• Une fessée de Marie-Charlotte chez les Saucissonneuses, la préparation

    Je pensais, à l'origine, faire un court récit "à 100% dans mes fantasmes", mais finalement, j'ai du faire trois épisodes.


     

    Une fessée de Marie-Charlotte chez les Saucissonneuses, la préparation

     

    Ils étaient quatre à se trouver aux mains des Saucissonneuses (c'est ainsi qu'aimaient se nommer ces dominatrices), dans la pièce de cette grande maison où était organisé le séjour de domination torchonnière. Cet après-midi était consacré à la fessée des soumis, ou plutôt des soumises, parce que les quatre hommes étaient féminisés et habillés en servantes.

    Oublions leurs vrais prénoms, disons qu'il y avait Alice, la plus jeune, puis Clodinette, Marie-Charlotte et Patricia, les trois autour de la soixantaine. Tous étaient habillés de la même façon, blouse de fille vichy rose boutonnée dans le dos, avec leur prénom brodé dessus, une blouse longue aux chevilles, serrée aux jambes, manches longues, ceinture. Une coiffe assortie couvrait leurs cheveux, des mules aux pieds. Ils n'étaient pas maquillés, leur cheveux étaient cachés par la coiffe. Ils ne ressemblaient pas à des filles, non. On voyait bien qu'ils étaient des hommes féminisés, asservis, ridiculisés, c'était fait pour ça. Ils portaient un petit tablier à bavette blanc sur la blouse de fille.

     

    Les Saucissonneuses avaient fini de manger, les servantes avaient débarrassé la table et fait la vaisselle. Le café serait servi plus tard, et les Saucissonneuses bavardaient avec deux couples qu'elles avaient invité à assister à la séance de fessée. Un couple hétérosexuel, âgé, et un couple homosexuel, plus jeune. Pour rester dans l'esprit de la séance, les invités avaient enlevé leurs vêtements et passé des blouses par dessus leurs sous-vêtements.

    La séance pouvait commencer. Les spectateurs invités, qui n'avaient rien d'autre à faire qu'à se rincer l'oeil, et à augmenter, par leur présence, l'humiliation des soumis, s'assirent tranquillement contre un mur. Les soumis se rangèrent contre un autre mur, debout, mains croisées sur leur tabliers.

    Maryse, dite "la Charcutière", prit, comme d'habitude, la direction des opérations.  Rousse bien grasse à la peau bien blanche, laiteuse, bien mûre (nous ne dirons pas son âge par courtoisie), elle était bien grassouillette. Sous sa blouse blanche sans manches, on voyait les touffes de poils roux sous ses aisselles, et on se doutait bien qu'elle avait une motte fournie, avec une odeur de rousse, forte et fade à la fois. Elle portait sur sa blouse un grand tablier à bavette rose, bretelles croisées dans le dos, un torchon blanc à grands carreaux rouges sur la tête, et des socques aux pieds.
    - «Bon, pour résumer ce que nous disions en buvant le café, nous allons donner une bonne fessée à une de nos servantes. Une bonne et longue fessée, et sans la moindre raison, juste pour le plaisir de la chose, et pour faire plaisir aux invités voyeurs qui se sont joints à nous.»

    Les invités sourirent en guise de remerciement, puisqu'il était entendu qu'ils resteraient discrets. Maryse continua:
    - «La fessée sera donnée par Josiane, qui va s'installer tout de suite.»

    Josiane, dite "la Crémière", était une grosse femme brune, du même âge que Maryse, avec des nichons énormes, un gros cul, beaucoup de ventre. Elle portait une blouse bleue à manches courtes, qui dégageait ses bras puissants, un grand tablier blanc à bretelles croisés, une grande coiffe blanche sur la tête, des socques aux pieds aussi. Comme au théâtre, elle se leva, pris une solide chaise de bois et la posa face aux invités. Elle s'assit, lissa le bas de son tablier et attendit la suite.

    Les servantes, au moins, savait qui allait fesser, et si la Crémière était une bonne fesseuse, elle n'était pas la plus redoutée.

    Maryse continua sa présentation. Elle savait qu'il fallait que les servantes n'apprennent qu'au dernier moment qui serait la victime, et elle en jouait. La présentation servait à la fois à amuser les invités, et à faire durer l'attente:
    - «Pour ne pas que la punie batte des jambes pendant la fessée, au risque de tomber, Colette lui tiendra les pieds.»

    Colette, dite "la Bouchère" se leva en souriant. Jamais un surnom n'était aussi peu assorti à la personne. C'était une gentille brune, assez mince, et plus jeune que ses deux commères. Elle portait une blouse vichy bleue, avec par dessus un tablier blanc de boucher, c'est à dire ne couvrant qu'un seul nichon, en biais, et sur les cheveux, une coiffe blanche. Des auréoles sous ses bras montraient bien qu'elle devait avoir de grosses touffes dessous, comme les autres Saucissonneuses, qui ne se rasaient jamais les aisselles. Elle prit une chaise et alla la mettre à droite de Josiane, perpendiculaire à la chaise de la fesseuse, prit quelques torchons et s'assit à sa place.

    Les servantes comprirent que, en plus de la fessée, celle qui allait être tourmentée devrait, en plus, subir les chatouilles qui étaient la spécialité de Colette. Elles attendaient la suite, qui confirma leurs craintes.

    - «Comme la fessée va être longue, très longue» continua Maryse, «et que la punie doit être dans une position confortable, Jeanne prendra sa tête sur ses genoux.»

    Jeanne, dite "la Serveuse" était une rousse pas très grosse, avec de gros lolos lourds, et un très beau cul, de l'âge de Colette, à peu près. Son allure était vulgaire, et les servantes la craignaient comme la plus vicieuse des Saucissonneuses. Elle se leva, habillée d'une blouse bleue, sur laquelle elle portait un grand tablier à bavette en grosse toile bleue de fille de salle et un triangle en fichu sur les cheveux. Ce qu'on ne voyait pas, c'est qu'elle était androgyne, et pourvue entre les cuisses d'une saucisse et de deux boulettes. Une poche, sur la bavette du tablier, permettait de rendre plus discret cet attribut. Les servante savaient que la tête dans son tablier était une punition supplémentaire. Jeanne prit une chaise et alla s'asseoir à la gauche de Josiane, la chaise dans le même sens que celui de la fesseuse. Mais, avant de s'asseoir, elle mit sur la chaise quatre ou cinq nappes pliées, bien épaisses, pour réhausser le siège. Ainsi, la tête de la victime serait toujours surélevée par rapport au reste du corps. Pour son confort, elle plaça un petit tabouret à ses pieds.

    L'équipe fessatoire étant constituée, il restait à choisir la victime. Maryse dit:
    - «Et pour savoir qui punir, nous allons faire un concours de chant, et la perdante sera fessée.»

    Elle prit quatre feuilles de papier qui étaient sur dans un tiroir et les distribua aux servantes:
    -  Vous allez vous mettre à genoux, toutes, et chanter chacune à votre tour un couplet, et toutes ensemble vous reprendrez le dernier ver de chaque couplet. L'air est facile, c'est celui de "
    Il était une bergère". Allez, on commence dans l'ordre, Alice, Clodinette, Marie-Charlotte et Patricia.»

    Les servantes s'agenouillèrent, la feuille avec les paroles dans la main, et Alice commença, au signal de Maryse, qui battait la mesure avait une cuillère en bois.

    Il était une Crémière
    Et pan et pan, sur le cul tout nu
    Il était une Crémière
    Qui fessait tous les culs, cu cu
    Qui fessait tous les culs

    Toutes les servantes avaient repris le dernier ver "Qui fessait tous les culs".

    Puis Clodinette:

    Elle sentait le fromage
    Et pan et pan, sur le cul tout nu
    Elle sentait le fromage
    Le fromage qui pue, pu pu
    Le fromage qui pue

    Et elles reprirent toutes le dernier ver.

    Puis Marie-Charlotte:

    Souillon la bonnichette,
    Et pan et pan, sur le cul tout nu
    Souillon la bonnichette,
    Veut lui lécher le cul, cu cu
    Veut lui lécher le cul

    Puis Patricia pour le quatrième couplet:

    La crémière refuse
    Et pan et pan, sur le cul tout nu
    La crémière refuse
    Lui dit «c’est défendu du du»
    Lui dit «c’est défendu»

     A nouveau Alice:

    « Si tu baises mes fesses »
    Et pan et pan, sur le cul tout nu
    «Si tu baises mes fesses
    Prends bien garde à ton cul, cu cu
    Prends bien garde à ton cul »

    Et à nouveau Clodinette:

    Elle lécha les fesses
    Et pan et pan, sur le cul tout nu
    Souillon lécha les fesses
    Et embrassa son cul, cu cu
    Et embrassa son cul

    Marie-Charlotte:

    Puis elle mit la langue
    Et pan et pan, sur le cul tout nu
    Puis elle mit la langue
    Dedans le trou qui pue, pu pu
    Dedans le trou qui pue

    Patricia encore:

    La Crémière en colère
    Et pan et pan, sur le cul tout nu
    La Crémière en colère
    Lâcha un pet qui pue, pu pu
    Lâcha un pet qui pue

    Et Alice:

    « Crémière je m'accuse »
    Et pan et pan, sur le cul tout nu
    « Crémière je m'accuse
    D'avoir léché ton cul, cu cu
    D'avoir léché ton cul »

    Et Clodinette:

    « Alors pour pénitence »
    Et pan et pan, sur le cul tout nu
    « Alors pour pénitence
    Je vais fesser ton cul, cu cu  
    Je vais fesser ton cul»

    Et Marie-Charlotte en dernier:

    La peine était sévère
    Et pan et pan, sur le cul tout nu
    La peine était sévère
    Souillon ne le fit plus, plu plu
    Souillon ne le fit plus

    Les invités étaient charmés par cette comptine détournée de façon vicieuse, et se permirent d'applaudir discrètement.

    - «Relevez-vous», dit Maryse, «nous allons choisir la perdante, et, pour une parfaite impartialité, les trois punisseuses ne voteront pas. De plus, nous ferons participer au jury nos invités, comme ça, ils verront qu'il n'y a ici ni chouchou, ni souffre-douleur.»

    Clarisse, Annette et Gisèle, qui étaient restées autour de la table se rapprochèrent des invités avec Maryse. Un bref conciliabule, à voix basses, quelques minutes, et ce fut réglé.
    - «Annette va aller chercher la perdante. Elles ont toutes mal chanté, mais il y en a une pire que les autres», dit Maryse.

    Annette, surnommée "la Pâtissière", à cause de la crème fouettée, est une blonde avec de gros nénés, avec de bonnes joues et un bon gros cul rebondi. Ses bras sont beaux, blancs et bien forts. Elle portait une blouse blanche sans manches, pour montrer ses bras et un tablier rose, avec une jolie bavette à volants, ainsi qu'une coiffe rose sur la tête sur la tête. Elle était, aussi, entre deux âges, celui de la femme dans toute sa splendeur.

    Elle passa derrière les servantes qui étaient à nouveau debout, mains sur le devant de leur tablier, le regard humblement baissé. Elle leur caressa les fesses, ce qui les fit frémir de plaisir et de honte. Les quatre servantes, soumises, attendaient le verdict, sachant, de toute façon, que le chant n'était qu'un prétexte, une humiliation de plus.
    - «Avance, Marie-Charlotte, tu as perdu le concours, tu as été choisie pour recevoir la fessée et, crois-moi, tu vas en baver! Va demander ta punition à la Charcutière.»

    Alice, Clodinette et Patricia poussèrent un soupir de soulagement, d'avoir échappé à la "bonne et longue fessée" de cet après-midi. Au soulagement allait s'ajouter le plaisir d'assister à la punition, plaisir jouissif en s'imaginant à la place de la fessifiée, mais sans la douleur.

    Marie-Charlotte s'avança devant Maryse:
    - «Charcutière, je reconnais que je dois être fessée, et je vous remercie toutes de me punir.»
    - «Va demander ta fessée à Josiane», répondit Maryse.

    La malheureuse victime s'avança vers la chaise où Josiane était assise, s'agenouilla devant elle, embrassa le bas de son tablier, puis lui embrassa la main.
    - «Crémière, veux-tu me donner la fessée que j'ai méritée, s'il te plait?»

    On pourrait s'étonner que la soumise tutoie sa dominatrice, mais c'était la règle chez les Saucissonneuses, afin de rendre la soumission infantilisante et, de ce fait, plus humiliante encore. C'est pour la même raison que, si les dominatrices s'appelaient entre elles par leurs prénoms, les servantes utilisaient leurs surnoms de tourmenteuses.
    Marie-Charlotte se mit à quatre pattes, se baissa encore pour embrasser les pieds de Josiane, puis se remit à genoux.
    - «Tu vas me fesser, Crémière, tu veux bien, dis? S'il te plait?»
    - «Bien sûr, petite vicieuse, mais c'est une fessée cul nu, tu le sais.»
    - «Je le sais, Crémière.»
    - «Alors, relève-toi et va te faire déculotter par la grosse Tripière.»

    Gisèle, "la Tripière", était une grosse blonde, entre deux âges, de près de 120 kgs. Ses loloches étaient énormes et tombants, ses miches de même. Elle portait une grande blouse blanche aux boutons supérieurs ouverts, qui peinait à contenir sa poitrine, et par dessus un tablier-taille rose, avec un torchon noué sur les cheveux. Elle s'était rassise à côté de la table, après avoir discuté avec les invités, tournée vers le centre de la pièce.

    Marie-Charlotte alla vers elle, s'agenouilla devant elle, lui embrassa la main et lui demanda humblement:
    - «Grosse Tripière, la Crémière te demande de me déculotter pour la fessée.»
    Gisèle n'avait pas tiqué de se faire appeler "Grosse", elle avait l'habitude, ce n'était pas humiliant pour elle, puisqu'elle était à la limite de l'obésité, et c'était bien plus humiliant pour les servantes.
    - «Bien sûr que je vais te déculotter, Marie-Charlotte, pour que tu sois fessée cul nu devant tout le monde, relève-toi.»

    La punie, enfin, la future punie, se releva.
    - «Remonte-ton tablier sur ta poitrine, Marie-Charlotte, et viens près de moi.»
    Marie-Charlotte s'exécuta, et la Tripière, tira de grosses épingles de nourrice de sa poche (ce qui permet de penser que tout était prévu d'avance dans le scénario).
    - «Et regarde-moi quand je te déculotte, je veux que tu regardes ta déculotteuse, pour ta honte.»

    Marie-Charlotte regarde bien dans les yeux la Tripière, lorgnant, aussi, sur ses énormes nichons. La Tripière attacha le bas du tablier à la blouse de Marie-Charlotte, dégageant tout ce qui était sous la taille.
    - «Tourne-toi, montre-moi ton cul, ce cul qui va te cuire bientôt.»

    Marie-Charlotte se tourna. La Tripière déboutonna le bas de la blouse, jusqu'à un bouton au-dessus de la ceinture, montrant ainsi une culotte blanche, montante, couvrante, le genre de culotte en coton de grand-mère, sans la moindre fioriture. Cette culotte, bien que ample, laissait deviner un cul rebondi, bien rond, bien ferme.
    La Tripière, avec d'autres épingles de nourrice, fit tenir les pans retroussés au-dessus de la taille.
    - «Tourne-toi, montre bien ton cul à tout le monde, et relève toi-même le devant de ta blouse. Et regarde-moi dans les yeux!»

    Marie-Charlotte se tourna, fit une révérence en relevant le bas de sa blouse, puis le remonta totalement, découvrant le devant de sa culotte, qui apparaissait, aussi, quelque peu rempli. La Tripière, la prenant par la taille, lui fit faire un tour sur elle-même, pour que tout le monde voit la culotte blanche des deux côtés. Elle arrêta le mouvement en la laissant de trois quarts dos. Marie-Charlotte avait le rouge aux joues, regardant toujours la Tripière, ce qui l'obligeait à tourner légèrement la tête.


    La Tripière, doucement, lentement, à deux mains, baissa la culotte sur les fesses de Marie-Charlotte. Lentement, cela veut dire qu'il lui fallu une vingtaine de secondes pour arriver au bas des cuisses, montrant ainsi les fesses, pendant que, devant, la culotte ample restait en place.
    - «Oh, les jolies miches, les jolis jambons bien dodus», dit la Tripière. «Il doit y avoir de la charcuterie de l'autre côté aussi, j'imagine.»
    - «Tu veux que la Tripière déballe ta saucisse, Marie-Charlotte?» intervint Maryse.
    - «Je… oui, bien sûr, je suis la servante des Saucissonneuses, Charcutière, et tout mon corps est à vous toutes», répondit la victime.

    La Tripière lui caressa les fesses puis, encore plus lentement que pour l'autre côté, elle descendit le devant de la culotte, il lui fallu bien plus d'une demie-minute pour faire apparaître une saucisse, qui ne bandait pas, mais qui n'était pas molle, et deux petites boulettes glabres qui pendaient dessous.
    - «Regardez-ça», dit la Tripière, «cette vicieuse est excitée à l'idée de recevoir la fessée devant tout le monde.»

    Marie-Charlotte rougit encore plus. La Tripière descendit sa culotte jusqu'aux chevilles, pendant que la soumise tenait toujours sa blouse relevée devant.
    - «Allez, te voilà déculottée, salope, va prendre ta fessée chez Josiane, maintenant, culotte aux chevilles, mains sur la tête.»

    Docilement, Marie-Charlotte, la culotte aux chevilles et les mains sur la tête, se dirigeant vers la Crémière, quand celle-ci l'interpella:
    - «Marie-Charlotte, va me chercher un torchon au passage…»
    Et la Serveuse de rajouter:
    - «Et va chercher auprès de la cuisinière ce qu'elle a préparé pour ton museau.»

    Et la pauvre Marie-Charlotte, honteuse, d'aller à petit pas auprès de la Cuisinière.

    Clarisse, dite "la Cuisinière" était une belle négresse, avec un gros cul, des nichons fermes, gros et pointus, presque aussi grosse que la Crémière. Elle portait une robe-tablier à carreaux et un grand tablier blanc par dessus, avec un torchon noué sur la tête, comme un madras, le noeud devant en haut.

    Elle accueilli Marie-Charlotte avec un grand sourire moqueur, lui palpa sa saucisse qui pendait, en riant, et lui caressa les fesses.
    – «Tout est prêt pour agrémenter ta punition, vilaine fille», dit-elle. «Tout est là, tu n'a plus qu'à rouler ça entre Josiane et Jeanne.»

    "Ça", c'était une sorte de plateau à roulettes, à deux étages, qui, de toute évidence, avait été préparé pour la punition. A l'étage inférieur, une petite cuvette d'eau en plastique, des torchons pliés, de grands torchons blancs à carreaux rouges, et une boite opaque. Sur le plateau supérieur, un biberon géant, qui devait faire deux litres, transparent, rempli d'un liquide non identifié, et un pot de moutarde forte. Sur les deux plateaux, quelques boites en verre transparent, avec un couvercle en plastique étanche, qui contenaient chacune un torchon.

    Marie-Charlotte, blouse troussée cul nu, culotte aux chevilles, du se pencher pour rouler le plateau, qui était assez bas. Comme elle allait se diriger directement vers ses punisseuses, la Charcutière la reprit:
    - «Non, tu vas faire le grand tour de la pièce en poussant ton petit plateau à roulettes, le cul à l'air, que tout le monde voit bien comment il est blanc maintenant, avant qu'on te le rougisse.»
    Et, le rouge au joues, en tortillant des fesses, le cul bien offert, la saucisse pendante, le tout soigneusement rasé, elle dut faire le tour de la pièce, passant devant les autres servantes, les invités, les Saucissonneuses assises devant la table, pour arriver entre les trois punisseuses et laisser le plateau à gauche de la Crémière, et donc à droite de la Serveuse.
    - «On commence, Josiane?» dit la Charcutière.
    - «Nous sommes prêtes, Maryse, pour tourmenter cette salope.»

    A suivre

     

    « PetticoatedQue j'aimerais enlever ces chaussures… »

    Tags Tags : ,
  • Commentaires

    1
    Ramina
    Dimanche 18 Août à 11:07

    Amis des métiers de bouche, de la fessée charcutière et des gros volumes , bonjour !

    Voilà un truculent récit bien torchonné, couillu, touffu, que nous livre une Marie Charlotte,  en pleines formes ( avec un "S") complètement  ... débridée. Un descriptif bourré de blouses, torchons, tabliers, et de personnages gargantuesques  que Rabelais n'aurait pas dédaigné . Femelles  grassouillettes aux formes voluptueuses et débordantes plus proche des femmes de Rubens ou Boucher ( le peintre, pas le découpeur d'entrecôtes). L'auteur développe ses fantasmes  avec une jouissance affichée, pour la chaire, le charnu,  la bonne chaire alimentaire et le poilu, le velu, genre choucroute  bien odorante sous les bras ou l'entre cuisses... c'est son truc à Marie Souillon . Morceaux choisis d'appellation contrôlées, du cul à la bouche et inversement, ça sent bon le fumet des terroirs et autres effluves de saveurs intimes. Que de nobles métiers au service de la bonne chaire . Charcutière, saucissonneuses, crémière, pâtissière, bouchère, tripière, des bonnes vivantes, aux formes abondantes, fesseuses vicieuses, C'est le sujet principal du récit, avec Clodinette en invitée d'honneur! . 

    Mention spéciale à la comptine inspirée, sur un air de "Il pleut bergère'' Là : " Il était une crémière ... pan pan cul cul ..."On sent qu'il va pleuvoir des claques sur les grosses fesses déculottées d'une Marie Charlotte bien exposée... à bas la culotte ! La suite ne devrait pas décevoir.  Ramina



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :