• Une fessée de Marie-Charlotte chez les Saucissonneuses, suite et fin de la séance

    Je pensais, à l'origine, faire un court récit "à 100% dans mes fantasmes", mais finalement, j'ai du faire trois épisodes.


     

    Une fessée de Marie-Charlotte chez les Saucissonneuses, suite et fin de la séance

     "Nous savons ce qui nous reste à faire…», avait dit la Charcutière.

    Les trois servantes, Alice, Clodinette et Patricia, poussèrent - intérieurement - un soupir de soulagement. Marie-Charlotte, elle, sentit son corps se raidir. La Charcutière demanda:
    - «Gisèle, veux tu aller chercher Marie-Charlotte, s'il te plait?»
    - «Bien sûr, Maryse.»
    - «Amène-nous la par l'oreille, ça la mettra en condition.»

    La grosse Tripière se leva, et alla chercher la victime, la conduisant, par l'oreille, devant le groupe des Saucissonneuses et de leurs invités, qui avaient fini café et petits gâteaux. La Tripière n'était pas méchante, la prise sur l'oreille était, pour elle, juste une manière d'accompagner Marie-Charlotte qui marcha, à petit pas, entravée par sa culotte aux chevilles, jusque devant la Charcutière. La Tripière l'aida même à s'agenouiller, avec sa saucisse pendouillante devant, sous le tablier retroussé, et ses fesses bien rouges derrière. Tout le monde, autour de la table, regardait attentivement, tournant sa chaise si besoin. La Charcutière commença l'interrogatoire:
    - «Alors, Marie-Charlotte, on a joui pendant la fessée?»
    - «Oh non, je te jure, Charcutière, je n'ai rien fait, je n'ai pas joui, j'avais trop mal…»
    - «Comme si une fessée pouvait t'empêcher de jouir de honte», répondit la Charcutière en brandissant le torchon taché. «Et ça, qu'est-ce que c'est?»
    - «Je ne savais pas, Charcutière», pleurnicha la coupable. «Je ne me suis pas rendu compte, j'ai pas fait exprès…»
    - «Comme s'il fallait faire exprès, ici, pour être punie… Tu connais les règles, quelle est la punition pour ce que tu as fait, exprès ou pas?»
    - «La punition c'est la fessée, Charcutière, mais…»
    - «Mais quoi?»
    - «J'ai déjà été bien fessée, j'ai bien mal au cul, Charcutière…»
    - «Eh bien tu auras encore plus mal, voilà!»

    De toute façon, il n'y avait pas de contestation possible. La Charcutière se tourna vers la Cuisinière.
    - «Clarisse, veux-tu te charger de la deuxième fessée, s'il te plait? Josiane doit avoir la main en feu…»
    - «Avec plaisir, Maryse, j'ai envie de me servir d'une spatule et d'une cuillère en bois, ça permettra de mieux viser là où ça fera bien mal…»
    - «Mais bien sûr, tu fesses comme tu veux, ma chérie», dit la Charcutière.
    Elle se tourna vers la victime, toujours agenouillée, qui avait frémi à l'idée des fessoirs de cuisine:
    - «Petit blanc, tu vas recevoir la fessée d'une grosse négresse, ça te plait, non?»
    - «Je reçois la fessée sans avoir le droit de choisir, Charcutière», répondit la pauvre Marie-Charlotte.
    Elle était heureuse d'échapper à la Pâtissière, Annette, qui était la plus sévère des fesseuses.
    - «Mais je peut faire pipi avant? J'ai très envie de faire pipi, Charcutière.»
    - «Ah, et alors? Envie ou pas, tu vas recevoir la fessée tout de suite, n'essaie pas d'y échapper…»
    - «Mais, Charc…»
    - «Tais-toi, et, d'ailleurs, nous allons te faire taire, Jeanne, veux-tu bien bâillonner cette impertinente?»

    La Serveuse, qui avait toujours des torchons sales à la ceinture, se fit un plaisir de mettre sur la bouche un torchon encore collant de fromage, et de lui attacher derrière la nuque. Ça ne l'empêchait pas de respirer, ni même de gémir, mais elle ne pouvait plus rien articuler.
    - «Bande-lui les yeux avec un autre torchon, aussi, Jeanne», dit la Charcutière, «qu'il ne voit pas sa honte d'être fessé par une grosse négresse.»

    De toute évidence, tout le monde considérait comme plus humiliant d'être soumis à Clarisse parce qu'elle était noire, et utilisait le mot "négresse" pour rendre la situation encore plus humiliante. Cela amusait la Cuisinière, comme le fait d'être traitée de "tas de graisse" amusait aussi la Tripière. Il n'y avait rien d'autre, dans tout ça, que le plaisir d'humilier et d'être humilié par les situations et par les mots.

    Si la Charcutière avait fait bander les yeux de Marie-Charlotte, c'est que la fessée qui se préparait était particulière.

    La Cuisinière avait pris la chaise de la Crémière, mais, avant de s'asseoir, elle avait mis sur son tablier de cuisine un grand tablier à bavette en caoutchouc blanc, qui la recouvrait entièrement. Sur le tablier, elle avait étalé trois torchons, bien larges, ce qui fait que la punie ne sentait pas le contact du caoutchouc, mais uniquement du tissu. Le bas du tablier de caoutchouc tombait dans une bassine de plastique posée au sol entre ses pieds, pour recueillir ce qui coulerait. La Cuisinière avait donc les cuisses légèrement écartés, un pied de chaque côté de la bassine.
    De toute évidence, il était prévu que, pendant la fessée, Marie-Charlotte ne puisse pas s'empêcher de pisser, et de faire des dégâts.

    Si la Bouchère avait repris sa place sans rien changer, il n'en était pas de même de l'autre côté. La Serveuse avait deboutonné la fausse poche de son tablier, révélant ainsi un passage qui donnait accès à la blouse. Et de la blouse, déboutonnée, sortait une saucisse de chair, qui constituait la "petite particularité" de la Serveuse. Petite, enfin de taille raisonnable, décalottée en permanence, et ni flasque ni rigide, qui "bandait mou", selon une expression courante. Enfin, la Charcutière avait en main un plug en caoutchouc rose, de petit diamètre, mais qui se gonflait, à l'aide d'une pompe au bout d'un mètre de tuyau.

    La Tripière fit se lever Marie-Charlotte et, à petits pas, les yeux bandés, l'amena devant le trio de punisseuses. Les invités avaient pris place comme pour la fessée précédente. La Tripière, aidée de la Crémière, fit basculer la victime sur les genoux de la Cuisinière, sa saucisse bien alignée sur les torchons, les mains et les pieds au sol. La Charcutière demanda:
    - «Marie-Charlotte, tu vas être fessée en travers des genoux de la négresse Cuisinière, tu veux bien?»
    - «MMumm… Vuugg»
    - «Suis-je bête, elle est bâillonnée, enlève-lui ce torchon qui l'empêche de consentir à sa fessée, Gisèle. Alors, servante, tu veux bien être fessée en travers des genoux de la négresse Cuisinière? Répond à la vicieuse Charcutière!»
    - «Oui, vicieuse Charcutière, que la  négresse Cuisinière me fesse.»
    - «Tu veux vraiment être fessée par la négresse, dis-le nous.»
    - «Oui, je veux être fessée par la négresse, j'aurai encore plus honte.»
    - «Fessée avec la cuillère en bois, la spatule de cuisine?»
    - «Oui vicieuse Charcutière, fessée comme la  négresse Cuisinière voudra.»
    - «Et chatouillée par la gentille Bouchère?»
    - «Oh oui, je veux être chatouillée par la gentille Bouchère.»

    La Tripière releva, sans la moindre peine, les jambes de Marie-Charlotte pour les poser dans le tablier de la Bouchère. Celle-ci lui écarta tout de suite les chevilles, pour bien exposer son trou du cul. La Tripière prit la relève pour les questions:
    - «Marie-Charlotte, nous allons te mettre un plug dans le trou du cul, ma salope.»
    - «Pas un gros, au moins, ma grosse Tripière?»
    - «Non, pas un gros plug, un petit, qui rentrera bien facilement.»
    - «Merci ma grosse Tripière, rentre-moi le plug, alors…»
    - «Je vais te le mettre dans le cul, et je le gonflerai ensuite!»

    Elle mouilla un doigt de salive, puis le rentra dans le cul de Marie-Charlotte pour le préparer, pendant qu'elle mettait le plug dans sa bouche pour le mouiller aussi. La punie protestait mollement:
    - «Mais, grosse Tripière, ça va me presser la vessie…»
    - «Et alors», dit la Charcutière, «qu'est ce que ça peut nous faire…»

    La Tripière introduisit délicatement le plug dans le cul de Marie-Charlotte, plaça le long tuyau de gonflage entre ses jambes et posa la poire sur le tablier de la Bouchère. Celle-ci fit juste quelques pressions, pour maintenir le plug en place et bien faire sentir à la victime son humiliant remplissage. Enfin, pendant que la Tripière relevait le buste de Marie-Charlotte pour le mettre entièrement en position posant l'avant de son torse, et ses bras, sur le tablier, la Serveuse lui posa la dernière question:
    - «Alors, Marie-Charlotte, tu veux que la grosse Tripière te mette encore la tête sur les genoux de la Serveuse salope?»
    - «Oui, Serveuse salope, je veux bien avoir la tête sur tes genoux.»

    En même temps que la Tripière la mettait en position, la Serveuse enleva le torchon qui lui bandait les yeux, et Marie-Charlotte vit ce qui l'attendait: le saucisson de la Serveuse, décalotté, à moitié mou, à moitié dressé, qui sortait de son tablier à travers l'emplacement de la fausse poche.
    - «Et tu vas sucer mon saucisson?» demanda la Serveuse.
    - «Oui, Serveuse salope», approuva, résignée, la pauvre Marie-Charlotte. De ses bras libres, elle s'appuya légèrement sur les genoux de la Serveuse, ouvrit la bouche, et se mit humblement à lécher le gland qui lui était offert.

    La Cuisinière put alors commencer sa fessée. Elle s'était munie de plusieurs cuillères en bois et spatules en bois, de taille différente, d'une petit bol de glaçons et d'une petite cuvette d'eau. Sa technique était bien différente de celle de la Crémière. Pas de grandes claques, non, mais, avec tel ou tel instrument, elle donnait des coups précis aux endroits qu'elle voulait rougir, chaque coup tirant un gémissement de la bouche, bien occupée par ailleurs, de Marie-Charlotte. De temps en temps, elle prenait un glaçon et le promenait sur les fesses brulantes, ce qui les rafraichissait et faisait frémir la victime. Un autre fessoir, d'autres coups bien précis, un peu d'eau pour mouiller la zone et rendre les coups plus sensibles. Le tout sous le regard attentif des invités, et accompagné de commentaires des Saucissonneuses, du genre:
    - «Tu aimes quand la négresse te travaille les jambons?» (la Cuisinière)
    - «Alors, Marie-Charlotte, tu regrettes ma fessée à moi?» (la Crémière)
    - «Colette, gonfle-lui un peu le plug, à cette salope» (la Charcutière)
    - «Ça ne fait pas mal, ma chérie, de te gonfler le cul, ça va te détendre au contraire…» (la Bouchère)
    - «Et ne te plains pas, ce serait pire avec moi, tu le sais.» (la Pâtissière)
    - «Je ne sais pas si elle bave ou si elle pleure, mais mon saucisson est trempé.» (la Serveuse)
    - «Et fais bien attention de ne pas pisser, surtout…» (la Tripière)

    Lors de sa première fessée, la Serveuse avait fait boire abondamment la punie, plus d'un litre et demi, d'un biberon évidemment rempli de tisane diurétique. Le petit plug dans le cul, que la Bouchère gonflait progressivement, pressait sur sa vessie. Et la pissade était, bien évidemment, programmée pendant la fessée de la Cuisinière. Le tablier de caoutchouc était là pour la protéger, pour que la pisse s'écoule dans la cuvette, mais tout cela, comme elle avait les yeux bandés, Marie-Charlotte ne l'avait pas vu, et actuellement, son regard n'allait pas plus loin que le gros saucisson de la Serveuse sur lequel elle s'affairait, essayant de ne pas mordre quand un coup plus douloureux que l'autre lui arrachait un gémissement étouffée par l'andouille de chair chaude.

    Marie-Charlotte sentait la pression monter dans sa vessie, pression interne de la pisse que ses reins avaient abondamment produite, pression rectale du plug gonflable, pression externe des coups de la Cuisinière. Celle-ci, d'ailleurs, frappait de manière à la faire bouger le plus possible pour que, à chaque coup, même léger, la douleur la fasse appuyer d'un côté, de l'autre, vers les cuisses, vers le ventre, massant ainsi sa vessie gonflée et douloureuse.

    La Charcutière, qui dirigeait les opérations fessatoires et pissatoires, donna discrètement le signal. En même temps, elle prit une des mains de Marie-Charlotte, qui caressaient le saucisson qu'elle suçait, et la trempa dans une petite cuvette d'eau qu'elle avait apportée. La Tripière s'était penchée à l'oreille de la punie, qui suçait toujours, et lui faisait "Pssiisst, psssist, pissou pissou", avec de petits coups de langue dans le pavillon. La Cuisinière avait arrêté les coups, et promenait des glaçons sur les fesses de la soumise, pendant que la Bouchère mettait la pression dans le plug gonflable. Tout ceci en l'espace de dix ou vingt secondes.

    Marie-Charlotte, se crispa, se détendit, gémit, râla, et lâcha sur les genoux de la Cuisinière des flots de pisse chaude, tout en continuant à sucer la Serveuse, les yeux mouillés de larmes. Les torchons étalés sur le tablier de caoutchouc s'imbibèrent, mais ils ne pouvaient pas tout absorber, et la pisse les traversa rapidement. Pendant ce temps, la Bouchère avait dégonflé le petit plug, et la Tripière l'avait retiré du cul de Marie-Charlotte qui, toute à sa libération pissadière, ne s'en était même pas rendu compte. Le fessée était finie, elle continuait, machinalement, à sucer la Serveuse, pendant qu'elle finissait de se vider et que sa pisse dégoulinait des torchons dans le tablier en caoutchouc et du tablier en caoutchouc dans la cuvette posée entre les chevilles de la Cuisinière.
    - «Mais elle m'a pissé dessus, cette salope, elle a profité que je la fessais pour me pisser dessus», dit cette dernière, jouant l'outragée.

    Mauvaise foi évidente, tout ayant été organisé pour ça. Ce qui permit à la Charcutière de dire:
    - «Quelle vicieuse, la première fessée elle jouit, la deuxième elle pisse, ça ne va pas se passer comme ça, Gisèle, Josiane, relevez-la et tenez-la!»

    La Tripière et la Crémières, deux fortes femmes, n'eurent aucun mal à empoigner Marie-Charlotte sous les bras, et avec un peu d'aide de la Cuisinière et de la Bouchère, de la mettre sur ses deux pieds. Lui tenant les bras, chacune d'un côté, elle l'exposèrent devant tout le monde, blouse retroussée devant et derrière, humide de sa pisse sur le bas ventre et les cuisses. En pivotant, Marie-Charlotte put voir la Pâtissière qui tenait fermement son martinet.
    - «Non, pitié!» supplia la malheureuse, «non, pas le martinet de la Pâtissière!»

    Annette, la Pâtissière, était en effet la plus experte, la plus sévère, la plus redoutée des fesseuses. Mais il ne servait à rien de se débattre. Ses bourrelles, la tenant toujours fermement, lui firent faire face à sa précédente fesseuse, qui était toujours assise, avec son tablier en caoutchouc et les torchons trempés de pisse sur ses genoux.

    Le martinet de la Pâtissière s'abattit sur les fesses brulantes de Marie-Charlotte, qui gémit. Puis un autre coup, puis un autre, donnés tranquillement, sans précipitation. Chaque cinglade lui arrachait un gémissement, dont se régalait les Saucissonneuses, les invités et même les autres servantes. Petit à petit, la Pâtissière descendait ses coups, cinglant les cuisses, puis les mollets, en prenant bien soin d'éviter l'arrière des genoux, trop fragile pour être frappé. Les seuls mots qui s'échappaient de la bouche de Marie-Charlotte, entre ses gémissements, étaient "Non, non" et "Pitié".
    – «Tu vois, Marie-Charlotte», dit la Pâtissière, «les fessées au martinet sont encore meilleures sur des fesses déjà rouges! Tu les sens bien ces cinglades? Celle-la! Et encore celle-la! Oh comme elle a bien claqué celle-la! Et arrête de gigoter, que je puisse te martinetter convenablement… Tu ne me facilites pas la tâche. Josiane, Gisèle, tenez-la bien. Et mettez-la moi à genoux!»

    La Tripière et la Crémière la forcèrent à s'agenouiller devant la Cuisinière, lui mettant le nez dans les torchons imbibés de sa propre pisse, pendant que la martinettade continuait. La Charcutière força Marie-Charlotte à entourer de ses bras la taille de la Cuisinière, pendant qu'elle enfonçait sa tête dans les torchons pisseux. Puis elle fit, petit à petit, descendre les bras le long des cuisses, jusqu'à la mettre à quatre pattes, se reculant un peu, et les torchons pisseux tombèrent dans la cuvette qui était toujours posée au sol.
    Les coups de martinet continuaient à pleuvoir.
    - «Tu as fait tomber les torchons», dit la Charcutière, «va les chercher avec la bouche dans la cuvette, et donne-les à la Tripière!»

    Marie-Charlotte du s'exécuter, plongeant le nez dans la pisse, prenant les torchons avec la bouche, se redressant pour les donner à la Tripière, pendant qu'elle recevait toujours le martinet. Celle-ci, pas dégoutée par la pisse, essorait les torchons dans ses mains puissantes, faisant couler la pisse dans la cuvette. Puis elle bâillonna Marie-Charlotte avec un torchon essoré, lui en mit un autre sur le visage pour tenir le premier. Les gémissements étouffés par les torchons devenaient des couinements.

    Ainsi bâillonnée, et aveuglée, la punie dut faire le tour de la pièce à quatre pattes, guidée par la Charcutière qui lui disait "à droite", "à gauche", "avance", pendant que les coups de martinet continuaient à tomber sur ses fesses et ses cuisses. La Tripière, de temps en temps, mettait un torchon pisseux sur ses fesses, lui faisait couler un peu de pisse de la cuvette sur le dos, pour qu'elle soit bien imbibée de sa propre pisse, qu'elle avait eu l'impudence de ne pas pouvoir retenir pendant que la Cuisinière la fessait.

    Enfin, la Charcutière la força à se mettre complètement à plat ventre, couchée par terre, sa blouse et son tablier rabaissés et c'est en rampant qu'elle dû faire encore le tour de la pièce. La Tripière faisait couler un peu de pisse de la cuvette devant elle, qu'elle épongeait, donc, en rampant dessus. Les Saucissonneuses la poussaient du pied, délicatement. Une fois, avec les pieds, elles la retournèrent sur le dos, pour que tout le monde puisse voir sa blouse et son tablier trempé, et le torchon sur sa figure. Puis, toujours avec délicatesse, du bout des pieds, elles la retournèrent sur le ventre, et c'est dans cette position que la Pâtissière lui donna les derniers coups de martinet, des mollets aux fesses, agrémentant le rouge uniforme du cul par de légères stries.

    La fessée était terminée. La Tripière et la Crémière soulevèrent la pauvre victime pour aller la coucher, à plat ventre, sur un lit à barreaux recouvert d'une alaise. Il était inutile de l'attacher, elle lui enlevèrent le bâillon torchonnier et la laissèrent ainsi, pendant que tout le monde, Saucissonneuses et invités, allaient prendre une nouvelle tasse de café.

    Le service, par Alice et Patricia, fut impeccable, pendant que Clodinette devait, à quatre pattes, éponger les traces de pisse qui restaient au sol avec des torchons. Aucune des trois n'avait envie de donner le moindre prétexte à une punition…

     

    FIN 

     

    Mais si, chère lectrice, cher lecteur, vous avez une idée des punitions que pourraient subir Alice, Clodinette ou Patricia, faites un commentaire, ou mieux, écrivez un récit et envoyez-le moi. 

    « Bien fenduMonsieur est puni »

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  • Commentaires

    1
    Peter Pan
    Samedi 31 Août à 09:58

    Amis des saucissonneuses fesseuses 'Onjour !!

     

    Ben voilà un récit claquant bien... saucissonné !! (hi hi hi !). Voilà ce qui arrive aux vilain(e)s apprenti(e)s  et autre marmitons maladroits/e/s!!! Pan pan cul cul !! Les Trois Grasses ont encore frappé!! La cuisine exige rigueur et savoir-faire !! Non, mais !

    Peter.  

    2
    Clodinette
    Samedi 31 Août à 10:11

    je me suis appliquée consciencieusement à quatre pattes à éponger le pipi de cette cochonne de marie charlotte, incapable de se retenir pendant qu'elle était fessée ! ma mission étant remplie , j'estime ne mériter aucue punition !

    clodinette

      • Peter Pan
        Samedi 31 Août à 11:25

        Bonjour ma bonne Claudie Nette, 

        Vous avez parfaitement remplie votre mission !! Et la première de ces Trois Grâââces qui voudra vous punir, elle aura affaire à Oncle Pit !!! Crévindiou de boudiou de mazette !!! C'kilt-le chef ici ! Non mais ! 

        Peter. 

         

         

    3
    Clodinette
    Samedi 31 Août à 11:48

    ho grand merci très cher Oncle Pit de prendre ma défense ! mais ne prenez vous pas un grand risque, en agissant ainsi, de vousr etrouver sur l'etal de ces charcutières saucissonneuses.....pour subir leurs mains en forme de battoir et le martinet sur votre malheureux postérieur ? 

    Clodinette

      • Peter Pan
        Samedi 31 Août à 13:28

        Rebonjour ma bonne Claudie toujours Nette, 

        Damned ! C'est juste !  ces mammouthesques créatures en tab' liés  me flanqueront  une magistrale déculottée sur mon pôv' popotin tout maig' !!!  - Tremblez, garnement de Peter !!  Les filles, attrapez-le et déculottez-le  ! - Lâchez moi ou je vous mord  vos gros jambonneaux !!  - Tenez le sur mes genoux !! - Lachez moi , grooos es dondons en jupons  !! C'est pas moi ! C'est mon cousin Rodolfo !! Aaaaaie ! Sans compter le risque de relâcher mes... "émotions" sur leurs bas résilles !! Heureusement,  j'appellerai à mon secours notre incontournaaaable Tante Gladys qui surgira, telle une Super héroine, cape et jarretelles au vent  !!! Hi hi hi !!!

        Peter.

    4
    Clodinette
    Samedi 31 Août à 19:03

    aie aie aie Cher Peter .....tu risques encore plus de tomber de Charybde en Scylla... en appelant tante Gladys à la rescousse!

    clodinette! 



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