moins dures que celles de maman, bien sûr. Et Lucette me fessait aussi, avec l'autorisation de sa grande soeur. Bien sûr, elles mettaient un tablier aussi, pour se protéger.
     
    Et le soir, ma mère rentrait de la pharmacie, la maison était bien en ordre, toute propre, nous avions fait tout ce que nous pouvions pour lui éviter du travail.
    - Vous avez été bien sages, les enfants? Je vois que vous avez bien aidé maman, c'est bien. Pas de bêtises? Josette, ta soeur et ton frère ont été bien sages?
    Et nous répondions, tous les trois:
    - Oui maman.
     
    Je vous raconterai peut être la suite une autre fois, si j'ai beaucoup de commentaires cochons et d'idées de suite en commentaires.
    « Non, pas les couilles!Fessée devant la cheminée »

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  • Commentaires

    1
    Dimanche 18 Juin 2023 à 20:06

    Coucou,

    Une merveilleuse histoire que j'ai bien apprécié, on a envie d'être à la place de l'auteur et de subir encore plus d'humiliations et de sévices liés aux fétichismes décrits et il n'en manque pas.

    La perversité de la mère et des soeurs mais aussi la sensualité, l'amour de celles-ci pour leur frère cadet, l'imagination et la réalisation de jeux plus humiliants et poussés afin d'assouvir leurs fantasmes sans limites.

    Au plaisir, bises

    Fifine

      • Dimanche 18 Juin 2023 à 23:23

        Merci Fifine, pourquoi ne viens tu pas bavarder sur le tchat? Tu sais que j'aime beaucoup bavarder avec toi, et nous pourrions parler de la suite du récit

    2
    PeterPan
    Lundi 19 Juin 2023 à 08:33

    Bonsoir, 

    Emouvant récit. L'absence du père concentré le pouvoir du chef de famille entre les mains de la maman. On imagine pas l'influence de la maman sur le comportement du fils, surtout s'il est le seul "mâle" de la famille. Il y a une complicité inavouée entre eux. Ce "maternage" particulier semble combler toute la petite famille. La maman régente l'existence de son fils comme sil était  une fille et c'est assez troublant pour lui. Grand bien lui fasse. Ah, les mamans...

    Peter.

    3
    ramina
    Lundi 19 Juin 2023 à 17:56

     Amis du touche pipi et du pan, pan cucul... bonjour !

    Voilà un récit spontané, écrit comme on le lit... avec fluidité. Histoire d'un jeune garçon, incontinent à lui tout seul, qui nous raconte les mémoires d'une couche culotte ( rire) Ici, pas de fioriture inutile, style direct, descriptions nature sans pudibonderies.  L'auteur fait le choix d'une expression réaliste, et a le mérite de ne pas tourner autour du pot, il est souvent assis dessus !

    Maternage, maternage... vous avez dit bizarre?  '' Maternage particulier''.. qu'y dit tonton Pet' . L'a pas tort, l'oncle incarné,  vachement particulier même !  Qui aime bien, tripote bien , les fesses, le trou de balle, la zigounette Huguette .dans la joie et la bonne humeur après une bonne cinglée de martinet . Sympas les frangines avec leurs jeux enfantins, qu'on tient le robinet de fréro pour lui faire faire pipi... Langé le gamin,  le derrière enveloppé dans une culotte en caoutchouc . Il peut se pisser dessus ... sans provoquer le genre de dégâts des eaux, non remboursé par les assurances ..  On peut ne pas aimer, mais, c'est raconté avec tant de naturel qu'on finit par trouver ça sympathique au galop !   Ramina

    4
    Leo de Blunnoys
    Mardi 20 Juin 2023 à 15:43

    Il y a quand même un brin de sadisme dans cette histoire, l'énurésie se soigne avec un traitement spécifique, non avec un martinet. La blouse rose après la fessée me rappelle la tenue que me faisait porter Muriel, mon éducatrice après m'avoir bien fessé avant de m'envoyer pour de longues heures au piquet.



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