• Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 1

    Une histoire originale de Ramina, sur une idée de Clodinet(te)


     

    Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 1:  Sacha et Clodinet

     

    Gladys Tapefort, dont on peut savourer les cuisantes prestations, dans "Fesses rouges et Tabliers blancs''  était une belle femme plantureuse, de celle que l’on dit dans la force de l‘âge, la cinquantaine, triomphante. Femme de caractère, au physique imposant, elle portait haut, dominant, et dégageait une impression d’autorité naturelle qui inspirait d’emblée le respect. Elle jouissait d'une solide réputation de femme intransigeante et sévère qui ne se gênait pas pour vanter les bienfaits d'une rigoureuse discipline domestique, devant ses amies et souvent en présence d'Edouard son mari. Une seule méthode, radicale mais efficace, l‘emploi systématique de la fessée dont elles avaient fait son activité favorite. Elle n'hésitait d'ailleurs pas à en promouvoir l'efficacité et ne se privait pas du plaisir de raconter, en public, la dernière fessée qu’elle venait d'administrer à son époux désobéissant. Très souvent  dans de telles circonstances , elle lui ordonnait de se déculotter et  venir exposer ses fesses récemment corrigées aux yeux de ses interlocutrices enthousiastes… Ces dames ne se retenaient pas alors de commenter joyeusement le résultat constaté sur le viril fessier écarlate et cuisant. Les remarques volontiers ironiques, voire vexantes donnaient, évidemment raison à la maîtresse de  maison.

    Un peu perverse sur les bords, qu'elle avait aussi large que son imposant fessier ultra rebondi, Gladys justifiait l'emploi systématique de la fessée par des raisons éducatives d’épanouissement du corps et de l’esprit. En réalité, c'était la plupart du temps pour le plaisir de claquer une belle paires de fesses!

     

    Il est souvent question des fessées de Robin, son plus jeune et incorrigible fils toujours à la maison à vingt ans, mais jamais de celles de Sacha le grand frère de deux ans son aîné. Le plantureux derrière du jeune homme devenu adulte, n'a jamais vraiment connu de répit en passant, sans transition, des fortes cuisses de sa mère à celles tout aussi accueillantes de Julia son épouse. Celle ci, bien informée par belle maman de ses  méthodes disciplinaires n'a pas mis longtemps à prendre un relais efficace sur les fesses de son mari pour le maintenir sous son autorité.

    Par tradition familiale, il était dans l'ordre naturel des choses que les femmes imposent respect et discipline à leur mari sous la menace de cuisantes séances de fessées généreusement distribuées. La moindre bêtise ou désobéissance, le plus petit écart de comportement, le non respect de consignes, comme la non exécution de tâches ménagères, faisaient immédiatement l'objet de sévères corrections. On est sévère ou on ne l'est pas. Une seule fessée, si longue et cuisante fut-elle, était rarement, jugée suffisante par ces dames, pour recadrer efficacement  leurs époux désobéissants. La moindre des punitions se soldait régulièrement par de magistrales séances de fessées, administrée, aussi souvent que possible en public devant les amies, pour davantage d'exemplarité. 

     

    Désormais soumis à l'autorité de son épouse qui avait supplanté l'influence maternelle, Sacha voyait peu sa mère, sinon à l'occasion d'une invitation à dîner,  d'un anniversaire ou une fête quelconque. Il y rencontrait souvent son cousin, Claude surnommé Clodinet (plus tard Clodinette) à cause d'un physique avenant qui dégageait, comme beaucoup d'hommes de grande sensibilité, une part sous-jacente de féminité. Il était toujours accompagné de Mad, sa charmante épouse, devenue comme Julia, totalement convaincue des bienfaits d'une sévère discipline conjugale. Les séances de fessées claquaient régulièrement sur les virils postérieurs à disposition de ces dames sévères.

     

    Les deux hommes, pourtant habitués, aux corrections que leur administraient leurs femmes respectives, restaient profondément marqués par un événement douloureux qu'ils avaient vécu ensembles, quand ils avaient une vingtaine d'années. C'était pour Clodinet  l'humiliante punition que lui avait infligée sa tante Gladys, après avoir sévèrement corrigé son fils Sacha devant lui, de la même manière. Presque vingt-cinq ans après, ils en gardaient encore un souvenir traumatisant .

     

    Clodinet approchait de ses dix-neuf ans  lorsque ses parents, partis en voyage, l'avait confié pendant quelques jours aux bon soin de sa tante Gladys. Ce n'était pas pour déplaire au jeune homme qui s'entendait bien avec son cousin, malgré une certaine méfiance à l'égard de la plantureuse tantine, dont tout le monde connaissait le caractère autoritaire. Elle était notoirement connue pour son goût prononcé pour les fessées bien vicieuses et l'implacable énergie avec laquelle elle les distribuait. Sous prétexte de valeurs éducatives, la maîtresse femme aimait fesser les garçons et prenait un plaisir pervers à y ajouter une bonne dose d'humiliation pour rendre les corrections plus impressionnantes. Sacha, son fils, pouvait en témoigner, lui dont les fesses retentissaient régulièrement sous le feu des cuisantes déculottées que sa sévère maman lui administrait, au moindre prétexte. Quand elle n'en trouvait pas, elle en inventait pour le plaisir de claquer ses grosse fesses qu'elle avait fini par formater à cet usage. La meilleure manière, selon elle, de joindre l'utile à l'agréable.  
    – « Tu devrais maintenant être habitué mon chéri, se plaisait elle à répéter souvent en le déculottant pour lui flanquer sa fessée. Quand on a une paire de fesses aussi bien développés que les tiennes, il faut s'attendre à se les faire claquer régulièrement! C'est la moindre des choses, et c'est ce que je fais!!»

    Justinet et son cousin Sacha avaient à peu près le même âge. Ils s'entendaient bien et s'appréciaient. C'était la première fois qu'ils passaient un moment de vacances ensemble et ça les amusait beaucoup de dormir dans le même lit pendant ce séjour.

    Gladys avaient cependant prévenu les deux jeunes gens.
    – « Attention les garçons, pas de bêtises ni de cochonneries entre vous, sinon , c'est immédiatement la fessée. Et tout le monde le sait, quand tante Gladys fesse, elle fesse fort et longtemps, parce qu'elle aime ça! C'est bien compris?»
    – «Oui maman!»
    – « Oui tantine !»
    – «Oui tantine...oui tantine !... C'est quoi ça Clodinet? relève Gladys.  Il ne suffit pas d'ânonner bêtement… "Oui tantine"!  Je veux que tu enregistres bien ce que ton cousin sait depuis longtemps. Tu vas répéter après moi et retenir ça comme un avertissement: "Tante Gladys fesse fort et longtemps parce qu'elle aime claquer les derrières. désobéissants!"

    Ça commençait bien!

    Clodinet, vivement impressionné par l'impétuosité de sa tante et le ton autoritaire qu'elle emploie pour lui faire la leçon, sent que ce n'est pas le moment de discuter ses ordres. Littéralement subjugué, le regard absorbé par les rondeurs envahissantes  de son opulente poitrine débordant son décolleté, il balbutie docilement:
    – «Tante Gladys fesse fort et...  et longtemps... Euuuh... Parce que... parce que... elle aime claquer les... les... derr...»

    Gladys n'est pas satisfaite du tout et un peu comme le jeu cruel du chat avec la souris, elle s'amuse à augmenter le trouble évident de son neveu, en insistant, sous le regard inquiet de Sacha qui connaît bien la force de dissuasion de sa mère.
    – «Mieux que ça Clodinet... recommence et applique toi! Ou alors tu sais comment je vais m'amuser avec tes fesses!»

    Le malheureux garçon a du mal à avaler sa salive. La gorge nouée il recommence en serrant instinctivement les fesses qu'il sent menacées. Son slip lui semble tout d'un coup trop petit, pour les contenir entièrement. Il les sent déborder des élastiques qui lui rentrent dans la raie…
    – « Tante Gladys fesse fort et longtemps, parce que euuuh 'elle aime claquer les derrières désobéiiiisssssants!!! »

    Il a beau l'avoir vue venir, la claque est partie tellement vite qu'il n'a pas eu le temps de rentrer les fesses qui retentissent avec un bruit d'enfer. Gladys a tapé tellement fort qu'elle s'en secoue la main de plaisir.
    – «Et bien, tu en as mis du temps! Il va falloir te montrer plus réactif mon garçon, parce que je sens que je vais bien m'amuser avec des fesses qui claquent aussi bien! Ici, on aime les fesses fermes, pas les chiffes molles!»

    Sur ce, satisfaite de sa démonstration d'autorité,  elle sort dans un claquement de talons aiguille en balançant de manière provocante son imposant postérieur indécemment moulé dans sa petite jupe de tailleur.

    Clodinet en reste bouche bée, les fesses brûlantes, frissonnantes de trouille au fond de son slip. Il se sent soudainement moins serein qu'en arrivant et commence à se demander si son séjour chez la redoutable tante Gladys ne risque pas de se révéler beaucoup moins agréable qu'il l'imaginait.  Sacha conscient de son malaise  essaye d'amortir le choc, mais bien maladroitement.
    – «T'inquiète Clodinet, ma mère est comme ça. Elle fesse,  pour un oui, pour un non. Tu verras au bout de deux ou trois fessées tu t'habitueras. Ce ne sont que des mauvais moments à passer.»

    Pas convaincu le Clodinet bien décidé à se tenir à carreau. La tante Gladys en impose. Dans cette demeure où la fessée semble être l'activité favorite de la maîtresse de maison, une déculottée est si vite arrivée .

     

    Un soir avec des airs mystérieux et un regard plein de sous entendus, Sacha lui dit:
    – «Regarde Clodinet ce que j'ai trouvé à l’école.» Il  lui présente alors une revue porno de l'époque. «Viens dans la chambre, on va la regarder ensemble!»

    Ils se couchent tout les deux l'un à côté de l'autre. Un fois les slips baissés sur les cuisses, pendant que Sacha  tournait les pages, les mains de Clodinet s'activaient sous le drap l'une sur le sexe de son cousin, l'autre sur le sien. Ils étaient de plus en plus raides tous les deux! Menée d'une main ferme, la vigoureuse double branlette avait pris un bon rythme de croisière que Clodinet comptait bien conduire jusqu'au feu d'artifice final. Il était  au bord de l'apothéose quand tout à coup la porte de la chambre s'ouvre brusquement et l'impressionnante stature de sa tante apparaît dans l'encadrement!

    Elle n’était pas encore couchée, et portait encore sa blouse de maison, un tablier à bavette blanc par-dessus. Les sourcils froncés, elle a tout de suite un doute, vite dissipé, sur leur activité.
    - «Que faites-vous dans le lit, les garçons? A voir vos mines congestionnées, vous ne seriez pas en train de vous tripoter par hasard?»

    Et avant qu'ils aient eu le temps de réagir elle soulève le drap découvrant... Clodinet une magnifique érection dans chaque main au bord de l'explosion finale.
    - «Vous n'avez pas honte de vous faire des branlettes comme ça! Petits cochons!» s'exclame-t-elle feignant la colère, alors qu'elle se réjouit déjà à la perspective de la  séance de fessées dont les deux garçons lui fournissent l'excellent prétexte. «Je vais vous apprendre à vous astiquer moi, espèce de petits vicieux! Maintenant ça va être au tour de vos fesses, et c'est moi qui vais vous les faire reluire!»  

    Elle s'en régale d'autant plus à l'avance la tantine, qu'elle n'a pas claqué une seule fessée depuis deux jours. Autant dire qu'elle est en manque et que la main lui démange sérieusement.

     

    (A suivre )

    « Lavement en blancDe jolis dessins ABY »

    Tags Tags : ,
  • Commentaires

    1
    PeterP
    Mercredi 26 Octobre 2022 à 16:18

    Bonjour cher confrère...

    Les vacances d'automne semblent s'annoncer sous les meilleures auspices pour Tante Gladys, qui décidément est de toutes les coteries !!! Les deux cousins sont au bord de l'implosion ... Mais, j'en ficherait mon billet, que la séduisante Tantina (Olé ! ) n'attendait plus que ce faux-pas pour entrer en scène. Elle devait certainement écouter derrière la porte !  Et toc ! Et ce d'autant, qu'elle s'est déjà parée d'un superbe tablier blanc à bavette , passé par dessus sa blouse, laissant ainsi apparaitre ses magnifiques jambes gainées de bas nylon à couture. Histoire de leur en mettre plein les mirettes, aux deux Castor et Pollux de la... biiiip  !!! Pas folle, la guêpe !! Gare à son dard !   Avec Tante Gladys ? c'est panpan cucul en travers de ses cuisses ! Olé !                                                                                                                                             Peter. 

    2
    ramina
    Mercredi 26 Octobre 2022 à 18:34

    Hello, Peter,

    Pour sûr les sulfureux Castor et Pollux de, genre on se tripote l'encensoir sous la couette, (Ce que la morale réprouve ainsi que les ligues anti-branlette)  ne vont pas s'en prendre que plein les mirettes avec les bas nylon de tantine. Tel une vertueuse en chaleur ( euuuh on va voir que vertueuse n'est pas tout à fait le mot qui convient à notre plantureuse créature, mais bon, pour le moment...)  assoiffée de fessées, tante Gladys va leur fondre sur le derrière à la vitesse d'un cheval au galop dans la baie du Mont St Michel!!! Elle va piquer la guêpe, ça va claquer dare-dare ! Le pire du pire c'est que c'est inspiré de l'histoire vraie de Clodinette. Toute ressemblance avec des personnes ayant existé et existant toujours est fait d'exprès !!! C'est la vérité du véritable vécu vraiment vrai ...  Bon l'auteur en fait des tonnes et en rajoute un peu , mais quand même !

    Ah non madame, c'est pas moi ...Juré sur ma tête de lit...  C'est Ramina !!!

      • PeterP
        Vendredi 28 Octobre 2022 à 09:48

        Bonjour Ramina, 

        Pas... pas si vertueuse, la tantine ? Diantre ! Que pourrait-elle cacher, cette belle Virago ( virago: en Grec, cela désigne les femmes fortes, au physique comme au mental). Mystère... 

        Peter.



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :