• Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 5

    Une histoire originale de Ramina, sur une idée de Clodinet(te)


    Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 5: Fessées et féminisation

     

    En montant l'escalier, Clodinet jette un regard dérobé en arrière et voit que sa tante tient toujours le martinet! Elle a surprit son regard et lui en assène deux cinglées sur les cuisses.
    – «Regardes devant toi et dépêches-toi de monter ou je te fais grimper là coups de martinet sur les fesses!»

    L'escalier est en pente assez raide et les marches un peu hautes. Clodinet doit lever exagérément les jambes pour monter ce qui l'oblige à tortiller du derrière de manière provocante. Ce n'est pas pour déplaire à Gladys qui se régale à voir la belle paire de fesses écarlates, se balancer de droite à gauche sous ses yeux. Elle le suit de si près qu'elle peut savourer la chaleur intense qui s'en dégage et constater avec satisfaction l’efficacité des deux magistrales fessées qu'elle vient de lui mettre.  A voir ainsi se mouvoir les volumineuses rondeurs du fessier incandescent, lui donne l'envie irrésistible de lui en remettre une sur le champ.
    – «C'est bien mon cochon, continue comme ça, à tortiller des fesses sous mon nez. Il n'y a pas meilleur stimulant pour préparer la nouvelle fessée qui t'attend!»

    Ils arrivent devant la porte du grenier. Clodinet s'était plusieurs fois demandé, ce qu'il pouvait bien y avoir dans ce grenier. Il avait souvent posé la question à son cousin qui s'était mystérieusement dérobé à chaque fois en répondant simplement d'un air gêné:
    – «On n’a pas le droit d'y rentrer.»

    Il se disait alors qu'il y avait peut-être des objets fragiles ou précieux. Excité, et un peu inquiet en même temps, étant données les circonstances et le feu qu'il avait aux fesses. Il allait vite le savoir!

    Tante Gladys tourne la clef dans la serrure et ouvre la porte. Comme il hésite un peu à entrer, car la pièce est assez sombre, elle lève le martinet:
    – «Qu'est-ce que tu attends, attention, ça va encore claquer!!»

    Il pénètre en vitesse en essayant de rentrer les fesses mais pas encore assez vite pour échapper à deux nouvelles fulgurantes cinglées en plein travers du derrière,  encore douloureux de la raclée précédente. Tantine, a trop de plaisir a fesser pour modérer ses coups, elle y met toute la force de son bras pour le propulser en avant.
    – «Aiiiie, tantine», rugit le malheureux, «pas si fort! Vous m'avez déjà mis deux fessées, j'ai encore les fesses en feu!»

    Elle rit d'un rire sarcastique.
    – «Mais j'espère bien mon garçon! Comme ça tu vas encore mieux sentir la suivante qui t'attend, avec une grosse surprise!»

    Clodinet, davantage préoccupé par le regain de cuisson de ses fesses, suite aux cinglées de martinet, ne relève pas l'allusion. Il s'habitue à la pénombre, il y a tout ce que l'on trouve en général dans un grenier, c'est à dire du bric-à-brac, puis il distingue, dans un coin un peu mieux éclairé par une lucarne juste au-dessus, un lit et, allongé dessus... son cousin curieusement habillé. Mais il ne distingue pas les détails! Gladys le pousse vers le lit avec le manche du martinet, qu'elle lui enfonce vicieusement entre les fesses.
    – «Voilà ton nouveau domaine vilaine Clodinette!»

    C'est la première fois qu'elle l'appelle ainsi. Il la regarde interrogateur:
    – «Tu comprendras plus tard!» ajoute-t-elle.

    Le lit est particulie,r c'est ce que l'on appelait un lit-cage, en métal, une fois ouvert il y avait à la tête et au pieds des barreaux et je découvre que les poignets de mon cousin sont attachés à ces barreaux. Il y a une épaisse couverture pliée sur la barre horizontale au pied du lit. 

    Il portait juste une espèce de blouse, comme un peignoir, boutonné dans le dos mais ouvert à partir des reins, qui dévoilait sa plantureuse paire de fesses encore rouges des récentes fessées. En s'approchant un peu plus prêt Sacha lui apparu en slip rose pâle transparent qui lui collait à la peau, et lui rentrait dans la raie des fesses, encerclées par un porte-jarretelles noir et rose retenant ses bas nylon noirs. En fait il portait des dessous féminins. Passé le bref moment d'étonnement Clodinet trouva finalement que cette lingerie lui allait  bien, et renforçait encore l’attractivité de son imposant postérieur. Ainsi mis en valeur on aurait presque dit des fesses de femme. Le tableau était relativement excitant, bien qu'il ne comprenait pas très bien le sens de cette mise en scène. Devant son regard interrogateur sa tante lui dit sur un ton un peu ironique:
    – «Alors Clodinet, tu ne le trouves pas mignon comme ça ton cousin ? Regarde moi ces belles fesses rouges. Elles sont déjà bien développées, mais elles paraissent encore plus volumineuses bien encadrées entre les jarretelles tendues sur les cuisses. C'est trop tentant, j'en ai la main qui me démange!» 

    Clodinet ne comprends toujours pas bien les raisons pour lesquelles tante Gladys les a fait monter là. Ni pourquoi son cousin est vêtu de lingerie féminine. Les fessées ne suffisant pas, pour l'humilier davantage peut-être, elle est capable de tout. Sauf qu'il se surprend à ne pas le trouver ridicule, au contraire. Toujours attaché par les poignets à la tête du lit Sacha ne dit rien mais lance des regard éploré vers son cousin en s'agitant un peu sur les couvertures. 

    – «Cesse de gigoter comme ça», tonne sa mère, «ça ne sert à rien!» Elle ironise encore. «A moins que tu veuilles ta fessée au martinet tout de suite.»

    Ce disant elle parcourt le lit du regard à la recherche de quelque chose. Sa volumineuse poitrine tremble déjà d'une colère montante.
    – «A propos de fessée, il est où ton martinet? … Qu'est ce que tu en as fait? Hein?»

    Sacha se tortille en indiquant sa hanche du menton.
    – «Il est là maman il a glissé sous moi.»
    – «Comment ça il a glissé sous toi. Je t'avais ordonné de le garder coincé entre tes fesses, pour continuer ta punition!»
    – «Oui maman, mais le manche est trop gros, ça fait mal après les fessées! Il est tombé tout seul je n'ai pas pu le retenir.»
    – «Mon pauvre chéri, tu aurais sans doute préféré que je te l'enfonce dans le derrière!»

    Elle se met à le gronder comme un petit garçon.
    – «Tu m'as encore désobéi Sacha... Tu sais ce que cela mérite!»
    – «La fessée maman, la fessée!...»

    Il se met à pleurer! Clodinet veut prendre sa défense:
    - «Mais ma tante il avait les mains attachées, il ne pouvait pas le ramasser et se le remettre en place!»

    Il reçoit aussitôt deux coups de martinet et:
    – «Tais-toi! Il n'avait qu'à serrer les fesses plus fort  et on va bien voir ce que tu feras quand tu seras mis au lit avec lui.»
    – «Mais ma tante c'est tout petit, c'est un lit d'une personne!»

    Nouveaux coups de martinet et:
    - «Vous serez bien serrés avec les fesses cuisantes ça vous tiendra chaud! Et puis ça ne vous dérangeait pas, hier, quand vous étiez l'un contre l'autre à vous faire une branlettes!»

    Clodinet ne comprend pas bien ce qu'elle leur prépare. Et elle se met à rire! Puis elle ordonne à son cousin de se retourner sur le ventre, ce qu'il fait avec difficulté car ses bras sont toujours attachés aux barreaux du lit. Il supplie, tout en creusant les reins pour arrondir ses fesses comme elle l'a dressé à le faire pour recevoir ses fessées:
    – «Non maman, pitié, pas la fessée au martinet! S'il te plaît pas le martinet. Pas le martinet. Je n'ai pas pu serrer les f...» 

    Il n'a pas le temps de terminer sa supplique, d'un geste rapide elle saisit l'élastique de son petit slip de dentelle, il se soulève pour faciliter le passage et elle le déculotte. Il hurle.
    – «Non maman non! Pitié, pas la fessée déculottée au martinet!! S'il te plaît maman chérie!!»

    Elle se moque éperdument de ses  supplications, concentrant toute son attention sur sa provocante paire de fesses tremblante d'appréhension.
    – «De toute manière ce n'est pas ce petit slip de nylon qui allait protéger grand chose de ton gros derrière!» s'exclame -t-elle en faisant joyeusement claquer l'élastique sur ses cuisses.

    C'est le signal de la fessée. Les coups de martinet s'abattent à toute volée sur ses fesses qui rebondissent en cadence sur le matelas! Et il se met à pleurer de plus belle!
    – «Puisque tu as besoin de te muscler le derrière mon chéri, rien de tel que de bonnes séances de fessées... Maman est là pour ça! La prochaine fois  tu garderas ton manche de martinet bien serré entre les fesses aussi longtemps que je l'exigerai.»

    Clodinet, encore une fois impressionné par la sévérité de sa tante, assiste inquiet au déroulement de la nouvelle correction de son cousin. Il ne se fait pas trop d'illusion sur la suite et prépare déjà ses fesses à en recevoir une du même calibre. Tantine ne sait pas ce que c'est qu'une petite fessée, quand elle fesse c'est toujours du lourd. Quand on aime claquer des derrières, on ne ménage pas son énergie.

    Encore quelques cinglées bien ajustées et elle met fin à la correction.
    – «Voila un bon petit intermède de martinet, qui devrait laisser un bon souvenir à tes fesses!» dit Gladys en contemplant d'un air satisfait, le postérieur reluisant de Sacha.

    Le contraste entre le rouge de la peau et le noir de ses jarretelles et des bas nylon est du meilleur effet. La tête enfoncée dans l'oreiller, il pleure tout ce qu'il lui reste de larmes de son corps. Gladys jette négligemment le martinet sur le lit et se tourne vers Clodinet qui ne sait plus du tout qu'elle attitude avoir. Il voit bien que tantine n'est pas vraiment calmée et au vu de la versatilité de son humeur, il s'attend à tout. Il n'a pas tort.
    – «Tu peux détacher ton cousin, ordonne-t-elle et ensuite tu te déshabilleras entièrement.»
    – «Comment ça tantine, vous voulez que je me déshabille... complètement?»
    – «Oui, je viens de te le dire, complètement! Tu ne comprends pas! Tu poseras tes affaires sur la chaise près du lit, et regarde en-dessous il y a un sac pour toi.» 

    Clodinet comprends de moins en moins où elle veut en venir, mais se garde bien de poser des questions supplémentaire. Avec elle, une fessée est vite arrivée. Il détache son cousin qui, vu l'état de ses fesses, s'assied péniblement sur le lit, et commence à se déshabiller sous l'oeil goguenard de Gladys.
    – «J'ai dit entièrement! Le slip aussi!», insiste t-elle.

    Clodinet est tout nu devant elle, rouge de confusion, les mains en coquille devant son zizi. A vingt deux ans on se sent vite ridicule dans ce genre de situation, surtout devant sa tante qui s'en amuse ouvertement. Il sent l'air frais sur ses fesses encore sensibles de sa dernière correction. Complètement perdu, le garçon jette un regard interrogateur vers son cousin assis sur le lit le peignoir ouvert, en porte jarretelles et bas nylon. La situation pourrait être cocasse sans la menace permanente d'une saute d'humeur de la terrible tantine.
    – «Et maintenant ma tante qu'est ce que je fais?»
    – «Surprise! Tu enfiles tout ce qu'il y a dans le sac!»

    Clodinet plonge la main dans le sac et en ressort, ébahi, un assortiment de lingerie féminine. Un peu le genre que porte son cousin, à la différence près qu'au lieu d'un porte jarretelles c'est une magnifique guêpière rouge et noir qu'il va devoir enfiler. Gladys  sourit  comme si de rien n'était.
    – «Il n'y a pas de raison que ton cousin soit le seul à porter des bas nylon... ça devrait t'aller aussi bien qu'à lui. Amusant non? Sacha, aide Clodinet à agrafer sa guêpière dans le dos!»
    – «Mais je ne sais pas faire ça maman!»

    Gladys  saisit le martinet qu'elle avait jeté dur le lit.
    – «Ah tu ne sais pas faire ça, c'est ce qu'on va voir!»
    – «Si maman, si , je vais le faire… je vais le faire! Pitié pas le martinet!!»

    Trop tard une nouvelle cinglée en travers des cuisses lui donne tout de suite l'impulsion nécessaire.

    Clodinet, devant la promptitude de Tantine à distribuer les coups de martinet, n'a aucune envie de discuter. Il a déjà enfilé un charmant slip de dentelle rouge et noir, et essaye vainement de rentrer dans la fichue guêpière qui coince un peu à la taille. A son grand étonnement il n'est pas indifférent à la texture du nylon, le soyeux des dentelles et se sent bien enveloppé entre la souplesse des baleines. Sacha, derrière lui, s'applique de ses petits doigts finalement habiles, à agrafer les attaches une à une. D'un geste réflexe très féminin, il lisse le tissu sur les hanches de son cousin, sous le regard faussement attendri de Gladys satisfaite de son idée de féminiser les garçons.
    – «Mais c'est que ça lui va bien à mon Clodinet! Hein Sacha, qu'est ce que tu en penses...  ça lui affine la taille et lui fait encore rebondir ses grosses fesses!!»

    Sacha lui aussi se prend au jeu, mais se méfie des réactions de sa mère. Ainsi paré de lingerie féminine son derrière et celui de son cousin déjà copieusement développés, sont dangereusement mis en valeur pour une main claqueuse aussi imprévisible que redoutable.

    – «Il faut qu'il enfile les bas maintenant.»

    Gladys suit attentivement l'habillage des deux garçons, alors que Sacha tout attentionné aide Clodinet à attacher ses jarretelles. Des talons aiguille rouge complètent la parure.
    – «Mettez vous côte à côte tout les deux … Voilà vous êtes mignons comme tout. Tournez vous que je vois vos postérieurs c'est surtout ça qui m'intéresses. Sacha aligne bien  la couture de tes bas... Et toi Clodinet... ta guêpière te fait une de ces paires de fesses!!!  penchez vous en avant ,creusez les reins... Splendide!!»

    Les deux garçons avaient fini par se prendre au jeu et commençaient a se pavaner dans la pièce, tortillant des hanches, en riant, claquant des hauts talons sur le sol.

    La voix autoritaire de Gladys les ramena très vite à la réalité.
    – «Bon, maintenant, que vous vous êtes bien amusés, courbez vous sur la barre aux pieds du lit, et déculottez vous. On ne va tout de même pas abîmer ces jolis petits slips! Les mains à plat sur le matelas, on tend bien les fesses!!»

    Elle s'empare à nouveau du martinet et s'approche d'eux en se plaçant légèrement sur le côté pour avoir les deux paires de fesses bien en ligne de mire.
    – «Vous avez commencé par une branlette, côte à côte, et bien, juste retour des choses vous allez finir par une dernière fessée, l'un à côté de l'autre!»

    Malgré la peur de la fessée, ce fut sans doute dû à l'excitation de se sentir dans des dessous féminins que les deux zizis ont  commencé à se durcir! Celui de Clodinet un peu plus rapidement lorsqu'il entendit sa tante lui annoncer qu'elle allait d'abord commencer  par ses fesses.
    – «Je ne sais pas si tu as remarqué, Clodinet, mais tu as une fessée de retard par rapport à ton cousin, dit-elle d'un ton presque enjoué. Il est donc de mon devoir de remettre vos fesses à égalité. Vous êtes tous les deux coupables de la même faute il est normal que qu'elles soient traitées de la même façon. Pas d'objection?»

    La question un peu ironique sonne comme une provocation à laquelle Clodinet ne peut répondre que par la reconnaissance de sa soumission. Sa voix à moitié étouffée dans le creux du matelas se fait à peine entendre.
    – «Non... non tantine … pas … pas d'ob... objection...»
    – «Pas d'objection à quoi?» insiste-t-elle avec vice, tout en se positionnant à la bonne distance du derrière qu'elle s'apprête à corriger une nouvelle fois.
    – «A... à.. la ...la fesséééée tantine!!» gémit Clodinet plié en deux sur la barre du lit.

    Sacha, dans la même position à côté de lui, fesses en l'air déculottées, attend son tour en tremblant. Tante Gladys , jubile devant les deux paires de fesses qu'elle tient a sa disposition. Plus particulièrement celles de son neveu.
    – «Allez Clodinet, tu cambres bien les reins, les fesses tendues au maximum pour bien profiter de ta fessée au martinet!»

    Elle ironise encore, sans scrupule, en insistant avec une pointe de vulgarité calculée.
    – «Il va bien falloir que ça vous rentre dans le slip, mes petits chéris, quitte à vous l'imprimer en rouge sur les fesses... Entre vous deux, c'est, liberté, égalité, fraternité sous les fessées de tantine!»

    Les premières cinglées de lanières retentissent sur les fesses de Clodinet sous les éclats de rires de la terrible tante Gladys, très fière de sa formule magique. La fessée est relativement brève, par rapport à leur durée habituelle mais suffisamment sévère pour atteindre l'objectif d'une remise à niveau, en couleur et en cuisson, avec le derrière de son cousin. Les deux jeunes gens n'ont plus qu'a tortiller des fesses en cadence sur la barre du lit, au rythme implacable de la double fessée au martinet annoncée et administrée en même temps et  sans pitié par tante Gladys. Elle prit un plaisir manifeste à conclure cette punition exemplaire par un spectaculaire embrasement des deux virils postérieurs qu'elle laissa entièrement cramoisis d'une jarretelle à l'autre. Ces monumentales séances de fessées, étaient selon elle, la manière naturelle de rendre hommage à des paires de fesses aussi bien développées et, déjà pour Clodinet, faisant preuve d'une si agréable  endurance.

    La correction terminée elle sort du grenier, avec un petit sourire satisfait, sans un regard pour ses victimes, indifférente à leur douleur. Le martinet aux lanières brûlantes toujours en main, elle les ignore royalement, les laissant , écroulés, pantelants, aux pieds du lit, les fesses écarlates et cuisantes, encore tressaillantes. Elle descend l'escalier, comblée , apaisée,  savourant intérieurement la sensation du devoir accompli et  le plaisir qu'elle a pris a administrer cette magistrale correction parfaitement méritée. 

    Ces séances de fessées chez sa tante, et la révélation d'une certaine fascination pour la lingerie féminine ont été, ainsi, profondément ancrés en Clodinet… Besoins qui devaient ressortir bien des années plus tard. Il deviendra progressivement Clodinette, soumis(e) à Mad, son épouse qui eu l'intelligence de comprendre  ses tendances masochistes en  acceptant de jouer le rôle de Maîtresse, pour son plus grand bonheur, et ce, dans un plaisir partagé.

    Chers lecteurs - trices – ces cinq chapitres  feront l'objet d'une suite, particulièrement  fessante, des aventures de Clodinet(te, sa Maîtresse, Tantine Gladys et autres truculents  personnages ...au cours de nouveaux  épisodes que vous ne manquerez pas de dévorer pour votre grand plaisir!

    « Le fil blouse de ma vie, épisode 23Pour la pisse ou pour autre chose »

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  • Commentaires

    1
    Peter Pan
    Jeudi 24 Novembre 2022 à 09:52

    Bonjour cher confrère, 

    Je félicite avant tout la qualité de votre récit , très réaliste, que l'on suit de bout en bout s'en prendre une pause, tant le rythme est soutenu. On accompagne les personnages, on frémit à leur place, on blêmit aux injonctions terribles de la tante...Le suspense est à son maximum. Pour un peu, on prendrait la défense de ces deux cousins face au réquisitoire implacable de la sévère parente Qu'est ce qu'elle est redoutable, cette tante Gladys !!! Elle n'a aucune indulgence pour les deux adolescents victimes malgré tout des soubresauts de leur nature profonde. Quelle punisse son fils, cela parait naturel, mais traiter son neveu de la même façon me semble... déplacé. Une sévère remontrance aurait suffi. D'autant que son caractère autoritaire semble fortement impressionner le jeune  Clodinet. Mais pourquoi une si grande sévérité ? Qui plus est, doublée souvent  d'un sens de l'ironie qui frise le sadisme. Elle semble s'amuser à instiller un climat de culpabilité permanente chez les deux garçons. Elle les domine complètement, au sens moral comme au sens figuré. D'ordinaire, la tante, soeur d'un des deux parents, fait preuve de tolérance voir de complicité avec son ou ses neveux. Elle est la bonne  confidente de leurs petits malheurs du quotidien, elle les réconforte, elle se montre généreuse à certaines occasions... Oh  quelque fois, comme une bonne Maman bienveillante,  elle met en garde, elle gronde s'il le faut, bien sûr,  mais bien rarement, elle lève la main... Ou bien aurait-elle souffert jadis d'une présence masculine oppressante, dont elle cherche à effacer le souvenir en en faisant  payer le prix aux (jeunes) hommes de son entourage ? Voilà qui mérite réflexion. Quoiqu'il en soit, la suite promise par mon confrère nous réserve d'autres surprises...

    Peter.

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    2
    ramina
    Jeudi 24 Novembre 2022 à 14:01

    Bonjour Peter, comment que tu vas bien ?

    ( on peut se tutoyer, maintenant qu'on s'appelle par nos prénoms )

    Quelle pertinent commentaire... Une œuvre à part entière ! Et bien écrite, ce qui ne gâche pas le plaisir de la lire. Merci pour la qualité de l'analyse...Il est vrai que la sévérité de la tante peut paraître étonnante. Mais, il n'échappe à personne que beaucoup de fesseuses ( et fesseurs sans doute) prennent un malin plaisir à administrer ces fessées. Elles sont avant tout punitives certes, mais aussi souvent à co-notation érotique accompagné d'une certaine jouissance de part et d'autre. Les érections intempestives des punis ne sont pas rares ... n'est -il pas ?

    Pour ce qui est de l'attitude de tante Gladys : '' Qu'elle punisse son fils, cela parait naturel, mais traiter son neveu de la même façon me semble... déplacé '' N'oublie pas, Peter, qu'initialement, elle ne voulait pas corriger son neveu, s'estimant illégitime à en prendre l'initiative puisqu'il n'était pas son fils . C'est Clodinet lui même qui a préféré la fessée plutôt que ses parents soient mis au courant de son comportement . Bien mal lui en a pris , il ne se doutait pas de ce qui attendait ses fesses :!!! hi, hi .

    Maintenant si ce récit est largement inspiré d'une expérience vécue, il n'en est pas moins, et pour autant, enjolivé  par l'auteur, de quelques fessantes exubérances. ( et encore !) Ceci bien entendu, avec l'assentiment de Clodinet à l'origine du projet d'écriture de ses souvenirs. La suite de cette histoire relèvera par contre de pure fiction, qui pourrait cependant devenir réalité... Allez savoir ! Mystère et boule de gomme  . Ramina

     

      • Peter Pan
        Jeudi 24 Novembre 2022 à 14:46

        Bonjour Ramina,

         Avant tout je te remercie de prendre de mes nouvelles qui sont fort satisfaisantes pour le moment. Je croise les doigts pour l'avenir. Pour en revenir au sujet qui nous occupe, j'ai essayé de me mettre, modestement, j'insiste,  un peu à la place des deux personnes intéressées et partant, j'ai tenté d'imaginer leur ressenti. Mais il serait bien difficile, voire prétentieux, "d'être plus royaliste que le Roi " comme l'on dit parfois. La frontière est ténue entre le plaisir ressenti et la volonté morale, C'est un peu le défi du funambule sur son filin qui doit affronter le vide pour atteindre le plateau opposé, sous le regard inquiet d'une foule anonyme qui retient son souffle. C'est au fond un dilemme complexe. Et la proximité parentale vient compliquer un peu plus l'affaire. L'âme humaine a ses secrets que la logique ignore. Pour sa part, le dilemme du jeune Clodinet est terriblement difficile à trancher. "De deux maux il faut choisir le moindre" conseille la sagesse populaire.   Peter.

    3
    clodinette
    Jeudi 24 Novembre 2022 à 17:19

     

    Je comprends les paroles de modération de Peter qui considère un peu excessive , voire disproportionnée, la sévérité de la Tante, vis à vis de son neveu Clodinet ; je le remercie d'ailleurs, pour cet élan de commisération qu'il a pour  mes pauvres fesses .
     Je confirme cependant ce qu'a écrit Ramina : dans la réalite de l'histoire j'ai bien choisi d'être puni par la tante plutôt qu'elle dise à mon père ce que j'avais fait avec mes mains et mon cousin en regardant le journal érotique.
      Concernant l'extrême sévérité de la Tante ..tout le monde sait ici que, sous la plume acérée et débridée de Ramina, Dame Gladys à la réputation d'être, en toutes circonstances, une abominable fesseuse extrême ....et qu'il est tout à fait normal qu'elle me fasse profiter de ses grandes capacités de "fessage."... j'irais presque jusqu'à regretter que tout cela soit virtuel !  Quitte à en aprehender les effets en même temps ..c'est tout le paradoxe de cette perversion " rechercher le plaisir dans la souffrance tout en la craignant" .Car, comme me dit ma Maîtresse lorsque que je gémis un peu trop fort sous les coups de martinet  d'une correction extrême qu'elle m'inflige ...à l'insu de mon plein gré :" Tu es masochiste..tu aimes  ça...! Alors tais toi ! "
     
    Une petite précision concernant la suite annoncée par l'auteur de ce récit , elle ne sera pas complètement imaginaire , il y aura quand même un petit fond de réalité....
    la transformatin en clodinette est un vrai bonheur
     
    Et merci à Ma Chère Ramina pour cette excellente reconstitution modernisée et décuplée de mon aventure de jeunesse !

    4
    clodinette
    Jeudi 24 Novembre 2022 à 17:21

    desolée pour le format de mon message ...je sais pas pourquoi le texte s'est mis à cette dimension  Tante Gladys va encore sevir ! 

    5
    clodinette
    Jeudi 24 Novembre 2022 à 17:24

     

    Je comprends les paroles de modération de Peter qui considère un peu excessive , voire disproportionnée, la sévérité de la Tante, vis à vis de son neveu Clodinet ; je le remercie d'ailleurs, pour cet élan de commisération qu'il a pour  mes pauvres fesses .
     Je confirme cependant ce qu'a écrit Ramina : dans la réalite de l'histoire j'ai bien choisi d'être puni par la tante plutôt qu'elle dise à mon père ce que j'avais fait avec mes mains et mon cousin en regardant le journal érotique.
      Concernant l'extrême sévérité de la Tante ..tout le monde sait ici que, sous la plume acérée et débridée de Ramina, Dame Gladys à la réputation d'être, en toutes circonstances, une abominable fesseuse extrême ....et qu'il est tout à fait normal qu'elle me fasse profiter de ses grandes capacités de "fessage."... j'irais presque jusqu'à regretter que tout cela soit virtuel !  Quitte à en aprehender les effets en même temps ..c'est tout le paradoxe de cette perversion " rechercher le plaisir dans la souffrance tout en la craignant" .Car, comme me dit ma Maîtresse lorsque que je gémis un peu trop fort sous les coups de martinet  d'une correction extrême qu'elle m'inflige ...à l'insu de mon plein gré :" Tu es masochiste..tu aimes  ça...! Alors tais toi ! "
     La transformation en Clodinette est un vrai bonheur ! 
    Une petite précision concernant la suite annoncée par l'auteur de ce récit , elle ne sera pas complètement imaginaire , il y aura quand même un petit fond de réalité....
     
    Et merci à Ma Chère Ramina pour cette excellente reconstitution modernisée et décuplée de mon aventure de jeunesse !
    ( c'est mieux comme ça Tante Gladys ? )

     

    6
    clodinette
    Jeudi 24 Novembre 2022 à 17:33

    le format et la rutilance de mes fesses sur la photo est le résultat de l'action de Tante Gladys magnifiée par l'incomparable artiste Ramina

      • Peter Pan
        Jeudi 24 Novembre 2022 à 18:02

        Bonsoir Clodinet-te

        "Qui aime bien châtie bien". Qui n'a jamais entendu au moins une fois cette expression dans sa vie. La main qui cajole est parfois aussi la main qui punit. Une maman qui punit sans excès n'est pas forcément une mauvaise maman. Elle fait tout simplement son devoir de Maman : bienveillant : sévère quant il le faut et tendre quant il le faut aussi. Sa seule satisfaction réside dans notre comportement qu'elle rêve conforme à ses souhaits intérieurs : obéissant, responsable, sincère. Qualités qu'elle s'ingénie à nous inculquer au quotidien. "Paris ne s'est pas fait en un jour " disait ma maman.   

        Peter

    7
    ramina
    Jeudi 24 Novembre 2022 à 18:20

    Bonsoir incorrigibles indisciplinés !

    Preuve en est qu'une paire de fesses bien corrigée,  notamment par mes soins, a tendance à gonfler et donc prendre encore de beaux volumes sous mes claques.  Clodinette peut me remercier et être fière du cuisant rebondissement de ses fesses, après son long séjour sur mes cuisses !  Avis aux amateurs !   Tante Gladys

      • Peter Pan
        Jeudi 24 Novembre 2022 à 19:56

        Bonsoir Tataaaa-Gla-dyyyyyys ! 

        (Quel vilain fayot, je fais. Si ma mère m'entendait...).                                                                                                              "Oui ! Oui ! Oui ! C'est moi Tata Gladys ! Celle qui fesse avec délice !  Horreur ! Malheur ! Oui ! Oui ! Oui !  C'est moi, Paaatricia ! Avec moi, pas de blabla ! Horreur ! Malheur ! ...".  Mais je... je la croyais purement virtuelle ! Damned ! Elle existerait donc ?! Voilà qui invite à la prudence !  J'me... j'me sens pas bien... tout... tout d'un coup !  Vite ! un Aspro ! 

        Peter.                                                                           

    8
    clodinette
    Vendredi 25 Novembre 2022 à 09:24
    Allons allons messieurs, bande de galapiats , du calme.. assez de virtuel, et toi clodinet, ma clodinette je vais t'apprendre à fantasmer sur les grosses cuisses et les gros seins  de cette Gladys imaginaire.... Viens ici .....à genoux sur la chaise à fessées présentent moi tes fesses que je les rougissent pour de vrai !!!
    Mad
      • Peter Pan
        Vendredi 25 Novembre 2022 à 11:12

        Mes hommages, dame Mad', 

        J'implooore votre clémence. Il est bien difficile pour nous autres mâââles de ne pas être séduits par la plastique envoutante de cette merveilleuse créature qu'est Tante Gladys et son sourire carnassier ! Elle met en émoi tous nos sens !! "Elle parvient à faire fléchir notre égo  triomphateur !! Etre fessé de sa main est un vrai bonheur ! " (oui, je fayote un peu  mais bon... il faut savoir se placer dans les bonnes grâces de cette noble dame... Malinx, le lynx !)                                          Peter

    9
    clodinette
    Vendredi 25 Novembre 2022 à 09:26

    https://imagizer.imageshack.com/img922/3936/ikIUjO.png

    10
    clodinette
    Vendredi 25 Novembre 2022 à 09:27
    11
    ramina
    Vendredi 25 Novembre 2022 à 13:02

    Messieurs, futurs candidats aux fessées de Tantine .

    ; Tout comme il fut un temps, à César, comme dit l'histoire, Il fallait rendre à Mad, ce qui appartient à Mad ... En regard des nombreuses fessées que je me plais à administrer régulièrement, et de la quantité de paires de fesses que je vois défiler sur mes genoux  je pouvais confondre . Il n'est pas certain que la belle rougeur des fesses de Clodinet sur la photo dans la cuisine le doive à ma main claqueuse ... mais plutôt  à l'initative de Mad, son épouse Maîtresse. Elle aussi manie très bien les instruments de discipline. Comme le témoigne cette magnifique position à la chaise à fessée,  la réalité des fessées domestiques dépasse la fiction des punitions virtuelles. Même si je ne manquerai pas de claquer le derrière de notre turbulent Clodinet, dès que l'occasion se présentera.

    En fesseuse solidaire de mes consoeurs je me devais de faire ce rectificatif .    Tante Gladys.

     

      • Peter Pan
        Vendredi 25 Novembre 2022 à 14:26

        Hello... 

        "... futurs candidats aux fessées de Tantine !" Dites-vous, très chère tante (je flatte) ? Ach ! ich bin effondred ! Non, pas moi, ma bonne tante Gladys !! Pas moi ! Pas moi ! J'ai rien dit ! J'ai rien fait ! C'est... euh... c'est... Ramina ! C'est lui qui m'a obligé  à écrire le commentaire d'avant ! Moi, j'voulais pas ! C'est vrai, ma bonne Tantine ! Tenez, je... j'vous embrasse les pieds ! Smack ! smack ! smack ! smack ! Non pas la fessée ! Vous... vous frappez trop fort ! Et avec le gros martinet !!! Quelle raclée ! Après je fais le kangourou !!! Houlahoulahoula !!! ". 

        Peter.



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