• La révélation épisode 7

     Un récit de mon amie Clodinette, écrit avec mon aide.


     La révélation Épisode 7

     

    En couche dans le magasin

     

    Je ne sais pas si vous avez déjà eu l'occasion de vous balader dans un grand magasin plein de monde avec une couche au derrière mais la hantise est de se faire repérer ainsi équipée. On a l'impression d'avoir un derrière énorme, et le bruissement que fait le caoutchouc de la culotte de protection semble aussi sonore qu'un vibromasseur en action dans un vagin. En réalité il passe inaperçu ans le brouhaha de l'environnement sonore.

    Nous voilà dans les allées de la grande surface. Je n'en mène pas large, craignant que les gens remarquent le volume de mon derrière; mais cela ne semble pas trop attirer l'attention.

    Mon épouse me surveille du coin de l’œil avec un petit sourire ironique:
    - N'oublie pas que tu dois me prévenir si tu as envie, je veux te regarder faire dans ta couche.

    Pour le moment rien ne vient et cela me rassure; je suis partagée entre deux sentiments, tenir jusqu'à la fin des courses car j'aurais trop honte de me mouiller et surtout que cela puisse se voir, et un secret désir que j'ai déjà depuis longtemps, de satisfaire un vieux fantasme: faire pipi dans ma culotte comme cela m'était arrivé dans mon enfance un jour chez une de mes tantes.

    J'étais en villégiature chez elle. Elle recevait des amies et avait offert des rafraîchissement, jus de fruits et sodas. Je raffolais de ça, il faisait chaud et malgré l'avertissement de ma tante de ne pas trop boire, profitant de son inattention, elle était bavarde et absorbée par les conversations, j'avais repris plusieurs fois de cette excellente limonade. Tant et si bien qu'une envie subite de pipi m'a envahi et que je n'ai pas eu le temps d'aller aux toilettes et je me suis oublié dans ma culotte... J'étais assise sur son beau divan en velours rouge... Et quand je me suis levée, j'avais le fond de ma culotte tout mouillé, et il y avait une magnifique auréole sur le divan. Ma tante était une grande femme qui m'avait toujours impressionnée mais là, sa colère subite m'a littéralement pétrifié:
    - Regardez ce que ce petit salopard à fait sur mon beau divan !

    Ma tante avait plusieurs chiens et pour les dresser elle utilisait un petit martinet à manche en bois qu'elle avait toujours sous la main. Elle n'hésita pas une seconde, elle s'en saisit de la main droite, m'attrape par le cou de la main gauche, me plie en deux sur son genou et m'administre une bonne volée de coups de martinet sur les fesses et les cuisses nues (j'étais en short) puis elle m'a fait sortir sur ma terrasse et m'a mis face au mur en plein soleil en disant:
    - Tu vas sécher comme ça, vilain garnement.

    Mais revenons dans le magasin.
    Je ne sentais pas le pipi venir: tant mieux. Mais cela ne satisfait pas mon épouse qui visiblement voulait me mettre à l'épreuve. Elle me prend par la main comme un gamin et me conduit vers une fontaine à eau installée dans un coin. Elle me sert un verre, puis deux:
    - Bois mon chéri, c'est très bon pour la santé!

    Et nous continuons les courses.
    En passant dans le rayon des boissons, l'influence des deux verres, augmentée de la vue de toutes ces bouteilles rutilantes, eut pour effet de gonfler ma vessie, et je sentais une envie de faire pipi m’envahir inexorablement. Je me tourne vers mon épouse avec un regard éploré. Elle comprend que le moment est venue et dit:
    - Va mon petit, laisse-toi aller; soulages-toi, tu verras comme tu te sentiras mieux après!

    Je ne tiens plus et accepte l'inconcevable: faire pipi comme un enfant malpropre ou incontinent dans sa culotte et, suprême humiliation, dans un lieu public.
    Ça y est je vais faire, je me laisse aller et à ce moment, par je ne sais quel phénomène de blocage instinctif, rien ne sort, j'ai très envie, ça me fait presque mal mais le pipi ne coule pas!
    - Alors ça vient! s'exclame ma femme, on ne va pas rester planter là une heure en attendant que tu fasses ton pipi!

    Je crois que le phénomène est bien connu, l'interdit acquit par l'éducation à la propreté dans l'enfance est si fort que, même volontairement, faire pipi dans la culotte est difficile, voire impossible pour certains. Je connais une copine qui voudrait bien faire cette expérience et qui n'y est jamais arrivée.

    Madame ne l'entend pas de cette oreille, elle m'entraine à nouveau vers la fontaine et m'oblige à boire deux nouveaux verres d'eau.
    - On va bien voir!

    On a vu. Quelques minutes plus tard, je m’arrête, me tourne vers mon épouse, je sens que ça vient, un premier jet sort, une dernière retenue instinctive et ça coule à flot, ça se répand partout, une chaleur jouissive gagne tout mon bas ventre, s'insinue entre mes fesses, mes yeux se remplissent de larmes, je voudrais stopper l’écoulement je ne peux plus, je pense que je vais m'inonder.

    Mon épouse me regarde avec tendresse et ironie:
    - C'est bien mon petit garçon, mais tu n'as pas honte de faire pipi dans ta culotte comme un sale gamin, quand nous serons rentrés à la maison tu seras puni comme tu le mérite! Continuons les courses.

    Cette déclaration me trouble beaucoup et provoque une excitation de mon pénis qui se dresse dans l'humidité de la couche. Je ne me contrôle plus.
    Alors le calvaire commence pour moi. Après la sensation, je l'avoue agréable, de cette chaleur humide qui m'envahit, la masse liquide se refroidi et devient gênante, à chaque pas cela fait «cloc cloc  entre mes cuisses.

    Je me dis que cela va forcément mouiller mon fond de pantalon et se voir. Je me tâte avec inquiétude et angoisse. Non rien c'est toujours sec: ouf!

    Mais voilà j'ai trop bu et quelques minutes après une nouvelle envie me presse et c'est reparti, je refais pipi sans pouvoir m’arrêter. Cette fois, et compte tenu de la position de ma verge qui s'est dressée vers le haut, je sens le liquide remonter le long de mon ventre presque jusqu'à la ceinture, je suis pris de panique, pourvu que la culotte caoutchouc produise son effet de protection. J'ai l'impression que tout le bas de mon corps est dans un bassin liquide. Je sens quelque chose de bizarre au niveau de mon pantalon je glisse ma main derrière: horreur je sens du mouillé, et là c'est la panique.

    J’entraine mon épouse dans un coin un peu tranquille du magasin:
    -Je crois que ça a traversé et que je mouille mon pantalon... Qu'est ce que je dois faire? Je retourne à la voiture?
    - Non tu restes là, tu as fait trop de pipi  Tant pis pour toi mais à partir de maintenant marche derrière moi à quelques pas. Je ne te connais plus sale, dégoutant!

    J'essaye de me défendre maladroitement en lui disant:
    - J'ai senti aussi que les linges que tu m'as mis étaient pas bien ajustés, tout cela a bougé, descendu, et descendu dans le fond de mon pantalon, c'est peut-être pour ça que ça a fuit et…

    Je n'ai pas le temps de terminer ma phrase, je reçois une gifle.
    - Ah oui, c’est toi le sale pisseux pervers et tu oses m’accuser… Tu aggraves ton cas.

    Puis, consciente que l'on nous regarde, elle se calme et reprend plus doucement:
    - Oui peut-être que je ne t'ai pas très bien langée, je ne suis pas une professionnelle moi, mais j’ai fait avec ce que tu avais caché dans le grenier.
    Et elle ajoute avec un sourire goguenard:
    - Tu sais, il existe maintenant des changes beaucoup plus pratiques et efficaces pour les adultes incontinents.

    Et elle m’entraîne vers le rayon hygiène féminine et incontinence et me montre les gros paquets de couches culotte et changes complets:
    - Regarde voilà ce qu'il te faudra à l'avenir mon chéri! On en reparlera.

    Je suis atterrée et cette fois je sens que je perds complètement le contrôle et que je vais être entrainée dans une spirale infernale. La honte m'envahit, heureusement, ma veste cache, du moins je l'espère, le bas de mon dos, j'ai peur aussi que cela sente mauvais. Je marche comme un canard et j'ai l’impression qu'à chaque pas l'inondation s'étend et mouille de plus en plus mon pantalon.

    Les courses sont enfin terminées, mon épouse me dit cette fois de marcher devant elle pour rejoindre la voiture, je sens son regard moqueur sur ma démarche onduleuse, je serre les fesses et cela me fait me tortiller.

    A la voiture, elle ouvre la porte arrière, mets sur le siège un sac de course pour protéger la banquette:
    - Monte là sale pissou.

    Elle m'attache la ceinture je me sens vraiment comme un gosse honteux et humilié. Elle me regarde avec sévérité, se met au volant:
    - Rentrons à la maison.

    A suivre .../... 


     

    Comme précédemment, les lecteurs(trices) sont invités à faire des commentaires et des suggestions sur le déroulement de l’épisode et à suggérer des idées sur ce qui pourrait se passer au retour «à la maison».

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  • Commentaires

    1
    Dimanche 23 Mai 2021 à 16:11
    Fifine

    Coucou, 

    Une situation identique que j'ai vécue dans un cabinet notarial et je pense qu'après mon départ le fauteuil où j'étais assise a dû intrigué la dame notaire ainsi que son futur client ou cliente. 

    La petite little ce jour là aurait mérité une bonne fessée de la part de la propriétaire des lieux et bien d'autres tourments qui l'ont fait fantasmer dans ses pensées mais c'est certain, cette souillon aura vécue un moment jouissif et inoubliable.

    elle titille de joie à lire la suite de ce pauvre bébé baignant dans ses dessous et son trajet de retour à la maison

    bisous, Fifine

    2
    clodinette
    Lundi 24 Mai 2021 à 11:40

    tu devrais avoir honte, Chère Fifine d'avoir certainement fait exprès de faire pipi sur ton siège en face de cette dame notairesse qui devait probablement te faire fantasmer ! à moins que ce ne soit l'annonce d'un gros héritage qui t'a tellement troublée pour que tu laisses les vannes s'ouvrir !

    merci pour ton commentaire !

    Bisous Clodinette



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