• Une affaire de famille, Chapitre 8

    Merci à Ramina pour ce nouveau récit.


    On y retrouve des personnages déjà très actifs dans de précédents récits célébrant les bienfaits de la fessée, punitive et érotique. Tante Gladys bien sûr, dont la réputation de sévérité n'est plus a faire,  comme celle de ses amies, toutes ferventes adeptes inconditionnelles de la fessée. Notamment Edwige la pétulante voisine à l'humeur ravageuse... Patricia, digne fille de sa mère, Arnold son fiancé anglais, Bettina, la vicieuse soubrette, Edouard le mari soumis, et un petit nouveau, le cousin Peter... soi même!  A force de réclamer de se faire rougir le derrière, il a fini par se retrouver dans l'histoire ... et quelle histoire... ça claque sec! Bonne lecture aux amateurs de femmes sévères... très sévères!


     

    UNE AFFAIRE DE FAMILLE

    Chapitre 8 : La boutique de lingerie de Madame de Blagnac

    Co-production Ramina / Peter pan

     

    Après la spectaculaire séance de fessées, Gladys, Patricia et Bettina terminaient une assiette de petits fours salés, avec un dernier attentat à la bouteille de Loch’Glad Pur Malt, victime de son succès. Ces dames causait naturellement, fesses, fessées, discipline domestique et tout ce qui gravitait autour de leur sujet de prédilection. Peter avait été renvoyé dans sa chambre les fesses encore cuisantes, et Arnold autorisé à rester au salon, mais, fermement invité à rester sagement assis, déculotté, sur une chaise en osier tressé, pour prolonger l’effet de sa fessée.

    Il n’avait pas fallut beaucoup plus de cinq minutes avant d’entendre, par la fenêtre ouverte du rez de chaussée de la maison d’en face, la voix autoritaire d’Edwige sermonner son mari.
    -- «Tiens, notre chère voisine est déjà rentrée», fait remarquer Gladys, d’un ton faussement étonné. «Elle n’a pas mis longtemps à traverser la rue… Elle doit être pressée de corriger son chéri.»

    Patricia reprend un petit four qu’elle croque du bout des doigts.
    -- «Pas étonnant, la séance de fessées ici l’a mise en appétit. D’ailleurs, la garce, m’en a mise une sévère, j’en ai encore tellement chaud aux fesses que j’ai du mal à supporter mon slip!
    Bettina rit de bon coeur.
    -- «En tous cas, elle avait l’air bien excitée…On ne devrait pas tarder à entendre claquer les fesses de Stephen...»

    Effectivement il fallut peu de temps à Edwige pour trouver un faux prétexte justifiant une nouvelle fessée. Juste le temps de la mise en bonne position du derrière, suivi d’un déculottage en règle, et le claquement sec d’une main sur des fesses déculottées, traverse la rue pour arriver jusque dans le salon.
    -- «Ça y est, il prend sa fessée!» s’exclame joyeusement Gladys. «Trinquons à la bonne santé des fesses de Stephen!»
    -- «...Et aux bonnes déculottées qui attendent celles de nos petits chéris désobéissants!» ajoutent Patricia et Bettina avec enthousiasme, provoquant l’hilarité générale.

    Au risque de se prendre une nouvelle fessée, Arnold, profitant de l’inattention des trois femmes, se tortille discrètement sur sa chaise en osier pour essayer d’atténuer la cuisson de ses fesses, encore soumises à l’épreuve du feu. A les entendre, il commence à comprendre le vicieux plaisir qu’elles prennent à exercer leur autorité en distribuant les fessées sous n’importe quel prétexte et, souvent, sans autre raison que la simple envie de claquer une paire de fesses à disposition.

     

    Deux jours après cette mémorable séance de fessées, Patricia et sa mère avait décidé que les fesses d’Arnold avaient suffisamment récupéré pour supporter une nouvelle correction. Patricia n’eut aucune difficulté à trouver l’opportunité de lui en mettre une. Il lui suffit de relever une négligence dans sa participation aux tâches ménagères, pour lui reprendre le derrière en main.
    Elle avait fait irruption dans leur chambre en brandissant un pull over dans chaque main.
    – «Arnold tu peux me dire à quelle température tu as mis ça à laver? Ça a tellement rétréci qu'on dirait des layettes pour bébé!»
    – «Euuuh... my God! Je ne sais pas darling, j'ai dû laisser le réglage de la lessive précédente. Je n'ai pas fait attention.»
    – «Je ne te le fais pas dire! La dernière lessive c'était des draps!... A cent degrés! Il va falloir que tu apprennes un jour à te servir d'un lave linge mon cher...En attendant, tu sais ce qui t’attend?»
    Un ange passe, le pantalon aux chevilles, le slip sur les cuisses... Arnold ne répond pas.

    – «Tu descends immédiatement préparer tes fesses dans le salon! Je te rejoins tout de suite!»

    Allongé a plat ventre sur les cuisses de Patricia, il s'était pris une première salve à travers le slip en guise de préliminaire. Une solide fessée, claquée d'une main ferme qui lui avait déjà bien chauffé le derrière sous le nylon quand elle décida de passer à la suite.
    – «Oh la, la mon chéri,... on dirait que ça chauffe dur la dedans... il est temps de t’aérer un peu le derrière!»

    Elle saisit l'élastique de son slip, le déculotte en un tour de main, et lui allonge dans la foulée une deuxième fessée qui finit de lui rougir entièrement le postérieur.

    Lorsqu'elle met fin à la première partie de la correction, le fessier rayonnant a déjà augmenté de volume. Ça sent le nylon chaud et la fesse brûlante, tout autant que les larmes d’Arnold, versées généreusement sur le carrelage. Patricia est satisfaite. Ce début de raclée est rondement menée, et elle ne s’en tient pas là.
    – «Voilà… après ce petit hors d'oeuvre, tes fesses sont prêtes pour attaquer le plat de résistance. Vas me chercher ton martinet et mes bas nylon. Et dépêche toi sinon je double la dose!»

    Le pauvre garçon part aussi vite qu'il le peut, freiné dans sa progression par son pantalon et son slip, baissés. Il revient, son martinet à la main, un peu essoufflé d'avoir monté et descendu précipitamment les escaliers jusqu'à la chambre. Il lui tend ses bas nylon, objet du tourment de ses joues. Jupe retroussée, elle les enfile jambes en l'air devant lui avec un petit rictus provocateur, attache une à une ses jarretelles, et se met debout en désignant le sol entre ses jambes.
    – «En position, et cette fois silence! Je veux entendre mes bas crisser contre tes joues pendant que je te fesse...»

    Arnold, bien dressé, est maintenant habitué à prendre la position. Il plonge en avant et encastre sa tête entre les fortes cuisses de sa fiancée, qu’elle resserre sur son cou pour le maintenir en position, les fesses en l'air, bien tendues. La terrible fessée commence, à grand coups de martinet. Elle est si cuisante que le malheureux s'agite aussitôt et exécute une frénétique danse des fesses. Pour maintenir ses fesses en bonne position, il est obligé de s'agripper des deux mains aux cuisses puissantes qui lui compriment les joues en se frottant dessus. Ses doigt humides glissent sur le nylon des bas.

    Tout en fessant, Patricia le sermonne en augmentant sa prise d'élan pour abattre les cinglées de plus haut. Le fessier enluminé, est strié de marques de lanières sur toute la surface.
    – «Attention Arnold, si tu me files un bas avec tes ongles, je te flanque une deuxième tournée et je te garantis que tu t'en souviendras!»

    L'avertissement arrive trop tard, à force de se débattre sous les cinglées il accroche un bas qui file aussitôt tout au long de la jambe, traçant une fine ligne couleur chaire, nettement visible sous le nylon noir.

    D'une dernière cinglée de martinet, Patricia met fin à la magistrale fessée. Les fesses d’Arnold sont entièrement recouvertes de magnifiques zébrures rouge foncé. Il se relève, en nage, essoufflé, les oreilles et les joues douloureusement empourprées. Il est encore à moitié courbé et se tient les fesses à pleines mains.
    – «Ooooh, Darling ... tu tapes vraiment fort... so hard la spanking!! Ce martinet fait trop mal... Je ne sens plus my bottom!» 
    – «Oh si tu vas le sentir ton bottom, et dans pas longtemps ! Parce ne crois pas que je ne me suis pas aperçue que tu m'as filé un bas... Tu n'as plus qu'à aller m'en racheter une autre paire à la boutique de lingerie de Madame de Blagnac!»
    – «Ah no... please Patricia, pas maintenant … J'ai trop mal!»
    – «Trente minutes en pénitence à genoux devant la glace! Le temps que tes fesses récupèrent et tu fais ce que je te demande. Claridge de Blagnac va être très contente de te voir...elle adore ton gros derrière.»

    Arnold regarde sa promise d'un air interrogateur, Il sent qu'elle manigance quelque chose.
    – «Très contente même... Nous avons convenu qu'elle te flanquerait une fessée à chaque fois que je t'enverrai me racheter une paire de bas quand que tu m'en auras filé un! C’est plutôt amusant qu'elle participe à tes punitions.»

    Le pauvre garçon est effondré par le cynisme de sa future épouse qui ne semble pas s'émouvoir plus que ça de l'envoyer se faire claquer le derrière par une acharnée de la fessée. Qui plus est, si peu de temps après la raclée au martinet qu'elle vient de lui administrer. Il la regarde, des larmes plein les yeux. Il s'est déjà fait passer le derrière au laminoir sur les cuisses de la redoutable propriétaire de la boutique de lingerie, et en garde un effrayant souvenir. Il n'avait pas pu supporter un slip pendant trois jours!
    – «Mais Patricia… Elle fesse very hard, madame de Blagnac... elle a des mains comme des battoirs!»
    – «Ça suffit Arnold, cesse de te plaindre comme un gamin! Tes fesses ont largement le temps de récupérer.»
    – «Oh please… please...Pas les big spanking de Madame de Blagnac!»

    Patricia n’avait pas pour habitude de céder aux supplications de son prétendant. Indifférente à son angoisse elle se réjouit même intérieurement de lui infliger la honte d’aller se faire déculotter et claquer le derrière par son amie.
    – «Au coin maintenant Arnold! La conversation est terminée. Je ne veux plus t'entendre.»
    – «Ooooh darling, please... je t’en supplie…»
    – «Attention Arnold, encore une réflexion et ce sera la fessée déculottée avant de partir!Et tu arriveras chez madame de Blagnac les fesses déjà rouges, prêtes à l'emploi! Elle adore claquer des fesses, déjà cuisantes d’une précédente fessée.»

    Pour le coup le jeune homme est calmé. Il file au coin en pénitence, se détendre le derrière. Il a une demie heure de remise en état avant la suite. La cuisson commence à s'estomper, lorsque la voix de Patricia le sort de sa torpeur.
    – «Debout Arnold, tu dois aller réparer tes bêtises.»

    Marmonnant entre ses dents, il enfile sa veste et se dirige vers la porte poursuivi par le ton sarcastique de sa fiancée.
    – «Et tu arrêtes de murmurer Arnold. Encore un mot et tu pars d’ici avec une déculottée aux fesses! Ça ne me déplairait pas de te faire faire le trajet jusque chez madame de Blagnac, les fesses rouges et cuisantes dans ton slip! Quelle bonne surprise pour elle au moment de te déculotter!»
    - «Non Patricia, please, please! Pas une autre fessée déculottée! Je vais m’en prendre suffisamment comme ça d‘ici la fin de la journée!»

    Résigné, car fixé sur son sort, Arnold sortit et prit avec anxiété la direction de la boutique de la redoutable Madame de Blagnac, dont la réputation de sévérité n’était plus à faire . Il venait, de justesse, d’échapper à une deuxième fessée déculottée avant de partir mais ce qui l’attendait là bas avait largement de quoi l‘angoisser.

    Des nœuds dans la gorge, les jambes tremblantes, il entra dans la boutique de lingerie. Sur le moment il ne vit personne d'autre que la propriétaire. Sa belle mère, Gladys, avait dû la prévenir par téléphone de son arrivée. Il l’aperçut, alors qu’elle l’attendait visiblement, impériale, assise sur le tabouret à fessée qui trônait au milieu du magasin, toujours prêt à servir en cas de nécessité.

    Lorsqu’elle vit arriver le jeune homme anglais, la belle femme, tout sourire, poussa un soupir de satisfaction en croisant haut les jambes. Sa jupe se retroussa sur ses cuisses dévoilant le renfort noir de ses bas nylon et la naissance de ses jarretelles. Elle ne vendait pas de la lingerie pour rien et c’était, pour elle, une façon démonstrative d’exhiber sur sa personne, un échantillon de ce qu’elle avait en magasin.
    – «Ah vous voilà Arnold ... cher Arnold… approchez mon ami, n’ayez pas peur...»

    Arnold n’eut pas vraiment le temps de s’émouvoir à la vision des jarretelles de Madame de Blagnac. Elle semblait l'attendre d'une main ferme. Il aurait tout loisir d’apprécier le confort de ses belles cuisses gainées de nylon, à y séjourner en tortillant ses fesses au rythme de l’inévitable fessée qu‘elle allait lui administrer. Comme il en est régulièrement , convenu avec Gladys et Patricia. Il s'y attendait et n'allait pas être déçu.

    La réputation de femme de caractère de Claridge de Blagnac, autoritaire et intransigeante, avait depuis longtemps dépassé le simple cadre de sa boutique de lingerie. Arnold, connaissait maintenant trop bien les méthodes punitives radicales des amies de sa belle-mère. Elles étaient toutes ferventes adeptes d'une stricte discipline domestique, conjugale, par l'utilisation systématique de la fessée. Patricia savait ce qu'elle faisait, où elle l'envoyait et entre quelles mains elle lui faisait mettre ses fesses. Il trouvait déjà humiliant de devoir se rendre dans cet univers exclusivement féminin pour acheter une paire de bas nylon, mais il se doutait bien que sa punition, pourtant largement commencée à la maison, n'allait pas en rester là. Patricia pouvait compter sur un entourage complice pour prolonger les séances de correction en dehors du cadre domestique. Avec sa mauvaise foi habituelle, elle en soulignait la nécessité pour des ''raisons soit disant éducatives''. Elle avait unilatéralement décrété que la diversité des intervenantes sur ses fesses contribuait, à une meilleure efficacité pédagogique.

    Elle le lui avait encore rappelé, alors qu'il rechignait timidement à ''rendre visite'' à son amie de Blagnac pour lui ramener une paire de bas.
    – «Tu ne peux pas tout avoir mon cher. Des cours de danse des fesses gratuits par une virtuose de la fessée, sans payer de ta personne. Et ne te trompes pas comme la dernière fois. Nylons noir à couture, marque ''Gio ''… Sinon gare à tes fesses en rentrant! Je ne te ferai pas de cadeau. Aller file, dépêche toi! Tu souhaiteras le bonjour à Claridge de ma part!»

    Un des moyens efficaces de prendre immédiatement le dessus sur une future victime c'est de la prendre au dépourvu. Claridge de Blagnac excellait dans ce genre de méthode, provocation, maîtrise, soumission, fessée. Le pauvre Arnold se trouva d'emblée en situation d'infériorité. A peine arrivé, elle le cueillit à froid, le traitant comme un petit garçon qui vient se faire punir pour réparer une bêtise.
    – «Alors mon petit Arnold... vous êtes anglais n’est ce pas… habitué aux fessées?»
    -- «Euuuh ...Yess... Ma’am…»
    -- «Hummm, j’attendais vos fesses avec impatience. Il paraît que vous en avez une belle grosse paire, à force de vous prendre fessées sur fessées... ça claque dur et souvent, chez mon amie Gladys! D’ailleurs, si j’ai bien compris, pour vous les fessées, c’est devenu une habitude… la ’’good spanking’’, comme on dit chez vous... l’éducation à anglaise… c’est cela!»
    -- «Yes… Ma’am…»
    -- «Et vous avez encore filé un bas nylon à votre fiancée pendant qu'elle vous cinglait le derrière au martinet! Alors, elle vous envoie lui en racheter une paire... êtes vous bien, conscient, mon cher, que ça mérite une nouvelle fessée ça?… et une sévère, parce que ce n’est pas la première fois que ça vous arrive!»

    Le pauvre garçon, impressionné par la prestance et l’autorité qui se dégageait de la forte femme, reste pétrifié devant la porte de la boutique qui se referme toute seule. Tout l’espace est occupé par des pièces de lingerie chic, soutiens-gorge, slips, guêpières, accrochés sur des portants, fixés aux murs tendus de tissus rouge. Le sol a été carrelé au milieu de la pièce, certainement pour rendre plus retentissante, les fessées qui y sont administrées. Près du comptoir, un mannequin de démonstration en porte-jarretelles. L’atmosphère est très intimiste empreinte de féminité et d’un érotisme distingué. Un frisson désagréable lui parcoure l’échine et il sent ses fesses se serrer nerveusement dans son slip. Il les imagine déjà sauter sous la main ferme de la propriétaire des lieu. Il balbutia un timide:
    – «Yess... Oui madame! Mais… mais c’est que j’ai encore, ‘’my ass on fire’’… euuuh…. Je veux dire... les fesses en feu...»
    – «Les fesses en feu, dites vous… mais c’est parfait! La condition idéale pour que la nouvelle fessée déculottée qui vous attend soit encore plus cuisante que la précédente!»
    -- «Oh my God…please Ma’am...»

    Imperturbable, Claridge de Blagnac, continue à mettre la pression sur le malheureux Arnold, en le maintenant dans l’atroce attente de sa correction. Elle s’en amuse avec un discours cynique, théorisant sur sa pratique de la fessée.
    -- «Je sais que les fessées au martinet sont très efficaces. Mais pour moi, voyez vous, une vraie bonne fessée, bien sévère comme j’aime les administrer, ça doit claquer sec sur les fesses… Pour ça , il n’y a rien de meilleur, ni de plus efficace, que les fessées à la main pour bien faire claquer des grosses fesses comme les vôtres. J'adore sentir de belles fesses bien fermes, chauffer et vibrer sous ma main. Cela procure de meilleures sensations qu’avec un instrument, c’est plus excitant et, surtout, on fesse beaucoup mieux. D'ailleurs vous allez très vite vous en rendre compte!» 

    Un silence tout relatif règne dans la boutique où il n'y a pour l'heure que Stéphanie, la collaboratrice de Claridge, occupée à réapprovisionner des tiroirs avec un arrivage de nouvelles pièces de lingerie. Grande, blonde, plantureuse, la prestance d'une belle trentaine épanouie, elle dégage la même impression d'autorité et de force de caractère que la patronne des lieux . Ces maîtresse femmes, à la personnalité affirmée sont toutes faites d'un subtile équilibre entre physique imposant et féminité triomphante. 

    Arnold n'a ni la tête ni l'esprit, pour répondre à la provocation délibérée de son interlocutrice, qui, de toute façon, semble peu intéressée par son avis. Elle se tourne vers son amie.
    – «Stéphanie, si vous avez un moment, Edwige doit passer tout à l'heure chercher une commande. Elle vient avec son mari, pour un essayage de martinets et de slips à fessées. On les a reçu ce matin, Vous voudrez bien l'accueillir pendant que je m'occupe des fesses de monsieur. Vous l'avez reconnu, c'est le fiancé de Patricia la fille de Gladys.»
    – «Bien sûr, c'est Arnold. Elle l'envoie lui racheter des bas nylon après ses corrections. Il paraît qu'il lui en file régulièrement quand elle le fesse au martinet!»

    La boule à l'estomac, le malheureux, très mal à l'aise, a du mal à respirer. Il commence à transpirer. Une goutte de sueur perle dans son dos, dégouline le long de sa colonne vertébrale et s'insinue dans la raie de ses fesses. Il se rend bien compte que la terrible femme s'amuse de son appréhension, aussi palpable qu'un derrière avant une fessée. Il ne sait pas à quel moment, mais il sait qu'elle va lui en mettre une. Et il n'a pas tort. Elle se trémousse d'aise sur son tabouret. Un joli tabouret recouvert de velours rouge... Comme par hasard sa couleur préférée ! D'ailleurs toute sa boutique est tendue de velours rouge, en référence à la couleur des fesses qui y sont régulièrement corrigées.
    – «Votre belle-mère m'a appelée pendant que vous étiez en route. Si j'ai bien compris, Patricia vous a déjà corrigé à la maison pour vos négligences!»
    – «Pour ça, oh yes, yes! et pas qu'un peu! Une fessée au martinet et deux fessées à la main!»
    – «Trois fessées, excellent, c'est une bonne dose ça! Comme vous le savez, nous avons convenu que je vous en flanque une supplémentaire, à chaque fois qu’elle vous enverra ici, racheter une paire de bas pour vous punir de lui en avoir filé un.»
    – «Yes, madame Claridge, mais please... pas trop fort... j'ai encore mal aux fesses avec celles que j'ai déjà prises aujourd'hui.»
    – «Ça mon cher, c'est moi qui décide. Vous pourriez même en avoir deux au lieu d'une pour avoir osé réclamer!»
    – «Oh, madame...»

    Claridge aime beaucoup ces petits dialogues de mise en condition. Elle s'amuse même à poser des questions dont elle connaît les réponses. Stéphanie suit l'échange avec un sourire entendu.
    – «Serait ce, mon garçon, que votre future épouse n'a pas assez de temps pour s’occuper de vos fesses?»
    – «Oh si Madame! Pour ça elle a le temps!»
    – «Sans aucun doute ! Elle vous met de sacrées bonnes fessées, n'est ce pas! Des cuisantes, des sévères, comme il se doit! Et elle vous fesse souvent, j’espère.»
    – «Pour ça oui madame, tous les jours.»
    – «Une fessée par jour, c'est un bon rythme.»
    – «Parfois même plusieurs fois par jour!»
    – «C'est encore mieux! Et il faut croire que vous les méritez... Des fessées déculottées, bien sûr.»
    – «Ooh yes Ma’am... Oui madame, des fessées déculottées, des grosses fessées, à la moindre occasion!»
    – «Je n'en doute pas une seconde. Il n'y a rien de mieux, pour mâter le derrière récalcitrant des messieurs indisciplinés, que de bonnes fessées déculottées bien sévères, régulièrement appliquées! Mais tout ça c'est pour votre bien. Et je suis certaine qu'elle fesse dur.»
    – «Oooh, yesss, elle fesse fort! Very hard, tout le temps! Et je crois bien qu'elle aime ça.»
    – «C’est bien normal. Quand on a sous la main une paire de fesses aussi bien rebondie que les vôtres, c’est pleinement jouissif de les claquer régulièrement, si vous voyez ce que je veux dire!»
    – «Euuuuh... Madame...»
    – «Qu'est ce que ça veut dire ''euuuh!'' ce n'est pas une réponse ça!»

    Jusqu'ici plutôt complaisant, du moins en apparence, le ton de Claridge de Blagnac change soudain pour devenir plus menaçant. L'attitude aussi. Elle retrousse sa jupe sur ses cuisses, et commence à relever la manche droite de son chemisier pour dégager la main qui va bientôt entrer en action. Ça sent la grosse fessée!

     

    ( A suivre)

      

    Une affaire de famille, Chapitre 8

     

    Une affaire de famille, Chapitre 8

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  • Commentaires

    1
    clodinette
    Mardi 30 Juillet à 19:00

    c'est nouveau ça ! voila que Patriia et Arnold sont fiancés...!? à la place de Arnold j'hésiterais à me arier avc cette mégère ! à moins que .....c'est peut ètre ce qu'll recheche ....mais selon la formule consacrée, pour lui ce sera surtout le pire !

    et qu(est ce que ce manequin avc porte jarretelles qui apparait dans les dessin ?

    quant au sieur Peter dans ces dessins voilà que maintenant il joue la suggestions...et nous oblige à imaginer la dame qui se fixe les jarretelles une à une ....et ses jambes écartéees où l'on a envie de glisser a tete ....finalment on s'y croirait !

    très excitant tout ça merci les auteurs ! 

    Clodinette 

    2
    Ramina
    Mercredi 31 Juillet à 13:42

    M'enfin Clodinette, tu as manqué un épisode ! Encore un ratage comme ça et c'est la fessées mon amie ...

    Bien sûr, Arnold et Patricia sont fiancés, depuis peu . Elle l'a rencontré à Londres lors d'un stage de perfectionnement en discipline domestique . 'Arnold avait été engagé pour mettre son imposante paire de fesses à disposition des stagiaires, pour les démonstrations de fessées. Patricia avait eu l'occasion de lui en flanquer plusieurs. Elle avait été très vite séduite par l'endurance de ce solide derrière son agréable fermeté et une qualité sonore exceptionnelle. Il ne lui en fallait pas plus pour le séduire à son tour et  le ramener en France dans une famille furieusement adepte de la  fessée . Son magnifique postérieur si bien claquant, fait le bonheur de Gladys sa future belle mère, comme de toutes les amies maîtresses femmes de leur entourage. En contrepartie il bénéficie des avantages du savoir bien vivre en France. Il lui reste a améliorer son français. mais il progresse assez vite, sous l'autorité de Patricia qui se fait un devoir de lui distribuer généreusement les fessées . C'est une des devises de la maison: " on apprend mieux les fesses rouges"

    Quant au mannequin  en porte jarretelles  dans la boutique de Madame de Blagnac , voyons ... Clodinette , c'est un mannequin de démonstration... comme on en trouve dans toutes les boutiques de lingerie féminine... Ramina

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