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Lavementé par mes deux tantes
Un texte trouvé sur Internet et "amélioré" par mes soins. Un texte dans lequel, bien sûr, je me rêve à la place du garçon lavementé.
Mes parents me laissaient, très souvent, à la garde, pour plusieurs jours, et même pour toutes les vacances, de ma tante Pierrette.
Celle-ci m'aimait beaucoup, mais elle avait des méthodes éducatives particulières. Par exemple, elle pensait que, pour "tenir" un garçon, il fallait, constamment, avoir de l'emprise sur lui. Et, pour bien marque cette emprise, dès que j'étais chez elle, je devait mettre une ridicule blouse de fille, boutonnée dans le dos, sans rien d'autre, sous cette blouse, qu'une vieille culotte de fille qui datait de sa jeunesse, et qui était à ma taille. De plus, pour mon bien, elle me corrigeait fréquemment et, pour le bon fonctionnement de mes organes, n'hésitait pas à m'administrer des lavements.
Mais, ce jour là, mon lavement se fit en présence de sa soeur, ma tante Josette, qui était venue passer la journée à la maison. Nous étions tous les trois dans la grande cuisine de sa maison, c'était la pièce à vivre, mes deux tantes avaient bu le café quand tante Pierrette décida de s'occuper de moi, comme elle le disait.
Quand je vis ma tante Pierrette préparer tout le matériel de lavement, sans se préoccuper de sa soeur, les sanglots commencèrent à monter en moi, sans raison.
Tante Pierrette, qui remplissait, face à l'évier, le grand sac à lavement, en caoutchouc rouge, m'entendis et, sans se retourner:
- «Qu'est ce que tu as, petit pleurnichard? Tu as peur de cette grosse canule? Tu la connais bien, pourtant… Ou tu as peur crampes que toute cette eau sale va faire dans ton petit ventre bien rempli? Eh bien, tu as raison d'avoir peur, ça ne vas pas être très confortable. Ça va probablement te faire transpirer et sangloter un peu, comme d'habitude. Mais ce dont tu devrais vraiment avoir peur, c'est la fessée que tu vas recevoir si, au moment où je me retourne, je ne te vois pas avec la blouse retroussée, la culotte enlevée, et ton cu-cul tout nu.»Rouge de honte de devoir faire ça devant tante Josette, j'obéis, comme je le faisais chaque fois qu'elle m'ordonnait quelque chose. Aussi, quand elle se retourna, le sac à la main, elle eut un grand sourire:
»- Là .. Bien, c'est un bon petit garçon, mon petit pleurnichard, mon petit bébé gémissant avec ses fesses nues et exposées. Maintenant, va te coucher sur la table, mets toi sur le côté gauche...»Je répondis:
- «Mais Tatie! Tu me mets toujours en travers de tes genoux pour me faire mon lavement!»
- «Espèce de petit pervers dégoûtant! Nous savons pourquoi tu veux passer être couché sur mes genoux, n'est-ce pas Josette? Pour que tu puisses frotter ta petite saucisse sur mes cuisses et prétendre que c'est le lavement qui te fait gémir, alors que tu essaies de te donner du plaisir. Eh bien, j'ai vu les dégâts que tu as fait sur tes draps ces derniers temps, et je ne veux pas de tes dégâts sur mon tablier, merci beaucoup!»
- «Oh, s'il te plait, tante Pierrette! Je n'ai jamais fait ça!»
- «Qu'est-ce que tu en penses, Josette? Je pourrais lui donner une fessée parce que c'est un petit pervers, puis le branler dans un torchon pour qu'il ne fasse pas de dégâts... Oh, fais pas cette tête, Joselle! Je sais que tu penses que je suis trop gentille avec lui. Mais tu sais, c'est un gentil petit pleurnichard, et je ne peux pas m'empêcher d'avoir un faible pour ce petit bébé qui a tant besoin de moi. Tu ne sais pas ce que c'est de s'occuper de lui si tu n'as pas essayé. tiens, au fait, pourquoi pas? Mon bébé, tante Josette va te mettre sur SES genoux et te faire ton lavement.»Josette réagit en riant:
- «Pierrette, qu'est ce que tu dis? Quelle drôle d'idée.»
- «Oh, allez, Josette! Ne sois pas comme ça. Je veux que tu sentes à quel point il est vraiment adorable, se blottissant contre toi, se tortillant, sur toi, surtout quand le lavement devient vraiment inconfortable et commence à le faire transpirer et trembler. Essaye pour voir, une fois. Après tout, c'est autant ton neveu que le mien.»
- «Bon... D'accord, mais on ne va pas le branler avant. Le petit pervers va juste devoir se contrôler, et s'il ne peut pas se retenir, alors je lui donnerai une fessée, il aura gagné ça en plus!»
- «C'est la méthode de la maison, Josette! Allez, bébé pleurnichard, je vais m'asseoir juste à côté de tante Josette, et tenir ta tête sur mes genoux pendant qu'elle te fait ton lavement. Ah, Josette, avant de t'asseoir, mets toi mon grand tablier de caoutchouc par dessus ta blouse, c'est comme ça que je fais toujours.»Tante Josette décrocha le tablier, se l'attacha, et posa tout le matériel à côté d'elle.
- «Allez, petit garçon, sur mes genoux. Commençons par une grosse goutte de lubrifiant sur ton petit trou de cul. Là. Maintenant, je vais commencer à te bien te lubrifier.»Je dus me coucher en travers du tablier de tante Josette, le tablier de caoutchouc, ma quéquette sur le caoutchouc, ma blouse retroussée. Ma tante Pierrette s'était assise à côté, elle avait son tablier-taille sur sa blouse, le tablier dans lequel elle essuyait toujours ses mains, il était blanc, mais jamais très propre. J'enfouis mon visage dans les genoux de tante Pierrette, dans le tablier humide, chaud et excitant. Les doigts de tante Josette s'enfonçaient de plus en plus profondément en moi, et j'essayais de ne pas frotter d'avant en arrière là où quéquette reposait sur ses cuisses.
Tante Josette me lubrifia, pendant que Tante Pierrette enfouissait mon visage dans son tablier, en me caressant la tête. Puis elle aida sa soeur, après que Tante Josette m'ait mis la canule, en soulevant le sac à lavement. Et le lavement commença, emplissant mon ventre, me gonflant, me donnant des crampes et, aussi, du plaisir, je l'avoue.
Plus tard, après avoir haleté et gémit pendant le lavement aussi inconfortable et embarrassant que ceux que tante Pierrette avait l'habitude de m'infliger, je dus subir la suite de la punition, après, bien sûr, m'être libéré dans une cuvette, sous le regard de mes deux tantes.
J'avais, bien sûr, à force de me frotter et de me tortiller, éjaculé dans le tablier de caoutchouc. Personne ne s'attendait vraiment à ce que je sois capable de me contrôler, n'est-ce pas? Les pleurnicheurs ne se contrôlent pas. Ils ont besoin de mamans pour faire ça et leur donner une fessée quand ils ont été méchants. De mamans ou de tantes…
Je dus donc me mettre à genoux sur un petit tabouret, le cu-cul nu, bien sûr, retroussant ma blouse, devant ma tante Pierrette, toujours assise sur la chaise devant moi, tout près d'elle. Tante Pierrrette tenait mon visage contre sa poitrine, à travers sa blouse, pendant que tante Josette regardait mon petit fessier qui attendait la fessée qu'elle m'avait promise. Debout derrière moi, tante Pierrette commença à me claquer les fesses. Je commençais, comme à mon habitude, à sangloter et à pleurnicher.
- «C'est bon, bébé. C'est bon si tu veux crier ou pleurer, mais tu supporteras mieux ma fessées si tu suces juste le sein de tante quand ça fait trop mal. Pierrette, donne-lui le sein à ce gros bébé.»Ma tante Pierrette ouvrit sa blouse, elle ne portait pas de soutien-gorge, dessus, et sortit ses seins, des seins de nourrice, lourds et tombants.
- «C'est bon, tu peux sucer aussi fort que tu en as besoin. Tatie peut le supporter. Juste une chose que tu ne peux pas faire est de dire à Tatie Josette d'arrêter.»J'avais fait cette erreur une fois quand tante Pierrette me fessait, et cela m'avait valu une fessée trois fois plus longue et plus douloureuse.
Je reçus donc ma fessée de tante Josette, agenouillé face à tante Pierrette, le nez entre ses seins. Quand la fessée fut enfin terminée et que je me retrouvai seul recroquevillé en sanglotant dans le coin du canapé, j'entendis tante Josette dire à tante Pierrette:
- «Je reviendrait demain, il est vraiment gentil ce petit pleurnichard, c'est un plaisir de s'occuper de lui.»
Tags : Lavement, Fessée, Tablier à bavette
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