• Charcuterie fine

    Ceci est un texte original de votre servante Marie-Souillon.



    Partie à quatre


    Maryse est une grande et belle femme de 45 ans. Elle pèse 85 kgs pour 1 mètre 75, et ses formes sont abondantes. Ses nichons de 120 tombent sur son ventre dodu, et son fessier tend son tablier. Son chignon roux, sous une coiffe blanche, lui donne une allure autoritaire. Elle est charcutière, et exploite son magasin avec une ouvrière charcutière, qui est aussi sa gougnotte, Colette. Elle l'a choisie plus jeune qu'elle, mais aussi vigoureuse. Colette a 35 ans, et elle est devenue vicieuse comme sa patronne. Elles se gougnottent tous les jours, elles y arrivent sans peine, aidées par les saucissons qu'elles fabriquent. En dehors de ces activités baisatoires, elles sont toutes deux dominatrices et aiment soumettre les couples.

    Elles ont fait connaissance avec un couple de clients, Roselyne et Jean. Après quelques rencontres, elles ont découvert le goût de ceux-ci pour la soumission. En effet, invités chez Maryse, ils aimaient porter les plats, insistaient pour faire la vaisselle. Un jour, Maryse a provoqué une dispute avec eux, les accusant à tort d'une parole blessante, et a menacé de ne plus les voir. Roselyne lui a répondu:
    - "Non, ce serait trop bête. Si tu m'en veux, donne-moi une paire de gifles, et pardonne-moi."
    Maryse l'a alors giflée, et Jean s'est approché.
    - "Moi aussi, passe ta colère." Et il a tendu les joues.
    Une fois la paire de claques donnée, Maryse les a embrassés, et a appelé Colette.
    - "Faites la paix avec Colette aussi. Colette, punis-les toi aussi."

    Colette leur a mis à chacun une claque sur les fesses, et le cas a été réglé.
    Revenant plus tard sur l'incident, Jean et Roselyne ont avoué leurs goûts pour la soumission. Maintenant, une fois par semaine, le soir, ils viennent dans l'arrière-boutique, après la fermeture, et servent aux plaisirs de leurs maîtresses.

    L'arrière-boutique est une grande pièce qui sert surtout à préparer les produits, avec des étals en bois, des paillasses carrelées, etc... Des crochets pendent du plafond, dans un coin un bac, plus grand qu'une baignoire, sert à faire dégorger les tripes. Le tout n'est pas très propre, rempli de marchandises, de plats en préparation, de linge d'office sale. Pendant que Maryse et Colette ajustent leurs tenues de travail: blouse et tablier par dessus, calot sur la tête, Jean et Roselyne attendent, nus, agenouillés. Jean est brun, petit et mince, il a l'entrecuisse rasée, ses couilles sont exposées aux regards. Roselyne est brune aussi, dodue et migonne, des cheveux courts et frisés, de jolis seins, la moune rasée.
     

    La course à la pachole


    Une fois prêts, Maryse et Colette s'avancent vers leurs esclaves. Maryse tient dans ses mains des liens de toile. Elle attache, dans le dos, les poignets de Jean et de Roselyne. Elle leur entrave les chevilles, laissant juste de quoi faire des pas de 20 centimètres. Colette retrousse son tablier, déboutonne sa blouse et sort sa pachole, puis va s'asseoir à l'autre bout de la pièce.

    - "A mon signal, vous ferez la course à genoux pour venir me sucer. Le perdant sera fessé par Maryse."
    Elle tape dans ses mains. Jean et Roselyne, sur les genoux, avancent vers elle, coude à coude. Roselyne se dépèche, mais Jean est plus rapide, et arrive le premier entre les cuisses de Colette. Maryse attrape alors Roselyne par le bras.
    - "Salope! Toujours à vouloir courir sur mon amie pour la manger. Tu ne perd rien pour attendre!"
    Pendant ce temps, Jean à pris place entre les cuisses de Colette, et la suce goulûment. Il y rentre la langue tout au fond, suce le bouton, tire sur les lèvres, et Colette mouille abondamment.
    Maryse traine Roselyne près de son mari.
    - "Ah le joli couple: un suceur et une suceuse!" Et elle abat sa main sur son cul, et la fesse à genoux, jusqu'à ce que Colette, qui a déjà joui une fois, arrête la sucette.
     

    Sur l'étal de la charcutière


    Après cette petite mise en train, Colette et Maryse passent aux choses serieuses. Sur un étal de bois, elles posent une vielle nappe tachée. Elles y couchent Roselyne sur le dos. Ses reins sont à l'extrémité de l'étal, les jambes pendent. Colette attache un torchon autour de chaque cheville, et au torchon un lien de toile. Elle relève les jambes de Roselyne et lui soulève les reins, sous lesquels Maryse mets des nappes pliées, pour que leur épaisseur relève le cul de Roselyne. Les jambes de la malheureuse sont largement écartées et attachées en l'air à des crochets. Ses deux trous sont au ras du bord de l'étal. Pour compléter son ligotage, elle a les mains attachées aux pieds du meuble. Elle offre ainsi sa moule et son trou du cul rasés, ainsi que ses cuisses et ses fesses pour les cinglades. Jean monte sur sa femme, mettant ses jambes de chaque côté de son ventre, et se couche sur elle, le cul tourné dans la même direction que celui de Roselyne. Deux liens, un sur les reins et un sur le cou, le plaquent contre Roselyne, l'empéchant de bouger.

    Maryse commence à introduire ses doigts dans ces trous offerts. Elle explore la tarte de Roselyne avec l'index, puis y met le majeur, puis un troisième. Elle les frotte dans son trou gluant, puis elle fait pareil avec le cul. Son autre main explore le troufignon de Jean, qu'elle dilate pour y remuer avec deux doigts les bouts de merde à l'intérieur. Elle ressort ses doigts merdeux, et va les essuyer sur les visages des deux esclaves, qui sont presque l'un contre l'autre.
    - "Léchez vos merdes, allez!"

    Avant qu'ils aient pû obéir, Colette à flanqué deux claques sur les culs offerts. Jean et Roselyne sucent alors bien vite les doigts de Maryse, et lappent leurs merdes et la mouille de Roselyne.
    Une fois que ses doigts sont propres, Maryse ramasse un vieux torchon sale et le glisse entre les deux visages.
    - "Comme ça, vous ne pourrez pas en profiter pour vous gameler, salopards."

    Colette a retroussé son tablier et s'est attaché autour de la taille, bien dressé, un godemichet. Elle attrape dans ses mains les mollets pendus au plafond, et écarte encore les cuisses de la pauvre écartelée. Elle enfile la moule de Roselyne, qui est juste au bord de l'étal, ouverte et offerte. Elle donne de grands coups de reins qui bourrent la malheureuse; elle gémit un peu, puis râle des remerciements. Maryse est allée près de Colette et lui caresse les miches pendant qu'elle travaille Roselyne. Elle lui presse doucement les fesses, et lui rentre délicatement un doigt dans le trou du cul, puis un autre dans la moule. Déjà excitée par la sucette de Jean tout à l'heure, Colette finit par jouir encore une fois des doigts de Maryse dans son con gluant.
    Elle sort son godemichet, que Maryse lui essuie avec un torchon. Puis, avec le même, elle cure la tarte de Roselyne, tournant son doigt enveloppé du torchon à l'intérieur, et le ressort imbibé de mouille.
     

    Enculage et fessée


    Colette est revenue avec un gros saucisson, et un morceau de saindoux. Avec ce dernier, elle tartine abondamment la choline et les deux camemberts, puis graisse le saucisson qu'elle a dans la main. Il est plus gros qu'une bitte, de forme pas très régulière, assez court. Elle l'enfonce dans la pachole grasse, dilatant celle-ci au maximum, pendant que la pauvre Roselyne gémit:
    - "J'ai mal, c'est trop gros!"
    - "Il faut bien ça, pétasse", répond Maryse, qui lui mets une claque à l'intérieur des cuisses, là où la peau est tendre.

    Le saucisson sort de la moune rasée, assez pour le tourner et le remuer avec la main. Maryse s'y emploie un petit moment, pendant que Colette revient avec deux autres saucissons, plus longs et plus minces, tartinés de saindoux. Elle en donne un à Maryse et garde l'autre.  Puis chacune encule un troufignon, Colette celui de Roselyne et Maryse celui de Jean. Elles rentrent les saucissons lentement pour faire durer le plaisir de l'enculade. Le spectacle est complet: deux culs posés l'un sur l'autre, les cuisses de Roselyne en l'air, les jambes de Jean pliées, les trois trous bouchés par les saucissons qui sortent d'eux.

    Maryse prend le martinet, et commence à fesser les deux esclaves. elle frappe au hasard: il y a toujours une miche ou un jambon pour recevoir les lanières. La peau des esclaves rosit, puis devient rouge. Ils geignent et ils halètent, mais ces bruits ne font que renforcer la méchanceté de Maryse. Elle s'acharne maintenant sur les endroits pas assez rouges, pour égaliser les couleurs. De temps en temps, elle s'arrête quelques secondes pour embrasser Colette, qui lui caresse les fesses, debout à côté d'elle, puis elle reprend la flagellation. Quand les deux esclaves commencent à crier, à supplier, à pleurer, elle ralentit la cadence, passe le martinet à Colette qui continue lentement. Pendant ce temps, Maryse va mouiller deux torchons avec de l'eau très chaude, et les rapporte. Colette arrête les coups, et elles étalent les deux torchons sur les fesses rouges, ce qui provoque de nouveaux gémissements de douleur. Elles appliquent bien le tissu sur la peau, puis laissent les esclaves dans leur position inconfortable.
     

    Farcissage conjugal


    Colette et Maryse enlèvent les torchons qui recouvrent les fesses de leurs victimes, puis les saucissons qui leur bourrent la tarte et les troufignons. Elles détachent Jean, qui descend de Roselyne. Les jambes de celle-ci sont détachées du plafond et laissées pendantes sur le bord de l'étal, ce qui lui fait pousser un soupir de soulagement.
    - "Merci, maîtresse", dit-elle.

    Maryse prend un pot de moutarde forte, une cuillère en bois et une pince à cornichons. Avec la pince, elle attrappe la saucisse de Jean, et, avec la cuillère, la lui enduit de moutarde. Jean bande encore assez fort, et la moutarde le réveille. Colette prend ensuite le pot, et barbouille de jaune la pachole rasée de Roselyne.
    - "Enfile ta grosse, allez!" dit Colette.
    - "Oui, à toi de jouir maintenant", reprend Maryse.

    Jean doit alors rentrer son boudin barbouillé de moutarde forte dans la mounine de sa femme. L'assaisonnement les pique tous les deux, surtout Roselyne dont la tartoune est irritée par tout ce que lui a déjà mis Colette. Elle pleure doucement, n'osant rien faire de plus, pendant que Jean va et vient en elle, les mains accrochées à ses hanches, debout face à la table. Le martinet à la main, Maryse se place derrière lui. Elle lève le bras, et les lanières s'abattent sur les jambons du pauvre esclave, qui donne un coup de rein dans la viande de sa femme. Maryse, tranquillement, cingle Jean, des épaules au mollets, en rythmant avec le martinet son travail de mari besogneux. Puis il gicle dans la pachole de sa femme, et ressort sa saucisse molle et pendante.
     

    La choucroute


    Pendant ce temps, Colette a mis à réchauffer dans le micro-ondes une grande boîte de choucroute, mais sans garniture. Elle a vidé la boîte dans un plat couvert d'un torchon, et posé le plat par terre, en attendant que Maryse ait fini de flageller les esclaves.
    Ceux-ci enfilent une vieille blouse sale et mettent par dessus un grand tablier à bavette. Avec la ceinture, Maryse et Colette leur attachent les mains dans le dos. Puis, elles leur nouent autour du cou un torchon humide en guise de bavoir.

    Maintenant, elles font allonger par terre les deux esclaves, tout près du plat. Avec les mains, Colette écarte la choucroute, pour y laisser un petit creux. Elle enjambe ensuite le plat, et s'accroupit au-dessus, après avoir retroussé sa blouse. Jean et Roselyne peuvent voir son gros cul, la raie culière profonde, qui arrive au trou marron, ce trou si joli dont ils sentent déjà l'odeur.
    Cuisses écartées sur la choucroute, Colette se concentre, force un peu, et, en se retenant pour ne pas pisser, commence à chier. Un gros étron marron foncé sort de son trou, pointu d'abord, puis bien large. Il pendouille un peu quand il sort, et finit par tomber dans la choucroute, comme une belle saucisse de Francfort, naturellement puante et grasse.

     -"Que pensez-vous de la garniture? dit-elle en riant de façon lubrique."
     - Maryse répond: "Mais, ma chérie, il n'en auront pas assez ces pauvres petits, je vais leur rajouter une saucisse moi aussi."
    Elle prend la place de Colette au-dessus du plat, après s'être troussée aussi. De ses énormes fesses, jaillit bien vite une merde marron clair, un peu plus molle que celle de Colette, qui sent bien plus fort, aussi, et qui vient tomber dans le plat, à quelques centimètres de l'autre.
     -"Mais cette choucroute est bien sèche, nous allons l'arroser, sinon vous n'allez pas pouvoir la manger!"

    Colette, assise par terre près de sa patronne, mélange le chou aigre et les deux étrons. Puis Maryse lache dessus un jet de pisse, qui embaume l'air et, quelques instants, fait oublier l'odeur de merde pour la remplacer par celle du pissou. La choucroute absorbe l'urine, il en reste quand même un peu au fond du plat, qui est maintenant prêt à servir.
    Les deux servantes sont à plat ventre face à face de chaque côté du plat, elles savent ce qui les attends. Mettant le nez dans la choucroute pisseuse, elles mangent comme des truies le choux aigre et puant de merde.

    Elles essaient d'éviter les étrons qui le garnissent, mais Maryse attrape Jean par une oreille et le tire le nez au-dessus de la merde:
    -"Mange ce bon boudin marron, en s'est pas fatiguées à le chier pour rien, quand même".
    Jean attrape la merde gluante et la lèche, puis il la prend entre les lèvres et en détache un morceau, qu'il mache et avale avec le chou. Roselyne, plus salope ou plus craintive, n'attends pas qu'on l'y oblige, et elle lèche une merde molle et jaune, elle l'écrase avec son nez et enfouit son joli petit visage de servante vicieuse dans l'infâme plat de choucroute que ses maîtresses lui ont préparé.
     
     
     

    « La lavementeuse en vertVaisselle à l'ancienne »

    Tags Tags : , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :