Ces photos sont tirées de son blog:
https://magarethe-von-schloesskes.blogspot.com/

Il est en allemand, les goûts ne sont pas tous les miens, mais il est splendide. J'en ai extrait quelques photos, j'y mets mes propres commentaires qui n'ont sans doute rien à voir avec le texte initial.

Pour moi, ces travestis en tabliers, qui jouent à se soumettre dans la bonne humeur, c'est une vie rêvée, que j'aimerais vivre, dans un rôle ou dans l'autre.

Ouvrons cet article, comme cette porte, avec ma tenue favorite, le grand tablier à bavette blanc…

Celui-ci est plus coquet, porté sur une jupe vichy bleu et un corsage blanc.

Mais le tablier-taille sur la blouse, avec la coiffe assortie, est bien excitant aussi.

Il y a également de quoi satisfaire les amatrices de blouses.

Il est si doux, si plaisant de s'aider entre servantes pour s'habiller.

Et je trouve ça très excitant, aussi.

Ah, tiens, un dispositif contraignant pour éviter que la domestique ne se prenne pour autre chose que ce qu'elle est.

Les tabliers permettent une certaine convivialité entre les domestiques…

Entre la domestique et la maîtresse…

Même si la maîtresse aime poser, assise, entre ses domestiques agenouillées.

Ou debout, mais baissant humblement la tête.

Cela n'empêche pas les domestiques de prendre le thé avec la maîtresse.

Ni de s'asseoir à la même table…

Cependant, les domestiques doivent toujours se tenir prête à obéir et à servir.

Vues de dos, elles sont très excitantes aussi.

La domestique doit faire le ménage, à quatre pattes chaque fois que c'est nécessaire, et même si ça ne l'est pas.

Mais elle peut, dans certains cas, bénéficier des apports des arts ménagers.

Il faut, bien sûr, savoir repasser.

Mais sa vraie place est dans la cuisine.

A mitonner de bons petits plats.

Sous un regard observateur.

Mais toujours avec le sourire.

Même de simples brochettes nécessitent des compétences.

Et ensuite, la vaisselle, bien sûr.

Bien l'essuyer…

Avoir toujours le torchon à la main, c'est ça, être domestique!

Sinon, la punition est d'être enchainée au poteau…

Un instrument prévu pour ça, placé dans le séjour, aux yeux de tous.

Les punies peuvent être mises en pénitence attachées, ou au piquet à genoux.

Pour les beaux jours, la punition peut se faire en extérieur.

Mais là, on se demande qui domine et qui est soumise, non? On dirait qu'elle lui lave les pieds après l'avoir attachée.
Je me vois bien dans l'un ou l'autre rôle…

 Et si la contention ne suffit pas, il faut apporter le nécessaire pour recevoir la fessée, et le présenter à genoux, bien sûr.

Quel est le fessoir le plus ménager? Le tape-tapis, bien sûr.

Avec une victime bien attachée sur un banc de fessée…

Ou simplement agenouillée bien confortablement.

Sur la blouse boutonnée dos encore baissée, blouse qui, j'imagine, sera troussée bientôt.

Un cul bien tendu offert aux claques, blouse troussée, il suffira de baisser la culotte.

La culotte est baissée, là.

Un beau cul rouge, juste comme il faut.

Qui fesse un cul peut en fesser deux…

On peut fesser au salon, aussi.