Un texte et des dessins de Ramina, que je remercie

Chapitre 34: Soirée fessées entre amies (Partie 2)

Ma'am Thérez, qui vient d’arriver chez Béatrice Klackerspank, avec Gérôme, son grand fils, rosit de plaisir lorsqu’elle est invitée à lancer la soirée de punition collective. Une séance de fessées publiques pour corriger les trois rejetons de ces dames. A vingt-et-un ans passés, Maxime, Gérôme et Peter le petit dernier de la bande, n’ont, de toute évidence, pas encore vraiment atteint l’âge de raison. Leur comportement d’adolescents attardés leur vaut une séquence de recadrage amplement méritée. Nul doute que ces  femmes sévères, strictes sur la discipline, ne vont pas manquer l’occasion de s’en donner à coeur joie dans la pratique de leur activité préférée… la fessée! Gérôme dont les fesses vont  avoir l’honneur d’inaugurer l’opération ‘’fessées à volonté" se retrouve donc en tête de gondole pour démarrer une soirée qui s’annonce cuisante et claquante à souhait!

L'heure n'en étant encore qu'aux préliminaires, Thérez décide cependant, de commencer par une solide fessée d'échauffement à travers le slip. Elle l'étire au maximum pour l'ajuster au plus près, sur les hémisphères fessiers bien exposés de son garçon. Étroitement moulées dans le nylon, les grosses fesses semblent encore plus volumineuses au regard des invitées qui en savourent les belles rondeurs charnues. Gérôme se met à hurler en trépignant comme un beau diable.
– «Nooooon maman! C'est pas juste!! Pas la fessée! J'ai rien fait de mal!»
– «Vous ne l'écoutez pas j'espère...» s'enquiert Béatrice d'un ton péremptoire.« Vous êtes sévère avec lui... et vous avez raison!»
– «Bien sûr, vous savez j'ai l'habitude. Une bonne fessée tout de suite et ça va le calmer un moment. Sinon, je connais mon grand garçon, dans cinq minutes il va se jeter sur les petits fours, et vous arroser de plaisanteries salaces.» 

Gérôme a beau gesticuler sous le bras de sa mère, celle ci a de la poigne et le tient fermement en position. Elle lève bien haut la main pour prendre un maximum d'élan.
– «Vous allez voir comme ses fesses claquent bien, même à travers un slip!»
– «Non maman, non!! Pas la fessée! Pas ici! Pas devant tout le monde!!»
– «Si justement... Je vais me gêner. Monsieur fait des singeries devant tout le monde et bien pour la fessée c'est pareil… devant tout le monde! Et tu devrais être fier de montrer à ces dames friandes de belles fesses, comment les tiennes encaissent bien les fessées.»

Les premières claques retentissent, rythmées par  les hurlements du malheureux qui fait un boucan d'enfer alors que la fessée vient seulement de commencer. Quand bien même maman Thérez tape fort avec sa main comme un battoir, il n'a pas encore vraiment mal, habitué, qu'il est, à se faire corriger régulièrement. Maman fait du bon travail. Les volées de claques allongées à la base du fessier enfoncent  progressivement les élastiques du slip dans la raie, dégageant ainsi une vaste surface rougissante exposée au regard gourmand de toutes l'assistance. Maa'm Thérez fesse fort et bien. Les claques, sèches et cuisantes retentissent à bonne cadence et démontrent une maîtrise de la fessée qui n'a rien à rendre aux maîtresses femmes d'expérience participant à la soirée.

Maxime, et surtout Peter sont impressionnés en voyant les fesses rouges de Gérôme se tortiller frénétiquement, sauter et rebondir dans tous les sens sous les cuisantes claquées de la sévère maman. La trouille au ventre, les fesses frémissantes au fond des slips, ils mesurent ainsi  le genre de correction qui les attend.  

Gérôme humilié, prend sa fessée en continuant à protester. Le bruit des claques pourtant très fortes, couvre à peine ses vociférations. Elles sortent à jet continu de sous le bras de sa mère qui le maintient en position.
– «Arrête maman! Ouaiiiiie! Arrête! Vilaine! Ouuuuille! Tu es méchante avec moi!! Aiiiie! J'ai rien fait qu'une révérence!!! Roaiiiie!! Maman... s'il te plaît!»
– «Ne soyez pas étonnées...» dit celle ci, sans plus s'émouvoir, et tout en continuant à lui claquer le derrière, «il braille toujours comme ça à chaque fessée. Le seul moyen de le faire taire c'est de taper plus fort!»

Peter et Maxime se font tout petits à côté de leur mère. Mais difficile de se faire oublier alors qu'ils sont eux même les sujets privilégiés du programme de la soirée et des règlements de compte à venir.

Maxime que son ami finit par amuser, par ses gesticulations, ses cris et hurlements, tant de détresse que de protestation, ne peut s'empêcher de sourire en voyant ses fesses tressauter sous la main ferme de Ma’am Thérèz. Pour vivre ce genre de situation presque au quotidien, il sait ce que c'est. Ce n'est pas du tout du goût de sa mère qui le surveille du coin de l'oeil depuis le début de la soirée.
– «Ça te fait rire de voir ton copain se faire claquer les fesses devant tout le monde?» l’interpelle Louise, «hein, ça t'amuse de le voir prendre une fessée en public?»
– «Euh non maman, c'est pas ça... C'est tout ce qu'il dit que...»
– «Ah oui, c'est à cause de ce qu'il dit! Et bien moi je te dis que je vais t'en mettre une... Et tout de suite...»
– «Non maman, non... S'il te plaît!»

Elle  le prend par le bras et le fait se lever.
– «Si... une fessée!… Et maintenant! Puisque tu te moques de lui on va pouvoir comparer comment tu t'exprimes pendant que je te rougis les fesses! C'est l'occasion... Viens par ici!»

Elle saisit son garnement par les cheveux et le traîne vers le milieu de la pièce où Maman Thérez continue de faire monter la température du derrière de son fils, au bord de l'extinction de voix.
– «Béatrice, chère amie, je vais devoir punir Maxime tout de suite, il s'amuse de la correction de Gérôme!»
– «C’est cela, on est là pour ça! Flanquez lui une bonne fessée... Déculotté, devant tout le monde. Il le mérite, On ne se paye pas impunément la tête de ses amis et encore moins de leurs fesses, surtout quand elles sont en si mauvaise posture.»

Sans lâcher son fils, Louise saisit au passage un des tabourets disponible et s'installe près de Madame Bellebourge,
– «Je vais fesser Maxime à côté de vous.»

 Sans attendre la réponse, elle cale son plantureux fessier sur le siège pour avoir une assise bien stable et fesser à l'aise.
– «Ça ne vous gêne pas au moins? Je ne voudrais pas perturber le déroulement de la fessée de Gérôme.»
– «Bien au contraire chère amie, fesser à deux en même temps c’est plus agréable. Ça donne du coeur à l’ouvrage de leur claquer les fesses en cadence.»

Il en fallait bien plus pour perturber la sévère maman qui, tout en discutant, continue à corriger son turbulent fils. Après l'irrévérencieuse révérence, il exécute maintenant des pas de danse au sol au rythme des claquées. Et ce n'est pas tout à fait la même cadence. Son slip s'est progressivement enfoncé entre ses fesses, qui se trouvent alors exposées sans protection à une fessée qui devient de plus en plus cuisante. A deux élastiques près tendues dans la raie, ça fait pratiquement le même effet qu'une fessée déculottée. Le volume des deux fesses s’en trouve mieux mis en valeur, les rendant plus excitantes à corriger et ainsi la fessée encore plus sévère.
– «Ils font bien leurs bêtises ensemble» finit par répondre Ma'am Thérez. «Alors pourquoi ne pas les corriger en même temps?»
– «C'est bien ce que je pense aussi...» se réjouit Maman Louise. «Les fessées en double donnent du  rythme et de l'efficacité!»

Elle a relevé sa courte jupe sur ses hanches pour bien dégager ses fortes cuisses, gainées de nylon noir, et réserver sur ses jarretelles un espace d'accueil confortable au fessier à corriger. Elle attire Maxime, debout, entre ses jambes écartées.
– «Défais tes bretelles et baisse ta culotte, dépêche toi! Je te conseille de ne pas me faire attendre!»

Tout à côté, les fesses Gérôme, en souffrance, continuent à tressauter en cadence sous la main ferme de sa mère qui gratifie l'assistance d'une spectaculaire démonstration d'autorité. La fessée dure depuis dix bonnes minutes devant la maîtresse de maison qui apprécie et le fait savoir avec enthousiasme.
– «Bravo, Thérez, excellente  fessée, cuisante, claquante … magistrale. Une vraie bonne fessées comme il se doit! Et quelle paire de fesses! Elles claquent presque aussi bien que celle de mon Maxime.»
– «Oui, il semble bien que nos garçons vont devoir s'aligner sur la concurrence!» 

Ma'am Thérez modeste sous l'avalanche de compliments, suspend la fessée pour changer de position.
– «Vous savez, vu le comportement de mon garçon, les fessées c’est presque tous le jours et parfois même plusieurs fois par jour. Pour ça, ses fesses sont régulièrement entretenues. Et quand ce n'est pas moi qui m'en occupe, sa sœur, ses tantes et ses cousines prennent volontiers le relai et je peux vous dire que ça claque sévère!»

Aussi soudainement qu'elle a commencé, elle libère son puni qui saute aussitôt sur place en vociférant et se frottant furieusement le derrière qui présente déjà une belle surface bien rouge. Thérez n’entend pas en rester là.
– «Gérome va me chercher le tabouret. Ta correction est loin d'être terminée mon garçon. Tu as encore grand besoin de fessées.»
– «Rooooaah maman, non! Tu viens de m’en mettre une... Ça suffit!» Il tape du pieds comme un gamin... «Méchante!»
Ma'am Thérez est imperturbable... elle en a entendu d'autres.
– «Je vais t'en mettre une deuxième, et déculottée celle là... Avec madame Lamalisse qui va corriger Peter en même temps. N'est-ce pas Louise?»
– «Tout à fait madame Bellebourge! Complices pour les bêtises, solidaires sous les fessées! Je sens que ça va être très amusant de les fesser en même temps.»

Elle se lève et le désigne le sol à ses pieds d’un index autoritaire.
– «Tu reste la debout et tu tournes tes grosses fesses vers ces dames pendant que tu te déculotte. Devant des fesseuses aussi expertes, il en va de l’honneur de la famille. Tu vas leur montrer comment, toi aussi, tu sais bien prendre tes fessées.»  

Pendant ce temps, Gérôme que sa mère remet en position sur ses genoux continue à protester avec véhémence. Ses joues sont brillantes de larmes. Elles dégoulinent  tout le le long  et se mélangent à la bave qui sort de sa bouche.
– «Naaaaan maaaman! c'est de l'acharnement! Roaaah pas d’autre fessée… s’il te plaît! Tu tapes fort, ça chauffe trop. Je ne sens plus mes fesses tellement elles me cuisent.»
– «Voyez vous ça... Le pauvre chéri, iI ne sent déjà plus ses fesses, dès sa première fessée… C’est ma main oui, que tu vas sentir quand elle va commencer à claquer dessus!»

La tension monte encore d'un cran dans le salon, lorsque Peter, résigné, et sur rappel à l'ordre, déboutonne une à une ses bretelles et commence à baisser sa culotte courte. Il la descend jusqu’aux chevilles, en s’appliquant a bomber le derrière au maximum, comme sa mère l’exige, pour le rendre plus attractif.
– «Hummm, mais admirez mesdames la merveilleuse paire de fesses qui sort de cette culotte courte!» s’exclame Béatrice. Elle soupèse d’un regard gourmand les volumineuses rondeurs de l’imposant fessier que le jeune homme révèle en se déculottant.
– «Quand je parlais tout à l’heure de slip bien rempli… on dirait que celui là est sur le point de craquer tant il a l’air d’avoir du  mal a contenir un aussi solide derrière. J’adore! Ça promet de sacrées bonnes fessées!»  

Le visage de Madame Lamalisse, s’illumine d’un large sourire de satisfaction. Elle est très fière du généreux postérieur de son grand garçon qu’elle a su développer sous un stricte régime de fessées punitives, au point de disposer maintenant d’une véritable paire de fesses à claques.
– «Pour ça oui, c’est maintenant un derrière formaté bien endurant, pour recevoir de cuisantes fessées»,  ajoute-t-elle le regard brillant. «Et vous aller voir comme il claque bien, une fois déculotté après une solide fessée d’échauffement à travers le slip. C’est que du bonheur!»
– «Et bien voilà une nouvelle paire de fesses qui va vite trouver sa place sur nos genoux et qu’on n’a pas fini de faire claquer au diapason de celles de nos grands garçons et de nos maris désobéissants!»

La maîtresse de maison, toute émoustillée, en secoue son abondante poitrine, débordant d’un décolleté autant en difficulté pour la maintenir en place que le slip de Peter à contenir son derrière.
– «J’en ai la main qui me démange déjà!» s’exclame-t-elle. «Bienvenue parmi nous Louise. Sûr ce mesdames je suggère de fêter ça, tout en fessant!»
Elle se tourne vers son fils qui se fait le plus discret possible, sans se faire d’illusion sur ce qui attend ses fesses.
– «Maxime vas nous chercher encore du champagne. Dépêche-toi!»

Ce n’est pas le moment de tergiverser. Il s’exécute aussitôt et revient avec une bouteille trouvée dans le frigo. Il la pose sur la table basse. Béatrice l’interpelle immédiatement alors qu’il tente de s’éloigner le plus discrètement possible.
– «Reviens ici, Maxime, déculotte-toi et amène-moi tes fesses!» ordonne-t-elle brusquement.

Pris de court, le jeune homme ose quelques murmures de protestation.
– «Mais … mais maman… qu’est-ce-que…… je… je…»
– «Tu n’as pas à discuter! Je t’ai dit de baisser ton pantalon et de m’amener tes fesses!»

Il s’exécute et s’approche de sa mère le pantalon aux chevilles. Elle le fait pivoter sur lui-même, lui tire son slip dans la raie des fesses pour bien les dégager et les fait claquer l’une après l’autre d’une dizaine d’allers et retours bien retentissants.
– «Le cham-pa-gne s’a-ppor-te tou-jours au frais dans un seau à glace mon cher» dit-elle sur un ton professoral en rythmant les mots sur ses fesses. La prochaine fois tu n’oublieras pas de remettre des glaçons dans l’eau! Retourne en chercher à la cuisine et file ensuite te mettre te mettre au coin en attendant ta fessée qui ne va pas tarder!» 

Il obéit sans broncher, et se presse vers la cuisine en tortillant ses grosses fesses, déjà rouges et cuisantes, et revient avec le seau rempli de glaçons qui tintent joyeusement sur la paroi en métal argenté.
– «Au coin maintenant!» ordonne Béatrice en lui faisant sauter le derrière d’une nouvelle claque au moment où il se baisse pour poser le seau à champagne sur la table basse. «Attention Maxime, si tu renverses, c’est la fessée déculottée tout de suite!» dit-elle avec un parfait cynisme.

Elle se tourne alors vers ses invitées, Ma’am Thérez qui n’a pas perdu une seule mesure de la fessée de  Gérôme et Louise Lamalisse  en train de préparer celle de Peter.
– «Mes amies, je propose de porter un toast... Tout d’abord en l’honneur de Madame Lamalisse qui nous fait le plaisir de se joindre à nous pour cette nouvelle séance de discipline. Et aussi, parce que c’est la première fois que nous commençons directement par une séance de fessées déculottées en double! Et pourtant des fessées on leur en met et on va leur en mettre encore! N'est-ce pas Mesdames?»

Toujours debout au milieu du salon, son verre de champagne à la main, Béatrice tient son rôle d’animatrice de la soirée.
– «C'est bien, c'est très bien, Thérez, belle démonstration! Allez-y... plus fort encore la fessée! Faites bien claquer ses grosses fesses qu’on l’entende crier et pleurer… signe que sa correction est bonne.»

Louise Lamalisse, n’est pas en reste et fait même preuve d’un cynisme tout à fait de circonstances.
– «Au moins voila un garçon qui s'exprime quand on le fesse! C'est un bon stimulant et un excellent indicateur d'efficacité!»  

Maxime, dont les fesses sont encore épargnées, malgré les vigoureuses claquées que lui a mises Béatrice, se fait tout petit, dans son coin. Il entend en tremblant, le claquement sec et continue des fesses de son ami Gérôme qui rythme sa déculottée de gémissements et de pleurs, seulement interrompus par ses supplications à y mettre fin. Il sait, Maxime, que lorsque sa mère va le prendre en mains pour le corriger à son tour, elle va se faire un point d’honneur, étant l’organisatrice de la soirée, à lui flanquer une fessée encore plus longue et plus sévère que les deux autres.