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Fessées et lessive
Le contexte de mes jeux, c'est la cuisine et la nourriture, le plus souvent. Mais être fétichiste des tabliers, des blouses, des torchons, implique, de temps en temps, d'aimer le contexte "lessive", non?
Bon, là, il y a juste un peu de linge qui sèche sur la corde. Et un garnement, dont j'aimerais prendre la place, qui reçoit la fessée, pris en poids par sa fesseus et bien calé sur sa hanche. Sous le regard de deux témoins, une en colère, dirait-on, et l'autre plutôt amusée. Elles attendent, sans doute, de pouvoir prendre la suite de la première.
Ah, c'est déjà beaucoup mieux. La victime est plus âgée que dans le dessin précédent, et ne semble pas consentir volontiers à sa correction, qui, pourtant, est certainement méritée. Et si, de toute façon, elle n'est pas méritée, et que ces femmes le tourmentent juste pour le plaisir, cela ne m'empêche pas d'avoir envie d'être à sa place.
En tout cas, il est couché sur la grande table qui sert à repasser, une femme le maintient de tout son poids, l'autre lui tient les chevilles pour l'empêcher de gigoter, pendant que la troisième le fesse avec un torchon, qui doit sans doute être mouillé, bien lourd et bien claquant.
Toujours pareil, deux qui le tiennent fermement, la troisième qui le fesse au martinet.
Ah, quel courage il faut! Oui, quel courage ont les deux femmes qui tiennent la victime, sans se soucier du martinet qui, par maladresse de la fesseuse, pourrait toucher ces malheureuses auxiliaires de la punition.
Ah, voici une victime plus docile, qui, sans doute, a reçu suffisamment de coups pour ne plus vouloir résister et consentir à sa punition.
Quant à l'autre, allez savoir s'il pleure de la punition déjà reçue, où s'il n'ose pas regarder ce qu'on fait à l'autre et qu'ensuite on va lui faire.Ah, vraiment, que j'aimerais être cette petite victime!
Tags : Fessée, Lessive, Torchon, Martinet
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Commentaires
2raminaLundi 23 Mai 2022 à 20:26hello tout le monde...
Sûr qu'à l'époque les lavandières, y compris sans doute celles du Portugal, ( chanson) disposaient, avec le battoir . d'un redoutable instrument de discipline . On imagine les fessées musclées avec des femmes qui avaient l'habitude de taper fort pour blanchir le linge. Ce qui devenait très efficace pour rougir les fesses . La scène de fessée au lavoir qu'évoque Peter était très réaliste, au point de se demander si l'actrice ne s'en prenait pas réellement une sévère ! Dur dur la vie d'artiste ! Ramina
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Bonsoir,
Cette suite de fessées nous ramène il y a un siècle en arrière. L'auteur m'est inconnu. Mais le contexte et surtout ces femmes fortes me rappellent la fameuse scène de la fessée du lavoir dans le roman "l'Assommoir" de Zola. Au cinéma , le film s'appelle "Gervaise". Elle se passe entre Maria Schell et Suzy Delair. Elles se tannent les fesses à coups de battoir !! Maria renverse Suzy au sol, lui retrousse ses jupes et lui administre une fessée carabinée sous les rires des autres lavandières. Un moment d'anthologie ciné. PeterP.