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La servante
Ceci est un texte original de votre servante Marie-Souillon.
L'arrivée
Ce soir, ma femme reçoit quelques amies qui travaillent dans le même magasin d'alimentation qu'elle. Elles sont très intimes, et nos soirées le sont aussi. J'ai l'habitude de les servir comme une bonne, aussi je me suis habillé d'une petite culotte, d'une jolie blouse rose, d'un petit tablier blanc avec des volants, et d'une coiffe assortie. J'ai les pieds nus dans des mules blanches. Quand elles sonnent à la porte, je vais dans la cuisine pour préparer les apéritifs.J'entends ma maîtresse qui leur propose de se changer pour se mettre à l'aise, puis elles bavardent toutes les quatre, en prenant l'apéritif. Sur un ordre de ma maîtresse, je rentre dans la pièce en m'essuyant les mains dans mon torchon. Les trois invitées sont nues sous des blouses ou des petites robes-tabliers. La première est une femme d'environ quarante-cinq ans, grande et très forte : environ 1 mètre 75 pour 85 kilos; elle s'appelle Maryse. Elle est venue avec sa fille Manou, une adolescente grassouillette qui a près de 18 ans. La troisième est une noire bien en chair, Clarisse. Elles éclatent de rire en me voyant.
- "Vous connaissez Charlotte, dit ma maîtresse. Vous voulez lui faire la bise ?"
- "Oh non, elle est trop ridicule. Viens plutôt nous baiser les mains, Charlotte."
C'est Clarisse qui a parlé, et elle me tend ses mains, que je prends délicatement dans les miennes pour les embrasser et les suçoter. Elles rit quand ma langue les caresse, passant entre les doigts, dans la paume. Maryse et Manou font de même, et je m'attarde sur ceux de cette dernière quand ma maîtresse m'interrompt.
- "Souillon, nous allons passer à table !"
Le repas
Dans ma tenue de soubrette, je les sers à table où elles ont pris place. Entre mes interventions, je me tiens debout derrière ma maîtresse. Celle-ci, me jugeant trop digne, m'envoie chercher le martinet. Elle me fait tourner le dos aux convives, retrousse ma blouse sur mon cul et la passe dans la ceinture de mon tablier, puis baisse ma culotte sur les cuisses. Dix coups font rosir mes fesses, et je continue mon service avec le cul à l'air, entravée par la culotte qu'elle n'a pas remontée. De temps en temps, une dîneuse me fait agenouiller et me donne dans sa main quelque chose à manger, ce que je fais en léchant bien la main et en remerciant. De même, il arrive qu'une d'entre elles me reproche une faute légère. Ma maîtresse prends alors le martinet et m'en cingle les miches une ou deux fois, ce qui amuse beaucoup ses invitées.Pendant le repas, la conversation vient sur Manou. Maryse raconte comment depuis toujours, elle fesse sa fille pour la punir.
- "Et ça fait des enfants bien élevés, n'est-ce-pas, Manou?"
- "Oui maman."
- "Le tout, c'est d'avoir de la méthode. Je ne la punis pas tout de suite, sur un accès de colère. Je marque ses fautes sur un petit carnet, et je règle tout le samedi soir. A genoux devant moi, je lui fais lire le carnet, et je décide de la longueur de la punition, ainsi que de sa dureté. Ça peut aller de 20 claques à la main sur la culotte, quand il n'y a que des peccadilles, à 100 coups de martinet, dont 30 sur les cuisses, comme une fois où elle m'a fait enrager. Après, je l'envoie au piquet, une bonne heure: ça lui donne l'occasion de se tenir bien droite!"
Tout le repas se passe comme ça, jusqu'au dessert. Je débarrasse ensuite la table pendant qu'elles me suivent à la cuisine et s'y installent.
La punition à la cuisine
Je dois enlever ma tenue de soubrette, pour mettre une vieille blouse et par dessus un grand tablier à bavette rose, plus de culotte, mais un grand torchon sur les cheveux. Mes pieds sont entravés avec une ceinture de tablier, et mes mains attachées derrière le dos. Pendant ce temps, les invitées ont mis chacune un tablier et une coiffe : elles vont être mes punisseuses, mes saucissonneuses.
- "Est-ce que Charlotte vous a bien servi ?" demande ma maîtresse.
- "Elle a encore des progrès à faire, répond Maryse, quelques fautes doivent être châtiées."
- "Alors, Souillon, qu'attends-tu pour aller demander pardon ?"
Je baisse la tête et, à genoux, je vais aux pieds de la convive mécontente.
- "Je te demande humblement pardon, belle saucissonneuse, de la façon dont j'ai fait mon service. Punis-moi, fesse-moi, je le mérite."
Elle me tend son pied à baiser, ce que je fais, puis l'autre ensuite, en continuant à m'humilier.
- "Je baise les pieds qui te portent, fesseuse adorée." Puis, commentant mes gestes : "Je baise les genoux sur lesquels tu vas me coucher, la main qui va me maintenir, la main qui va me frapper, je lèche le tablier où tu vas me prendre."
Enfin, elle me couche en travers de ses genoux, de la main gauche retrousse mon tablier sur mon cul nu et me tient solidement, et abat l'autre main sur mes fesses, en cadence. La punition finie ma fesseuse retrousse sa blouse et écarte les cuisses, pour que je la remercie en lui léchant la tartoune, ce que je fais bien volontiers.
Mangerie sale
- "Maintenant que tu as été punie, tu as bien le droit de manger !"
Ma maîtresse vide les restes de hors d'œuvre des assiettes dans un torchon et le pose sur les genoux de Manou. Il y a du pâté, de la salade de riz avec un tas de choses dedans. Elle me noue un torchon en guise de bavoir, et je dois manger ainsi, agenouillée devant une de mes punisseuses, sans les mains, comme une cochonne. Le nez dans le torchon, je mange les restes de jambon, de pâté, de crudités. Manou s'amuse beaucoup de cette situation. Elle me mets le nez dans la nourriture, de temps en temps elle mets les mains dedans pour me fourrer un morceau dans la bouche.Maryse dit :
- "Vous savez, quand Manou était petite et qu'elle ne voulait pas manger, je la punissais comme ça. Une fessée et puis après, manger à genoux devant moi, à la cuillère ou comme ça, comme une petite cochonne; n'est-ce pas, Manou ?"
Manou rougit, je le vois en levant la tête. Ma maîtresse me reprend :
- "Pourquoi lèves-tu le nez ? Ça ne te plaît pas ? Tu vas voir !"
Elle me relève la tête, se racle la gorge, ouvre la bouche et me laisse tomber sur le visage un gros crachat. Il me coule sur la joue, puis dans la bouche. Je dois l'avaler, pendant qu'elle me fait couler un filet de salive dessus, puis je recommence à manger.
- "Allez, dit-elle, assaisonnez un peu le plat, vous aussi."
Clarisse vient et crache dans le torchon, sur un morceau d'œuf dur. Maryse fait de même. Manou, pour ne pas être en reste, bave abondamment et la salive coule de sa bouche sur le torchon qui me sert d'assiette. Je mange quand même ces aliments mouillés de la bave de mes maîtresses, et je finis le torchon. Manou, gentiment, m'essuie avec mon bavoir.
Les devinettes
Ma maîtresse me délie les mains et me fait agenouiller, puis elle me bande les yeux.
- "Nous allons jouer aux devinettes, Souillon ! Tu devras dira laquelle de nous s'occupe de toi. Tu n'as droit qu'à une erreur par devinette, à la seconde ça sera un coup sur les fesses."
Et, les yeux bandés, je dois deviner quelle est la punisseuse qui me donne un nichon à téter, d'abord, ou bien sa main à baiser. Je répond un peu au hasard et, si je ne suis pas tombé juste à la deuxième fois, j'ai droit à une claque sur les miches, ce qui m'arrive souvent. Le jeu continue avec les culs qu'elles plaquent sur ma figure, puis avec les pieds que, après m'être mise à quatre pattes, je dois lécher.
Enfin, je dois deviner qui me fesse. Après chaque claque, je dis un nom. Si je me suis trompée, une autre claque suit la première. Si j'ai deviné, mes maîtresses me rafraîchissent les miches avec un torchon mouillé, ce qui m'apaise un instant.
Que c'est humiliant d'être ainsi la risée de toutes, agenouillée et impuissante, les yeux bandés par un torchon sale, le cul offert à mes maîtresses…
Enfin, je suis couchée sur le dos pour continuer le jeu. Je dois deviner qui me chatouille les pieds, ou bien qui me caresse. La punition en cas d'erreur devient plus légère: un coup de torchon, par exemple. La devinette suivante est une pachole posée sur ma figure. Et ensuite, je dois trouver laquelle de mes tourmenteuses s'assoit sur ma saucisse tendue pour l'entourer de sa pachole humide. Si je me trompe, elle se lève, mais une autre la remplace, et je dois sucer la mounine de celle que je n'ai pas su reconnaître. A ce jeu-là, je lâche bien vite ma crème dans une tartoune humide.
Marie-tinette
Je vais ensuite faire la vaisselle, pendant que mes punisseuses me regardent, assises dans la cuisine, en parlant de cuisine ou d'autres choses du métier. J'entends un bruit de pet, et je sens son odeur, comme je suis en train de finir de ranger. Annette dit :
- "J'ai envie de chier après ce repas. Pas vous ?"
- "Oui, moi aussi", dit Clarisse, et elle lâche un gros pet sonore.
- "Eh bien, Souillon va nous aider, puisqu'elle a fini la vaisselle. Va chercher un saladier et des torchons !"
Obéissant à ma maîtresse, j'étale par terre une toile cirée, et j'y pose un torchon propre. Puis je m'agenouille en face avec le saladier. Annette s'accroupit sur le torchon et retrousse sa blouse. Je place le saladier entre ses jambes et elle commence à pisser dedans. Son jet coule dru, sur les bords, puis dans le liquide, avec un bruit pressé, comme longtemps retenu. La pisse chaude fume un peu, son odeur envahit la pièce.
- "Quelle pisseuse tu fais, ma connasse !" dit Clarisse.
Je mets le saladier de côté et ma maîtresse commence à chier. Je suis en face d'elle, je vois son visage qui rougit pendant qu'elle pousse, j'entends un bruit mou, et la bonne odeur de la merde s'ajoute à celle de la pisse. Elle continue à chier en me souriant, puis se relève. Je vois deux belles saucisses marron dans le torchon, l'une au dessus de l'autre, en travers. Annette les regarde d'un air satisfait.
- "Torche-moi, fait-elle en me tournant le dos !"
Avec un torchon, je lui essuie tendrement les fesses, l'extrémité de la raie culière, l'entrecuisses et le trou du cul.
- "Merci Souillon. Allez, à toi, Clarisse. Mets un nouveau torchon et tends lui le saladier."
Clarisse s'accroupit et relève sa blouse sur ses cuisses splendides. Sa motte est épaisse et très frisée. Je sens déjà son odeur forte de femme et de négresse. Elle lâche un pet, et pisse dans le saladier à demi-plein du jus de ma maîtresse. Quand elle a fini, elle me demande de passer derrière elle, ce que je fais. Je vois son gros cul s'ouvrir doucement; au fond de la raie, la peau du trou est plus pâle. Il se dilate, et je vois apparaître un bout de merde, qui sort peu à peu. C'est un bel estron, et je le prends dans la main pour le soutenir, afin qu'il ne se casse pas en tombant. Clarisse en chie une douzaine de centimètres, puis l'estron se casse au ras du troufignon. C'est fini, je dépose délicatement le gros boudin puant dans le torchon.Clarisse ne me tends pas son cul à torcher, mais rabaisse tout de suite sa blouse : elle aime garder l'entrecuisses merdeuse. Je m'essuie les mains dans mon torchon.
- "Ma merde ne te plait pas, Souillon ?"
- "Si maîtresse, je l'aime beaucoup. Je la trouve très belle."
- "Embrasse-là, alors; je te donne ma permission."
Je prends délicatement le torchon dans lequel repose son gros estron, et je le lève jusqu'à mon visage. L'odeur me chatouille les narines. Je pose délicatement ma bouche sur la merde, et je sens son goût âcre sur mes lèvres. Mes maîtresses éclatent de rire.
- "Et la mienne, Souillon, dit ma maîtresse Annette, tu l'aimes moins ? Si tu embrasses la merde de Clarisse, tu peux lécher la mienne. Allez, couche-toi!"
Je me couche devant le torchon où sont les deux merdes d'Annette. Je passe la langue sur une, puis sur l'autre. Leur goût est un peu différent, mais tout aussi fort. Je les lèche consciencieusement, mais j'entends ma maîtresse qui dit :
- "Notre pisse est encore chaude; tu ne veux pas prendre un bain de pieds, Maryse ?"
Le bain de pieds
Manou m'enlève les estrons de devant, et les remplace par le saladier plein de la pisse de mes maîtresses. Sa mère tire une chaise devant moi et s'y assoit.
- "Ote-moi mes mules!" dit-elle.
Je les lui retire; ses pieds sentent moins fort que quand elle est arrivée, mais ils sont toujours aussi grassouillets, avec des orteils boudinés et serrés. Elle les trempe dans le saladier de pisse et y barbote un instant. Puis elle en sort un.
- "Essuie-moi, ma petite Charlotte."
Je lui lèche le pied, avalant la pisse mêlée d'Annette et de Clarisse. Elle est salée, mais déjà froide. Je passe bien la langue entre les doigts, ce qui la chatouille un peu. Je les suce, l'un après l'autre. Quand j'ai fini, elle sort l'autre pied et retrempe le premier. Je recommence ainsi et lui lèche chaque peton deux ou trois fois. Pendant ce temps, elle parle avec sa fille.
- "Je crois que je vais t'obliger à me lécher les pieds tous les soirs, Manou! C'est si bon, et je n'ai personne d'autre à la maison pour me le faire."
- "Allez, Maryse, dit Annette, n'embête pas cette petite. Tiens, Manou, je vais te faire plaisir. Je parie qu'à ton âge, tu n'as jamais fait tes besoins sur quelqu'un."
- "C'est une délicate attention, Annette, dit Maryse. Allez, Manou, essaie, ça va te plaire."
Un cadeau pour Manou
- "Déshabille-toi, Souillon, mets-toi à poil!" dit ma maîtresse.
J'enlève mon grand tablier rose et ma blouse blanche, et je suis nue. Pendant ce temps, Clarisse étale sur la toile cirée des torchons et des nappes. Sur un signe d'Annette, je m'y couche sur le dos, les bras sur le côté. Clarisse m'attache les pieds ensemble, et, avec des liens, attache chacune de mes mains à une cuisse. Puis, elle tasse les torchons autour de ma tête et de mes hanches, ainsi qu'entre mes cuisses serrées.
Manou se campe devant moi et retrousse sa blouse, la passant dans sa ceinture. Je peux voir ses grosses cuisses roses et sa pachole grasse, qui n'a que très peu de poils, montrant ses lèvres déjà mouillées. Elle m'enjambe, et s'accroupit sur mon sexe, sans le toucher. Elle interroge du regard sa mère ou Annette, je ne sais pas.
- "Allez, vas-y, pisse-lui sur la saucisse!"
- "Pss, pss, pss…"
Elle écarte encore un peu les cuisses, et lâche son jet doré. La pisse est brûlante, elle m'inonde le boudin et les couilles. Heureusement qu'il y a des torchons pour l'absorber. Le bruit de son jet est adorable, il me fait autant bander que la chaleur de son urine.
- "Allez Manou, sur sa figure maintenant."
Elle s'arrête de pisser au bout d'un instant et, sans se redresser, s'avance sur mon visage. Je vois sa moule grasse qui me surplombe, mais je dois vite fermer les yeux, car elle recommence à pisser. Le jus chaud tombe sur mon visage, coule le long de mes joues. Là encore, les torchons dont je suis entouré sont utiles. J'ouvre la bouche, et j'avale sa pisse; elle est salée, à peine écœurante, c'est délicieux… J'en bois bien l'équivalent d'une tasse avant que la source dorée se tarisse.
- "C'est bon, hein? Chie-lui sur les couilles, maintenant."
Manou se lève, se retourne et s'accroupit à nouveau sur ma saucisse. Elle lache un pet, et commence à chier sur mon boudin. Son cul s'écarte, son troufignon se dilate, et la merde tombe sur moi, jaune et très molle, coulante et collante. Elle a sans doute la chiasse. Les merdes tombent sur ma bite et sur mes couilles, se collent dans les poils. La raie du cul de Manou se barbouille d'or.
- "Alors, quel effet ça te fait?" dit Maryse
- "Oh, c'est merveilleux, à mon âge, de pouvoir chier sur un homme!"
- "Finis en beauté, maintenant, chie-lui sur la figure."
Elle se recule. Son cul est sur ma tête. Au passage, elle a un peu laché sur mon ventre. Les dernières merdes se pressent dans son anus, et tombent sur mes joues, sur mon nez et sur mes lèvres. Je suis barbouillé de caca jaune et puant. Manou se relève, radieuse.
- "Je peux faire des pâtés?"
- "Bien sûr, réponds Annette, prends aussi les autres."
Manou, la blouse toujours relevée, va chercher les merdes de Maryse et de Clarisse dans leurs torchons. Elle les prends dans la main et me les étale sur le corps et sur le visage. Elle y prend un plaisir innocent de petite fille, et je suis vite enduit de merdes de toutes provenances.- "Mais tu es toute excitée, Manou, dit Maryse. Il faut te satisfaire. Allez, fais-toi enfiler par Charlotte."
- "Mais maman, elle est sale!"
- "Ça ne fait rien, allez!"
Manou écarte les cuisses et s'asseoit sur mon boudin dressé, maculé de taches de merde. Maryse lui déboutonne la blouse et la lui enlève. Manou est nue, assise sur moi. Ses nichons sont gros, mais à 18 ans ils sont durs, et ne tombent pas comme ceux de sa mère. Clarisse vient derrière Manou, la prend aux épaules, et la force à se coucher sur moi.
- "Non, il est plein de merde!"
- "Ah, rit Clarisse, ça fait partie du plaisir, petite!"
Elle maintient Manou couchée sur moi, la force à frotter son visage contre le mien, qu'elle avait tout à l'heure barbouillé de caca. En même temps, sa mère prend un martinet et commence à la fesser. Sous les coups, Manou se tortille, secoue ses hanches, remue du cul, s'empale plus profondément sur moi.
- "Petite salope, merdeuse, dit sa mère. Vous voilà deux merdeuses ensemble."
Le bruit des cinglades de martinet sur le cul de Manou me réjouit. Pour elle, la correction n'est pas très sévère. Elle mouille de plus en plus, et je crache dans sa pachole ma crème virile, pendant que le plaisir déforme ses traits d'adolescente vicieuse.
Tags : Humiliation, Domination/soumission
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