Bonjour à tous...

Amusante mise en scène. Décor très années 60, je pense. Par rapport à la robe de la maitresse de maison à droite. Dans les années 50, la mode féminine, c' est plutôt  jupes et robes "en corolle", très évasées. Enfin, c'est mon avis.  Epoque bénie du "tout formica". La gazinière est quasiment la même que celle que mes parents avaient à leur installation milieu années 60 à leur nouveau domicile. Mais en regardant le contraste des personnages, elle semble être un montage. Non ?  "Yes, it is ! ".Gonflés, les voleurs ! Non seulement, ils pillent mais, en plus, ils se font préparer un bon repas ??? Pour se débarrasser d'eux, la maitresse de maison devrait leur mettre un puissant laxatif dans l'apéro ou la bonne bouteille de vin de Californie ! Du coup, ils les laisseront en paix ! ha ha ha  ha ha !! "Ze toilettes, please ? A l'étage et au fond du couloir ! ". Et toc ! Non mais !              Peter.

• • Paul Lyamide

    Mardi 13 Septembre 2022 à 13:18
    

    Bonjour Peter,

    Que nenni, messire, les toilettes, c'étaient les tinettes au fond du jardin où on se gelait les burnes l'hiver (pas de réchauffement climatique à cet époque) et à l'intérieur desquelles on se torchait avec du papier journal que l'on ne pouvait même pas lire parce que des connards tiraient les feuilles au hasard, ces latrines étaient vidées une fois par mois sur le fumier destiné au jardin.

    Bon après-midi.

    Paul.

Amis du saucisson à la chantilly,

Plutôt grand guignol le tableau! Mais que s'est il donc passé pour trouver une mamie blouse dans un état pareil? Allez savoir si de méchants cambrioleurs ne se seraient pas  introduits clandestinement dans la maison pour piquer des sacs poubelle ... Encore que ça n'existait pas à l'époque . Pour piquer l'argenterie alors ... Yes, c'est plus crédible! Toujours est il que, ne voilà t-il pas, quelle horreur, qu'on trouve, une  pov' ménagère championne d'Europe de la corde à noeuds, ligotée sur sa chaise, bâillonnée jusqu'aux oreilles, qui fait des Mmmff et des Mmmff avant de s'étouffer définitivement .  Pendant qu'elle agonise au milieu de la cuisine, une autre jeune ménagère qui s'en bat les amygdales , comme dirait le gars Gérôme, nous fait un coup de Nougaro: "que c'est beau, les mains d'une femme dans la farine ". Elle prépare tranquillement une pâte à tarte ou un truc comme ça. On ne voit pas bien, mais sûr qu'elle est toute gaie-te,  comme un pinçon gay . Sa copine, est au bord d'un accident de poumons qui respirent plus,  s'est fait barbouiller le museau avec de la chantilly, et ne voit plus rien à travers ses lunettes... Elle s'en fout la meuf, en robe en formica des année soixante avec son beau tablier blanc comme des oeufs en neige !...Pffff,  pas grave je vais en faire une autre de chantilly . !! .. Et ben bravo la solidatrité... euuh, la solidiraté... raaaah  la solidarité féminine !!

Oui madame, c'est quoi t'esss ?... Que je suis moqueur,? ... je critique ...  Ah bon ! Oui, bien sûr le respect de la femme au foyer ... Comment ça, moi,  faux jeton !! ...Mais... la fessée, déculotté sur vos genoux ? ... mais j'ai rien dit de m...Ramina

Bonjour Paul,

Oh yeah, j'ai connu ça aussi, la préhistoire des Waters ... On habitait un trois pièces au 3è étage d'un petit immeuble, les cabinets à mi-palier, qu'on partageait avec les locataires d'en face . Le PQ en rouleau double face , super moelleux parfumé à la ciboulette n'existait pas . On se torchait avec les nouvelles de la veille , du papier journal pendu à un crochet .  Une trappe qu'on manœuvrait à la main en avoir balançant de la flotte qu'on apportait dans un broc .  Pas de chauffage évidemment, l'hiver tu ne traînais pas la dedans en lisant le catalogue de la manufacture de St Etienne.  C'était après la guerre , nos parent avaient vécu pire ! Ramina

• • PeterP

    Mardi 13 Septembre 2022 à 17:05

    Hello Messieurs... 

    En effet. Et  l'expression "Trente Glorieuses" si chère aux économistes dans les bouquins ne s'applique pas forcément pour la population dans son ensemble. On commence à relever la tête à partir du début des années 70. Et pas partout. Mes parents ont connu cette situation puisque nés avant la guerre.                                                                                        Peter.  

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