• Aux mains de la domestique

     Être puni, fessé, fouetté, battu, tourmenté, lavementé, humilié, par sa domestique, quel régal, pas la douleur, non, mais l'humiliation.

    Voici quelques dessins que je viens de découvrir.

     

    Ici, cette domestique, mûre, imposante, l'air revêche, ne fesse pas, elle va donner un lavement.

    Oui, mais ce lavement, est-il thérapeutique, ou punitif? J'aime à penser qu'il est punitif. Soit le mari a décidé de faire lavementer son épouse, soit la femme a voulu se faire infliger ce douloureux tourment. Peut-être même est-ce la domestique, ancienne nourrice de la jeune femme, qui a gardé de l'autorité sur elle, et qui décide quand et comment la faire retourner en enfance par le lavement… ou la fessée. 

     

     

    Dans ce dessin, aucun doute, c'est une fessée. Et c'est la bonne qui fesse, une bonne en classique tablier à petite bavette épinglée. Regardez son fessoir. Il tient le milieu entre le strap et le tawse. Il doit bien claquer et faire bien mal.

    Bon, sa victime, maintenant, humblement penchée sur la petite table, en train de se faire baisser la culotte, offrant complaisamment son petit cul au châtiment. Est-ce une jeune femme? ou un jeune homme féminisé? Je penche pour la seconde solution. J'imagine un jeune éphèbe, féminisé par la maîtresse de maison qui, tous les jours, le fait battre par la bonne pour lui rappeler son humble condition.

      

    Un petit tour à la campagne, avec ces deux domestiques en sabots et tabliers-taille, coiffe bretonnes, sans doute, qui fessent aux orties une "dame de la ville". Ça fait du bien à la circulation du sang.

     

     

     Une fessée à la règle, dirait-on. La victime, agenouillée sur le tabouret, face à une table, sans doute, est à la merci de la domestique en tablier-taille.

    A voir le visage de la domestique, je me demande si ce n'est pas un homme travesti, ce qui n'est pas forcément pour me déplaire…

     

    Et une bonne fessée à la main, par une domestique au très beau tablier à bavette, très coquet, pour ce qu'on en voit.

    J'imagine la victime dire "Oui, Rosalie, fessez-moi, ça me fait mouiller, et après vous me gougnotterez comme vous savez si bien le faire!".

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