• Fesses rouges et tabliers blancs, saison 2, épisode 4

    Un texte et des dessins de Ramina, que je remercie 


     

    Chapitre 4 : Edwige déculotte

     

    Edwige termine son verre, le pose sur la table basse et regarde sa montre.
    – «Déjà, dix neufs heures ! Il faut que je file, Stephen aussi doit être rentré...»
    – «Tout de suite là?» dit Gladys.
    – «Oui, j'étais juste venue pour ma bague que je croyais avoir perdue ici. Mais bon, tant pis. Par contre, merci pour cette  fessée improvisée. C'était vraiment excitant. Patricia a une paire de fesses très agréable à claquer. Je pense lui avoir mis une bonne déculottée, en tout cas je me suis régalée. J'en ai encore la main toute cuisante!» 

    Gladys l'arrête en posant la main sur son bras au moment où elle se lève.
    – «Attends, chérie, tu as bien cinq minutes. J'ai encore une petite mise au point à faire avec Edouard et je pense que ça sera encore plus efficace en ta présence. Tu sais ce que c'est.»

    Edouard a à peine touché à son verre. Il prend une poignée de chips et boit une gorgée de whisky. Les glaçons tintent dans le verre. Intrigué, il ne comprend pas très bien ce à quoi son épouse fait allusion ni pourquoi elle retient son amie. Un peu mal à l'aise, il feint la décontraction en prenant la pose sur l'accoudoir du deuxième fauteuil alors qu'Edwige s'est rassise dans l'autre pour répondre à l'invitation de son amie. Pas difficile de comprendre où elle veut en venir. 

    Gladys interpelle une nouvelle fois son mari, sur un ton qui ne présage rien de bon pour lui. Il tressaute en l'entendant.
    – « Au fait mon chéri, es tu passé chez le teinturier pour ramener mon tailleur, comme je te l'avais demandé ce matin?»

    Edouard re-ssursaute et manque lâcher son verre alors qu'un glaçon est passé par dessus bord. La mémoire lui revient d'un coup. Il pâlit en serrant instinctivement les fesses, comme un réflexe conditionné. Il a complètement oublié. Mauvais signe. Il sent le regard accusateur des trois  femmes converger vers lui dans un silence lourd de sous entendu. Pas à l'aise du tout, il tente un piteux oral de rattrapage.
    – «Euuuuh... oui... mais … Non!... Si!... c... c'était fermé!»
    – «Quoi? Qu'est ce que tu me racontes, la teinturerie est toujours ouverte le lundi!»
    – «Euuuh non... ce n'est pas ce que je voulais dire... j'ai... j'ai oublié... Non, je... je n'ai pas pu...».

    Gladys s'amuse de son trouble. Son ton est calme, faussement complaisant. Elle aime le passer un peu sur le grill avant de lui flanquer sa raclée. Les fessées sont encore bien  meilleures quand elles sont longuement attendues.
    – «Mon pauvre chéri, comment ça tu n'as pas pu? Qu'est ce qui a bien pu t'en empêcher?»
    – «A cause des... des tickets. Je... je n'avais pas les tickets.»
    – «Mince alors!... tu n'avais pas les tickets...» dit - elle en hochant la tête d'un air navré, comme si elle s'adressait à un enfant.
    – «Je t'avais pourtant dit ce matin, juste avant ta fessée, que je les posais pour toi sur la commode... dans l'entrée. Alors... Robin oublie son carnet de correspondance, et toi les tickets pour la teinturerie! Vous faites la paire tous les deux! Donc tu n'as pas pu passer récupérer le tailleur dont j'ai besoin pour demain!»

    Elle le regarde fixement dans les yeux. Il reste muet, les lèvres tremblantes, pétrifié,   devant elle. Si ses fesses avaient des dents on les entendrait claquer de trouille au fond de son slip, lors qu'elle se met soudain en colère.
    – «Mais comment peut on être irresponsable à ce point? Je ne peux jamais te faire confiance, ni rien te demander!»

    Edwige et Patricia échangent un regard brillant et attendent la suite en souriant, sachant très bien comment cela va finir. Edouard, une nouvelle fois pris en défaut, empêtré dans ses mensonges et mauvaises explications est au bord de la correctionnelle. Il serre tellement les fesses qu'on ne passerait pas une feuille de papier à cigarette entre les deux. Alors, un manche de martinet, inutile d'y penser!

    Gladys, maîtresse de la situation, s'est levée du canapé. Il se recroqueville sur le bras du fauteuil. Elle le toise du haut de ses quinze centimètres de talons aiguille. Le bilan est vite fait.
    – «Négligence, et mensonges à répétition, tu sais ce qui t'attend Edouard?»
    – «Oui chérie... Euuuh, s'il te plaît... non!»
    – «Je t'ai posé une question Edouard! Tu sais ce qui t'attend? Je t'écoute.»
    – «Pitié Gladys non...Pas maintenant!»
    – «Qu'est ce que tu as mérité Edouard?»
    – «J'ai mérité une... Une fessée!»

    Gladys, avec un large sourire, se retourne vers Edwige et Patricia, qui attendent, la mine réjouie, la suite des opérations.
    – «Vous voyez! Qu'est ce que je disais tout à l'heure? Pas besoin de chercher des motifs de fessées, il les amène tout seul!»

    Les trois femmes éclatent de rire. Gladys continue la mise en condition de sa victime  en prolongeant à plaisir l'attente de sa correction. Le ton est détaché, toujours un peu ironique.
    – «Je n'ai pas bien entendu Edouard. Tu as dit quoi... une fessée? Une seule? Tu plaisantes mon ami, c'est au moins deux fessées, oui. Une pour ta négligence, l'autre pour les mensonges. Et estime toi heureux mon cher, c'est le tarif minimum. Je pourrais t'en mettre une par mensonge!»

    Edouard reste bouche bée, sous les regard amusés de Patricia et de Edwige, qui, du coup, ne regrette pas du tout d'être restée. Gladys prend son temps. Elle veut le maintenir sous pression jusqu'au bout. Qu'il en vienne presque à réclamer sa fessée.
    – «Et comment les fessées s'il te plaît?»
    – «Euuuh... Non! Non!... Gladys, je t'en prie! Pas devant madame Edwige!»
    – «J'ai dis comment les fessées?»
    – «Déculottées chérie... Déculottées!»
    – «Bien! Baisse ton pantalon  et amène lui tes fesses! C'est elle qui va te déculotter! Edwige, s'il te plaît, veux-tu t'en charger?»

    La plantureuse femme, toujours aussi démonstrative, s'en trémousse d'aise en retroussant ses manches.
    – «Mais bien sûr ma chérie! Toujours avec plaisir! Après la fille, pourquoi pas le beau-père! Si on m'avait dit en venant ici que j'aurais à déculotter deux belles paires de fesses comme celles là... J'aurais douté!.. Par ici mon cher, madame Edwige, comme tu dis, va s'occuper de toi»

    Edouard est mortifié et ne trouve plus les mots pour protester. Se faire déculotter par  cette femme est encore plus humiliant que de le subir devant elle. Gladys est décidément impitoyable et ne lui épargne rien. Le fesser devant témoin ne lui suffit pas, il faut, en plus, qu'elle lui impose un avilissant déculottage.

    Mais il n'a pas le choix, il doit s'exécuter sans discuter. Il dégrafe sa ceinture en pleurnichant, déboutonne sa braguette, descend son pantalon sur ses chevilles et se dirige d'un pas hésitant vers Edwige qui l'attend les mains sur les hanches, le visage rayonnant d'un large sourire de satisfaction.
    – «Allez mon ami, il n'y a rien de plus efficace pour apprendre à obéir que de bonnes fessées déculottées. J'en met régulièrement à mon mari et ça lui fait le plus grand bien!» 

    Elle retrousse sa jupe au dessus de ses jarretelles pour éviter les faux plis, le saisit par l'oreille et, passant outre une brève tentative de résistance, l'allonge d'autorité en travers de ses cuisses gainées de nylon. Il se retrouve à couiner, la tête au ras du carrelage, les fesses relevées en bonne position. En gourmande, elle prend le temps d'en caresser les belles rondeurs d'une main enveloppante et les tapote voluptueusement pour en tester la souplesse.
    – «Hummm, solide fessier, bien ferme, il en donne plein la main!» commente -t-elle en connaisseuse, avec son langage familier habituel. «Tout à fait comme celui de mon mari! Il n'y a pas à dire, les séances de fessées ça vous sculpte un derrière!»

    Satisfaite de sa formule, elle lance un clin d'oeil appuyé en direction de Gladys  et poursuit  ses commentaires.
    – «Avec des slips aussi bien garnis, on n'a pas de quoi s'ennuyer!»

    Et elle ponctue sa phrase d'une grosse claque retentissante en plein milieu du fessier. Edouard pousse un cri. Gladys commence à s'impatienter.
    – «Bon, tu le déculottes oui ou non? Sinon je vais le faire moi même!»
    – «Oui, oui, je le déculotte! Laisse moi m'amuser un peu avec ses fesses, Après tout, c'est bien toi qui me les as mises entre les mains.»

    Le petit doigt en l'air, elle saisit délicatement l'élastique du slip et le fait lentement glisser sur l'arrondit du derrière pour dégager chaque fesse l'une après l'autre. L'opération demande une certaine dextérité car le fessier est volumineux. La belle femme n'en est pas à son premier déculottage, loin de là. L'obstacle rebondi est vite franchi, et ,dans un délicieux bruissement de nylon, elle descend le slip en souplesse jusqu'au milieu des cuisses.
    ­– «Et voilà!» s'exclame-t elle avec enthousiasme en faisant bruyamment claquer l'élastique sur la peau. «Déculottage réussi! Monsieur va maintenant aller chercher sa fessée, et au trot! Je crois que madame s'impatiente et plus on la fait attendre plus les fessées sont sévères!»
    – «Tout à fait!» confirme l'intéressée. «Merci Edwige, belle descente de slip!»

    Edwige, rajuste une jarretelle et rabat sa jupe sur ses cuisses. Elle la joue modeste en battant des cils.
    – «Voyons chérie...l'habitude... tout simplement. Tu sais ce que c'est. Des derrières on en déculotte et on en fesse pratiquement tous les jours. Quand ce n'est pas plusieurs fois par jour. C'est une bonne façon de se maintenir en forme. Non?»
    – «Tout à fait, une séance de fessées, c'est un peu comme une séance de gymnastique. C'est d'ailleurs ce que je vais faire maintenant. Edouard... Tes fesses!... tout de suite!»

    Gladys s'est levée du canapé pour se positionner debout face à son mari qui s'approche docilement sans rien dire. Il n'a d'ailleurs rien à dire. Il a mérité sa fessée. Elle a retroussé sa jupe jusqu'en haut des cuisses pour faciliter l'opération.
    – «Viens par ici mon ami, je vais te corriger position fesses en l'air! Celle que tu détestes le plus, mais que je préfère.»

    Un petit sourire satisfait sur les lèvres, elle le saisit fermement par les cheveux, le tire vers le sol pour l'obliger à se courber en deux et lui coince la tête entre ses cuisses qu'elle resserre autour de ses joues. Le gémissement de honte du malheureux, humilié devant la visiteuse, est à peine audible, étouffé  dans l'étau charnu gainé de nylon de l'implacable épouse. Elle prend son temps pour ajuster la position. Dans un mouvement, bien rodé par une pratique régulière, elle passe les mains sous son ventre et pèse lourdement sur sa nuque en l'écrasant sous ses fesses pour l'obliger à remonter les siennes à la hauteur voulue.

     Elle jette un clin d'oeil à Edwige qui suit la manœuvre avec intérêt.
    – «Tu vois comme il est tout d'un coup obéissant mon petit chéri! Combien de fois j'ai dû lui rougir les fesses pour l'habituer à venir me les présenter comme je lui demande, quand je décide de le corriger parce qu'il a fait une bêtise. Et là, il en a encore fait une grosse... Deux grosses même!... Alors ça sera deux grosses fessées. et... deux grosses fessées déculottées! Pas de surprise, c'est le tarif habituel! N'est-ce pas trésor?»

    Le malheureux halète, la tête coincée entre les cuisses serrées de sa femme, les joues frottant douloureusement contre le nylon de ses bas. Celle-ci, tout en faisant ses commentaires, exécute des fléchissements successifs sur les jambes  pour lui faire creuser les reins et arrondir son gros derrière à la bonne distance de sa main.

    Edwige, ravie du spectacle et de la méthode, se régale en suivant la montée vers le plafond de la volumineuse paire de fesses, sous l'impulsion de madame, qui la fait progresser en hauteur par à-coups. Un peu comme on monte une voiture sur un cric pour changer une roue ! Sauf que dans le cas présent il s'agit de positionner un derrière pour lui flanquer une fessée!
    – «Excellente position!» s'exclame la visiteuse, débordante d'enthousiasme comme sa poitrine de son bustier. «Voilà une paire de fesses en parfaite posture, prête pour une fessée magistrale. Sur un derrière aussi tendu ça devrait claquer très fort!»

    Ce disant, elle change de place pour s'installer plus près, sur le tabouret à fessées. Elle bénéficie ainsi d'un meilleur angle de vue sur le postérieur en pénitence dont la proximité lui permet de profiter pleinement du dégagement de chaleur du fessier sous les claques. Elle adore l'excitante odeur de fesses chaudes qui se fait sentir sous l'effet d'une cuisante fessée déculottée .

     

     

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  • Commentaires

    1
    PeterP
    Vendredi 15 Juillet 2022 à 11:30

    Bonjour Ramina, 

    Voilà , les "TamAzones" en action. Pour reprendre les personnages haut en couleurs de Stanton. Elles se montrent terrrrriblement féministes jusqu'au bout des... jarretelles ! Dame Edwige et Dame Gladys délaissent la quenouille pour la fessée en lice, sous l'oeil malicieux de cette belle jouvencelle de Patricia. "Oyez ! oyez ! Braves gens ! Accourrez voir Dame Gladys / fesser  son chevalier/ le chef maintenu entre ses cuisses/ pour réjouir la maisonnée  !!! / Oyez! Oyez !! Il était autrefois / une fière Comtesse/ qui  son  bel Edouard/ fessait en liesse... Je m'imagine bien en troubadour chantant les exploits de sa belle maitresse. "Et complimentez moi, beau troubadour/ou je rougirai votre séant/ plus souvent qu'à votre tour !!!/ Je m'incline devant tant de grâce, oh ma reiiiiiiiine !!! " (Quel fayot, je fais !!! Il faut savoir amadouer la bêêête ! Crévindiou de boudiou de mazette ! / ca c'est de la Comtessssse ! ).                                     PeterP. 

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    2
    ramina
    Vendredi 15 Juillet 2022 à 15:38

    Bonjour Peter, l'ami rieur.

    Bravo pour cet obligeant commentaire habilement déculotté... euuh pardon, je veux dire: habilement troussé.   Dame Gladys et Patricia sa fille complice, récidivent à plaisir sur les fesses des garçons désobéissants . Après le fils, le beau père, derrière en l'air devant Edwige la voisine non moins sévère venue se régaler du spectacle et même participer, séance fessante. Fessées inter-active dans une position originale humiliante à souhait, ( voir illustration du chapitre suivant !)  faut bien varier les plaisirs. La présentation du derrière n'est pas une mince affaire . Au contact rugueux des bas nylon les joues du malheureux risque de rougir autant que ses fesses  C'est le double effet fesse-cool !   Merci qui? merci chérie ! Ramina



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