• Une affaire de famille, Chapitre 13

    Merci à Ramina pour ce nouveau récit.


    On y retrouve des personnages déjà très actifs dans de précédents récits célébrant les bienfaits de la fessée, punitive et érotique. Tante Gladys bien sûr, dont la réputation de sévérité n'est plus a faire,  comme celle de ses amies, toutes ferventes adeptes inconditionnelles de la fessée. Notamment Edwige la pétulante voisine à l'humeur ravageuse... Patricia, digne fille de sa mère, Arnold son fiancé anglais, Bettina, la vicieuse soubrette, Edouard le mari soumis, et un petit nouveau, le cousin Peter... soi même!  A force de réclamer de se faire rougir le derrière, il a fini par se retrouver dans l'histoire ... et quelle histoire... ça claque sec! Bonne lecture aux amateurs de femmes sévères... très sévères!


     

    UNE AFFAIRE DE FAMILLE

    Chapitre 13 : Le salon où l'on fesse

    Co-production Ramina / Peter pan 

     

    D'un geste naturel, sans même le regarder, Béatrice saisit Edouard par le col de sa veste, prête à l'extirper de son siège tout en continuant à informer l'assistance du programme des festivités.
    – «Venez par ici cher ami!» Puis sans le lâcher, s'adressant à Solange: «Je vais commencer par lui chauffer les fesses à travers son slip. On ne le sait pas assez, mais les fessées à travers le nylon sont extrêmement cuisantes et constituent une excellente préparation aux fessées déculottées. Vous disposerez alors d'une paire de fesses en parfaite condition... Du prêt à claquer, en quelque sorte!»

     Elle rit de sa plaisanterie et reprend avec autorité.
    – «Je lui en remettrai ensuite une troisième, après la vôtre. Déculottée, pour la finition. Ça vous convient comme ça?»
    – «C'est parfait Madame, je vous remercie!» s'exclame la jeune femme enchantée du programme, se promettant, en guise de revanche, de flanquer au goujat une fessée exemplaire.

    Ce ne sera pas la première, ni la dernière, elle a l'habitude de fesser régulièrement son petit ami pour le corriger de ses mauvaises habitudes.

    Béatrice a sorti Edouard de son siège, sans effort. Elle le domine d'une tête et le met debout sans difficulté. Elle le saisit par l'oreille en le tirant vers le sol pour le courber devant elle, les fesses bien tendues vers l'assistance féminine.
    – «Il est temps de prendre sa fessée monsieur Edouard. Mais d'abord, petite séance de présentation publique du derrière à corriger. Vous vous êtes mal conduit avec celui de Catherine, il est normal qu'on s'occupe maintenant du vôtre qui m'a l'air d'ailleurs de fort bien remplir votre pantalon. Pour peu de temps encore. Allez, on s'exécute!

    Elle le tire par l'oreille. Il pousse des petits gémissements, contraint de s'incliner sous la poigne de la maîtresse femme qui ne prête aucune attention à la douleur qu'elle lui inflige.
    – «Aiiiiie, vous me faites mal, madame Klakerspank!»
    Imperturbable, elle maintient la torsion de son oreille.
    – «On fléchit sur les jambes... voilà, comme ça... maintenant on se penche en avant, derrière en l'air, bien tendu, et on se déculotte devant ces dames en gardant la position pour qu'elles voient bien vos fesses. Allons-y, je veux le pantalon aux chevilles!»

    Plié en deux, le malheureux tient son oreille d'une main pour essayer d'atténuer la douleur tout en essayant de l'autre de déboucler la ceinture de son pantalon. Sa position rend ses mouvements difficiles. Madame Klakerspank ne s'en soucie pas plus que de sa première paire de bas nylon. Pendant que le malheureux se démène avec ses boutons de braguette, elle anticipe sur la suite des opérations.
    – «Solange, s'il vous plaît, voulez vous m'approcher le tabouret qui est près du porte-manteaux? On a perdu assez de temps comme ça. La main commence à me démanger et je ne voudrais pas faire attendre le derrière de monsieur plus longtemps.»

    La jeune femme s'exécute rapidement.
    – «Pouvez-vous aussi entr'ouvrir la baie vitrée, je veux qu'on entende claquer ses fesses jusque dehors. On doit faire savoir qu'ici on corrige les messieurs qui ne respectent pas les dames.»

    La maîtresse femme commence à s'impatienter. Elle lui tord l'oreille:
    – «Alors, ça vient ce pantalon! Il en met du temps à descendre. Ce n'est tout de même pas compliqué de se déculotter pour recevoir une fessée. Vos fesses mon cher! J'attends vos fesses! Je vais d'ailleurs leur faire prendre de la hauteur. Il est important que ces dames puissent en suivre aisément les rebondissements et les voir rougir pendant la correction.»

    Pour qui entrerait à ce moment, le spectacle offert ne manquerait pas de piquant. Campée au milieu de son salon de coiffure, Béatrice Klakerspank, la jupe retroussée jusqu'aux jarretelles, vient de poser son talon aiguille sur un siège pour relever, bien haut, sa cuisse en pont à l'horizontale. Elle indique la position à prendre à un homme en train de se déculotter pour recevoir une fessée devant le personnel et une cliente.
    – «Voilà!» claironne t-elle à la ronde, l'air satisfait. «C'est la position idéale pour profiter d'une parfaite exposition du fessier et d'assister, dans les meilleures conditions, au déroulement de la fessée que je vais maintenant lui administrer devant vous!»

    L'assistance féminine est ravie et impatiente, mais récompensée par la suite de l'annonce.
    – «Première fessée à travers le slip. Comme prévu, je laisserai à Solange, le soin de le déculotter pour la fessée suivante. Je lui demanderai d'ailleurs de la doubler. Il est normal que Monsieur soit sévèrement sanctionné pour mettre autant de temps à se déculotter et venir présenter ses fesses. Tout le monde comprend qu’il espère ainsi en retarder l'échéance de sa correction!»
    – «Non madame, ça y est!.. Je ... je suis prêt.» murmure discrètement l'intéressé d'une voix de petit garçon repentant.
    En slip, le pantalon en accordéon sur les chevilles, il a définitivement perdu toute son assurance et sa dignité.
    – «Enfin ! Ce n'est pas trop tôt! Nous allons pouvoir commencer.»

    Edouard n'est ni très grand ni très lourd. La forte femme n'a aucune difficulté à le soulever et le hisser sur sa cuisse pour le plier en deux dessus en l'obligeant à arrondir ses fesses bien tendues, tournées vers le public féminin. Bras et jambes ballant dans le vide il ne touche plus terre. Ses fesses bien calées sur la large cuisse offrent une surface de frappe de premier choix, exposée, sans aucune possibilité de dérobade, à la cuisante main claqueuse de la patronne,. Elle tire sur l'élastique du slip pour le lui ajuster, bien tendu sur le derrière, qu'elle veut parfaitement moulé dans le nylon afin d'en renforcer la fermeté et la résistance aux claques.
    – «Et bien dites-moi mon cher quelle formidable paire de fesses!» s'exclame t-elle en les caressant d'une main enveloppante . «Absolument magnifiques! Souples et fermes à la fois!» Elle les soupèse à pleine paume. «Admirez mesdames l'impressionnant format du fessier de monsieur!» 

    Catherine, enthousiaste, réclame justice et encourage sans vergogne à une grande sévérité.
    – «Madame, pour bien corriger des fesses comme celles-là, il faut une grosse fessée... Très cuisante!»
    -- «Vous avez raison Catherine. Non mais regardez donc cette somptueuse paire de fesses bien rondes! ....Ah il y a la place qu’il faut pour les corriger comme elles le méritent  Des bonnes fessées déculottées, ils ne comprennent que çà....sur leur postérieur de messieurs mal élevés qu’ils sont honteux de tortiller sous les fessées....il n’y a que çà pour leurs apprendre les bonnes manières.... faut pas hésiter les bonnes claques et le martinet! C’est la meilleurs méthode !!!»

    Edouard, honteux sous les sarcasmes, le postérieur à disposition de ces femmes en colère, n'en finit pas de regretter son geste qui lui vaut cette affligeante humiliation. Le prix de son manque de respect. Il cuve sa honte en geignant, pendant que la chère Béatrice continue à détruire sa dignité en lui faisant tressauter les fesses l'une après l'autre, à petites claques sèches du plat de la main.
    – «Madame ne doit pas s'ennuyer avec un pareil fessier à la maison! Pour le voir aussi bien entretenu, je comprends que les fessées doivent claquer souvent! Voyons voir comment il va nous encaisser celle-ci!»

    Joignant le geste à la parole, elle lève haut la main pour prendre un maximum d'élan, et déclenche immédiatement la fessée. Et quelle fessée! Béatrice ne connaît pas la modération. Pas de fessée progressive ni d'échauffement préliminaire. C'est un tonnerre de claques qui explose sur le fessier solidement culotté, aussitôt mis en mode tressautement sur sa cuisse gainée de nylon. Edouard en a la respiration coupée. La cuisson de ses fesses cueillies à froid est déjà au bord d'un niveau d'alerte incendie.
    – «Hummmm! Je confirme... Solide fessier!» commente madame Klakerspank qui en connait un rayon en la matière. 

    Après une prise en main de plusieurs dizaines de claquées bien appuyées histoire de prendre la mesure du postérieur en le plaçant à la bonne distance de frappe, elle réajuste sa position pour bien l'arrondir sur sa cuisse. Ces petits réglages préliminaires effectués, elle reprend la fessée sur un rythme de croisière bien cadencé en allongeant les allers et retour pleines fesses. La main très haut levée pour une prise d'élan maximum, elle fesse bien, elle fesse fort, très fort. Le coup de poignet nerveux en fin de trajectoire accentue le claquant nécessaire à rendre le derrière bien retentissant à travers le fin nylon du slip tendu à craquer sur les volumineuses rondeurs. 

    Toute forme d'activité est maintenant suspendue dans le salon de coiffure. Malgré les rideaux et les tentures aux murs, tout l'espace de la boutique résonne du formidable claquement de la fessée qu'administre Béatrice Klakerspank, la patronne, avec force et conviction. Elle officie face à l'assistance qui peut tout à loisir profiter du réjouissant spectacle.
    – «Regardez-moi ça comme il la prend bien sa fessée! On voit que monsieur est habitué à s'en faire mettre des sévères et que Madame prend soin de lui entretenir le derrière en forme!»

    Catherine, la victime, Solange, l'autre employée et Madame Duplessy la dernière cliente, suivent avec un plaisir manifeste, le déroulement de la magistrale fessée qui tourne vite à la démonstration. Madame Klakerspank maîtrise à l'évidence son sujet. Sa main bien enveloppante, se régale en cuisants allers et retour et semble s'emplir de toute la surface des deux fesses chaque fois qu'elle en épouse la rondeur à pleine paume.
    – «Allons mon cher, pas de relâchement, on tient la position, les fesses relevées, bien tendues pour que ça claque fort. Une fessée qui claque bien est une fessée efficace!»
    – «Ooooh madame Klakerspank, s'il vous plaît... pas si fort, ça fait mal!»

    Courbé en deux autour de la cuisse de sa fesseuse, la tête dodelinant vers le sol, Edouard pousse des petits gémissements de douleur et sent les larmes lui monter aux yeux. Ses bras et jambes se balancent dans le vide, sous l'impulsion des claquées qui lui secouent furieusement le postérieur dont il ne parvient plus à maîtriser les soubresauts. Au rythme cadencé de la fessée, il glisse d'avant en arrière sur la cuisse de sa fesseuse. L’inévitable se produit, sa virilité soumise à l’excitant frottement se met progressivement en érection sur son bas nylon et la boucle de sa jarretelle. Au delà de la douleur , il s’angoisse à l’idée de ne pouvoir se retentir très longtemps avant de se lâcher complètement, stimulé par l’infernale la fessée. Ce qui lui vaudrait immédiatement une fessée supplémentaire.

    La maîtresse femme, n’y est évidemment pas indifférente, bien décidée à le faire jouir sur sa cuisse devant tout le monde. Elle fesse avec force et conviction, attentive à sévèrement punir le mal élevé pour son geste irrespectueux. Fesser c'est bien, mais pas encore suffisant pour satisfaire la maîtresse femme. Elle y ajoute l'humiliation en rythmant sa fessée de commentaires graveleux sur la fermeté, la souplesse et la bonne réceptivité de son derrière.
    – «Voyez-vous cher ami, je corrige régulièrement mon fils, Maxime, depuis qu'il est en âge de recevoir des fessées. Il a maintenant vingt-deux ans et je peux me vanter de lui avoir formaté une paire de fesses solides et performantes que je déculotte encore au moindre écart de comportement. Et je vous prie de croire que je lui en mets des sévères! Je dois dire, compliments mon cher, les vôtres tiennent la comparaison, haut la main. Elle rit. C’est le cas de le dire ! Elles claquent merveilleusement bien!»
    – «Et elles rougissent vite aussi!» ajoute Catherine qui suit avec intérêt la déroulement de la fessée en attendant sereinement son tour.

    Elle prépare mentalement celle qu'elle va lui administrer pendant que la maîtresse des lieux continue à lui claquer le derrière avec ardeur, tout en poursuivant ses commentaires.
    – «Mesdames, je pense que vous serez d'accord avec moi. Pour réussir une fessée, il faut des fesses endurantes et bien rebondies… Avec celle de notre cher Edouard on est servie, et très bien servie! On peut dire qu'elles en mettent plein la main. Elles claquent fort et bien tout de suite. On voit que monsieur à la chance d'avoir une épouse qui s'en occupe régulièrement.»

    Dans un ensemble parfait, les trois femmes expriment leur accord avec enthousiasme, en haussant la voix pour se faire entendre. Béatrice fesse de plus en plus fort. Le malheureux, éprouve les pires difficultés à supporter la fessée qu'elle prolonge à plaisir. Celle ci lui paraît interminable, alors qu'elle ne dure que depuis dix minutes. Mais cela paraît très long sous une main claqueuse aussi sévère.
    Son slip de nylon très fin, tendu à craquer sur ses fesses par la chaleur et la transpiration, ne le protège pratiquement plus des cuisantes claquées qui crépitent en rafales. 

    Imperturbables, ces dames, surtout Catherine, qui savoure le début de sa vengeance, assistent avec plaisir à l'excitant spectacle. Elles s'amusent à en évaluer l'efficacité en commentant la montée en rougeur du fessier, de plus en plus visible à travers le nylon transparent. L'empiècement de cette nature, judicieusement placé en arrondi sur toute la surface du postérieur a été conçu pour ça.

    D'une puissante claquée sur les deux fesses en même temps, la dimension de sa main lui en facilitant l'exécution, madame Béatrice, se décide à mettre fin à la correction. Elle contemple son œuvre avec le sourire satisfait du travail bien fait. Sous l'effet de la fessée, le derrière bien rouge, encore frémissant, est en feu continu sous le nylon. Un vrai brasero! 

    Edouard, écoulé pantelant sur sa cuisse, sanglote en essayant de reprendre sa respiration. Son postérieur vient de faire connaissance avec la puissance des fessées de madame Klakerspank. Et encore, à travers son slip  Ce n'est pas encore la fessée déculottée qu'elle doit lui mettre après celle de Catherine, mais la féroce créature tape déjà tellement fort qu'il en a le souffle coupé. Les larmes aux yeux, il suffoque de douleur sur sa cuisse avec la cuisante impression qu'elle l'avait déculotté dès le début. Il eut même, un moment, l'impression qu'elle lui avait éclaté son slip sur les fesses et qu'il ne restait plus que les élastiques autour de ses cuisses tant il entendait et sentait l'impact de sa main brûlante sur sa peau. Quelle fessée!

    Les mains sur les hanches Béatrice le laisse cuver sa raclée et commente avec ironie.
    ­– «Félicitations mon cher, on a bien dégusté sa fessée! Excellente d'ailleurs, aussi cuisante du début jusqu'à la fin. N'est ce pas Mesdames, vous avez remarqué aussi?»
    – «Pour ça oui!» s'exclame Catherine avec assurance. «Madame l'a bien corrigé!»

    Madame Duplessy, qui ne s'était pas beaucoup exprimée jusque là et s'était contentée de profiter de la démonstration de madame Klakerspank fessant Edouard plié en deux sur sa cuisse, répond à son tour avec enthousiasme.
    – «Bravo ma chère! Vous avez le tour de main efficace... et un de ces coups de poignet! Superbe! J'ai rarement vu et entendu une fessée claquer aussi fort! Et on voit que monsieur est habitué à en recevoir.»

    Solange enchaîne à son tour, après avoir complimenté sa patronne pour sa performance.
    – ... Et que son épouse lui a appris à bien tenir ses fesses. Il les a gardées bien tendues pendant toute la durée de la fessée.»

    Béatrice, en position dominante, caresse d'une main nonchalante, le postérieur en feu resté prostré sur sa cuisse toujours relevée.
    – «Et oui... Nous avons là un derrière docile et obéissant, habitué à la fessée! On a même parfois l'impression qu'il se repositionne de lui même sous la main après chaque rafale pour mieux se prendre la suivante! Comme s'il en redemandait sans arrêt… C'est bien mon ami, c'est bien!»

    Sur ces bonnes paroles elle passe la main sous l'élastique du slip et la glisse à l'intérieur pour apprécier le niveau de cuisson. Ses fesses sont tellement sensibles qu'il pousse un gémissement plaintif lorsqu'elle s'amuse à les caresser et les soupeser dans sa paume. Sans se préoccuper de ses réactions, elle lève les yeux vers le plafond avec un petit sourire ironique en lui maintenant la pression sur le derrière pour bien lui montrer qu'elle en dispose encore à sa guise tant qu'elle ne l'a pas autorisé à redescendre de sa cuisse.
    – «Hummm... Alors, on les sent comment ses fesses après cette cuisante entrée en matière  Elles m'ont semblé absorber cette fessée avec une certaine aisance. C’est de bonne augure pour la suite.»

    Edouard ne répond rien évidemment. Il est davantage préoccupé par cette main possessive qui alimente la douleur de son arrière train toujours en feu dans son slip, devenu trop serré. Béatrice poursuit avec détachement.
    – «La cuisson est à point, elles sont à la bonne température. Prêtes à recevoir la fessée déculottée que Catherine va maintenant vous administrer. Sa petite compensation bien légitime, en quelque sorte. Vous comprenez n'est ce pas?»

    Edouard gémit, Il tremble sur la cuisse de sa fesseuse, sans pour autant espérer de meilleur sort s'il en descend. Béatrice confirme d'un ton suave.
    – «Catherine ma chère, il est à vous, je vous ai préparé ses fesses, profitez en tant qu'elles sont encore chaudes. Les fessées déculottées claquent beaucoup mieux sur des fesses récemment corrigées. Elle sont plus souples et détendues. N'hésitez pas à taper fort, il a un solide fessier très endurant, vous allez pouvoir y aller de bon cœur. Flanquez lui la fessée qu'il a méritée, une longue et sévère!»
    – «Faites moi confiance madame, après ce qu'il a osé me faire je ne vais pas me gêner pour lui en mettre une bonne!»

    Béatrice d'un ton complaisant, presque affectueux, comme s'il s'agissait d'aller chercher un prix de bonne conduite.
    – «Edouard mon ami, si vous voulez bien descendre... Vous n'allez quand même pas rester là à pleurnicher sur ma cuisse alors que Catherine attends avec impatience que vous veniez bien gentiment lui présenter vos fesses à déculotter! Allez, on se dépêche d'aller chercher sa nouvelle fessée... Vous êtes loin d'en avoir fini mon cher.»

    L'atmosphère dans le salon s'alourdit de plus en plus. Un ange passe, le slip en travers des cuisses. Le séchoir toujours à la main, Solange s'est assise dans le fauteuil près de madame Duplessy. Toutes deux visiblement enchantées d'assister à une deuxième fessée, déculottée cette fois ci et, par conséquent plus retentissante que la première, pourtant déjà bien claquante. Catherine, bien calée dans son fauteuil, se prépare en retroussant la manche de son chemisier pour dégager la main qu'elle va utiliser pour fesser. La vengeance est un plat qui se déguste très chaud, Elle bien décidée à taper fort. Madame Klakerspank, impériale près de la caisse observe le déroulement des opérations. 

    Edouard, encore sonné par sa raclée, n'a pas la force de se redresser. Les fesses lourdes, gonflées de claques, il se laisse glisser lentement vers le sol pour descendre de la cuisse gainée de nylon de sa fesseuse. Au moment où ses pieds vont retrouver le carrelage après son cuisant séjour en hauteur, la voix forte de Béatrice le stoppe net dans son retour à la terre ferme.
    – «Et bien mon ami, on ne va pas partir comme ça, sans remercier la dame qui vient de vous administrer une si belle fessée!»

    D'une claque formidable sur le derrière encore tendu, elle le fait remonter sur sa cuisse en le tirant par les cheveux d'une main, lui allongeant de l'autre un deuxième service encore plus fort. Elle le gronde comme un petit garçon malpoli.
    – «Qu'est ce qu'on dit à la dame qui vient de vous chauffer les fesses? Hum, qu'est ce qu'on dit quand on est un garçon bien élevé? Ce qui, d'ailleurs, n'a pas l'air d'être le cas.»

    La main ferme de la belle femme repart aussi sec en aller et retour sur les deux fesses dont le formidable claquement, encore amplifié par la résonance du carrelage, envahit de nouveau tout l'espace sonore du salon. Edouard se tortille en poussant un cri à chaque claque. La tête tirée en arrière sous la poigne de la terrible femme, l'oblige a cambrer les reins pour lui offrir son derrière tendu à à sa main.
    – «Oui, oui! Merci... merci pour...»
    – «Merci qui d'abord?» Nouveau départ de claques qui lui font sauter le derrière de plus belle. «Hein, merci qui?»
    – «Ouaiiiie !! Merci maaaa-dame, mer...» Et ça continue à claquer de plus en plus fort. «Raaaah!!! Merci ma... a...dame pour cette bonne fessée!»
    – «Et bien voila... On finit toujours par y arriver... avec quelque bonnes claques aux fesses! Mais on a encore des progrès à faire en ce qui concerne les formules de politesse. Je vais en parler avec madame votre épouse qui saura remédier à cela... Maintenant on va chercher sa deuxième fessée!»

    Elle le faire descendre de sa cuisse, autour de laquelle il se laisse glisser de nouveau, jusqu'à ce que ses pieds touchent le sol. Aussitôt debout, elle le propulse en avant d'une nouvelle claque en plein milieu des fesses.
    – «Allez on se dépêche! Catherine vous attend avec impatience. Vous allez voir, comme elle fesse bien, elle aussi. Elle a une main presque aussi cuisante que la mienne, c’est peu dire. Après la fessée que je viens de vous mettre, je suis sûre que votre gros derrière déculotté va s’en tortiller de bonheur!»
    – «Merci du compliment madame, vous me flattez!» répond l'intéressée, en frottant ses paumes l'une contre l'autre pour les échauffer.

     

    ( A suivre )

      

    Une affaire de famille, Chapitre 13 

    Une affaire de famille, Chapitre 13

    Une affaire de famille, Chapitre A13

    « Un patient bien soignéGrosses chatouillatrices »
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  • Commentaires

    1
    Clodinette
    Mardi 3 Septembre à 16:29

    je m'y perds un peu dans tous ces personnages : Béatrice qui commence a donné une fesséee et se transforme en Mme Klakerspank ! Edourd qui peine à déboutonner sa braguette....comme s'il y avait encore des braguettes à boutons ! et où est passée Tante Gladys serait-elle souffrante ? et ma chère Bettina ? 

    clodinette

    2
    Peter Pan
    Mardi 3 Septembre à 16:30

    Amis des coiffeuses offensées fesseuses bonsoir, 

    Ed la main chaude a encore frappé !! Et juste retour du bâton : ces dames se chargent de faire rendre gorge sa muflerie éhontée !!  Avec Dame Béatrice, la fessée est un délice ! Avec Catherine, la fessée est divine !!  Et quant Dame Gladys va revenir de ses emplettes, à son grand Tarzan adoré, elle va lui faire sa fête !! Juré ! Non mais ! 

    Peter.

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    3
    Ramina
    Mardi 3 Septembre à 22:21

    Chers ami(e)s,

    Peter,  poète troubadour, trublion rimailleur de la fessée, et Clodinette  errant un peu hagarde dans la distribution des fessées, des rôles et des personnages ... C'est vrai qu'il y en a beaucoup, mais ça permet de varier les situations et les scènes de fessées.  Alors, je récapitule. La propriétaire du salon de coiffure n'est  autre que madame Klakerspank, Béatrice de son prénom . C'est donc de Béatrice Klakerspank dont il s'agit et non de deux personnes différentes. Fesseuse  notoire que nous retrouverons plus tard lors de son retour chez, où elle retrouve Maxime son grand garçon de fils...On se demande bien dans quelles circonstances!  Et bien sûr que si chère Clodinette il existe toujours des braguette à bouton , notamment sur certain jean ... je le sais , j'en porte, mais pas encore de slips à fessées... hi, hi !  Quant à tante Gladys et ta chère et plantureuse Bettina, elles sont provisoirement en RTT pour se reposer un peu la main et retrouver de la vigueur dans le poignet pour assurer les bonnes fessées bien sévères qu'elles adorent administrer !   Ramina

     

    4
    clodinette
    Mardi 3 Septembre à 22:27

    mais alors cher auteur de ses extraordinaires récits à la gloire des fessées et de celles qui les distribuent, porteur de pantalon  à braguette à boutons, ne seriez vous pas un secret acteur de ces récits ....ainsi que votre complice dessinateur génial tonton Pic ?

    clodinette fouineuse detective 

      • Peter Pan
        Mercredi 4 Septembre à 08:43

        Bonjour Moizelle Claudie Nette, 

        Vous semblez toute inquiète tout d'un coup ? C'est la rentrée des classes ?  Tante Gladys et sa confidente et amie Betty Na sont en villégiature à La Baule, en cure de fruit de mer et chouchen... Robin, lui, est en stage d'anglais à la très sérieuse Spanking  Academy, sous la baguette de moiselle Pat', sa prof' de thèse... Une sirène rousse avec une énoooorme paire de nichons !! Bonjour l'état du pyjama !!! Bref, de la fessée en perspective... j'allais oublier  Peter est en job d'été et ça va chauffer... je ne vous en dis pas plus... Hi hi hi !!! 

        Peter.

    5
    clodinette
    Mercredi 4 Septembre à 09:34

    Ha enfin des informations et explications précises qui me permettent de vor plus clair dans cet imbroglio, avec cependant un nouveau personnage et un noveau lieu : la prof de thèse aux gros nichon....outre manche je suppose ? merci cher Peter et bon courage pour votre job d'été : les vendanges dans le sancerrois je sppose ? un vin certainement plus adequat que le chouchen pour la dégustation des fruits de mer !

    clodinette

    6
    Ramina
    Mercredi 4 Septembre à 18:18


    Et bien mes amis, manquait plus que ça !! Ah Peter, Peter... Quoi, qu'est ce ?... Du Chouchen avec des fruits de mer !!! Clodinette qui s'y connaît en vins et spiritueux, a raison, c'est n'importe quoi !! Il faut croire que notre trublion iconoclaste est encore étourdi de sa dernière fessée déculottée sur les cuisses de la plantureuse Bettina. Faut dire qu'elle fesses dur... la vicieuse. Une main de fer dans un gant de crin !!  Fallait bien qu'elle lui laisse un souvenir sur les fesses avant de partir à La Baule avec tante Gladys. D'ailleurs au dernières informations le Peter serait en stage dans un salon de thé pour Dames sévères... On attend de ses nouvelles .. paraît que ça chauffe !  Ramina

     

    7
    Peter Pan
    Mercredi 4 Septembre à 19:37

    Amis des bonnes tablées bonsoir, 

     - M'enfin Piteur, vous plaisantez ! On ne déguste pas des fruits de mer avec un chouchen !! Autant accompagner un turbot poché avec du vinaigre !! Beurk ! - Les toilettes, siouplait ? - Au fond à gauche !!  - Mais pour un poulet de Bresse ou un homard de Roscoff, on préfèrerait un vin blanc qui a du corps ! - Un petit Calva  ? - Un Calva ? Sacrilège !!  -C'est la faute à ces deux grosses dondons en bas nylon !! Encore en train de se bourrer la tronche !! M'vengerai !  Coupez ! 

    Peter.



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