• La révélation Episode 3

     Un récit de mon amie Clodinette, écrit avec mon aide.


     La révélation Épisode 3

     

    Punitions

    Je suis au coin «comme un sale gamin» a-t-elle dit... Et ce n'est pas moi qui ai choisi cette situation. Cela aussi est nouveau pour moi. Jusqu'à maintenant, que ce soit par fantasme, seule ou avec des «copines» sur les chats en imaginant  des scénarios comme on dit dans notre milieu, pour satisfaire mes pulsions ou quand j'allais me dépraver avec des professionnelles, c'était toujours moi qui décidait et prenait l’initiative des actions entreprises, qu'elles soient virtuelles ou réelles, mais maintenant depuis que mon épouse, je ne sais pas encore exactement pourquoi, a pris les choses en main, je me sens vraiment dans un ÉTAT DE SOUMISSION et de dépendance qui m'est imposé. Cette situation m'inquiète mais me ravit même temps.

    Je ne l'entends plus derrière moi, je crois qu'elle est partie. Je laisse tomber ma jupe et tente de me retourner. Elle est revenue sans bruit pour voir ce que je fais. Je me sens encore plus fautive... Elle me rappelle à l'ordre car elle est toujours derrière moi:
    - Je t’avais dit de ne pas bouger, désobéissant! Relève tes jupes et colle ton nez dans le coin!

    J'entends un déclic, et je comprends qu'elle prend des photos! Que veut-elle faire de ces photos où je suis dans cette tenue de boniche... J'ai honte!

    - Pour avoir désobéi, mets-toi à genoux maintenant mains derrière la tête et attend que je t'appelle.

    J'obéis et j'attends. Je n'ai pas le choix.

    Dans ma tête mes pensées se bousculent, en désordre et contradictoires. Qu'est ce qui me pousse à rester dans cette tenue le nez contre le mur et le cul à l'air? Qu'est ce qui m’empêche d'enlever ces oripeaux et de remettre mes vêtements d'homme libre?

    Je ne peux m’empêcher de ressentir une certaine jouissance en cet état et malgré ma gène mon sexe se raidi et gonfle irrémédiablement ma culotte. Et, après avoir subrepticement jeté un coup d'œil derrière pour voir si elle n'était pas là, j'ai commencé à me caresser à travers le tissu de ma culotte, et je me dis: «Pourvu qu'elles ne me voit pas dans cet état!»

    A ce moment précis elle revient et me dit sur un ton impérieux:
    - Debout et retournes toi !

    Je suis tellement en état d'obéissance que j'en oublie de laisser tomber jupon et jupe, et bien sur elle remarque immédiatement la protubérance de ma culotte et s'exclame:
    - Et bien mon petit cochon! Qu'est ce qui te mets dans un état pareil? Tu n'as pas honte? Allez suis moi à genoux en gardant tes mains sur la tète!

    Je geins:
    - J'ai mal aux genoux…

    Elle a pitié de moi et de mon âge et m'autorise à me relever, mais je dois garder les mains sur la tête Nous voilà devant mon ordinateur; elle s'installe aux commandes et dit:
    - Voyons ensemble ce qu'il y a dans le secret de la mémoire de ces logiciels. J'ai vu beaucoup de choses très intéressantes... à propos d'arbre généalogique car c'est bien cela que tu fais quand tu passes beaucoup de temps devant ton écran! Tu as retrouvé des ancêtres très lointain, en particulier un homme de guerre qui aurait accompagné son seigneur aux croisades! Et tu as noté en commentaire que ce macho aurait, avant de partir, posé une ceinture de chasteté métallique à son épouse! Cela semble bien t'amuser et t'exciter... Avoue?

    Je baisse la tête et n'ose pas répondre.

    Elle prend une longue règle sur le bureau, m'en donne un coup sur la main et ordonne:
    - Réponds, vicieux!

    Je souffle un tout petit « oui... »

    Nouveau coup de règle plus fort sur ma main !
    - Oui qui…?
    - Oui Madame.
    - Et bien tu vois cette histoire de cage de chasteté m'a donné une idée... Je sais que ce genre d'instrument existe maintenant encore, mais surtout, tiens-toi bien, pour les hommes! Oui oui oui et utilisé par les femmes pour obliger leur mari volage à être fidèle! Nous en reparlerons! Bon, passons car il y a bien d'autres choses intéressantes dans cet ordinateur et certainement beaucoup plus excitantes pour toi. N'est-ce pas mon petit chéri? Et cela m'a expliqué pourquoi, bien souvent je t'ai vu revenir de ton bureau le visage coloré, les yeux brillants avec une expression que je voyais d'ordinaire sur ton visage dans certaines situation érotiques entre nous. Qu'est-ce donc qui t'excitait comme ça? Tu n'oses pas répondre?

    Et elle brandit sa règle une fois de plus!

    A ce moment j'ai su que c'en était fait de moi irrémédiablement et que certainement elle avait tout découvert de mes secrets que je croyais avoir si bien caché depuis des années. Aussi bien dans mon ordinateur que dans mes cachettes du grenier. Et tout ce que j'ai trouvé à répondre avec un air très penaud que je voulais repentant:
    - Oui c'est vrai ça m'excite et je te demande pardon !

    Et je me suis jeté, à, genoux, à ses pieds.

    Elle me prend par les cheveux et tire ma tête en arrière et en me regardant au plus profond des yeux:
    - Ne crois pas que tu vas t'en tirer comme ça! Et tu sauras qu'à partir de ce jour je ne pardonnerais jamais sans punir!

    Et elle me distribua encore quelques coups de règle sur la tête.
    - Continuons l’inventaire de ton ordinateur, j'ai vu que tu avais beaucoup de relations que je ne connais pas et surtout de la gent féminine… Encore que j'ai des doutes sur la nature exacte du sexe de ces personnes. Je cite: Fifine... Lisa… Joliblouse... Coralie… etc. Avec certaines photos qui révèlent que ces personnes n'ont de féminin que le prénom. En clair j'ai compris que c'était des garçons plus ou moins travestis. Et parmi toutes celles-la il y en a une en particulier avec laquelle tu corresponds assez fréquemment et échanges pour le moins des sentiments disons affectueux, voire amoureux. Une certaine Marinette à qui tu envoies des «ma chérie» par-ci, des ma «petite cochonne» par-là et des… Je n'ose même pas dire les épithètes que tu utilises pour t'adresser à elle et tout ce que tu fais ou qu’elle te fait par correspondance et visuellement. Et la meilleure de tous ces personnages, le pot aux roses (si l'on peut dire!) mais c'est toi qui va m'avouer qui elle est... celle qui signe les messages émanant de toi… QUI EST CETTE MARIE-ROSE…qui signe aussi certaines fois SOUILLONNE?

    Elle m'empoigne à nouveau par les cheveux (je suis toujours à genoux devant elle) me redresse la tête que je gardais baissée pendant toute l’énumération:
    - Alors réponds?

    Et là je réponds clairement et fermement:
    - Oui c'est moi et j'avoue tout, tout ce qu'il y a dans l'ordinateur et dans le grenier!

    Et à cet instant précis je ressens un immense soulagement tout mon corps se détend, des années de blocage et de tension se dénouent et je me mets à sangloter…

    Elle abandonne son attitude et son ton autoritaire et me dit:
    - Relève-toi et assieds-toi. Nous avons à causer sérieusement.

    A suivre.../...


     

    A ce stade de mon récit, avec l'accord de la responsable de ce blog, Marie-Charlotte, je voudrais faire une proposition à vous tous ami(es) lectrices, celle de vous faire participer à la suite du récit, d’avoir entre vous et moi une sorte d'interaction. 
    Par exemple, dans le récit, l'épouse de Marie-Rose (vous suivez j'espère et savez qui elles est!) va certainement décider de la punir. 

    Alors, le jeu que nous vous proposons est le suivant: en utilisant les commentaires, vous avec la possibilité de décrire : 
    - En quelle tenue vous imaginez que sera l'épouse pour punir son mari 
    - La tenue également du mari (alias Marie-Rose) 
    - Quelle sanction, punition, ou autre selon votre goût, elle lui infligera ... 

    Vous pouvez imaginer pour formuler vos propositions que vous êtes vous-même dans cette situation ou une situation comparable. D'ailleurs, si vous le voulez, vous pouvez nous proposer en quelques mots la situation que vous imaginez (ou vivez vous-même) et les rédacteurs se feront un plaisir de les développer ans un prochain récit.

    Nous comptons sur vous et vos participations pour animer et faire vivre ce blog. 


    Merci d'avance et à vos claviers! 

     

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  • Commentaires

    1
    Top
    Dimanche 25 Avril 2021 à 10:37
    Alors je commence
    Comme j'aime bien l'appeler Maritta (alias marie Rose)
    Un homme n'oubliez pas comme y a rien qui peut combler mes pulsions sexuelles
    Pas meme Marittta
    Voila donc je me retrouve sur une chaise attaché malgré moi
    4 à 5 jours j'essaye de garder les pieds sur terre de toute ma force puisque si c'est en passer par la alors on y va punie moi maritta fait ton kif
    Je vais tenir le plus longtemps possible par peur de ne pas mourir deux fois toute façon on va faire suivre et tapis même pour un jour Enfin
    Je pourrais un jour dire que j'ai pas LÂCHER tel est ma détermination c'est pourquoi j'ai soumis aux yeux de gens
    A vous
    2
    Lundi 26 Avril 2021 à 09:45

    Pour l'épouse je verrai bien en blouse blanche d'infirmière amidonnée, bien rêche, des grands grands blancs.

    Elle fait mettre Marie Rose tout(e) nu(e), lui enfourne sa culote dans la bouche, trop grosse elle déborde. Elle  l'attache sur le lit jambes écartées,

    Elle lui rase le pubis, puis lui pose une cage toute petite. Marie Rose voudrait bander mais impossible, cela fait mal restreint dans cette cage de fer. La honte monte à ses joues , sa femme-maitresse le voit : alors petite salope on fait moins la maline,  puis du bout de la langue elle lui lèche les couilles et le bout de la bite, la douleur s'accentue , impossible de grossir , durcir seulement, la douceur devient jouissance mais avant éjaculation sa femme arrête tout avec un malin plaisir.

    Elle le détache et lui ordonne de mettre un string, puis des bas résilles, une guêpière qu'elle serre plus qu'il ne faut, marie Rose a le souffle coupé. Par dessus une blouse nylon rose.

    "A quatre patte souillon"  crie-t-elle. Après quelques coups de fouets, il ne voit pas la ceinture god qu'elle enduit de vaseline. Il ne fait que sentir son trou se faire dilater par l'imposant objet. La ceinture est bouclée par un cadenas dont elle garde la clef autour de son coup. 

    "Relèves ta tête et lèches moi la chatte, sent comme je mouilles à te traiter comme une chienne, renifles, lèches, enduis toi de mouille, jusqu'à ce que je te pisse dans ta bouche grande ouverte "

     Elle rapporta un coller à clou pour chien lui mis et l'attacha dans un coin de la cuisine avec une gamelle remplie de croquettes et un peu d'eau.

    Je vais au travail tu m'attendras ici toute la journée.

     

    3
    ginette
    Lundi 26 Avril 2021 à 12:00

    lune veritable boniche  ne decide rien pour sa patronne. donc madame portere ce qu'elle souhaite. par contre la boniche doit avoir un programme  une  tenue et un vocabulaire selon sa patronne. son attitude doit etre humble. madame portera des vetements qui montrent la différence sociale avec sa boniche.

    soit tu veux etre dresée et servir réellement soit du pur fantasme et tapatronne doit faire selon tes gouts.. ce qui nest pas la  soumission désirée comme boniche..

    a toi de voir si tu veux  des conseils personnalisés donne moi ton pseudo et boite sur blousenylon. ici  cest public . tupeux interroger MC  jai quelque experience sur la servitude volontaire

      à ton service pour améliorer tes prestations de boniche veritable

    4
    Mardi 27 Avril 2021 à 18:47

    Voici ma contribution

    ....

    Et à cet instant précis je ressens un immense soulagement tout mon corps se détend, des années de blocage et de tension se dénouent et je me mets à sangloter… 

         Madame abandonne son attitude et sur un ton très autoritaire, me dit :
    - Relève-toi et mets les mains sur la tête, nez contre le mur. Nous avons à causer sérieusement.      

         Elle me laisse seul pendant un quart d’heure, prétextant avoir oublié quelque chose au grenier, puis reviens dans la cuisine et s’approche de moi par derrière, en me tenant la taille puis me retourne doucement avant de me gifler fortement. Tu m’as trompé depuis tout ce temps avec tes fantasmes de fille soumise poule mouillée et bien tu vas voir maintenant, je vais t’aider à réaliser tes vices les plus cachés......

    à genoux, à mes pieds, petite chienne !

    Elle m’enserre le cou au moyen d’un large collier en cuir, qu’elle prend soin de refermer fortement et y attache une laisse en cuir tressé.

           Je crois que Madame mon épouse a senti ce qui se trame dans ma tête (intuition féminine déjà ?). Elle me tire par la laisse jusqu’à notre chambre, ouvre son dressing et me tend, autoritairement, une longue blouse rose en nylon, marquée sur la poitrine d’un dessin brodé en rouge « S & M », blouse-fuseau étroite aux chevilles, fermée par une glissière à l’arrière, avec une encolure étroite qui peut être resserré par une petite chaine prise dans l’ourlet du col, et une large ceinture à la taille. Elle me demande de retirer mon accoutrement de bonne à tout faire et d’enfiler à la place celle qu’elle me tend en précisent que c’est maintenant mon seul uniforme de travail, chaque fois que je serai à son service. Je suis subjugué et je l’enfile par la tête sans discuter, la tête basse et honteuse, ce fétiche, symbole de ma soumission. Elle exige alors que je serre très fortement la ceinture autour de ma taille, pour faire ressortir mes formes féminines Elle, tout excitée, savoure sa victoire, celle consistant à m’avoir affublé de cette tenue sans que j’esquisse la moindre résistance.   

    Elle va chercher dans un tiroir de sa commode la cravache que je lui avais offert quelques années auparavant, en souvenir de notre escapade dans les écuries du palais impérial de Vienne et qu’elle n’avait jamais utilisé à mon grand regret pour pimenter nos soirées, elle appuie, ensuite, là où ça fait mal :

    « Tu es mignonne comme ça ; ma petite Marie-Rose, ça te va bien !

    « Tu devras la garder sur toi tout le temps, afin de ne jamais oublier que tu es continuellement à mon service et je vais m’en procurer d’autres pour ton service exclusif ! »

           Ivre de cette conquête, elle se sent capable de pousser son avantage toujours plus loin, vu que je reste bouche-bée devant tant d’assurance. En fait, secrètement, je suis excitée au possible et j’admire déjà cette nouvelle facette de mon épouse en qualité de dominatrice. Elle ajoute, enfin :

     

    « Tu es maintenant ma bonne, ma petite soubrette et tu garderas, par-dessus tes habits, cette blouse qui est l’uniforme de ma Maison. Partout, je veux te voir avec cette blouses et on saura, ainsi, que je suis ta Maîtresse, que tu es à mon service et tu participeras peut-être, selon ton comportement et ton avancement dans la servitude, à des rencontres avec mes amies intimes ! »

           Je suis officiellement devenu sa servante, sa bonne à tout faire, responsable de toutes les corvées de la maison et elle exige tout de suite que je l’appelle uniquement “ Maîtresse“ et non plus par son prénom ou par les petits mots doux habituels......

            Ma Maîtresse décide alors de commencer mon éducation de soumise. Après quelques petits coups de cravache sur les fesses pour me rappeler que l’ordre d’immobilité est toujours en vigueur, elle me traine à quatre pattes dans la chambre d’amis pour me mettre, comme elle vient de m’annoncer, en tenue de chienne soumise. A propos, elle m’annonce aussi que cette chambre deviendra la chambre de pénitence et qu’elle m’obligera bientôt à la transformer selon ses instructions. Je ne sais pas trop ce dont il s’agit, mais je comprends vite que les vêtements et accessoires posés sur une chaise sont pour moi : une tenue complète de femme en tissu soyeux et très féminin  ! Cela me trouble car cela ne m’est jamais arrivé, j’ai déjà porté des blouses et tabliers pour le ménage sur son ordre mais là, cela va plus loin, une nouvelle étape, semble-t-il, se profile dans ma vie maritale. Je sais qu’il faudra obéir malgré la gêne, car l’emprise de ma Maîtresse est désormais trop forte sur moi pour oser une velléité de révolte et de plus, je suis trahi par ma queue qui se dresse malgré moi à la vue de ces vêtements.

      Je dois me déshabiller complètement et mettre les vêtements préparés par Ma Maîtresse. J’enfile une petite culotte blanche en satin, et un corset, qu’elle prend soin de resserrer fortement au moyen de lacets dans le dos, corset muni de porte-jarretelles et d’un soutien-gorge à balconnets. J’enfile des bas en nylon opaque, que je fixe au porte-jarretelles du corset. Sur ces dessous soyeux, je me glisse dans une robe noire satinée, longue et resserrée aux genoux et aux chevilles par des petites chaines prises dans un ourlet, avec des manches longues resserrées par des cordons en satin aux poignets, et enfin par-dessus la robe, elle me passe la blouse rose de bonniche, qu’elle ferme dans le dos au moyen de la glissière en nylon, blouse presque transparente et qui m’arrive aussi jusqu’aux chevilles. Je suis honteuse dans cette tenue, alors que ma Maîtresse au contraire me raille en disant :

    « J’étais certaine que tout cela t’irait à ravir, Marie-Rose, mais nous avons oublié quelque chose ».

             Je me demande bien quoi, je me sens doublement stupide, au point de rendre ma Maîtresse impatiente, ce qui n’est pas bon pour moi. Alors dit-elle, furieuse,

     « Comment complète-t-on la tenue d’une soubrette stylée et motivée pour offrir un service impeccable à sa Maîtresse ? »

             Le ton est de nature à me stimuler pour proposer des réponses qui malheureusement ne feront qu’augmenter mon humiliation, car en fait cela revient à m’obliger à demander à ma Maîtresse d’autres accessoires pour ma panoplie qui, pour moi,  est déjà suffisamment ridicule, mais la perspective de recevoir des châtiments sévères me pousse, la mort dans l’âme après réflexion, à réclamer la coiffe réglementaire sur la tête, à savoir une charlotte de style victorien satinée blanche ainsi que des chaussures en cuir noir à talons hauts, dont je me demande comment je pourrais les supporter .

          En effet, triomphante , elle m’apporta des escarpins noir brillant qui faisaient bien 10 cm de haut et une fois perchée, je me demande comment les femmes peuvent aimer porter de tels instruments de torture, mais ça n’est pas la question du moment, d’autant que le ballet commence, ma Maîtresse exigeant que j’adopte une démarche gracieuse pour déambuler avec ces chaussures aux pieds, qui eux-mêmes sont entravés par deux petits bracelets qui forcent mes chevilles, qui sont fermés avec de petits cadenas en laitons et reliés tous les deux par une chaine en métal.

           De même elle entrave mes poignets avec des bracelets en cuirs reliés entre eux sur le devant au moyen d’une chaine en métal de 40 cm. Elle termine ma panoplie en me bâillonnant avec un bâillon en cuir noir muni d’un godemiché en latex qu’elle m’introduit profondément en bouche, et qu’elle serre fortement sur la nuque avec des lanières, afin d’étouffer toute plainte ou murmure.

           Et il faut alors, tourner, retourner, prendre des poses pour participer à une sorte de rituel initiatique qui signifie mon intronisation comme « soubrette » au service de ma Maîtresse. Bien sûr, je sais qu’il faudra, après chaque faute, constamment baisser la tête et les yeux, pour ne pas encourir une nouvelle punition, car quand je suis punie pour une faute, celle infligée pour une récidive est toujours aggravée d’autant, et je n’y tiens pas.  Elle vient m’inspecter en passant ses doigts sous la blouse puis la robe et elle effleure ma petite culotte. Ma Maîtresse peut constater que, tout au long de la scène où je m’exhibe devant elle dans mon accoutrement, la rigidité de ma queue est constante, ma tenue fait que je ne peux rien cacher, encore moins quelques petites gouttes qui s’échappent ci et là de ma petite culotte en satin. Je me sens un peu oppressé par ce corset qui m’emprisonne, et le porte-jarretelles tire fortement sur les bas, tout ce qu’il faut pour ne pas se sentir à l’aise, alors qu’en même temps l’on exige de moi une grâce exceptionnelle. Je suis très excitée et je suis à la limite de la jouissance, ce qui se voit par les tâches qui transpirent sur ma robe. Ces gouttes m’occasionnent un nouveau reproche de Ma Maîtresse :

    « Tu n’as pas honte, cochonne ? » alors que la tête toujours plus courbée mais si rougissante, je balbutie « si, Maîtresse » 

    « Très bien, alors, pour la peine, quand tu feras le ménage, tu le feras à quatre pattes, comme une chienne que tu es » et perfidement elle ajoute : 

    « Tu lécheras mes chaussures à talons avec ta langue, et quand tu laveras les sols de la cuisine et de la salle de bains, toujours dans la même posture, tu frotteras avec cette brosse ; j’aime le travail de précision », dit-elle en riant ! 

        Cela ne me fait pas rire, je comprends de plus en plus que la journée va être rude, décidément. Mais je ne peux nier, que cette sévérité contribue à faire de moi, une soubrette des plus stylées, et que comme j’ai tout à apprendre, il faudrait bien en passer par des moments difficiles !

      • Mardi 27 Avril 2021 à 21:50

        Bravo et merci…

      • ginette
        Mercredi 28 Avril 2021 à 09:21

        super commentaire a suivre également le dressage authentique commence  la vraie vie de boniche débute fort agréablement  à suivre merci pour cette suite

      • Lisa
        Jeudi 29 Avril 2021 à 07:35

        ça devient chaud et intéressant

        merci pour cette partie excitante dans la servitude

    5
    clodinette
    Mercredi 28 Avril 2021 à 18:01
    clodinette

    Whaouuuu !!!  je ne m'attendais pas à des commentaires aussi riches et passionnants, en fait de véritables récits complémentaires. bravo à toutes et tous et merci 

    je me sens presque dépassée par les évènements et si cela continue comme ça, la pauvre Marie-Rose a bien du souci à se faire, à moins qu'elle n'en jouisse de plus belle hi hi hi !!!

        

     



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