• Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 12

    Une histoire originale de Ramina, sur une idée de Clodinet(te)


    Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 12: Les fesses de Sacha et Clodinet à l'épreuve du feu

     

    Tante Gladys  avait entrepris de claquer, de toutes ses forces, le plantureux fessier de son fils qui, sous la menace d'une fessée supplémentaire, s’appliquait à le présenter parfaitement tendu, à sa main. Tout au plaisir de retrouver ce postérieur qu'elle a tant fessé et re-fessé jusqu'à son mariage avec Julia, elle le corrige avec énergie et enthousiasme. La main bien ferme, enveloppante, elle distribue les claques retentissantes d'une fesse à l'autre. Fesse droite, fesse gauche, fesse droite, fesse gauche!
    – «Mais c'est qu'il a encore sacrément pris des fesses, l'animal», s'exclame-t-elle, en savourant la ferme élasticité. «Elles en mettaient déjà plein la main quand il était plus jeune, mais, maintenant , il faut au moins deux ou trois claques par fesses pour les corriger efficacement! Pour obtenir un derrière aussi souple et claquant, j'imagine que Julia doit s'en occuper souvent?»

    Sacha, malgré sa honte, se sent obligé de répondre devant et Mad et son épouse. Confortablement installées  au fond du canapé, elles savourent le déroulement de la fessée d'un air détaché. Sacha  balbutie, la voix mal assurée:
    – «Oh oui ma... maaaman … presque tou... toutes les .. semaines... maman!!»

    Julia le reprend aussitôt sur un ton moqueur;
    – «Oh le vilain menteur! Il devrait dire les fessées c'est presque tous les jours... parfois même plusieurs fois par jour, quand il a été très désobéissant... Ce n'est pas bien de mentir Sacha, ça mérite une sévère déculottée tout à l'heure quand je vais t'avoir sur mes genoux.»
    – «Je me disais aussi», reprend Gladys, la main en l'air au dessus du derrière frémissant, prête à retomber. «Pour avoir une paire de fesses aussi ferme, il faut un régime fessées assez conséquent.»
    – «Moi je dirais fessées à la main et au martinet», s'exclame Mad. «N'est ce pas mon Clodinet, bien placé pour le savoir!»
    – «Et aussi la cravache... la canne... le battoir en cuir!» ajoute l'intéressé comme pour se targuer de supporter tout ça sans problème.

    Mad note au passage l'inattendu excès de vantardise de son soumis. 

    La fessée a pris un bon rythme de croisière et claque maintenant à plein régime. Gladys, aux anges, tape de plus en plus fort, s'appliquant à faire rebondir les fesses de Sacha de plus en plus haut sur ses cuisses.
    – «Tu sens ma main comme elle se régale?» roucoule-t-elle. «Elle s'ennuyait de tes fesses tu sais!  Ça lui manquait le bon temps des séances de fessées déculottées à la maison. Ah, maman savait comment s'y prendre pour te réchauffer les fesses pendant les longues soirées d'hiver!!!»
    – «Oooh maman, ouiii... ta main... tu tape fort, ça fait mal», se met à pleurnicher Sacha.
    – «Voyons chéri, tu ne vas tout de même pas te mettre déjà à geindre alors que ta fessée vient à peine de commencer. Tu n'est plus un gamin, tu as quarante cinq ans maintenant, et tu n'en n'es pas à ta première fessée... loin de là!! Tes fesses sont tout de même habituées à en encaisser des sévères. Autant que je sache, elles sont en bonne main avec Julia qui s'en occupe régulièrement... Merci Julia de continuer l'éducation de mon grand garçon... à son âge!»

    La sévère épouse opine de la tête avec un sourire d'approbation. Mad à côté d'elle dans le canapé observe la scène d'un air mi-admiratif, mi-dubitatif. De toute évidence tantine n'a pas perdu la main. Ses fessées sont toujours aussi impressionnantes. A la voir fesser avec autant de savoir faire et d'énergie, on peut comprendre l'influence qu'elle a pu avoir et pourrait avoir encore sur les deux garçons devenus adultes. Clodinet, au coin, mais dos au mur pour assister à la correction de son cousin, commence à s'inquiéter de l'avenir immédiat de ses fesses. Il ne peut s'empêcher de les serrer et desserrer discrètement pour ne rien laisser paraître de son appréhension, malgré une certaine excitation à entendre claquer le derrière de son cousin, plié en deux ,déculotté, sur les cuisses de sa tante Gladys.

    Fesse droite, fesse gauche, fesse droite fesse gauche! Le claquement sec et régulier du derrière de Sacha sévèrement corrigé emplit tout l'espace sonore du salon, et résonne en écho contre les mur.  La fessée doit se faire entendre jusque dehors, par la fenêtre volontairement ouverte. Il est important de faire savoir qu'ici on corrige les messieurs indisciplinés.

    Sacha, en appui sur les mains, la tête dodelinant eu ras du sol, les jambes en l'air repliées pour présenter un derrière bombé au maximum, ne cherchait pas à donner le change. Toute honte bue, de se faire fesser à quarante ans sur les genoux de sa mère devant son épouse, son cousin et sa femme, il savait inutile de se retenir de gémir ni de pleurer. Implorer et demander un pardon ne servait a rien non plus. Que ce soit soit sa mère ou son épouse, aussi intransigeantes l'une que l'autre, les fessées allaient toujours inexorablement à leur terme aussi longues et sévères qu'annoncées.

    Fesse droite, fesse gauche! fesse droite, fesses gauche! La fessée continue. Tantine accélère progressivement le rythme, ciblant le sommet des fesses, la partie la plus charnue du derrière. Le résultat ne se fait pas attendre. Elle n'est pas vraiment surprise de sentir arriver entre ses cuisses gainées de nylon, le début d'une prévisible érection.
    – «Rooooh, mais dis moi Sacha on dirait que la fessée te fait toujours autant d'effet. Ça t'excite hein petit vicieux, de te faire chauffer les fesses en tortillant du derrière sur les cuisses, de maman. Et tu aimes ça, sentir ma main claquer sur tes grosses fesses, ça te fait bander on dirait! Mais tu sais ce qui t'attend si tu n'arrives pas à te retenir, et tu te laisses aller sur mes jarretelles et mes bas nylon! Une belle deuxième fessée pour calmer tes ardeurs!»
    – «Ah mais ça lui arrive encore très souvent quand je le corrige!» s'exclame Julia qui n'a pas l'intention de lui épargner cette humiliation supplémentaire. «Et vous en savez quelque chose, c'est sur vos genoux que c'est arrivé pour la première fois, avec Clodinet. Il jouit assez facilement sous les fessées quand ça commence à lui chauffer jusqu'au fond de la raie», elle a un petit rire malicieux. «C'est fou comme il est sensible du trou de balle!»
    – «Et bien, il est loin d'être le seul!» dit Gladys en se régalant à pleine main sur les fesses de l'intéressé.

    Imperturbable Julia continue le plus naturellement du monde:
    – «... Surtout quand je le fesse avec son manche de martinet ou un gros god enfoncé dans le derrière. Ça marche à tous les coups, c'est radical. Il a une trique d'enfer à chaque fois.» Elle prend un air sévère. «Et s'il n'arrive pas à se retenir, je lui flanque une fessée supplémentaire pour avoir souillé mes bas nylon. Pour ça ...on s'amuse bien, hein mon Sacha!»

    Tantine échange un sourire complice plein de sous entendu avec Mad. Clodinet sait ce que c'est d'être mis en pénitence avec le manche de son martinet planté dans le derrière, après une fessée.

    Sacha en gémit de honte et d'humiliation. Du coup, sous l'effet des puissantes claquées que sa mère continue à lui allonger à toutes volées sur les fesses, son érection faiblit, et son sexe se rétracte progressivement. Cette fois ci, Il ne jouira pas sous la fessée.

    A la longue, il commençait à craquer. Des larmes coulaient de ses yeux le long de ses joues rougies. Il était clair pour lui que maintenant la fessée faisait son plein effet. Sa belle paire de fesses rebondies étaient maintenant cramoisies et se tortillait en cadence sur les genoux de sa mère qui imprimait à la fessée un rythme soutenu et régulier. Le claquement sec et retentissant des fesses férocement claquées l'une après l'autre emplissait avec bonheur tout l'espace sonore de la pièce. L'éclatante rougeur du volumineux derrière et la chaleur intense qui s'en dégageait du plus profond de la raie, rendait fidèlement compte de la magnifique force de frappe de tante Gladys, qui rendait ses fessées si cuisantes, si efficaces et redoutées. 

    Mad, confortablement enfoncée dans les coussin du canapé à côté de Julia, suivait la scène avec intérêt, un petit sourire aux lèvres. Elle se tourne vers Clodinet toujours au coin dos au mur observant  la correction de son cousin.
    – «Regarde bien mon ami, et n'en perds pas un miette. Tu vois ce qui t'attend! Toi qui rêve encore des fessées de ta tante, et bien tu vas être servi». Son ton se fait ironique. «Manifestement, elle n'a pas perdu la main ta chère tantine...! Tu peux préparer tes fesses parce qu'elle a l'air en pleine forme!»

    Clodinet, par bravade, fait semblant de ne pas être impressionné  par la magistrale fessée qui se déroule devant ses yeux. Il prend un faux air détaché.
    – «Oui maîtresse , mais ce n'est pas la première fessée de ce genre que je vais recevoir». Il se fait presque flatteur. «Vous me punissez assez souvent pour savoir que mes fesses sont habituées à s'en prendre des sévères, et pas qu'à la main!!»

    Mad connaît son soumis. Elle n'est pas dupe de sa petite comédie. Elle lui lance un regard navré avec un sourire en coin. 
    – «Voyez-vous ça , monsieur nous fait la scène du blasé... genre, même pas peur! On va voir si tu fais autant le malin quand tu vas prendre la place de ton cousin sur les genoux de ta tantine adorée!»

    Julia  a suivi la conversation.
    – «D'ailleurs, je crois que Gladys en a fini avec lui. Du moins pour cette première fessée. La séance ne fait que commencer.»
    – «Tout à fait», dit Gladys. Elle a entendu la conversation, malgré le bruit assourdissant des claques qu'elle continue à distribuer sur le derrière, maintenant écarlate, de son puni qui se tortille de douleur sur ses genoux... «Encore une dizaine d'aller et retours et vous allez pouvoir le prendre en main pour la suite pendant que je m'occupe des fesses  mon neveu. Je sens qu'il est impatient de venir me les présenter!»
    – «Vous avez raison, il ne demande que ça!» répond Mad en riant .

    D'une dernière rageuse claquée, Gladys met un terme provisoire à la fessée de Sacha. Sa main posée sur son fessier bouillant elle interpelle son épouse.
    – «Julia, vous prenez le relais? Je vais faire un café pour ceux qui en veulent, et me reposer le bras et la main... Vous continuez à le fesser pendant ce temps-là!»

    C'est Mad qui prend l'initiative de répondre. 
    – «Excellente idée chère tantine, quand vous aurez bu votre café, il sera temps d'allonger votre neveu sur vos genoux et commencer à lui flanquer une de ces cuisantes fessées, que vous seule savez si bien administrer. Je m'occuperai des fesses de Sacha pendant que Julia flanquera sa deuxième fessée à mon Clodinet. Je pense que tout le monde est d'accord.»

     Gladys reprend  la direction des opérations.
    – «Pour l'efficacité de la séance je pense qu'il est bon d'enchaîner les fessées sans trop de transition, pour disposer d'une paire de fesses en pleine cuisson, toujours souples et  bien claquantes sous la main. Je trouve très excitant de déculotter un beau fessier reluisant, encore rouge et cuisante d'une récente fessée pour le plaisir de lui en claquer une nouvelle encore plus sévère. C'est que du bonheur! Allez, Sacha, tes fesses, tout de suite sur les genoux de Julia... et toi Clodinet, prépare les tiennes, tu viendras me les présenter quand je te le dirai! Mad vous pourrez ensuite lui mettre sa deuxième fessée après que je lui aurai bien chauffé le derrière. Ça vous va?»

    Mad acquiesce d'un signe de tête.
    – «Ça me convient tout à fait!»

    Sacha les fesses écarlates et cuisantes, solidement reculottées, s'est relevé en pleurant des cuisses de sa mère, pour aller chercher sa nouvelle fessée sur celles de son épouse. Debout devant elle, le visage défait, dégoulinant de larmes et de morve mêlées il se tient les fesses à pleines mains en sautant d'un pied sur l'autre, comme un gamin suppliant avant de se faire corriger.
    – «Oooh, Julia s'il te plaît  pas encore la fessée... Je suis déjà puni. Gladys tape tellement fort, j'ai les fesses en feu, je les sens, elles sont toutes rouges, çà cuit, ça cuit!»

    Imperturbable, Julia le regarde avec un sourire goguenard et décroise lentement les jambes en faisant crisser ses bas nylon sur ses cuisses.
    – «Voyons Sacha, bien sûr que si la fessée! Tu as déjà oublié qu'une séance de fessées c'est fessées sur fessées toute la journée… Pour le moment tu n'en as pris qu'une seule, ici, une sévère bien sûr, celle de ce matin ne compte pas évidemment… Clodinet, lui, n'a même pas commencé.» Elle retrousse sa courte jupe jusqu'en haut de ses jarretelles, resserrz ses fortes cuisses l'une contre l'autre et lui indique, d'un doigt autoritaire, qu'il doit venir y mettre ses fesses en position. «Allez, la fessée! tu la mérites mon ami et ça ne fera guère que la deuxième. Tu peux préparer tes grosses fesses à en recevoir bien d'autres d'ici la fin de la journée.»

    C'est le tour de Clodinet. Faisant comme s'il n'était pas impressionné, il s’installe parfaitement sur les genoux de sa tante, son plantureux fessier encore un peu rouge de sa dernière fessée à la maison, bien déployé sous ses yeux , bombé au maximum... Ses cuisses légèrement écartées exposent sans pudeur son intimité. La tête redressée, il regarde maîtresse et Julia à tour de rôle, d'un regard provocant qui dément l’air éploré de son visage! Mad connaît bien son soumis. Elle n'est pas dupe de son petit numéro de ''même  pas peur des fessées de tantine''.

    Celle-ci l’ajuste bien dans la position qui lui convient, le  derrière complètement à sa merci . Tout en remettant son opulente poitrine en place, à moitié sortie de son décolleté, car bien secouée par ses mouvement de bras pendant la fessée de Sacha, elle demande sur un ton enjoué, en lui tapotant affectueusement le derrière. Comme pour en apprécier le poids et la souplesse.
    – «Alors, mon Clodinet, heureux de te retrouver, vingt ans après, sur les cuisses de tantine chérie, pour une bonne séance de fessées... comme celles que je te claquais aux fesses avec ton cousin, il y a vingt ans?» Elle rit d'un rire bien sonore. «Ah les fesses vous chauffaient dur dans les slips quand je vous reculottais après une cuisante tournée de fessées! Ça ne te rappelle rien, quand tu avais jouis sur mes bas nylon et mes jarretelles? Ça t'avais valu une sacrée belle déculottée au martinet. Ce qui ne t'avait pas empêché de recommencer à la fessée suivante!»
    – «Bien sûr qu'il s'en souvient», répond Mad à sa place. «l m'en parle assez souvent, ça l'a marqué et pas que sur les fesses!»
    – «Oh pour ça oui! J'en fais parfois de drôles de rêves, avec vous tantine», dit Clodinet. Sa voix un peu caverneuse remonte d'entre ses bras tendus, ses mains posées en appui sur le sol pour se maintenir en position, en attente de sa fessée.

    Tantine pourrait en être un peu contrite ou même d'en faire semblant. Au contraire, fidèle à elle même, elle s'en félicite avec une arrogante impudence.
    – «Et bien mon cher neveu, tu m'en vois ravie. Heureuse de savoir que tu as gardé si longtemps le cuisant souvenir de ma main sur tes fesses. Il faut dire que je te les claquais souvent et que tu le méritais, autant que ton cousin.  Mais qu’est ce que tu as fait pour mériter encore aujourd'hui, de bonnes fessée déculottées?»

    Clodinet avoue volontiers, difficile de raconter n'importe quoi, surtout devant  maîtresse.
    – «Oh tantine, vous savez, je n'obéis pas toujours, je mens, je fais des cachoteries... je brave les interdis de maîtresses, je...»
    Mad l'interrompt agacée.
    – «C'est bon Clodinet, tu n'es pas obligé de tout déballer comme ça.  Avec quelques bonnes fessées, cela va t’ôter l’envie de recommencer! On est là pour ça! Allez y Gladys, mettez lui en une sévère comme vous savez le faire! Depuis le temps qu'il en réclame…»
    – «Avec plaisir, ma chère, comme vous le savez je ne demande que ça!»

    Clodinet, avait décidé de faire le fanfaron. Il se mit immédiatement à jouer la comédie, avant même de recevoir la première claque. Alors que Gladys avait encore la main levée au dessus de ses fesses, il s’était mis à gémir comme s'il avait peur ou, même, déjà mal.
    – «Oula, la, pitié ma tante… pas la fessée! Aïe, aïe, aïe! Pas la fessée ça fait trop mal quand vous tapez fort!!»

    C'était évidemment un peu court pour impressionner tantine  que les pleurnicheries et autres supplications incitaient plutôt à la sévérité.
    – «Arrête de faire ton cinéma Clodinet, tu sais très bien que ça ne marche pas avec moi!! Je viens de me faire la main sur les fesses de ton cousine et j'ai bien l'intention d'en faire profiter les tiennes!»

    Agacée par son comportement , elle crochète les élastiques de son slip entre le pouce et l'index et les lui rentre dans la raie des fesses, préférant le tirer pour compresser son sexe à l’avant, plutôt que le déculotter complètement. L’inconfort n’en est que plus grand pendant la fessée et ça évite le triste spectacle de voir le reste ballotter entre les cuisses au rythme des claques. 

    Clodinet, surpris, en a d'abord le souffle un peu coupé, mais finalement, il ne trouve pas si désagréable de se sentir bien maintenu, même si ça serre un peu. En tous cas, pas autant que les cages de chasteté que maîtresse lui fait parfois porter .  Il a à peine repris sa respiration que Gladys démarre sa correction. Pas de fessée d'échauffement progressif, pas de mise en condition du derrière, elle fesse aussitôt, à pleine main, avec une énergie qu'il reconnaît immédiatement comme caractéristique de sa redoutable manière de fesser. Elle jubile la tantine fesseuse, tout au plaisir de faire tressauter sur ses cuisses l'arrogant postérieur qu'elle a déjà tant corrigé il y a longtemps. 
    – «Aaaah quelles bonnes retrouvailles! Des messieurs garnements comme ça, il faut leur donner tout le temps des bonnes fessées, bien fortes… qu’ils ne puissent plus s’asseoir après... fouetter leur grosses fesses avec des bons martinets! Et plus ils ont de grosses fesses, plus il faut les claquer fort et longtemps! Et il en a, une belle paire de grosses fesses mon cher neveu... n'est ce pas Clodinet? Et elle va te la claquer bien fort ta fessée, tantine!!»

    Mad, évidemment au spectacle, prend un air pensif en entendant les propos pour le moins exubérants de la tante Gladys. Emportée par son enthousiasme elle se laisse complètement aller au plaisir de la fessée au point d'en déformer sa vision du postérieur de Clodinet.  Même s'il commence déjà à gonfler un peu sous les claques, et qu'il est d'un format respectable, il est exagéré, presque désobligeant, de vouloir le faire entrer dans la catégorie de ce qu'on peut appeler des grosses fesses. Mais elle est comme ça tantine, toujours excessive, sans plus de mesure que dans sa manière d'administrer les fessées.

    Comme si la honte d'exposer ses fesses rebondissantes à ses cuisantes claquées ne suffisait pas, elle le sermonne tout en le fessant pour apporter un surcroît d'humiliation:
    – «Alors comme ça on est toujours aussi désobéissant… à ton âge, tu n'as pas honte de te comporter comme un gamin! Ce sont des fessées qu'il te faut, comme à ton cousin, tu vas être gâté, la distribution c'est tout l'après midi.»
    – «Justement! gémit Clodinet, grimaçant et serrant les dents.» Il commence tout de même à sentir le feu lui monter aux fesses. «Vous n'êtes pas obligée de taper si fort tout de suite.»

    Gladys, s'en moque comme de son premier porte-jarretelles. Elle enchaîne les claques sonores, droite, gauche, méthodiquement, chacune arrachant un gémissement, plutôt satisfaisant de son point de vue. Fesser de nouveau son neveu, devenu adulte, alors qu’il est bien calé sur ses cuisses, le ventre battant ses jarretelles au rythme des claquées, la chaleur de ces fesses qui montait dans sa main, ces vibrations, lui procuraient une excitante sensation  de toute puissance.

    Elle passe alors un palier dans la force de frappe, superposant plusieurs claques à chaque fois pour intensifier leur effet, tout en s’amusant à varier le rythme, accélérant, ralentissant, faisant des petites pauses avant de repartir de plus belle. Tout était fait pour rendre la fessée aussi insupportable que possible et cela semblait porter ses fruits. Clodinet, le derrière en l’air, le sexe compressé par son slip tiré dans la raie, sentait la cuisson de ses fesses monter à toute vitesse.

    Imperturbable, tantine enchaînait les aller et retours, s’amusant comme une petite folle à voir apparaître sur ses fesses la marque de sa main qui se fondait rapidement dans le rouge déjà présent. Et elle recommençait, inlassablement, le faisant frétiller du derrière  tout en l'obligeant à le garder bien exposé. Comme le lui avait dit Mad  il commençait à moins faire le malin et a ne plus pouvoir retenir ses plaintes.
    – « Aïeee ! Ouiiille, mes fesses! çà cuit tantine, ça cuit! Oh la la, la fessée; ça chauffe dur!» 

    Loin de s'en émouvoir, Gladys s'en réjouit, au contraire, en contemplant le reflet de son  postérieur en train de rougir dans la glace du salon.
    – «Et bien j'en suis ravie figure-toi, ça veut dire que tu la sens bien ta fessée!»

    Mad, toujours en observatrice, n'est pas mécontente du déroulement de la correction de son Clodinet. Elle n'a pas perdu de vue l'idée de lui faire prendre conscience que la froide détermination de sa tante à lui claquer les fesses  n'a rien à voir avec la sensuelle complicité de leur séances de fessées à la maison. Pour rendre la démonstration plus évidente, elle n'hésite pas à exhorter l'implacable fesseuse.
    – «Allez Gladys, encore! encore! plus fort la fessée sur ses grosses fesses déculottées. Soyez sévère avec lui. Il le mérite! Claquez le  plus fort et n’arrêtez pas... Il faut bien le corriger que cela lui serve de leçon!»
    – «Ne vous faites pas de soucis Mad, je vous garantis qu'il va se souvenir de la dernière fessée de tantine. Ça va lui rappeler toutes celles qu'il a reçues, un peu comme une compilation!»

    Elle rit tout en continuant à lui claquer le derrière.

     

    ( A suivre ) 

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  • Commentaires

    1
    PeterPan
    Samedi 14 Janvier 2023 à 19:39

    Bonsoir Ramina, 

    Wahou ! "c'est la danse des garnements ! Qui reçoivent tout le temps / sur leur popotin  arrogant / le gros panpan !" J'en transpire presque ! Quelle santé, la redoutable Tante Gladys !!! " Ma parole, elle a mangé du Topset !"(bon souvenir ! Hi hi hi hi ! ). A leur place, filiforme comme je suis , je m'écroule au bout de... voyons.... vingt claques ! (rires). Elles doivent être abonnées au Whapmag ! J'imagine bien le titre "Housewives : keep your husbands obedients ! " : the secret for a perfect marriage ": spankings at home ! " (traduzzione : femmes au foyer /ménagères: gardez vos maris obéissants ! : le secret d'un mariage parfait: les fessées  à la maison ! ").Patricia, à côté, c'est du "biscottes - salade " ! Et pourtant, c'est pas du 100 % Taillefine, la belle Patounette , à sa maman chérie... "Elle tape sur l'popotin / elle est numéro un / Sur celui d'son frangin/ qui  s'appelle Robin ! "... Coupez !  Eh bien, chers téléspectateurs, je suis en direct du salon de Gladys Claquefort, où se déroule le grand prix de Spanking World, En lice, en place 1 , Gladys Tapefort, 1,82 m - TP 120 - Mains droite : 28  x 18 . en jupe noire/ jarretelle couleur chair / , en place 2.... ca y est le départ vient d'être donné ! Et déjà, s'ensuit une concurrence féroce entre les deux championnes en titre. Et.....  bizzzz...bizzzz.... biiiiiizzzz...  Un incident.... technique.. nous oblige à rendre mom.....ément l'antenne, ....ers télé...tateurs.... chains rés... ournal.... 22.... eures... trente...vous... studios !" .   Coupez. 

    Peter.

    2
    clodinet
    Dimanche 15 Janvier 2023 à 17:01

    Je reconnais que je mérite des fessées et que ma MAITRESSE a eu raison de me livrer à la terrible tantine pour me donner une leçon mais je ne vois pas pourquoi je serais le seul de ce site à subir ces punitions répétées...sans vouloir le dénoncer je pense qu'il y en a un autre ici dont le nom commence par P et se termine par R en 5 lettres ,qui fait autant de bétises que moi et qui ecrit beaucoup de propos salaces indigne d'un garçon en culotte courte, mérite autant que moi sinon plus d'ètre confié par sa maman Louise  à cette Tantine Gladys...pour un dressage en règle !!!

    Clodinet 

      • PeterPan
        Dimanche 15 Janvier 2023 à 17:32

        (Bonsoir Clodinet)

        "Ouais, mais.. mais, en fait, c'est...  c'est pas d'ma faute,  pass'que c'est mon copain Roro qui m'a obligé de dire ça !!! Sinon, il...  il me cassait ma maquette de bateau en allumettes !  Et p'is... et pi's si ma maman Louise, elle entend ce qu'on dit, eh ben, elle va tout raconter à la directrice du Pensionnat, Et la directrice , elle est vieille et méchante... et après, elle va me donner la grosse fessée avec son gros martinet à la récréation devant toutes les filles de la classe ! Et après, elles vont le dire à leurs copines ! Et à la maison, c'est ma grande soeur Natatcha, qui va me fesser à la place de ma maman Louise !!! Et j'ai pas envie , pass' qu'elle toujours plus fort que Maman ! Et pi's... et pi's en plus, eh ben, j'aime pas les propose de salade... ça pique ! Et toc (rires). 

        Peter. 

    3
    ramina
    Lundi 16 Janvier 2023 à 13:44

    Cher Clodinet , et Peter par la même occasion.

    Je pense qu'il s'agit d'un moment d'égarement car je sais que notre ami(e) CLodinet(te)  est une bonne personne . Mais tout de même, c'est pas beau de dénoncer ses petits camarades. "...sans vouloir dénoncer , mais je dénonce quand même ... On que c'est vilain !!! Car tout le monde a compris.  Un nom qui commence par P et se termine par R ... en 5 lettres.  il s'agit bien sûr du " Pater ... comme Pater Noël, qui se cache sous le pseudonyme de "Peter"... lequel sévit sur cette antenne depuis un moment. Le godelureau  s'y répand en flatteries, brosse à reluire dans le sens du poil aux pattes et autres fourberies scapinesques. Ah elles ont bon dos les maman Louise et autre Lamalisse ! Pour régler cette affaire,   un entretien thérapeutique s'impose avec  tante Gladys , qui ne consulte maintenant que par rendez vous sur Doctolib , étant donné le nombre de paires de fesses dont elle a la charge. Depuis le temps que ces gais lurons jouent les trublions flingueurs, ça devait finir par arriver ! Une petite séance de fessées  sur les genoux de tantine, pour Peter langue de vipère en compagnie de Clodinet, langue-ouste mayonnaise, multirécidiviste, semble effectivement nécessaire . Habituel pour Clodinet dont les fesses connaissent par cœur la magnifique force de frappe de tantine, exceptionnel pour Peter qui semble bien mériter une déculottée du même nom. A moins que Mad ait un peu de temps à consacrer au garnement en culottes courtes à bretelles, parce que les derrières à corriger, ça commence à se bousculer au portillon. On ne va quand même pas être obligé de distribuer des tickets de rationnement pour les fessées ! Sans blague  !!  Ramina

      • PeterPan
        Lundi 16 Janvier 2023 à 18:13

        (Bonsoir Ramina)

        "- Non, s'iou plait, madame ! Pas l'entretien thérapeutique  avec Madame Gladys ! Elle va tout raconter me flanquer la fessée de ma vie, depuis le temps des cours de maths particuliers!!!! Et après, avec ma maman Louise, j'vais encore finir en retenue sur les g'noux de la Mère Sup' au Collège avec les fesses comme deux montgolfières !!! Pardon, ma bonne Tante Gladys de mes rêves !!! Je me repend de mes caprices et vous prie de croire, Madame Gladys, à mes bouffonneries les meilleures ! Et surtout, je vous le demande à genoux sur le paillasson en crin : ne dérangez pas Madame Mad' pour si peu !!! Signé : Peter, le Zorro des Zéros de conduite !" 

        Peter.

    4
    ramina
    Lundi 16 Janvier 2023 à 13:51

    Re...

    Euhhh pas sûr que Patricia apprécie l’appellation '' biscotte salade'' . Elle prendrait bien le Pet' La Gaffe sur ses genoux après sa descente de ceux de tante Gladys pour une petite démonstration de ''Tartes sauce piquante '' !  Ramina 

      • PeterPan
        Lundi 16 Janvier 2023 à 18:00

        (Bonsoir Ramina)

        - euh... non c'est... je m'ai trompé ! J'vou.... j'voulais dire... euh...que... que Moizelle Patricia... elle a des... des... des... biscottos que... que c'est pas d'la salade !!! Vous... vous allez pas... pas lui  dire.... hein... à... à madame... Tante Gladys !  Sil vous plait ???? Pass'que  sinon, ma Maman Louise, elle va me faire faire la danse du martinet !!! Et ma soeur, elle... elle regarde... et... et  elle rigole !! (Me veng'rais ! ) " Coupez. 

        Peter.

    5
    Vilain
    Samedi 30 Septembre 2023 à 19:25
    J adore vos récits


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