• Le supplice du pipi interdit

    Ce texte est, pour l'essentiel, un texte personnel. Mais je dois la base à ce récit:
    http://mllemilie.com/memento-guide-bdsm-domination-femdom-privation-retention-1/
    que je remercie ici.

    Marie-Souillon


     Le supplice du pipi interdit

     

    Généralités 

    En premier lieu, une chose importante: comme pour tous les jeux de domination/soumission, il faut éviter tout danger pour la santé. Ce jeu de rétention est donc interdit aux pathologies rénales, cardiaques, diabète, et doit être pratiqué sur un soumis en bonne santé générale. Cela va sans dire, cela va mieux en le disant. Pour les messieurs qui ont des problèmes de prostate, à voir.
    Ah, un autre chose, ce texte parle d'un soumis, mais les mêmes jeux peuvent être faits avec une soumise. Et la maîtresse est une femme, mais un homme peut aussi bien pratiquer ces jeux.

    Et, vous allez me dire, pourquoi j'emploie le mot "Supplice"? C'est rare chez moi, mais je trouve que, là, il est bien adapté.

     

    L’envie d’aller aux toilettes ne se déclenche pas lorsque la vessie est pleine mais bien avant, vers la moitié. C’est dans l’intervalle entre déclenchement de l’inconfort et la capacité normale de la vessie que le sadisme (c'est un bien grand mot, disons la "perversité dominatrice" de la maîtresse peut se déployer. En contrôlant les volumes, elle peut faire durer le jeu pendant des heures, le soumis a envie d’aller aux toilettes mais il n’en a pas besoin physiologiquement. C’est délicieusement sans danger. C’est l’esprit que la maîtresse torture, pas le corps.

    Rappelons que la capacité de la vessie d'un homme varie entre 40 à 60 centilitres, et un peu moins chez la femme. Toute l'eau bue ne passe pas directement dans la vessie, elle va dans le sang et, de là, vers la vessie, les intestins, la transpiration, les poumons. De toute façon, il n’est pas question de la faire exploser la vessie sous le volume le jeu serait trop court. Si on fait boire 1 litre au soumis et qu'on lui demande de tenir il ne pourra pas. Ça serait idiot, il faut faire les choses progressivement pour faire durer le supplice.
    Evidemment cela implique qu’il faut tâtonner pour trouver les valeurs spécifiques au soumis. Les valeurs vont de 30 à 60 centilitres selon le sexe et la corpulence. Pas besoin d’aller vite, on peut commencer, à 20 centilitres, soit un grand verre,  et monter de 10 en 10, un petit verre, donc.

    Attention, il faut que l'eau ne soit pas trop fraiche, pour éviter le refroidissement du corps. Comme le supplice ne consiste pas à faire boire, l'eau peut être agrémentée d'une goutte de sirop, ou de jus de citron. Elle peut être remplacée par du thé léger, de la tisane, à garder dans un thermos, bien sûr, et en évitant les préparations diurétique, le but du jeu n'est pas de faire pisser, mais de se retenir. Quant à l'eau gazeuse, la maîtresse peut la choisir à la place de l'eau plate, les ballonnements possibles peuvent être amusants, et les rots un motif de punition. Bien sûr, on évitera toute boisson alcoolisée, même la bière! D'une manière générale, j'utilise dans ce texte le mot "eau", c'est plus simple.

    Il y a, en gros, deux façons de pratiquer ce supplice.

    Une façon passive en rendant la rétention obligatoire sur toute la séance, par exemple 40 centilitres à prendre au début d’une session d’une heure. Rapidement le soumis va être déconcentré par ses envies, il n’arrivera plus à penser "droit", il aura  des envies tellement fortes qu’il n'écoutera qu'à moitié, ce qui donne l’occasion de le corriger. Sans oublier que cela renforce le pouvoir de la maîtresse, qui détient la permission de l’autoriser à se soulager. Les relations de domination sont toujours plus facile lorsque vous avez un levier clair.

    Mais il y a des façons plus actives d’utiliser ces tourments. Il est amusant de forcer le soumis à faire quelque chose de simple, de facile, presque, mais qui demande beaucoup d'attention et de concentration. Bien sûr, concentré sur sa vessie qui se remplit, et son interdiction de la vider, il est incapable ni de l'une, ni de l'autre. Après une bonne heure à trépigner, soumis aux tremblements et autres frissons caractéristiques, cela devient un vrai calvaire, il n'arrive pas à faire ce qu'il doit faire, le rate, doit le reprendre, ce qui, biens sûr, amène des punitions.

    On peut associer la rétention à du bondage, l’idée d’un soumis entravé, aveuglé et bâillonné gigotant sur le sol est plutôt amusante.

    À la fin du jeu la maîtresse peut mettre en scène la permission en jouant avec ses nerfs. Lui demander de supplier sa maîtresse de le laisser aller faire pipi, et juger qu’il n’est pas encore assez désespéré. C’est si énervant d’être aux prises avec une peste capricieuse. Bien sûr, la maîtresse ne doit pas céder, c’est pour son bien, ce n’est pas facile avec des soumis qui se comportent comme des enfants. Il y a un côté terrible à voir un homme supplier à genoux de lui donner la fameuse permission parce que vous l’avez poussé à bout.

    Un jeu qui existe aussi consiste à autoriser des libérations partielles. Par exemple vous prenez un verre doseur et vous autorisez quelques centilitres au soumis, pas une goutte de plus. Le fait de commencer à vider la vessie puis à l’interrompre est particulièrement éprouvant pour le soumis. Une pratique à réserver aux maîtresses les  plus sadiques Elle apprend aux soumis ce qu’est l’obéissance stricte aux ordres..

    Il ne faudrait pas cependant trop les plaindre, les soumis, le soulagement à la libération est très fort, pas jusqu’à permettre l’orgasme, mais fort tout de même. Il n’est pas rare de voir une petite larme de bonheur sur le visage. Ce qui peut être associé à un rituel, des remerciements, une déclaration de soumission à sa maîtresse, ou tout ce qui lui passe par la tête.

    Ah, un dernière chose. C'est une supplice où la maîtresse n'a pas grand chose à faire, il faut bien le dire. Elle peut donc le pratiquer en lisant, en regardant la télévision, voire en traitant, d'une manière plus active, une autre victime.

     

    Le supplice du pipi interdit en discipline domestique et tablière…

    Pour commencer, il faut que le soumis, avant le début de la séance, qui va être longue, toute la soirée, toute la journée, même, ait le droit d’aller aux toilettes, ce qui permet une "remise à zéro" du compteur et permet, donc, de savoir ce qu'il va pouvoir supporter. Cela veut dire qu'il doit faire à la fois pipi et caca, de manière à être entièrement, comment dire, prêt à être utilisé.
    Une fois fait, il faut que la maîtresse contrôle tout ce qui rentre pendant toute la période du supplice. Le puni n’a le droit d’aller se soulager qu’a la fin de la séance. Ça c’est le supplice de base, mais il ne suffit pas, bien sûr, et il faut que la maîtresse y apporte  ses petites touche personnelle.

    La première question est de savoir s'il faut que le soumis porte quelque chose de particulier pour subir ce supplice. Vous le savez, dans ces jeux le soumis doit porter, quasiment tout le temps, une blouse de femme, et le plus souvent un tablier par desuus. Il gardera donc cette tenue domestique. Mais dessous?
    Nous avons le choix entre:
    - Rien du tout, cul nu et la petite saucisse à l'air sous la blouse.
    - En culotte de femme, une culotte de coton blanc, vieillotte et montante.
    - Des langes dans une culotte de plastique ou de caoutchouc.
    J'élimine la première possibilité, elle est amusante, sans plus. Avec la culotte simple, toute humidité incongrue et non autorisée laissera sa marque, mais, quand il faudra libérer le soumis de sa rétention, il faut prévoir comment il le fera. Pour donner des fessées pendant le supplice, il suffit de baisser la culotte.
    Les langes dans la culotte de caoutchouc ont l'avantage de pouvoir "libérer" le soumis à n'importe quel moment, et, ensuite, de le laisser macérer dans sa pisse. Mais il est difficile de surveiller la rétention, et, pour le fesser, c'est plus compliqué, il faut défaire la culotte et les langes et le refaire ensuite. De plus, les langes sont associés à un autre tourment, celui de se pisser dessus et de rester dedans. Je ne les conseille donc pas, sauf éventuellement pour les premières séances, quand la maîtresse doit faire les réglages quantité/durée, et donc éviter qu'un accident inonde la pièce (même si c'est le puni qui nettoiera).

    La maîtresse, elle, s'habillera comme à son habitude, en blouse et tablier, donc. Il est, bien sûr, utile de prévoir, au moins pour la fin du supplice, un tablier de plastique ou de caoutchouc, on ne sait jamais. Je déconseille le port d'une culotte, et je pense que la maîtresse doit avoir le cul et la moule à l'air sous la blouse. Cela lui permettra d'exciter le puni en lui montrant ses appats… et d'autres jeux.

     

    Au début, le supplice commence avec, par exemple, un grand verre de 20 centilitres à faire boire au soumis au début de la séance.

    Puis la maîtresse impose des verres supplémentaires, d'environ 10 centilitres par exemple (il vaut mieux beaucoup de petits verres que peu de grands), au rythme qu'elle désire, ou sans rythme du tout. Avec, par exemple, le rythme de "un verre par heure", le temps étant compté par un minuteur de cuisine. Sa sonnerie sera le signal pour la suite du supplice, et le soumis frémira rien qu'en l'entendant. Si la maîtresse, pendant le supplice, a décidé de regarder une série en plusieurs épisodes, elle pourra faire boire le verre supplémentaire à la fin de chaque épisode. Il sera si amusant de voir la tête du puni quand il commence à entendre le générique de fin, signe qu'il va devoir encore boire et encore plus souffrir.

    La maîtresse peut, ensuite, infliger des verres supplémentaires comme punitions, d'environ 10 centilitres, pour chaque "mauvaise réponse", "mot de travers",  ou "mauvaise attitude", enfin tout ce que, dans le cadre de la discipline domestique, elle juge négatif de la part de son soumis.

    Rien n'interdit de cumuler les verres supplémentaires à heure fixe et les verres supplémentaires de punition.

    Bien sûr chaque verre, le premier comme les suivants, doit être bu avec un cérémonial particulier, le même à chaque fois, décidé par la maîtresse. Par exemple, le soumis doit:
    - Aller chercher la bouteille ou le thermos et le verre, les présenter sur un plateau.
    - Se mettre à genoux devant sa maîtresse.
    - Soit attendre son ordre, soit, ce qui est plus humiliant, demander à sa maîtresse le droit de boire, en prétextant avoir soif, ou avoir besoin d'être puni…
    - Boire le verre "cul sec", ou, au contraire, le boire en un certain nombre de gorgées décidées par la maîtresse.
    - Remercie humblement.
    - Et enfin ranger le plateau et le verre.

    A chaque échéance temporelle, et/ou à chaque punition, il est même particulièrement pervers, pour la maîtresse, de laisser le choix au puni entre une fessée et un verre à boire. Sachant que, si le verre d'eau va augmenter le volume à retenir, la fessée risque de provoquer une fuite irréparable. Et sachant aussi, bien sûr, que la maîtresse peut, si le puni choisit la fessée, lui donner la fessée et le faire boire quand même ensuite. Après tout, sa volonté est la loi du soumis, et son vice et sa perversion sont, pour le soumis, une partie de ses attraits.

     

    Il faut, bien sûr, pour bien faire souffrir le puni, se moquer constamment de son tourment, par des propos humiliants. Elle peut avoir soit un ton maternel, tendre, gentil, appeler le soumis "mon chéri", jouer le jeu du "je fais ça pour ton bien". Elle peut aussi être plus sévère, avoir un ton différent, soit plus sec, soit doucereux et vicieux, et traiter le soumis de "sac à pipi" ou "vessie punie". Dans tous les cas, le discours de la maîtresse doit constamment rappeler au puni sa condition inférieure, et lui donner encore plus envie de pisser.
    Rien n'interdit à la maîtresse de pratiquer ce supplice devant un témoin, une autre maîtresse, un autre soumis, la honte n'en sera que plus grande pour le soumis.

    La maîtresse, peut, et même doit, rajouter des punitions et humiliations annexes. En voici quelques exemples, qui pourront être infligés à tout moment pendant le supplice. Notons en passant que ces petites annexes sont utilisables dans d'autres circonstances que le supplice de la rétention urinaire.

    La maîtresse peut mettre le soumis au piquet, pendant un quart d'heure, par exemple (il ne faut pas que ce soit trop long). Pour matérialiser le temps qui passe, il suffit de poser, dans son champ de vision, assez près de lui, un "sablier à eau". En prenant soin d'en choisir un qui ne soit pas discret, mais qui fasse "ploc", "ploc", "ploc", encore et encore. Et bien sûr, si le puni ne tient pas le piquet, comme il faut, le couperet tombe très facilement: "15 minutes de plus".


    Une autre punition, que la maîtresse peut infliger pour rendre la rétention encore plus difficile, c'est de faire marcher le puni "en canard", accroupi sur ses jambes. Pas de durée, mais, par exemple, faire 10 fois le tour de la table de la cuisine. Non seulement c'est inconfortable, il devra faire des efforts pour se retenir, mais encore il sera ridicule. Et, là aussi, la maîtresse peut rajouter des tours.

    Je parlais tout à l'heure de forcer le soumis à faire quelque chose de simple mais qui demande beaucoup de concentration. Et, bien sûr, de complètement inutile. Par exemple, toujours pour rester avec l'eau, de faire passer le contenu d'un verre d'eau, rempli à ras bord, dans un autre verre de même capacité, sans perdre au passage une seule goutte d'eau. Il suffit d'asseoir le puni devant la table, de s'asseoir de l'autre côté, en lisant un magazine, par exemple, ou en regardant la télévision, pour qu'il soit toujours sous le possible contrôle du regard de la maîtresse. Un morceau de papier essuie-tout posé sur la table permettra de voir, instantanément, si une goutte d'eau tombe. Vous voyez tout de suite le plaisir que tirera la maîtresse du fait de le regarder en imaginant sa souffrance… Le puni va devoir faire très attention à ne rien renverser, mais l'esprit préoccupé par sa vessie, l'envie irrépressible de se tortiller, entrainera certainement des erreurs, qui seront alors punies de quelques coups de martinet. 

    Il est aussi possible d'infliger au soumis une punition scolaire, comme de faire des opérations de calcul à la main (ou de calcul mental, si le puni est doué), des multiplications à trois chiffres, qu'il sera toujours facile à la maîtresse de corriger avec une calculette, martinet à la clé. En n temps imposé, bien sûr. Ou de lui faire copier des lignes "Je n’ai pas envie de faire pipi, mais si je fais pipi, je serai puni pour avoir fait pipi". Chaque fois qu'il écrira le mot "pipi", il pensera à se retenir, et il pensera que c'est de plus en plus difficile de le faire. La maîtresse, ensuite, regardera si les lignes sont bien écrites, bien régulières, et les fera lire par le puni, une à une, en variant le ton. Et, chaque fois que le puni prononcera le mot "pipi", il pensera encore plus à son envie interdite.

    De manière plus domestique, enfin, les corvées ménagères offrent bien des possibilités. Il faut qu'elles obligent le soumis au contact avec l'eau, qui, bien sûr, va lui rappeler son infortune. Le puni peut, par exemple, passer la serpillère sur le sol de la cuisine, à quatre pattes, bien sûr. Il peut aussi laver du linge à la main, l'essorer et l'étendre, faire du repassage. Et, bien évidemment, faire la vaisselle à la main. Chaque contact avec l'eau, avec le tissu humide, lui rappellera qu'il à, à l'intérieur, une humidité qu'il n'a pas le droit de laisser sortir.

     

    On peut imaginer aussi des petits tourments qui agrémentent la rétention urinaire de manière spécifique, c'est à dire qui augmentent l'envie de faire pipi, cette envie que, justement, il est interdit de satisfaire.

    Tout d'abord, le son. Entendre un bruit d'eau qui coule provoque une sorte de réflexe qui donne envie de pisser. Il existe des bandes sonores, faciles à trouver sur Internet, prévues pour ça, soit dans un but préventif, pour faire uriner quelqu'un qui a des difficultés, soit pour provoquer une incontinence dans des jeux de "diaper lover". La maîtresse peut donc infliger ce tourment au puni, avec une petite enceinte posée près de son oreille, s'il est immobile, ou pourquoi pas avec des écouteurs, si la maîtresse lui fait faire des corvées ménagères, par exemple.
    Une variante consiste, en plus du son, à obliger le soumis, assis et immobile, à regarder une vidéo d'homme qui pisse (ou de femme qui pisse, si c'est une soumise) avec le son.

    Il y a aussi les "mouillages". Être mouillé donne envie de se mouiller. Le premier d'entre eux est le "supplice de la goutte d'eau". Le puni est immobile, et la maîtresse pose, d'une façon quelconque, un "goutte à goutte" (ça se trouve en pharmacie) alimenté par exemple par un petit bock à lavement rempli d'eau. Les gouttes vont tomber sur son visage, et cela, inévitablement, augmentera son envie de faire pipi. Le goutte à goutte peut être remplacé par un torchon noué, rempli de glaçons, pendu au dessus de son visage. Les glaçons vont fondre et leur eau va goutter à travers le torchon, mouiller le visage du puni, avec le même effet que le "goutte à goutte".

    De façon moins subtile, la maîtresse peut forcer le soumis à rester les pieds et les mains dans des cuvettes d’eau. Assis sur une chaise, devant la table, chaque pied nu dans une petite cuvette, chaque main dans une petite cuvette posée sur la table. Eau froide (mais pas trop, le tourment n'est pas dans la température), ou eau chaude (attention, pas trop chaud, juste comme il faut), et même, ce qui est particulièrement amusant, deux cuvettes d'eau froide et deux d'eau chaude…
    Il est possible, aussi, plutôt que de mettre mains et pieds dans des cuvettes, de les envelopper dans des torchons mouillés.

    Bien sûr, pendant la séance, la maîtresse aura elle-même envie de pisser, et ne s'en privera pas. Certaines maîtresses pissent devant le soumis, d'autres dans l'intimité, certaines se font lécher la moule humide après. Ne changez rien à vous habitudes, mais, si vous pissez dans l'intimité, faites en sorte que le soumis entendre le bruit du jet de votre pissade, ce qui fera croître son envie de pisser lui-même.

    Je voudrais vous parler aussi d'une humiliation supplémentaire, celle du pot de chambre. Il faut, pour cela, un pot de chambre classique, comme il en existait, disons, il y a plus de 100 ans, en porcelaine ou en métal émaillé. Ce pot de chambre sera destiné à la pissade finale, parce que, vous vous en doutez bien, il n'est pas question que les soumis aille se soulager aux toilettes. Non, il le fera devant sa maîtresse, et accroupi sur le pot de chambre. Il faut donc que, dès le début du supplice, le pot de chambre soit présent dans la pièce, toujours sous les yeux du soumis, posé au sol ou sur un meuble. Il faut que le soumis, au fur et à mesure de la séance, désire ce pot de chambre plus que tout, qu'il soit son but ultime. 

    En ce qui concerne le bondage pendant la séance, la maîtresse jugera s'il est nécessaire ou pas. Pour ma part, je trouve plus amusant que le soumis se tortille pour se retenir, et donc, qu'il soit libre de ses mouvements. De plus, s'il venait à se lâcher pendant qu'il est attaché, cela ferait des dégâts. Donc, pour moi, le bondage, oui, si la maîtresse le veut, mais, plutôt, en début de séance, pas à la fin, sauf si la maîtresse a décidé que le soumis soit langé.

    Une dernière chose, la contrainte anale. Avoir quelque chose dans le trou du cul presse la vessie, et rend donc la rétention plus pénible. La maîtresse peut donc imposer au soumis d'avoir un plug dans le cul. La taille du plug, bien sûr, en fonction de ce qu'elle a l'habitude de mettre au soumis, pas plus gros que d'habitude, donc. Notez que, si le plug est gonflable, la maîtresse pourra, pendant la rétention, le gonfler, pour presser la vessie, ou le dégonfler, pour soulager le soumis; rien n'interdit de le regonfler ensuite.
    Dans le même genre, le lavement peut être infligé pendant la rétention, sachant que, dans un premier temps, le liquide compresse la vessie. Et, si le cul est bouché, dans un second temps, l'eau du lavement va passer dans le sang, puis dans l'urine, en plus de la quantité bue. Mais le supplice "rétention d'urine plus lavement anal" mérite d'être traité à part, je pense…

     Ah, si, bien que ne relâchant pas complètement sa vessie, le puni laisse échapper quelques gouttes, il est évident que c'est une faute qui doit être punie, par un verre supplémentaire, par une fessée, enfin, par tout moyen à la discrétion de la maîtresse. Un des moyens est de faire essuyer ces quelques gouttes par le puni, avec un torchon, qu'il devra ensuite mettre dans sa bouche, pour ré-absorber ce qu'il a laissé échapper.

     

    Maintenant que nous avons vu quelques points sur le déroulement du supplice, reste à aborder la question de sa durée et de sa fin.

    Bien sûr, le soumis doit tenir le plus longtemps possible, ce qui veut dire une punition s'il ne tient pas aussi longtemps que sa maîtresse l'a décidé. Il faut donc que la maîtresse fixe une durée de punition, qu'elle peut communiquer au soumis ou pas. Dans tous les cas, je conseille de mettre un chronomètre, un décompte de temps sur ordinateur, peu importe, visible du soumis, pour qu'il sache depuis combien de temps il tient, et combien il lui reste à tenir. Bien sûr, il est plus amusant pour la maîtresse qu'il ne tienne pas jusqu'au bout, il faut donc que la durée du supplice soit très longue.

    Et donc, si le soumis ne tient pas jusqu'au bout (hypothèse la plus probable), il faut prévoir une punition. Je pense qu'il faut prévoir des punitions de dureté décroissante au fur et à mesure que le temps passe, avec des paliers d'un quart d'heure ou d'une demi heure. Des fessées, avec un nombre de coups décroissant, un instrument de moins en moins sévère. Du genre, il ne tient pas longtemps, 100 coups de tawse, et, s'il craque juste avant la fin, 10 coups de martinet… A la maîtresse de régler tout ça selon son envie. Il peut même y avoir un créneau "sans punition", et s'il tient encore plus longtemps, un créneau "avec récompense".
    Il est amusant que la maîtresse annonce, au fur et à mesure du supplice, la "pénalité de sortie anticipée", pour donner l'espoir au soumis. Rien n'oblige la maîtresse à se contenter de la punition prévue, elle aura toujours trouvé, pendant le supplice du pipi interdit, une bonne raison, ou une mauvaise, de durcir la fessée.

     

    Il est temps maintenant de parler de la fin du supplice.

    Il ne peut prendre fin que si le soumis le demande et si, bien sûr, la maîtresse l'accepte. Cette demande se fait, évidemment, selon un rituel humiliant pour le puni. La maîtresse choisira, au début du supplice, si elle autorise le soumis à faire sa demande n'importe quand à sa guise, ou si c'est elle qui l'autorise, à intervalles régulier, ou selon sa fantaisie, à faire sa demande, avec une phrase du genre "Mon chéri (ou tout autre terme), as tu quelque chose à me demander?" Sinon, le soumis vient spontanément tenter sa chance.
    Le rituel peut être du genre:
    - Le soumis arrive, à genoux, tenant dans ses mains le pot de chambre.
    - Il demande humblement à sa maîtresse si elle l'autorise à le remplir et à faire son pipi.
    - La maîtresse lui demande des explications, lui pose des questions humiliantes auxquelles il doit répondre en détail, fait durer le plaisir, le prévient que, la durée prévue du supplice n'étant pas finir, il va avoir une punition, et elle la détaille à loisir.
    - Et, finalement, elle refuse, ou accepte, de mettre fin au supplice.
    Je précise que, bien évidemment, la maîtresse qui a accepté que le puni aille sur le pot peut, à peine a-t-il commencé à s'accroupir dessus, changer d'avis et poursuivre le supplice.

    Si la maîtresse met fin au supplice, le puni trousse sa blouse, enlève sa culotte (ou ses langes), s'accroupit sur le pot, comme une femme, et se libère dedans en râlant de plaisir.

    Il ne restera plus, ensuite, qu'à appliquer la punition prévue, mais c'est une autre histoire…

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  • Commentaires

    1
    PeterPan
    Mardi 20 Décembre 2022 à 09:26

    Bonjour à tous...

     A la lecture du récit, on en frissonne ! Quelle torture ! Digne de l'Inquisition ! La maitresse est vraiment une belle sadique. Priver quelqu'un de se soulager naturellement doit être la pire torture. Argh ! On parlait il y a peu du supplice chinois. Ben, on en est pas loin. Beurk !  Préfère une bonne grosse fessée cul nu à la min sur les genoux d'une nounou bien en chair ! Hum, quel délice ! Avec une énooooorme poitrine qui ballotte à chaque claque !!! "- Et qu'est ce qu'on dit à Nounou Mad' ?  - Merciiiiiii-Nou-nou ! - Allez, va au coin , garnement ! Oui, Nou-nouuu ! ". Quel fayot, je fais. Si ma maman m'entendait... Peter.

    2
    PeterPan
    Mardi 20 Décembre 2022 à 09:31

    Re-bonjour à tous, 

    Petit rappel : pour dissiper toute méprise, et je m'adresse à notre ami Clodinet, le surnom "Mad', ci-dessus ne s'adresse pas à la-dite dame Mad', mais elle fait référence à Tante Madeleine, la tante de Gérome, dans la saga " Mémoires d'un garnement de jadis" publiée sur le site clôs de "Une bonne fessée. (NDLR) 

    Peter.

    3
    Clodinette
    Mardi 20 Décembre 2022 à 13:38

    merci Peter pour cette précision.ce commentaire aurait pu s'adresser à ma Maitresse Mad ...(sauf l'énoooorme poitrine qui ballotte !!!) qui ne pratique et n'approuve pas ce genre de supplice ! par contre il lui arrive de pratiquer la mise en couche du garnement ...en recommandant bien sur de ne pas faire pipi dedans sous risque d'une bonne fessée en cas désobéissance ! 

    clodinet

      • PeterPan
        Mardi 20 Décembre 2022 à 17:54

        Bonsoir Clodinet, 

        Merci de ton approbation. Souvent, les prénoms  dans mes commentaires un peu loufoques font souvent référence à des personnages de mes épisodes des Mémoires d'un garnement, avec toute une faune de mères poules et austres tantines à chignon prêtes à croiser le martinet avec leurs protégés insolents.  Toute une époque... révolue. 

        Peter.

    4
    Moi-Même
    Dimanche 18 Juin 2023 à 01:48

    J'ai goûter a mon urine voir le ce que sa goûte, le goût est horrible, J'ai été marier 7 ans et jamais ma femme a voulu pisser devant moi, sa petite culotte jamais la moindre odeur. mais la belle mère sa culotte senteur de vulve avec le pipi a faire bander. j'avais pris l'habitude d'aller au toilette juste après elle, car elle laissait toujours une ou deux gouttes de son nectar sur le siège de toilette que j'essuyait avec ma langue, j'aimais le goût, la réaction était automatique un bon bandage.

    j'aurais tellement lui lécher la chatte après chaque pipi. et même pourquoi pas un cunnilingus a la pisse.

    5
    Jeudi 12 Octobre 2023 à 07:30

    C'est là mon fantasme préféré, celui de l'envie pressante de faire pipi et de l'interdiction de se soulager. Personnellement je préfère dans le rôle de l'écolier puni en uniforme (culotte courte, chaussettes montantes, chemisette, cravate... parfois avec le bonnet d'âne...) en heures de colle obligé à recopier des lignes pendant des heures. pas de permission de sortir ou de se lever de son tabouret pour aller aux toilettes. Devoir se retenir, et nouvelle punition en cas d'accident (en plus de l'humiliation)



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