Comme, dans mon fétichisme des tabliers, il y a une partie "alimentaire", avec, dans mes aliments excitants, le fromage, vous vous doutez bien que le morbier ne pouvait que m'inspirer.

Bien sûr je me vois dans la peau de ce jeune Jean-Jacques. Je comprends que nous sommes dans une fromagerie, et que les deux gentilles fromagères, pour lui faire plaisir, lui offrent du morbier. J'aime bien les deux fromagères, tant celle avec le chignon que celle avec le fichu sur les cheveux.

La maman de Jean-jacques, ma maman, donc, porte aussi, d'ailleurs, un fichu sur les cheveux.
Elle est sévère, ma maman, et la moindre désobéissance, c'est une punition assurée. Mais je n'aime pas le fromage, surtout les fromages qui sentent fort, qui sont mous, et ce morbier, avec ce truc bleu au milieu, non, je ne veux pas.
Mais ma maman me menace d'une fessée, et une fois qu'elle a menacé, elle exécute.

Et comme elle croit aux vertus de l'humiliation, la fessée sera cul nu, et devant les fromagères.

Et donc, maman commence à me déculotter en public, j'ai honte, si honte…

Et me voilà penché sur la cuisse de maman, qui me fesse devant les fromagères. Bien sûr, elle dit bien qu'elle me fesse pour que les fromagères voient mon cul devenir rouge.

La fromagère au chignon approuve le principe de la fessée, elle doit en donner aussi. Celle au fichu, plus jeune, semble s'attendrir devant la honte que j'éprouve. A moins qu'elle ne dise ça juste pour me faire encore plus honte. 

Et après la fessée, maman me fait agenouiller sur la chaise, cul nu, pour manger le morbier sur une tranche de pain, sous le regard des deux fromagères;

Celle au chignon aime mes fesses, de toute évidence, elle aimerait les avoir sous sa main à elle. Et celle au fichu, qui a compris combien les mots me font honte, insiste sur mes fesses exposées.

Et la suite, me direz-vous?

J'imagine que maman a acheté le morbier entier, qu'elle a ramené à la maison.

A la fin de chaque repas, elle coupe une fine tranche de morbier, et l'étale sur un morceau de pain.
Elle pose le morceau de pain au bord de la table, sur la nappe, et me fait mettre à genoux devant, mains sur la tête. Alors elle prend le martinet, baisse ma culotte et me cingle les fesses et les cuisses, jusqu'à ce que je la supplie de me donner à manger le morbier.

Mais ça ne se passe pas comme ça. Elle prend un torchon, met la tartine de morbier dessus, me met le torchon sur le visage, le fromage de mon côté, et m'envoie au piquet mains sur la tête. Ce n'est qu'après un quart d'heure de piquet, le nez dans l'odeur du fromage qui me colle, que je pourrais, enfin, le manger.

La punition a duré midi et soir, pendant presque deux semaines, le temps que tout le morbier soit fini.

Et après, j'ai du aller avec elle à la fromagerie, raconter tout ça aux deux fromagères, qui ont bien ri.