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La domination par le tablier, de l'emblousage à l'entorchonnage, le bondage domestique
De l'emblousage à l'entorchonnage, le bondage domestique
Un texte de votre servante Marie-Souillon
Avertissement
Comme tous les jeux de domination, ces jeux ne doivent être pratiqués qu'entre adultes éclairés et librement consentants, dans le respect des règles fixées par avance et des consignes de sécurité.
Le texte est rédigé en partant du principe qu'il y a une ou des gouvernante(s) en tablier, et un ou plusieurs puni(s).
Introduction
Dans les jeux de domination et de soumission, il y a toujours un ou des jeux d'immobilisation, qu'on appelle en général "bondage". La domination en tablier n'échappe pas à cette règle, et elle comprend des techniques d'immobilisation, ou de restriction de mouvements. Bien sûr, tout ceci se fait avec des blouses, des tabliers, des torchons, et tout ce qu'on peut avoir sous la main dans une cuisine. Il ne s'agit donc pas de détailler des jeux de bondage classiques, mais de proposer autre chose. Pour tout ce qui est technique, les nœuds, les points de passage des cordes, etc. je vous renvoie aux sites sur le bondage proprement dit. Et, bien sûr, pensez toujours aux règles de sécurité.
L'emblousage
L'emblousage (ou emblousement) n'est pas un bondage à proprement parler. C'est une manière de restreindre les mouvements du puni sans pour autant l'attacher, mais en le contraignant dans des blouses et des tabliers. C'est une forme légère de saucissonnage, ou un entorchonnage ambulatoire, si l'on préfère.
La blouse est la base de l'emblousage, ou plutôt les blouses, parce qu'il s'agit d'en faire porter plusieurs, et même autant que possible.
Je cite, pour mémoire, la blouse spéciale avec les poches, fermées par des coulisseaux, pour y renfermer les mains et les coulisseaux, à la hauteur des cuisses, des genoux, dans l'ourlet du bas, pour serrer les jambes. Cette blouse particulière peut, bien sûr, être utilisée, mais elle n'est pas indispensable; on peut très bien emblouser avec des blouses ordinaires.
Pour emblouser, il faut superposer sur le puni plusieurs blouses, au moins trois, à mon avis. Il est important, pour que l'emblousage rende le soumis bien ridicule, que toutes les blouses se voient. On mettra donc, à même la peau, la blouse la plus longue, descendant aux chevilles, à manches longues. Les blouses enfilées par-dessus pourront être de plus en plus courtes, avec manches courtes pour la seconde, sans manches pour la troisième, par exemple. Et il est intéressant de varier les couleurs, et même les matières, le crissement du nylon sur le nylon est très excitant pour certains. Cette superposition de blouses va restreindre les mouvements du soumis, qui pourra se déplacer, travailler, faire les corvées ménagères, mais qui sera gêné dans tous ses mouvements par les blouses les unes sur les autres. La gouvernante pourra s'amuser, sur les bras, à mettre un dispositif empêchant de les plier: quelques baguettes entre les manches de deux blouses, par exemple, ou un torchon enroulé autour de chaque coude pour empêcher de le plier. Pour les jambes, la première blouse devra être étroite, pour entraver le soumis.
Trois blouses, c'est bien, mais il ne faut pas oublier les tabliers. Les blouses seront dont complétées par plusieurs tabliers, dont au moins le premier à bavette. Le principe est le même que pour les blouses: on choisit les longueurs et les couleurs pour que tous les tabliers soient visibles. Le soumis va ainsi être affublé de cinq, six, huit vêtements de servitude superposés les uns sur les autres. Par exemple, une blouse de nylon à manches longues, une blouse de coton à manches longues, boutonnée dans le dos, une blouse de coton à manches courtes, une blouse sans manches, une chasuble, un tablier à bavette très enveloppant en coton, un deuxième tablier à bavette en caoutchouc, un tablier-taille assez grand, un deuxième tablier taille par-dessus, etc.
L'emblousage sera complété par une coiffe et un torchon noué par-dessus celle-ci, afin de cacher complètement les cheveux du soumis; un bonnet genre "bébé", une charlotte, feront l'affaire aussi, le tout est de "charger" de couvre-chefs la tête comme on a chargé le corps. Il est même possible de lui mettre une guimpe, comme à une religieuse, c'est à dire une coiffe entourant le visage de manière complète et descendant sous le menton. La contrainte sera donc ainsi plus grande. Pour les pieds, ils seront nus dans des bottines basses de caoutchouc blanc, comme une poissonnière. La hauteur des bottines, combinée à la longueur des blouses, doit empêcher de voir les mollets du puni Et aux mains, des gants de ménage en caoutchouc, que l'on choisira plus ou moins épais, avec des manchettes plus ou moins montantes, au goût de l'emblouseuse. Enfin, on peut entraver les chevilles, ou les relier par une barre de fixation en métal léger, qui les contraindra à un écartement de vingt ou trente centimètres, ce qui rendra la démarche du puni difficile et ridicule.
Contrainte, gêne des mouvements, chaleur, humiliation doivent être les effets d'un bon emblousage. Tout le corps du puni sera couvert, à l'exception du visage. Et il peut être amusant d'obliger le puni à s'emblouser lui-même, c'est-à-dire à se vêtir ainsi sans aucune aide, et l'emblouseuse, qui n'aura rien à faire, pourra ensuite le punir s'il a été trop lent!
On remarquera que l'emblousage est une protection, le soumis pouvant difficilement recevoir une fessée sévère dans cette tenue. Mais la gouvernante pourra toujours se rattraper ensuite! Enfin, l'emblousage peut être pimenté par le port, à même la peau, d'une première blouse en toile de jute dont les démangeaisons rendront viendront pimenter le moindre mouvement du puni.
Le saucissonnage classique
Le saucissonnage est un bondage particulier, qui n'a rien de vraiment érotique pour ceux qui ne sont pas fétichistes de la domination domestique. Il consiste à attacher le puni dans une position confortable, de tout son long, les bras le long du corps ou, variante, les bras au-dessus-de la tête. Dans cette dernière variante, un lien sur le haut des bras doit être passé derrière la nuque, pour qu'il ne puisse pas ramener ses bras devant lui sur le ventre. Dans la position de base comme dans la variante, le puni est comme un saucisson.
C'est un bondage qui, bien que rentrant dans le cadre de la domination par le tablier, se pratique sur un puni entièrement nu. On peut le pratiquer avec différents liens. Son intérêt pour la gouvernante est qu'elle peut, ainsi, s'empaler sur le puni pour lui faire l'amour en le dominant totalement, ou le sucer toujours sans qu'il ne puisse rien faire. Bien sûr, le saucissonnage permet aussi des punitions... On peut, pour faciliter l'accès au trou du cul, écarter légèrement les cuisses du puni, avec un ou deux torchons pliés placés entre ses cuisses avant de le saucissonner. Sa saucisse, devant, sera entièrement libre de se dresser ou de rester flasque...
La première technique pour faire un beau saucisson est d'utiliser de la cordelette fine, genre corde à linge, éventuellement plastifiée. On fait un bondage très classique, avec des boucles entourant le soumis de la tête aux pieds, une vingtaine de boucles éventuellement, reliées entre elles par une droite qui suit la ligne du corps. Comme dans tous les bondages doux, on ne serre pas beaucoup, c'est la quantité des boucles qui assure l'immobilisation sans qu'elle soit douloureuse.
Une variante de cette technique, plus "alimentaire" consiste à utiliser de la ficelle à rôti. C'est du plus bel effet, mais comme la ficelle est fine et qu'il ne faut pas qu'elle rentre dans la peau, juste qu'elle mette en valeur la chair, il faut faire bien plus de boucles peu serrées qu'avec la corde à linge. Le puni ressemblera ainsi à un rôti prêt à enfourner, ce qui est très amusant pour la ficeleuse et très humiliant pour lui.
Le filet est un autre moyen de bien saucissonner son puni. Il ne faut pas prendre un vrai filet de pêche, dont la matière n'est pas agréable et dont la taille est trop grande. La punisseuse utilisera plutôt un filet "décoratif", imitation de filet de pêche (on enlèvera les étoiles de mer en plastique) en coton blanc, beaucoup plus doux, et dont la taille, souvent de deux mètres de large, est adaptée au corps humain. On peut, bien sûr, le couper s'il est trop grand. Il suffit d'enrouler le puni dans le filet, en faisant un tour ou deux, les côtés du filet rassemblés dans le dos du puni. Une cordelette de coton, passant entre les mailles de chaque bord, viendra compléter le saucissonnage. Si les bras du puni sont levés, un morceau de la même cordelette attachera le haut des bras derrière la nuque. Ainsi ficelé dans son filet, le puni ressemblera à un énorme salami, sa quiquette passée dans une maille du filet offerte à sa punisseuse. Le filet présente l'avantage, à condition d'avoir vérifié sa solidité, de pouvoir frapper un palan sur une extrémité pour mettre le salami humain en position verticale.
Pour les amatrices de conservation alimentaire, elles pourront utiliser les rouleaux de cellophane prévus pour la conservation des aliments. Il est inutile d'aller acheter du "bondage tape" en boutique spécialisée. Il suffit d'enrouler tout le corps, en laissant libre la quiquette du puni, voire les fesses si on veut en profiter aussi. La punisseuse fera plusieurs tours avec la cellophane, sans serrer, c'est la superposition des couches qui permettra l'immobilisation. Avec cette matière, le saucissonnage devient presque une momification, on s'approche donc du véritable entorchonnage. Seule différence, le corps du puni est bien visible à travers le film transparent.
Le saucissonnage assis
Appelé aussi "chaisonnage" c'est un saucissonnage tout aussi confortable que le saucissonnage classique, puisque le puni est assis. L'intérêt de la position assise est que le puni prend moins de place, on peut le mettre au milieu de la cuisine, il peut voir ce qui se passe, et ça offre d'autres possibilités que le saucissonnage allongé en forme de rôti.
Il n'est pas utile d'avoir une chaise spéciale comme on en voit dans les donjons de professionnelles. Une solide chaise de cuisine suffit, avec ou sans accoudoirs. L'important est qu'elle soit bien stable; on privilégiera le bois plutôt que le métal, on évitera le plastique. On peut aussi utiliser, pour avoir plus de possibilités, mais alors on sort de la domination ménagère au sens strict du terme, une "chaise percée" qui permettra d'accéder à la partie inférieure et honteuse du puni. S'il y a dans le couple quelqu'un adroit de ses mains, il peut "bricoler" une solide chaise ordinaire en découpant l'assise, voir en la renforçant avec une lunette de WC en bois. Une variante consiste à rendre l'assise inconfortable avec des picots, où tout autre dispositif faisant légèrement mal aux fesses.
Le puni peut être en blouse et tablier, c'est même mieux, pour sa confusion, que d'être nu. Il est recommandé de trousser sa blouse dans le dos avant de l'attacher, pour qu'il ait le cul nu soit au contact de l'assise, soit dans le trou dont elle est percée. Et, en l'attachant, il faut prévoir que le tablier puisse être relevé pour accéder à sa petite saucisse dessous.
Rien de particulier pour la manière de l'attacher: les chevilles aux pieds de la chaise, les genoux aussi, juste sous l'assise, pour garder les cuisses écartées. Les mains et les bras dans le dos ou sur les accoudoirs, et le ventre, ainsi que le torse, attachés au dossier, tout ça avec de la corde à linge, des ceintures de blouses ou des torchons.
La gouvernante se réserve la possibilité de s'asseoir sur le soumis, voire de s'empaler sur lui, en faisant bien attention à l'équilibre de la chaise, qu'il faudra peut-être, dans ce cas, mettre à quelques centimètres d'un mur derrière.
L'entorchonnage
L'entorchonnage est un bondage particulier, qui ressemble à une momification, à un emmaillotage. Il s'agit, bien sûr, d'immobiliser le soumis, mais, surtout, d'utiliser pour cela un maximum de torchons et de tabliers. C'est, comme pour l'emblousage, la quantité qui compte, la différence avec l'emblousage étant que l'emblousé peut bouger, pour travailler, c'est recommandé même, alors que l'entorchonné est immobilisé.
Pour bien entorchonner, il faut d'abord envelopper le corps avec des torchons, jambes et cuisses emmaillotées, bras et poitrine aussi. Si les torchons ne sont pas assez grands, la gouvernante peut les faire tenir avec des ceintures de blouse, en coton aussi. Puis on peut mettre, par-dessus cette première couche de torchons, quelques tabliers à bavette tout simples, le genre tablier de plonge, ceux avec le lien derrière le cou. Un tablier devant, un derrière, un plus bas, un plus haut, etc. Et, par-dessus ces tabliers, une troisième couche de torchons. Les mains seront soigneusement maintenues par des torchons, soit paume étendue, soit poings fermés. Il en sera de même avec les pieds, qui pourront être entorchonnés séparément d'abord, puis ensemble ensuite. La tête sera couverte de torchons en guise de fichu, bien noués sous le menton, puis, bien sûr, un bâillon en torchons, un roulé dans la bouche et plusieurs par-dessus. Un ou deux torchons en guise de bandeau sur les yeux, et un ou deux torchons enfin pour recouvrir le visage en entier.
Rien du corps ne doit être visible, le puni doit en être réduit à un tas de torchons, sans le moindre bout de peau à l'air. Si la gouvernante veut pouvoir accéder à sa quiquette, elle prévoira, entre les torchons et les tabliers, de quoi passer la main, bien sûr. Il est recommandé de varier les couleurs, un entorchonnage tout en blanc étant un peu triste.
L'entorchonnage peut se faire en position couchée, bien sûr, mais je préfère la position assise, le soumis assis sur une table de cuisine, dos au mur (le mur de préférence carrelé), les pieds pendants. Cela lui permet, tant qu'il a un peu de mobilité, de coopérer à son entorchonnage en soulevant son derrière quand il le faut. Cela permet, aussi, de préparer les torchons et les tabliers et de les mettre sur la table à côté, pour les prendre au fur et à mesure. La table de cuisine devra être solide, bien sûr, pas trop large pour que le soumis soit accoté au mur et puisse quand même avoir les jambes qui pendent. On le recouvrira d'une toile cirée, qui pourra, également, remonter sur le mur derrière le soumis. Enfin, il est possible avec précaution, de passer un lien sous le menton du puni pour lui faire tenir la tête bien droite (mais ce n'est pas une pendaison!).
Ce qui compte dans l'entorchonnage, ce n'est pas tant le résultat que l'opération d'entorchonnage elle-même. Elle doit être longue, faite sans précipitation, en montrant les torchons au soumis, en bavardant avec lui, en commentant les opérations. Tout ceci, bien sûr, avec des mots humiliants, pour sa plus grande honte. Tant qu'il n'a pas les yeux bandés, ce qui se fait en dernier, il est bon que le soumis puisse se voir, je préconise donc de mettre un grand miroir en face de lui.
L'entorchonnage peut se faire avec des torchons secs, mais c'est bien mieux avec des torchons mouillés. On utilisera des torchons légèrement humides au départ, avec lesquels on a essuyé la vaisselle. Puis la gouvernante les mouillera ensuite plus abondamment quand ils seront placés sur la victime. Elle peut verser de l'eau tout doucement, mais il est plus précis d'utiliser une poire à lavement, avec un long embout, pour déposer le liquide exactement où on veut. Le liquide peut être de l'eau, bien sûr, mais la gouvernante peut pimenter le jeu avec du bouillon gras, ou tout autre liquide odorant. Les premiers torchons, ceux en contact avec le corps, peuvent, bien sûr, être sales.
Attention de ne pas faire prendre froid au soumis entorchonné, qui doit donc être bien couvert de torchons, et dans une pièce bien chauffée.
Les entraves
En complément à ces techniques de bondage, la gouvernante peut également entraver le puni.
Les entraves les plus courantes sont celles que l'on met aux chevilles, pour réduire la longueur des pas du puni. Cela l'oblige à une démarche ridicule, d'autant plus ridicule que l'entrave est courte. Par contre, une entrave trop courte empêchera le puni de s'agenouiller et de se relever, il faut donc bien calcule la longueur de celle-ci. Il est courant, aussi, d'entraver les poignets, par devant, pour réduire le mouvement des bras, ce qui complique toutes les activités du puni. L'entrave des poignets peut, aussi, être reliée à la taille pour contraindre encore plus les mouvements.
Ces entraves peuvent, bien sûr, être faites avec des liens ordinaires, comme des ceintures de blouse. Mais il est souvent plus commode d'utiliser de la chainette métallique. C'est le seul cas, d'ailleurs, où je préconise l'utilisation de métal. Une chaînette fine, fixée avec de petits mousquetons, est très commode à l'usage, parce qu'elle permet de régler très finement la longueur de l'entrave.
La barre d'écartement, pour maintenir un écartement fixe entre les chevilles ou entre les poignets, est une variante de l'entrave. Une chainette placée dans un tube de fort plastique fait très bien l'affaire.
Enfin, je cite, pour mémoire, le collier, pour écarter son usage, qui n'est en rien adapté à la domination domestique. Il en est de même, à mon avis, de la minerve.
Questions et réponses
- Question. Peut-on utiliser des menottes?
Réponse. Ce n'est pas très "domestique", mais je reconnais que c'est pratique. A la limite, essayez des menottes en plastique, ça existe.
- Question. Faut-il que le soumis, emblousé ou entorchonné, porte une culotte garnie de langes?
Réponse. Nous rentrons là dans un domaine différent de la domination domestique, celui des jeux pipi et caca. La gouvernante verra jusqu'où elle peut aller pour humilier son soumis sans être rebuté.
- Question. Peut-on bâillonner et bander les yeux?
Réponse. Oui, bien sûr, avec des torchons, et en respectant les précautions d'usage pour la sécurité du soumis.
- Question. Peut-on laisser certaines parties dénudées dans un entorchonnage?
Réponse. Il vaut mieux qu'elles soient toutes couvertes, mais un peu disposer les torchons pour les dénuder facilement au besoin, par exemple pour fesser ou chatouiller les pieds.
Tags : Blouse, Tablier-taille, Tablier à bavette, Humiliation, Domination/soumission, Torchon, Bondage
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Commentaires
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Bonjour Charles, et merci pour ce texte merveilleux,bon dimanche.