• Mon épouse Maîtresse Chapitres 1 et 2

    Récit, inspiré et enjolivé d'après une anecdote vécue par Clodinette.  Toute ressemblance avec la réalité n'est donc pas le fruit du hasard, les situations sont véridiques, seul le nom des personnages a été changé.


     Mon épouse Maîtresse 

     Chapitre 1 : Madame Alexandra

     

    J’ai beau connaître par coeur les motifs un peu alambiqués du tapis de salon, les larmes qui brouillent mes yeux, m’empêchent d’en distinguer nettement les volutes floraux. Oui, c’est moi Justin, allongé de tout mon long  sur la table basse du salon, la tête au ras du sol. Jade, mon épouse maîtresse, m’y a attaché aux quatre pieds, pour m’empêcher de  bouger pendant qu’elle me corrige. J’ai beau y être habitué, les cinglades virevoltantes de sa cravache, m’étrillent le derrière. J’entends la mèche de cuir claquer obstinément d’une fesse à l’autre, en long en large, en travers, certain d’y voir ensuite, dans le grand miroir, des myriades de traces rouges s’entremêler sur ma peau.

    «Un derrière ça se prépare» dit maîtresse  quand elle a décidé de me flanquer une sévère punition. Comme à chaque fois, elle m’a chauffé les fesses à la main sur ses genoux pour continuer, ensuite, avec les instruments de discipline.  Cette fois ci, je n’ai pas eu besoin de me déculotter. J’ai enfilé une culotte de nylon rouge transparent entièrement ouverte sur les fesses. Bien mises en valeur, encerclées entre l’arrondi du porte jarretelles et le revers noir de mes bas nylon, mon postérieur à moitié dénudé offre une cible parfaite, véritable provocation à la fessée.

    Et oui, j’ai, depuis longtemps, cette irrésistible passion pour la lingerie féminine. Elle s’est révélée, étant jeune homme, pendant un séjour chez ma tante Gladys, qui se plaisait à nous féminiser, mon cousin et moi pendant les séances de fessées qu’elle nous infligeait…  Une vicieuse celle là, et quelle forte femme. Je l’aime bien mais qu’est ce qu’elle nous a mis comme fessées, déculottées, magistrales et cuisantes. D’ailleurs c’est un peu grâce à elle que j’ai fini par y prendre goût au point d’en faire un jeu avec Jade, ma merveilleuse épouse maîtresse qui sait se montrer si sévère quand il le faut… et même parfois quand ce n’est pas nécessaire. 

     

    Derrière moi, elle me fustige verbalement pendant qu’elle me fesse.
    - «Alors comme ça , mon ami, on éprouve le besoin d’aller se faire corriger ailleurs par un substitut de son épouse adorée … que tu dis... hypocrite!!»
    - «Oui, c’est vrai par… pardon… mais aiiiiie, ouille! Pas si fort… ça fait mal!»
    - «Cesse de te plaindre, Justinette! Evidement que ça fait mal, c’est fait pour ça la fessée non!»
    - «Aaah oui… oui maîtresse, c’est… c’est vrai... les fessées ça… ça doit faire mal…  mais... cette fois vous tapez vraiment fort!»

    Confirmation, s’il en était besoin, que Jade n’est pas du genre à faire des concessions quand elle a décidé d’être sévère avec mes fesses.
    - « Je suis sévère parce que tu le mérites Justinette. D’ailleurs c’est bien ce que tu veux habituellement, n’est ce pas! Alors inutile de pleurnicher, tu auras ta punition jusqu’au bout, aussi longtemps que j’en aurai envie… Et tends bien tes fesses … mieux que ça!»

    En Justinette bien dressée, j’obéis. Je creuse les reins et arrondis mon postérieur pour mieux le faire ressortir. Mes yeux pleins de larmes et de honte trahissent mon humiliation, mais aussi mon excitation d’être obligée d’exhiber mon provocant derrière sévèrement corrigé. Je ne doute pas de l’effet produit par le spectacle que j’offre à Maîtresse. Celui des rondeurs écarlates de mon volumineux fessier débordant de ma culotte ouverte, encadré de bas nylon et porte-jarretelles noirs.

    Ma punition est sévère mais méritée. Maîtresse à raison… d’ailleurs, même quand elle a tort, ce qui n’est pas le cas cette fois-ci, elle a toujours raison. Je ne conteste pas, trop concentré que je suis à retenir mes larmes en serrant les dents. Ma vue est tellement brouillée, troublée aussi par les soubresauts de mon postérieur durement secoué sous les coups de cravaches, que je ne parviens plus à distinguer les dessins de ce foutu tapis. Je n’en vois plus que la couleur, ce même rouge intense qui doit maintenant enluminer mes grosses fesses dénudées.

    Oui, c’est vrai,  je mérite cette punition. Et je comprends la colère de Jade. Quelle idée saugrenue j’ai eue, de penser aller voir ailleurs, ne serait ce que le temps d’une soirée, alors que j’ai Maîtresse à la maison… Ouille … aïe!.. Même qu’elle fesse bien… Il y a des moments, je me demande vraiment qu’il me passe par la tête… 

    Il arrive quelques fois, dans l’année, en tant que DRH de mon entreprise, que je doive répondre à des obligations professionnelles  en dehors de mon lieu d’exercice,. En l’occurrence des réunions ou séminaires à la maison-mère parisienne. Ces séjours ne dépassent généralement pas deux jours, avec une nuit à l’hôtel, tous frais payés évidemment. Cette fois-ci, n’ayant pas envie de reprendre la route à la fin de la dernière journée de travail, je décidais de passer une deuxième nuit dans la capitale. Je changeais d’arrondissement pour prendre une autre chambre à l’Hotel Royal Madeleine, où je descends régulièrement quand je séjourne à Paris. J’aime bien traîner dans les rues chaudes de ce quartier. Particulièrement cette fameuse rue Godot de Mauroy, jalonnée de sex-shops que je fréquente régulièrement, et joliment occupées par les «Dames» qui arpentent les trottoirs en tenues légères. Un jour j’ai ramené à Maîtresse un ensemble soutien-gorge culotte porte-jarretelles adorablement sexy, acheté  dans un magasin de lingerie au coin de cette rue de la Madeleine où on trouve de tout. Un peu comme le disait le slogan de feu le grand magasin ‘’ La samaritaine’’ mais du ‘’tout’’ beaucoup plus excitant.

    Je ne sais pas trop pourquoi, après avoir dîné seul dans un excellent restaurant à côté de l’hôtel, je me suis senti un peu désœuvré, ne sachant pas trop comment passer la soirée. De retour dans ma chambre, je m’allongeais tout habillé sur le lit et réfléchissais en regardant le plafond. Je n’allais tout de même pas me coucher si tôt. Hier soir, c’était plutôt sympathique. Dîné dans un pub avec des collègues et fin de soirée au bar. Mais là, je me rendais compte que j’aurais mieux fait de rentrer comme prévu pour retrouver Jade. J’en étais là de mes états d’âme sur mes mauvais choix, lorsque que je sentis sur mes reins, l’attache du porte-jarretelles que j’avais enfilé sous mon pantalon. 

    Oui, ça m’excite de porter de la lingerie féminine et des bas nylon sous mes vêtements, à fortiori lorsque je suis en public. Il y a quelque chose de jouissif  à sentir le nylon crisser sur mes jambes épilées et mes fesses moulées dans un petit slip de femme, pendant que je suis en réunion professionnelle à discuter des bilans de mon entreprise. J’en savoure d’autant mieux l’intense sensation, que personne ne peut se douter de ce que je porte sous mon costume trois pièces. Et puis c’est dans cette tenue que, la plupart du temps, Jade me corrige pour pimenter nos jeux de fessées…

    Et soudain, le déclic ! Je me vois, à genoux sur le petit tabouret de discipline, la tête coincée entre les cuisses gainées de nylon de maîtresse qui me flanque une magistrale correction. J’ai comme un léger vertige et je me redresse d’un seul coup comme si je venais de me réveiller brusquement. Assis sur le lit, en appui sur mes deux mains posées derrière moi, je sens frémir mon derrière. Je réalise que j’ai comme une soudaine et irrépressible envie de fessée! L’idée disparaît aussi vite qu’elle est venue . Je suis dans un hôtel, bien loin de la maison et de Jade, mon épouse maîtresse chérie. D’habitude, c’est elle qui me corrige quand je l’ai mérité ou que j’ai trouvé un subterfuge pour provoquer la punition dont je ressens le besoin. C’est un jeu entre nous où chacun peut s’amuser à manipuler l’autre en toute connaissance de cause.

    Et me voilà partagé entre deux sentiments contradictoires. D’un côté l’excitant  besoin de sentir une main ferme me claquer le derrière, et de l’autre, le ressenti d’un vague sentiment de culpabilité vis-à-vis de mon épouse chérie.

    Il m’arrive encore assez souvent d’éprouver quelques hésitations à faire certains choix et finalement de transgresser mes réticences, tout en étant conscient des risques de punitions auxquelles je m’expose en bon soumis que je suis.  C’est mon petit côté ‘’Aventurier des fessées perdues’’… Je sens que mes scrupules capitulent progressivement alors que mon derrière frémit d’impatience dans mon petit slip de nylon. Je ne vais tout de même pas solliciter les service d’une professionnelle… L’idée est assez excitante. Après tout, Maîtresse n’en saurait rien, même si je la sais assez maline et perspicace pour percer mes petits secrets, ou deviner mes pensées les plus scabreuses... enfin pas toutes. Elle va même jusqu’à aller fouiner dans mon ordinateur, et pister les sites sulfureux que je me plais à visiter, surtout le sites de fessées qui pullulent… et des fessées, je m’en prends presque autant que je regarde.

    Je me lève, et arpente la chambre de long en large en proie au doute et à l’excitation. Comme pour me stimuler, je me plante de dos devant le miroir de la chambre et contemple mes fesses par dessus mon épaule. Elles gonflent avantageusement le fond de mon pantalon. Je les caresse et les soupèse pour en apprécier la fermeté et confirmer leur capacité à encaisser de bonnes corrections. En accord avec moi même, faisant fi de mes  scrupules et autres hésitations, je me décide enfin. Mon masochisme naturel à pris le dessus. De toute évidence, je suis en manque. La chaire de mon fessier est faible et demandeuse, il  n’y a pas de raison que je me prive d’une bonne séance de fessées d’entretien.

    Soulagé d’avoir pris la bonne décision, malgré quelques traces d’arrières pensées culpabilisantes, je saisis mon attaché-case, le pose sur le lit et l’ouvre pour prendre mon carnet d’adresse. Je me rappelle avoir eu un contact avec une dominatrice lors d’un précédent séjour à Paris. A l’époque je n’avais pas donné suite mais j’avais gardé ses coordonnées en cas d’urgence. Ce qui est bien en train de m’arriver m’arrive ce soir.

    Je cherche à ‘’P’’ comme punition, puis ‘‘F’’comme fessée… fesseuse... en anglais ‘’S’’ Spanking… Rien! Mais où diable ai je mis ça? Je suis certain d’avoir noté le numéro de téléphone.  Ah oui ça y est, je me souviens… à ‘’T’’… C’est ça: Technicienne de surface! En l’occurrence de surface fessière. Je souris intérieurement. J’avais trouvé cette petite astuce au cas où Maîtresse mettrait son nez dans mon répertoire. Ça ne l’empêcherait peut être pas de trouver, mais au moins, ça retarderait l’échéance d’une inévitable correction si elle découvrait l’identité du correspondant, ou plutôt de la correspondante. De toutes façon, Maîtresse déjoue toujours mes petites manigances. Dans ces cas là j’ai tout intérêt à bien préparer mes fesses, que je lui présente volontiers. On est soumis ou on ne l’est pas. Je le suis avec une résignation sans faille.

    Un peu fébrile je compose le numéro sur mon portable. Au bout de quelques secondes d’une petite musique de Mozart, une voix féminine au timbre grave, me répond d’un ton aimable, mais ferme. Je suis presque surpris et reste muet sur le coup. La voix insiste… Oui.. j’écoute... Un petit frisson d’émotion me parcourt le corps. Ma main tremble, crispée sur mon portable. Je me rends compte que c’est plus difficile que je le pensais. Je sens perler une goutte de sueur qui descend  le long de ma colonne vertébrale jusque dans la raie de mes fesses qui se serrent d’appréhension. Je surmonte un relent de culpabilité et entame la conversation.

    L’échange est agréable, Madame Alexandra s’exprime avec précision et autorité, ce qui est plutôt de bonne augure pour une dominatrice. Elle est disponible, avenante, et claire sur ses exigences comme sur sa pratique de la fessée. Une fois les conditions et le tarif  convenus nous prenons rendez vous dans l’heure. Un peu ému, j’ai quand même la boule au ventre. J’ai envie de cette fessée autant que je la redoute, j’appelle un taxi.

    Dix minutes de trajet dans un Paris nocturne, plein de mystère et de possibles plaisirs débridés, la Mercedes noire métallisée, me dépose devant un immeuble d’allure Haussmannienne. De chaque côté de la lourde porte vitrée chargée d’ornements floraux en fer forgé, un boîtier à code avec le nom des occupants. Il me faut peu de temps pour les faire défiler et trouver celui pour qui je suis venu. Elle est en tête de liste par ordre alphabétique «Madame Alexandra  esthéticienne» cinquième étage. En appuyant sur la sonnette je trouve que madame Alexandra ne manque pas d’humour ni de malice. Je pense, songeur à l’esthétique de mes fesses après être passé entre ses mains pour la séance de fessées qui m’attend.

     

     

     Chapitre 2 : Le salon à fessées de Madame Alexandra

     

    J’ai un petit pincement au cœur en appuyant sur la sonnette. J’ai le vague pressentiment de faire, une grosse bêtise, mais c’est trop tard, j’ai pris rendez vous. Bien sûr, je pourrais annuler mais cette impérieuse envie de fessée me pousse à persister. Mes fesses ont besoin d’une sévère prise en main et, malgré une certaine appréhension, je suis déterminé à aller jusqu’au bout . J’en suis là de mes réflexions, quand la voix forte et grave que j’ai entendue au téléphone tout à l’heure, résonne dans l’interphone et me fait presque sursauter.
    - «Bonsoir monsieur Justinet, montez, je vous attends... Et prenez l’ascenseur, vous serez moins essoufflé en arrivant. Il vaut mieux garder du souffle pour votre séance.» 

    Je ne comprends pas bien pourquoi je me sens mal à l’aise. Je n’ai pas encore rencontré cette femme, que le simple son de sa voix m’impressionne. Comme si je n’étais pas habitué à me faire claquer les fesses  Sauf que la situation est différente des séances de fessées avec mon épouse chérie à la maison. Je suis déjà mentalement en position de soumission. Je répond par une banalité.
    - «Oui... Madame…. bonsoir… je… je monte...»

    Un clac électrique sonore, et la lourde porte de l’immeuble s’entrouvre. Je m’engouffre rapidement à l’intérieur, comme si je redoutais qu’on puisse me voir entrer. Je traverse le hall, et appelle l’ascenseur. Quelques minutes après, une cabine vitrée à l’ancienne, avec une grille en guise de porte, apparaît lentement et s’arrête presque silencieusement à ma hauteur. En quelques secondes je suis devant l’appartement de madame Alexandra, planté sur le paillasson de bienvenue. Je sens mes fesses frémissantes dans mon petit slip à fessée en dentelle transparente délicieusement féminin. Il est parfaitement moulant, comme j’adore les porter, les fesses solidement culottées, bien serrées dans le nylon, si bien ajusté que les élastiques me rentrent dans la raie. C’est moins présent qu’un bon plug, mais ça prend suffisamment sa place entre les deux fesses pour procurer de voluptueuses sensations. Maintenant je sens que je vais passer plus de temps, le slip sur les cuisses que le derrière dedans … Mais bon, je ne vais pas me plaindre, j’ai bien cherché ce qu’il va m’arriver.

    J’appuie, avec détermination, sur le bouton de la sonnette et, surprise, ce n’est pas une sonnerie ou un carillon quelconque qui retentit à l’intérieur. J’entends nettement le claquement enregistré d’une retentissante fessée, assurément déculottée, comme l’éclatante sonorité des claques l’indique. Je souris intérieurement. Madame Alexandra a le sens de la mise en scène. Difficile de trouver mieux pour annoncer les festivités et mettre tout de suite en condition le prétendant à sa correction.

    Un claquement de talons aiguille indique l’arrivée imminente des fessées. La porte s’ouvre sur une merveilleuse créature au physique impressionnant. Madame Alexandra apparaît dans un petit tailleur noir moulant, dont la jupe très courte, descend juste au niveau des attaches de ses jarretelles, révélant de fortes cuisses, gainées de bas nylon noir ultra fins. Elle porte une petite veste assortie, ouverte sur un bustier guêpière en dentelle rouge, qui semble avoir quelques difficultés à contenir une opulente poitrine, débordant des balconnets. Perchée sur ses douze centimètre de talons aiguille elle est carrément plus grande que moi. Une chevelure blonde argentée, des yeux noirs profond, le regard pénétrant, c’est une belle femme plantureuse, de celle que l’on dit dans la fleur de l‘âge, proche d’une cinquantaine, triomphante. Elle porte haut, dominant, et dégage une impression d’autorité naturelle qui inspire d’emblée le respect. Me voilà subjugué. D’autant que je suis frappé par son étonnante ressemblance physique avec ma tante Gladys dont j’ai le cuisant souvenir de ses magistrales fessées. Si cette Dame fesse aussi bien, et aussi fort, ce qui ne me surprendrait pas, mes fesses ne vont pas regretter le déplacement. Je les sens frémir à la fois de curiosité et d’appréhension. Une goutte de sueur dégouline lentement le long de mon dos et s’insinue sournpoisement dans la raie de mes fesses. Je frissonne.
    - «En fait Justinet, me dis-je, en mon for intérieur. Tu l’as voulu ta séance de fessées, et bien, tu vas l’avoir. Et finalement, il n’empêche, tu n’en mènes pas large...»

    Madame Alexandra me sort de mes réflexions contradictoires.
    - «Et bien monsieur Justinet, qu’est ce que vous attendez pour entrer? Vous allez rester planté comme ça sur le paillasson pendant combien de temps? Vous aviez pourtant l’air impatient de recevoir votre fessée tout à l’heure au téléphone. Ça semblait même une urgence…»
    - «Si… oui… madame, c’est toujours le cas…»
    - «Et bien allons-y! Elle esquisse un sourire ironique. Ma main est impatiente de faire connaissance avec vos fesses, figurez vous. J’adore découvrir un nouveau derrière à corriger. J’ai beau en claquer pratiquement tous les jours, ça m’excite toujours autant.»
    Sur ce, elle me tourne le dos, et s’engage dans le couloir de l’entrée qui semble mener à un petit salon.
    - «Allez, suivez-moi jeune homme!»

    Jeune homme! Elle m’appelle jeune homme! Elle me fait régresser pour mieux me dominer. Je lui emboîte le pas, littéralement fasciné par le balancement provocant de son imposante paire de fesses qui tressaute lourdement dans sa jupe serrée, au rythme du claquement de ses talons aiguille sur le carrelage. Je reconnais ces merveilleux Louboutin à la couleur rouge de la semelle. Madame a les moyens, apparemment , la fessée c’est lucratif. Mon regard remonte, avec gourmandise, le long de la couture de ses bas nylon qui soulignent le galbe de ses jambes, jusqu’aux volumineuses rondeurs charnues de son provocant derrière. Sa jupe est si ajustée qu’on voit nettement sous le fin tissu, la marque de ses jarretelles tendues sur ses cuisses. Et soudain j’ai comme un flash fulgurant.

    Aux murs, tapissés de rouge à motifs floraux un peu plus foncés, sont accrochées toute une galerie de photos agrandies, judicieusement mises en valeurs dans des encadrements noirs . Elles représentent, en gros plan, de flamboyantes paires de fesses, d’intensité de couleur variée, allant du rouge écarlate au cramoisi, selon les degrés de sévérité des fessées administrées. L’effet est saisissant. Un petit cartel, en bas du cadre, légende chaque cliché, indiquant le nombre de fessées claquées, déculottées ou non, leur durée et les positions utilisées. Je suis une nouvelle fois fasciné. Madame Alexandra expose un édifiant échantillon de ses talents de fesseuse. La valeur exemplaire des fessiers exposés est redoutablement efficace. J’en frissonne une nouvelle fois, autant de crainte que d’excitation. Devant mon air étonné et admiratif, mon hôtesse m’interpelle avec un brin d’ironie dans la voix.

    - «Alors, monsieur Justinet, comment trouvez ma collection de fesses rouges, prises sur le vif après une bonne séance de fessées. Toutes rougies par mes soins... elles sont magnifiques non… avouez que ça vous plaît!»
    Elle n’a pas tort. J’aurais du mal à dire le contraire. L’exposition de ces flamboyantes paires de fesses à quelque chose, d’excitant et d’inquiétant la fois.. Je m’entend mentir en faisant semblant de pas être impressionné à l’idée de ce qui attend les miennes. Je fais même un peu de provocation… même pas peur.
    - «Oui, je dois avouer que cela donne un bel aperçu de la sévérité des fessées, auxquelles, je dois sans doute, préparer mes fesses.»

    Mon interlocutrice me fixe avec un grand sourire, du haut de ses douze centimètres de talons aiguille.
    - «Je ne vous le fais pas dire mon ami... un soupir de fausse compassion soulève son imposante poitrine à la limite du débordement de son provocant décolleté. Vous êtes là pour ça. Je vous promet que vos fesses ne vont pas être déçues!»

    Je n’en doute pas une seconde et je finis de balayer du regard ce qui m’entoure. Au centre du salon, recouvert d’une moquette rouge foncé, deux tabourets à fessée trônent sur un espace carrelé de noir brillant, semblable à celui du couloir de l’entrée. Je ne connais que trop l’utilité de ce carrelage au sol. Encore une réminiscence des claquantes fessées déculottées administrées dans la cuisine par l’intraitable tante Gladys. La résonance sur ce genre de surface, rend les fessées plus retentissantes et, donc, plus impressionnantes. Ici, le contraste est saisissant avec le silence moelleux de la moquette tout autour. Sur le mur d’en face, une grande glace destinée à suivre le déroulement des fessées.

    De l’autre côté, devant de hautes fenêtres aux lourds rideaux de velours fermés, deux canapés et des fauteuils, d’un même velours rouge assorti. Ils sont disposés autour d’une table basse en verre fumé sur laquelle traîne un martinet, sans doute, témoignage d’une précédente visite. Près d’un petit bar discrètement éclairé par une lampe en opaline de style art nouveau, un guéridon sur lequel sont disposés de multiples instruments de discipline. Derrière, accrochée au mur comme en démonstration, une impressionnante collection de martinets, de longueur et de forme de lanières différentes. L’atmosphère de la pièce est plutôt feutrée, et serait presque agréable, si, en plus de l’odeur persistante du cuir, elle n’était pas imprégnée de la présence invisible des séances de corrections qui s’y déroulent régulièrement.

    J’ai beau trouver l’endroit excitant, je ne suis toujours pas si rassuré que ça. Jade, mon épouse maîtresse chérie, me dit souvent que je l’agace à ne pas toujours savoir ce que je veux. A me plaindre, quand elle fesse trop fort, alors que c’est moi qui le réclame avant la punition. Si elle me voyais... Et puis non, il faut que je cesse d’y penser sinon je ne vais pas y arriver.

    Le ton ferme de madame Alexandra coupe court à mon admirative contemplation de ces lieux qui respirent si bon la fessée. Elle s’est assise dans un des fauteuils, provocante, jambes haut croisées toutes jarretelles apparentes, sous la jupe retroussée.
    - «Ne perdons pas de temps, monsieur Justinet. Mettez vous à l’aise, enlevez votre veste, baissez votre pantalon et venez me présenter vos fesses, penché en avant, reins cambrés, pour bien les déployer! Question d’efficacité, je tiens toujours à calibrer la sévérité et la durée des fessées en fonction du format et de la nature des nouveaux derrières que je corrige.»

    J’ai un moment d’hésitation. Quelle va être sa réaction en me voyant en slip à dentelle, porte jarretelles et bas nylon sous mon pantalon… le question est totalement inutile, je ne suis certainement pas le premier à se présenter avec de la lingerie féminine . Elle insiste.
    - «Allez, exécution! Vous êtes là pour obéir mon ami, ou c’est la fessée double tarif! Et vous gardez le pantalon baissé sur les chevilles» - elle me regarde droit dans les yeux avec un sourire pervers - «c’est plus humiliant de se sentir déculotté devant une dame, n’est ce pas?»

    Je n’ai plus le choix. Subjugué par le ton autoritaire, je m’exécute docilement, dégrafe ma ceinture et commence à me déculotter devant la forte femme. Je descends mon pantalon lentement, en m’appliquant à bien arrondir mon volumineux fessier. Je l’expose un peu provocant, étroitement moulé dans un petit slip de nylon noir en dentelle transparente, encerclé par les jarretelles tendues sur mes cuisses et le revers noir de mes bas nylon. J’ai un petit frisson d’excitation en entendant ma fesseuse réagir avec enthousiasme devant l‘appétissant spectacle.
    - «Ah mais c’est qu’elle est toute mignonne dans cette tenue d’une exquise féminité! Bravo mon cher, vous avez bon goût sur le choix de votre lingerie. J’adore votre porte jarretelles! Voilà une manière originale de mettre vos fesses en valeur. Présentées comme ça, elles sont une véritable incitation à la fessée!»

    J’en suis tout ému, honoré d’un compliment si flatteur auquel je ne m’attendais pas. Je suis bien tombé, Madame Alexandra est une esthète, ouverte à tous les fantasmes. Pour un peu j’en tortillerais du derrière pour la remercier. Elle a un petit rire enjoué qui contraste avec son allure autoritaire.
    - «Il ne vous manque plus que des talons aiguille pour accentuer votre cambrure, et faire ressortir encore davantage vos superbes volumes fessiers!»

     Je n’ai pas le temps de lui dire que j’en ai une paire, dans ma valise à l’hôtel. Elle se lève, vient se positionner à côté de moi et m’appuie sur les reins pour me signifier de me pencher plus en avant. Ce que je fais sans résistance en arrondissant davantage mon derrière. Je sens mon slip se tendre dans ma raie des fesses qui débordent des élastiques. Je ne vois pas sa main droite effectuer un grand arc de cercle pour me soulever le derrière tout entier, d’une claque formidable. Je sursaute en poussant un cri de douleur. Imperturbable, elle me tapote sèchement les fesses du plat de la main pour les faire tressauter et en apprécier la souplesse.
    - «Hummm, belles fesses, nerveuses, et bien fermes sous la main! Des fesses comme j’aime claquer! Voilà une séance de fessées qui s’annonce des plus réjouissantes!»

    La garce a tapé fort, comme un échantillon de ce qui m’attend. J’en ai déjà les larmes aux yeux. Un peu inquiet, quand même, je la vois dans la grande glace regarder, avec satisfaction, la marque rouge de ses doigts et de la paume imprimés sur la partie de mes fesses non protégées par le slip. Elle vient de marquer son territoire et j’ai comme l’impression que ça va claquer sec. J’en ai tout de suite la confirmation.
    - «Maintenant assez bavardé, venons en aux choses sérieuses et à ce pour quoi vous êtes venu. Comme convenu, au téléphone, du détail de la séance, je vais commencer par vous chauffer les fesses à la main avec une solide fessée à travers le slip. Le nylon est une matière idéalement calorifère qui permet une excellente cuisson du derrière, en préparation des fessées déculottées...»

    J’ai à peine le temps de réaliser, qu’elle me saisit par l’oreille et me tire d’autorité vers un des tabourets à fessée, placés au milieu du salon. Le siège est recouvert d’un élégant velours rouge foncé, comme la couleur de référence des paires de fesses qu’elle y corrige. Il semble formaté pour supporter le poids de son plantureux derrière augmenté de celui du candidat à la fessée allongé sur ses cuisses. Moi, en l’occurrence. Courbé en deux, les chevilles empêtrées dans mon pantalon, je peine à me déplacer. Elle n’en a cure évidemment, c’est ce qu’elle veut pour m’humilier. Elle me traîne de force sur le lieu de ma correction.
    - «Et bien cher ami, il faut vous montrer plus docile, si voulez que je vous claque votre fessée, aussi cuisante que vous semblez le souhaiter.»
    - «Ce n’est pas tant que je...»

    Encore une fois je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’elle m’a saisi par le bras et basculé en travers de ses genoux. Dans un mouvement réflexe, acquis des nombreuses fessées que je reçois à la maison, au cours desquelles Jade m’a dressé à bien présenter mes fesses, je me mets immédiatement en position. Couché à plat ventre sur les cuisses de ma fesseuse, la tête près du sol, mes fesses tout en l’air, les jambes pliés et les pieds levés prêts à battre au rythme de la fessée. Je sens mon sexe déjà tendu, glisser sur ses jarretelles, entre ses cuisses gainées de nylon. Mon fessier doit apparaître le plus provocant, le plus tentant, offrant le volume le plus réceptif, pour montrer mon entière soumission à la fessée. Je dois en rendre l’administration aisée et la plus efficace possible.

    Ce n’est pas pour déplaire à madame Alexandra qui n’est cependant pas entièrement satisfaite. La fessée, c’est bien mais elle est encore meilleure après un petit complément d’humiliation. Malgré la démonstration de mes bonnes dispositions à en faciliter le déroulement elle se montre plus exigeante.
    - «Je veux vous entendre demander si vos fesses sont bien présentées pour recevoir votre fessée….»
    Ce n’est pas le moment de discuter, j’obéis aussitôt.
    - «Est ce que mes fesses sont bien présentées pour recevoir ma fessée…»
    - «Mes grosses fesses!... Et la fessée comment?»
    - «Euuuh... la bonne fessée…»
    - «Oui, la bonne fessée… mais encore?»
    - «La bonne fessée...» croyant bien faire, j’ajoute en improvisant: «la bonne fessée, que j’ai bien méritée.»

    Toujours pas satisfaite…
    - «Ce n’est pas terminé  En parlant de vos fesses, recommencez tout en ajoutant: est-ce que vous les avez bien en vue?!»
    Vicieuse avec ça la terrible femme. Elle doit vouloir me pousser à souhaiter le démarrage de ma fessée. Mon sexe est de plus en plus raide entre ses cuisses, avant même qu’elle ne commence. En bon soumis , je me plie à sa demande.
    - «Est ce que mes grosses fesses sont bien présentée pour recevoir la bonne fessée que j’ai bien méritée. Est ce que vous les avez bien en vue?» 

    Évidement pas de réponse. Mais après ces humiliants préparatifs, je sens une main tirer sur la ceinture élastique de mon slip pour mieux l’ajuster sur mes fesses rebondies, et la fessée démarre brusquement. La main, haut levée de madame Alexandra, s’abat à pleine force sur mes fesses bondissantes! C’est fou ce qu’elle tape dur, dès le début. Je sens que je vais en prendre plein la culotte, mais je l’ai bien cherché. J’ai même payé pour ça! Quand je pense aux fessées de Jade… à la maison. Mais qu’est ce que je fais là, les fesses en l’air sur les genoux d’une inconnue? Non, je ne dois surtout pas y penser, tant pis pour moi, je dois aller jusqu’au bout.

    Le ton enjoué de ma fesseuse me resitue dans la cuisante réalité du moment.
    - «Alors vous la sentez ma main, comme elle claque bien sur vos fesses? Vous la sentez à travers le nylon de votre petit slip en dentelle?»
    Je ne peux pas dire le contraire:
    - «Oh oui madame, vous fessez tellement fort… ça chauffe déjà bien… oh la la...ça cuit!!»

    Les claques sur mon gros gros fessier rebondi, bien exposé, font un bruit éclatant. Amplifié par la résonance du carrelage, malgré la moquette qui l’entoure, le claquement sec de la fessée emplit pratiquement toute la pièce...

    La forte femme, rompue à l’exercice, fait preuve d’une grande maîtrise. Elle débute la fessée de façon méthodique en claquant systématiquement la totalité de mon postérieur à travers mon slip et sur ce qui en déborde. Elle n’épargne pas un millimètre de surface, d’une hanche à l’autre, n’oubliant ni les flancs ni le bas des fesses, insistant sur le haut des cuisses au dessus des bas nylon. En quelques minutes, je vois dans le miroir, et à travers la transparence que la totalité de mon fessier est devenue uniformément d’un beau rouge velouté, qui s’intensifiait à grande vitesse. La fessée est magistrale et je sens qu’à l’allure où descendent les claques, la cuisson de mes fesses risque de devenir assez vite difficilement supportable.

    Je serre les dents pour étouffer un premier gémissement. Pas suffisamment car la puissance des claques m’en arrache quelques uns que je ne peux maîtriser.
    Elle m’entend, malgré le claquement retentissant de la fessée, et m’interpelle sans perdre le rythme soutenu des éclatants allers et retours qu’elle m’expédie avec force alternativement sur chaque fesse.
    - «Laissez vous aller, Justinet, les cris, les pleurs et les supplications font partie de la fessée. C’est même stimulant car cela témoigne de son efficacité.»

    Je sais qu’elle a raison, mais j’ai aussi ma fierté. Je m’applique à garder les fesses en bonne position, bien déployées à sa main. Je veux, par là, lui montrer que je supporte bien les fessées, Elle m’en fait la remarque flatteuse et s’exclame entre deux claquées.
    - «Mais c’est qu’il la prend bien sa fessée! C’est un vrai plaisir de claquer une telle paire de fesses aussi bien disposée à en recevoir… D’après mon expérience, et la façon votre derrière réagit, vous n’en n’êtes sans doute pas à la première...»
    Je ne sais pas ce qu’il me prend à ce moment la, un peu par provocation, j’éprouve le besoin de m’en vanter, en bombant fièrement le derrière sous les claques, même si ça chauffe terriblement.
    - «C’est que j’en reçois souvent à la maison par mon épouse maîtresse!»

    Je me demande si je n’aurais pas mieux fait de me taire… car la fessée s’arrête net.

     

    Mon épouse Maîtresse

     

     

     

     

     

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  • Commentaires

    1
    PeterPan
    Samedi 2 Mars à 09:22

    Bonjour, 

    Voilà un récit qui cingle plein Ouest !! hi hi hi  Tel est pris qui croyait prendre. Le vilain Justinet-te n'a pas pu résister à l'appel de la fessée. Madame Alex Andra est une implacable Domina qui sait jouer avec les nerfs et les fesses de ses clients... Elle  conditionne son élève dès son entrée en scène dans ce "donjon feutré" comme avec le syndrome de Pavlov. Remarquable psychologue de la fessée !!! Mais, croyant bien faire en fayotant un peu, Justinet  Bridounet ( hi hi hi !!)  se prend en fin de compte les pieds dans le tapis... Mention spéciale pour le visage de Madame Alexandra. Le sosie en plus jeune de Taaante Gladyssss. Il me semble qu'elle porte un petit  "bibi" à voilette. Quelle vision de rêve  !! Je ne vais pas en dormir cette nuit. Je vais tripler la dose de ma bonne tisane !!! Au cas où... Déjà, le nom de cette dame experte en fessologie   comportementale, signifie "guerrière" en grec. Ce qui correspond tout à fait à la personnalité triomphante de cette dame. Déjà, quant on la voit, elle te flanque les pétoches. Attendons avec curiosité la suite de son aventure... Courage, camarado !! 

    Peter.

    2
    PeterPan
    Samedi 2 Mars à 09:33

    Bonjour, 

    Voilà un récit qui cingle plein Ouest !! hi hi hi  Tel est pris qui croyait prendre. Le vilain Justinet-te n'a pas pu résister à l'appel de la fessée. Madame Alex Andra est une implacable Domina qui sait jouer avec les nerfs et les fesses de ses clients... Elle  conditionne son élève dès son entrée en scène dans ce "donjon feutré" comme avec le syndrome de Pavlov. Remarquable psychologue de la fessée !!! Mais, croyant bien faire en fayotant un peu, Justinet  Bridounet ( hi hi hi !!)  se prend en fin de compte les pieds dans le tapis... Mention spéciale pour le visage de Madame Alexandra. Le sosie en plus jeune de Taaante Gladyssss. Il me semble qu'elle porte un petit  "bibi" à voilette. Quelle vision de rêve  !! Je ne vais pas en dormir cette nuit. Je vais tripler la dose de ma bonne tisane !!! Au cas où... Déjà, le nom de cette dame experte en fessologie   comportementale, signifie "guerrière" en grec. Ce qui correspond tout à fait à sa personnalité triomphante . Déjà, au départ, quant on la voit, elle te flanque les pétoches. Main de fer dans un gant se velours ? "Poigne de fer et séduction"(comme le titre d'une série  des années 70 ).  Mais attendons avec curiosité la suite de son aventure... Courage, camarado !! 

    Peter.

    3
    clodinette
    Samedi 2 Mars à 11:15

    "toute ressemblance avec des faits et des personnagesexistantsou ayant éxistéé serait purement fortuite et ne pourrait ètre que le fruit d'une pure coincidence !!!"

    cea dit ce recit est meveilleusement bien écrit et provoque des réactions difficilement controlables au sein de la culotte en dentelle !!!

    l'expression de la dame qui se prepare à corriger le(la) coupable sur la table basse ( que je crois reconnaitre !? ) est pleine de charme : combinaison subtile de sevérité et de tendresse !!! qui me rappelle aussi une certaine Maitresse adorable !

    clodinet(te)

    4
    ramina
    Samedi 2 Mars à 12:08

    Bonjour, les gars, les filles...

    Emporté par son généreux élan , Marie  a publié deux épisodes en même temps ... ça fait plus de lecture ! Si bien que l'illustration , que je viens juste de terminer de ce 2è chapitre, paraîtra sans doute la semaine prochaine avec le 3è épisode...qui aura lui aussi son illustration ... çaen fera deux d'un coup ! Tout le monde suit ?  Qu'à cela ne tienne, les fessées sont toujours retentissantes sur la surface carrelée du salon  rouge de Madame Alexandra.  Je suis désolé,( pas tant que ça en fait !)  pour Clodinette, obligée de changer sa petite  culotte en dentelle, à la lecture de chaque épisode... c'est lui qui fait la lessive !   Et pour l'ami Peter , l'ami sincère, m'enfin... maiyeeeeeu...! La femme à la voilette n'est pas madame Alexandra mais la représentation supposée de l'épouse maîtresse adorée de Clodinette.  Madame Alex c'est pour la semaine prochaine ! Aaaaah c'est compliqué tout ça et tout ça... On n'a pas une vie facile ma pov'Dame !  Ramina

     

    5
    leasoumise
    Dimanche 10 Mars à 12:11

    chouette histoire d'une grande écrivaine :) 

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    6
    ramina
    Dimanche 10 Mars à 12:27

    Merci leasoumise.

    Le chapitre 3 est paru ce vendredi, avec ses illustrations...  Ramina



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