• Johanna la servante

    Un récit récupéré sur https://forum.ticklingfr.com/viewtopic.php?f=23&t=3909 et à peine enjolivé.


     

    Johanna est servante dans une grande maison, elle fait les tâches difficiles, ménage, frotter les carreaux, les vitres, tout ce qui est pénible, c'est ce que les Anglais appelle une "scrub maid". Elle est toujours vêtue d'une blouse bleue et d'un long tablier-taille blanc, un bonnet blanc sur les cheveux.

    Elle sait qu'elle n'a pas le droit d'aller, sans raison, ailleurs que là où l'appelle son service, mais, son travail l'ayant fait rater l'heure du repas, elle est prise d'une petite faim.

    Elle prend le chemin de la cuisine, pièce que la cuisinière ne prend pas la peine de fermer, mais si jamais elle se trouvait là ? Johanna pense ne pas risquer grand-chose et repasser un peu plus tard s’il le faut, de toute façon il lui faudra y arriver d’une manière ou une autre, pour grignoter quelque chose. Se trouvant maintenant tout près du but, elle se risque sur la pointe des pieds… Elle tourne lentement et nerveusement la tête vers la porte: personne qui vive! Johanna entre tout en regardant autour d’elle, le couloir étant encore désert.

    C'est une vraie grande cuisine à l'ancienne, avec tout ce qu'il faut pour cuisiner, bouillir, rôtir. Deux grandes tables de bois, solides, recouvertes de toile cirée, des bancs de chaque côté, des chaises massives. Cette pièce, qu'elle connait pourtant, qu'elle a toujours vue pleine d'activité, est terrifiante maintenant qu'elle est vide. Peut-être parce qu'elle sait qu'elle ne devrait pas y être, seule, à cette heure-ci.

    Elle remarque, sur la table, des cordes à linge, qui attendent sans doute la lessive des tabliers et des torchons. Elle se dirige vers la panière, prend un morceau de pain, le met dans la poche de son tablier, et prend un autre morceau, prend une cuillère dans le tiroir, attrape un bocal de confiture, en met largement sur le morceau de pain qu'elle mange avidement.

    Tout à coup, une main inconnue l’arrête dans son élan: celle de la cuisinière qui vient de rejoindre son antre. Elle la retourne brusquement et, avec un regard curieux, lui retire des mains ce bout de pain volé. La cuisinière est plus grande et plus forte que Johanna, elle est massive, vêtue, sur sa blouse, d'un grand tablier blanc avec la bavette et les bretelles croisées dans le dos, une charlotte sur les cheveux, un torchon pendu, comme toujours, à sa ceinture.

    Johanna la fixe avec des yeux écarquillés tandis que l’angoisse parcourt ses membres. D’une voix douce, la cuisinière l’interroge:
    - "Qui t'a permis d’entrer ici et de voler du pain et de la confiture?"
    - "Mais je n’ai rien volé, je l'aurais remplacé, c’est promis…" répond Johanna anxieuse…

    Sans un mot, la cuisinière lui prend le bras et la jette, avec une force incroyable, sur la table de cuisine. Johanna sent l'odeur de la femme, sa transpiration, des relents de cuisine. La cuisinière la ligote par les bras et les pieds, aux montants de la table, puis lui attache le bassin, plaqué sur la table, le tout à l'aide de cette corde à linge qui, comme un fait exprès, était juste là. Johanna tente de se débattre, mais en vain. En en rien de temps, elle se retrouve immobilisée sur la table de cuisine et se rend compte qu’elle vient de commettre une grave erreur. Une sueur froide lui parcourt le visage et elle ouvre des yeux de plus en plus grands et de plus en plus fixes.

    La cuisinière, après l'avoir attachée, se plante devant elle, les poings sur les hanches, et, à haute voix, s'interroge:
    - "Vais-je te bâillonner avec un torchon? Oh non, je préfère t'entendre, la maison est vide, tu pourras crier tant que tu veux. Te bander les yeux avec un torchon aussi? Même pas, tu me verras te torturer, ce sera encore mieux!"

    Johanna se sent paralysée par la peur et ne sait pas ce qui l'attend. Être dénoncée comme voleuse et renvoyée de la maison? Oh, non, tout plutôt que ça. Pendant ce temps, sa ligoteuse va fourrager dans les tiroirs du buffet, cherchant je ne sais quoi.

    La cuisinière se retourne avec à la main, une plume et lui dit:
    - "Je serai clémente avec toi, je ne te ferai aucun mal je te le promets…"
    - "Alors pourquoi vous m’avez attachée alors?"
    - "Juste pour te donner une petite leçon en m’amusant!"
    - "Mais moi je ne veux pas m’amuser! Rendez-moi la liberté je vous en supplie"!
    - "Pas maintenant! tu vas te régaler… Tu crains les chatouilles?
    - "Les quoi???" rétorque Johanna apeurée…
    - "Oui, les guilis aux pieds… J’adore les faire aux filles!"
    - "Vous pouvez toujours, je ne crains pas!"
    - "On va voir si tu résisteras longtemps à ma plume!!!"

    La cuisinière se met devant la table, prend une chaise et s’assoit devant les pieds de la pauvre Johanna. Elle prend le temps d’admirer les mules blanches de sa victime où semblent remuer d’adorables petits orteils à travers le tissu, ses pieds bougent lentement dans tous les sens… On dirait presque qu’elle a envie d’enlever seule ses chaussures, comme si elle voulait se détendre pieds nus. Emerveillée par le charme persistant de sa victime, elle met la main sous la semelle de la chaussure de son pied gauche, la retire tout doucement afin de laisser venir le désir de la chatouiller sous les pieds… Elle contemple un joli talon légèrement aplati et tout juste desséché par le port fréquent des mules, puis dévoile ensuite une plante plisse et blanchie afin de marquer le contraste dans ce mélange flamboyant de bronzage et de pâleur. Elle continue vers la plante puis les orteils: de jolis petits orteils parfaitement imbriqués entre eux, pas trop longs et bien dessinés qui tantôt remuent tantôt sont immobiles!

    Elle dépose la mule près de la table de cuisine et refait exactement le même ballet avec l’autre pied de Johanna, avec cette même sensualité. Johanna n’ose plus bouger ni même dire le moindre mot car elle sait qu’au fond de son cœur, elle est extrêmement chatouilleuse et a déjà été dans sa vie traitée de la sorte par ses frères et sœurs en jouant. Elle se rappelle très bien de ce qu’elle a pu endurer quelquefois dans son enfance, subir des démangeaisons innommables qui forcent au rire hystérique. Johanna n’a aucune envie de revivre cette expérience d’autant plus qu’une personne une fois adulte, supporte souvent mal les chatouilles par rapport à un enfant. Elle sent l’air passer sur ses pieds, sous ses plantes et entre ses orteils comme un bien intense mais qui ne durera sûrement pas.

    Elle remarque que la cuisinière a sorti d'un tiroir un rouleau de ficelle a rôti et une plume.
    Avec la ficelle, elle attache ensemble, à quelques centimètres de distance, les deux gros orteils de Johanna, faisant plusieurs tours de ficelle, sans trop serrer, juste pour maintenir la bonne distance et, surtout, l'obliger à bien écarter les doigts de pied. Elle fait de même, à chaque pied, avec le petit orteil, l'entourant de plusieurs tours de ficelle à rôti, et le tendant, vers l'extérieur, en attachant l'autre bout de la ficelle au lien principal qui immobilise la cheville.

    La cuisinière brandit sa plume et l’approche des pieds de Johanna:
    - "Oh non pas ça! J’aime pas qu’on touche mes pieds" dit Johanna d’une voix tremblante…
    - "Guili guili guili guili guili petite souris" répond la cuisinière très envieuse de lui titiller ses pieds et ses nerfs…

    Johanna sent la pointe de la plume toucher la plante de ses jolis petits pieds, toutefois sans que cela la titille vraiment. Elle ne ressent pour le moment que de vagues gratouillements mais elle commence déjà à se concentrer car elle ne tient pas à craquer pour des chatouilles, elle aurait trop honte de se tordre de rire. Johanna se contente de minuscules gloussements tandis que ses petits pieds commencent à voguer sans trop se crisper… Que cela peut être mignon des pieds de servante qui, auparavant relaxés deviennent comme fous… Puis la cuisinière insiste progressivement avec sa chère plume en chatouillant franchement la plante des pieds de la petite Johanna qui très tendue, essaye de ne pas rigoler… Trop dur quand on sent que la plume de la tourmenteuse devient vraiment désagréable!

     

    Johanna affiche un sourire forcé ainsi qu’un minuscule rire ressemblant à celui d’une fille timide et moqueuse à la fois. Tellement ça l’énerve, elle se sent à présent forcée à extérioriser sa souffrance par des rires saccadés, sa bourrelle prenant un malin plaisir à titiller les pieds d’une jeune femme tout en la faisant rire malgré elle. Johanna n’aime déjà pas montrer ses pieds car elle est une fille plutôt réservée, mais de lui les chatouiller cela lui déplaît énormément surtout dans ces conditions. Elle ne sait plus où se mettre et sent qu’elle va vraiment craquer, elle n’a qu’une envie: que ce supplice s’arrête mais ne tient pas à faire savoir à la cuisinière ses intentions.

    La bourrelle en tablier lui parle tout doucement:
    - "Alors que voulais-tu faire avec ce pain, servante? Je ne te nourris pas bien?"
    - "Hi hi hi hi hi mais non, mais je n'ai pas mangé ha ha ha ha ha ha ha ha là midi haaaaaaaa ça chatouille! Oh là là ha ha ha ha ha ha pas mes pieds non pas làààààààà ha ha ha ha ha ha ha ha je vous jure!!! Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii hi hi hi hi hi arrêtez ha ha ha!"
    - "Ah oui! Et c’est pour ça que tu es venue dans ma cuisine pour voler…"
    - "Ha ha ha ha ha ha mais hé hé hé hé hé hé hé hé je ne suis pas une ha ha ha une voleuse je suis même haaaaaa ha ha ha ha ha ha ha admiratrice devant hé hé hé hé hé hé hé hé votre cuisine ha ha ha ha ha ha ha ha!!!"
    - "Ce n’est pas vrai, en plus tu crains les chatouilles! On continue!"
    - "Noooooooooooooooooon!!! Haaaaaaaaaaaaaa ha ha ha ha ha ha ha laissez mes pieeeeds hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé pas les chatouilles ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha!!! Ho ho ho hou hou hou ha ha ha ha ha ha!"

    Johanna se sent cette fois vraiment mal à l’aise tant sa bourrelle lui chatouille ses adorables petits pieds de servante, avec la plus grande ardeur et avec une passion perverse. Elle lui fait de gros gratouillis sur les plantes et fait passer sa plume terrible sur les petits orteils de sa victime, ce qui l’énerve d’avantage riant comme si elle s’amusait vraiment. Que dire de ces jolis des orteils de jeune femme qui bougent dans tout les sens, surtout quand c’est proportionnel à la dose de rire et de sa souffrance. La servante ne peut plus supporter une seconde de plus la torture qui lui est infligée et supplie sa tourmenteuse tout en riant de manière carrément hystérique. Elle donnerait n’importe quoi pour que ce supplice s’arrête, même l'échanger comme la fessée ou le martinet, la punition normale des servantes, punition qu'elle a plusieurs fois reçue, de la main d'une autre servante, devant la maîtresse de maison.

    Mais la cuisinière n’a aucune envie d’arrêter de chatouiller la pauvre servante. Un mal de ventre envahit le corps de Johanna toujours forcée à rire, tout comme ses chevilles qui se fatiguent peu à peu. Face à ce qu’elle prend désormais pour une machine infernale, elle devient purement fataliste ce qui lui fait penser que seule la plume de sa tourmenteuse doit dicter l’intensité de sa souffrance, qui paraît si amusante à la cuisinière. Johanna rit de plus en plus vite et de la manière la plus désordonnée qui soit, allant jusqu’à faire changer le timbre de sa voix pour devenir très aigu. Mais comment donc faire arrêter cette torture qui ne prend plus aucun sens, sinon de faire mourir de rire la victime? Une chose est sûre, sa tourmenteuse ressent de plus en plus de plaisir à gratter les pieds de la servante la faisant rire et supplier. La situation devient grave!

    Johanna perd peu à peu la raison, elle chantonne au hasard et rit alternativement pensant atténuer ses souffrances puis finit par pleurer car elle n’en peut plus et elle se sent moralement atteinte. Elle supplie encore la cuisinière perverse mais ne parvient plus à articuler correctement ses phrases:
    - "Je vous en prie hi hi hi hi hi nooooooooooooooon pas çaaaaaaaaaaaaaa haaaaaaaaa ha ha ha ha ha ha ha j’en peux plus ha ha ha ha ha ha ha ha ha pitiiiiiiiiiiiiiiéééééé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé ha ha ha ha ha ha ha hou hou hou la la la la la hi hi hi hi hi hi hi hi hi hi hi hi à moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha !!! Je suis malade ha ha ha ha ha ha ha ha ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin lâcheeeeeeeeez moiiiiiiiiii ha ha ha ha ha ha ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin à moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha pas mes pieds oh noooooooooooooooon ouiiiiiiiiiiiiiiiin ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha!!! Hou là là ça fait mal ha ha ha ha ha ha! Au secours à moiiiiiiiiiiiiiiiiiii haaaaaaaaaaaaaaaa ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin ha ha ha ha ha ha ha ha!!!
    - "Ta maman te manque, ma chère servante?"
    - "Oh noooooooooooooon ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin!!! Mamaaaaaaaaaaaaaaaaaan ouiiiiiiiin ha ha ha ha ha ha ha ha!!! Au secours à moiiiiiiiiii ha ha ha ha ha ha hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé oh là là ça chatouille ha ha ha ha ha ha la la la la la la la la lère la la la la lère la la la la lère!!!"
    - "Tu veux que ta maman vienne te chercher?"
    - "Oh oui!!! Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii hi hi hi hi hi hi ha ha ha ha ha ha ha ha haaaaaaaaaa ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha!!!"
    - "Mais que vais-je lui dire? Elle va avoir honte de te voir jouer ainsi!"
    - "Ha ha ha ha ha ha ha ha! Dites-lui qu’on me chatouilleeeeeeeeeeeeeeeeeeee ha ha ha ha ha ha ha les pieds "!!! Mamaaaaaaan à moi ha ha ha ha ha ha ha ha ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiin mmaaaaaan je suis lààààààààààààààààà ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin snif snif snif ouiiiiiiiiiiiiiiiiin à moi ma mamaaaaaaaan à moiiiiiiiiiiiiii ha ha ha ha ha ha ha ha!!!"

    Tout à coup, la pauvre Johanna fait mine de s’évanouir plongeant la cuisine dans un silence déchirant. Dans un dernier souffle, elle laisse son corps s’alourdir sur la table et ferme les yeux comme la belle au bois dormant. La cuisinière cesse de titiller les pieds nus de sa victime et l’observe d’un œil méfiant. Elle essuie le front en sueur de Johanna avec un torchon, essuie également ses larmes, larmes de rire, larmes de plaisir, larmes de douleur?

    Johanna ne réagit pas. Comme elle n’est pas dupe, la cuisinière se dirige vers son buste, dégrafe le haut de la blouse sur les seins nus de la servante, des seins volumineux et fermes, bien dressés, aux tétons dressés. Elle fait deux boucles avec la ficelle à rôti, une boucle passée à chaque téton, sans serrer, non, juste pour les comprimer un peu et, à chaque boucle, elle fixe une petite clochette, un grelot, qu'elle a pris dans le tiroir.
    - "Et attention, je ne veux pas entendre les clochettes sonner, ne bouche pas", dit-elle avec un sourire vicieux, sachant bien que ce sera impossible.

    Puis la cuisinière saisit la courte manche de la blouse de Johanna et y glissant sa plume.

    Chatouilleuse comme elle est, Johanna ne se sent pas tranquille et craint pour elle-même car elle sait que ses bras sont eux aussi tendus… Elle ressent très vite la plume mais obligée de retenir son souffle qu’elle aurait mieux fait de reprendre, elle se crispe d’avantage quand tout à coup elle sent le bout de quelque chose lui frôler les poils de son dessous de bras. Une onde désagréable se fait sentir ce qui permet de se discréditer aux yeux de sa bourrelle, cette dernière voyant ses yeux se crisper et sa bouche sourire timidement, augmente l’effet indésirable de sa plume en insistant sur la peau de son dessous de bras… Irrémédiablement, la pauvre Johanna se met à sursauter attachée sur la table et son fou rire reprend de plus belle:
    - "Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii oh là là ah non pas çaaaaaaaaaaaaaa tricheuuuuuuuuuuuuse ha ha ha ha ha ha s’il vous plaît hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé oh non pas là je crains ha ha ha ha ha ha ha ha!!! Non ça compte pas ha ha ha ha ha ha!!!"
    - "Guili guili guili goudziiiiiiiiiiiii gouuuuuuuuuuudzi goudziiiiii sous la blouse!!!"
    - "Hiaaaaaaaaaaaaaaaa ha ha ha ha ha pas les bras! Noooooooon ha ha ha ha ha ha!"

    Et les seins de se trémousser, de balloter, et les clochettes de sonner. 

    La tourmenteuse cesse de faire bouger la plume sous le bras de sa victime et le silence reprend enfin ses droits pour de bon. Johanna a enfin le loisir de souffler ce qui lui faut afin de reprendre ses esprits. Il faut dire qu’après une aussi longue partie de chatouilles, elle aurait quelque peu perdu le sens des réalités tellement elle s’est retrouvée épuisée et moralement désoeuvrée, son mal de ventre met du temps à se dissiper mais ses chevilles lui font horriblement mal comme si elle s’était faite une entorse. La bourrelle s’affaire sur son étagère et en ramène un pot contenant de la crème fraiche. Johanna ayant repris un peu sa tête, se demande ce que cette femme va bien pouvoir en faire contre elle…

     

    La cuisinière ouvre le pot, se remet à la hauteur de ses pieds puis verse le contenu sur les jolis petits orteils de Johanna avant de le laisser s’écouler sur la surface de ses pieds, y compris les plantes et les talons. Affolée et anxieuse de comprendre ses intentions, Johanna s’écrie:
    - "Ah non
    ! Qu’est ce que vous faites? Non ! Ne touchez plus mes pieds s’il vous plaît ce ne sont pas des jouets!!!"
    - "Je veux juste te les lécher pour en absorber la crème…" répond la cuisinière gourmande…
    - "Mais non!!! Au secours à moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ha ha ha ha ha ha ha oh nonnnnnnnnnnnnnn pas çaaaaaaaaa ha ha ha ha ha vous êtes dégueulasse ha ha ha ha ha je vous interdis de lécher ha ha ha ha ha ha de lécher mes pieeeeeeeeeds hé hé hé hé hé hé hé hé hé haaaaaaaaaaaaaaaaa ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha!!!"
    - "Slurp!!! Pourtant c’est bon des slurp… Des pieds de jeune femme servante!!!"
    - "Non c’est pas vrai! Je sens mauvais des pieds!!! Ha ha ha ha ha vous êtes horrible ha ha ha ha ha ha ha ha hiiiiiiiiiiiiiii ça me chatouille oh là là ha ha ha ha ha ha ha ha pas mes pieds ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha!!!"

    Pendant que les clochettes attachées à ses tétons sonnent de plus belle. Mais leur tintinnabule est couvert par les cris de Johanna.

    La bourrelle prend un intense plaisir à lécher les pieds de sa victime, ne cachant pas la passion qu’elle a au contact de ses adorables pieds que même une princesse pourrait avoir. Il faut dire que la relation entre les pieds de femme et la cuisinière lui-même sont fusionnelles… Une lichette de crème se répand admirablement sur la plante et les orteils de Johanna les rendant tout reluisants comme s’ils étaient vierges de toute usure de la peau. Johanna les fait remuer au gré de la langue de sa tourmenteuse qu’elle ressent encore plus désagréable que la plume, des pieds de femme qui semblent mimer un ballet dansant:
    - "Oh là là!!! Oh que c’est amusant ha ha ha ha ha ha ha mes pieds hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé vous me chatouillez avec ha ha ha ha ha ha avec votre langue ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha oh non pas mes orteils pitiiiiiiiiiééééééééééééé ha ha ha ha ha ha pas sur une femme ha ha ha ha ha ha mamaaaaaaaaaaaaaaaaan ha ha ha ha ha ha ha à moi ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha vous n’avez pas honte ha ha ha ha ha ha à moiiiiiiii ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha laissez mes pieds ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha oh non pas la plante ha ha ha ha ha ha ha pas mes orteils hé hé hé hé hé hé hé hé hou hou hou hou hou hou !!! Mamaaaaaaaaaaaaaaaaan à moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha salope ha ha ha ha ha ha vous êtes une ordure ha ha ha ha ha ha je vais vous tuer hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé!!!"
    - "Il faudra d’abord te détacher et m’attraper jeune fille!!! Guili guili guili slurp slurp slurp!"
    - "Grosse truie!!! Je vous maudis ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha!!! Haaaaaaaaaaaaaa laissez mes pieds tranquilles ha ha ha ha ha ha je ne veux pas jouer ha ha ha ha ha ha avec vous hé hé hé hé hé hé hé hé!!! Vous allez me le payer hé hé hé hé hé hé noooooon pas çaaaaaaaaaaaaaa ha ha ha ha ha dégueulasse ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha!!!"

    Une fois la crème partie de la peau des pieds de Johanna, une nouvelle courte pause est marquée et la cuisinière s’amuse à lui chatouiller les pieds mais cette fois avec ses doigts:
    - "Haaaaaaaaaaaa ha ha ha ha ha pas les guiliiiiiiiiiiiiiiis hiiiiiiiiiiiiiiiiii hi hi hi hi hi à moiiiiiiiiiiii ha ha ha ha ha ha ha ha ha que c’est amusant à moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha!!!"
    - "Guili guili guili petite souris!!! Guili guili guili li li li guili guili guili!!! Oh ouiiii ça énerve! Oh ouiiiiiiiiiiiiiii ça fait des guilis goudzi goudzi goudzi guili guili guili!!!
    - "Ha ha ha ha ha ha ha hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé pas les guilis nooooooooooooon ha ha ha ha ha je crains les guilis aux pieds hi hi hi hi hi hi arrêtez ha ha ha ha ha ha mamaaaaaaaaaaaaaan elle me fait des guilis ha ha ha ha ha ha à moiiiiiiiiiii ha ha ha ha ha ha ha ha ha!!!"

    Quelques minutes d’intense torture plus tard, la cuisinière décide de mettre vraiment un terme à la séance infernale et fait signe à Johanna que la torture est cette fois terminée. Elle lui enlève les liens de ficelle à rôti des orteils, ceux des tétons aussi, lui caressant tendrement les seins, en insistant sur les tétons roses, dressés et fermes. Johanna, enfin soulagée et ayant au fond de son cœur, compris la la leçon sourit tendrement et verse quelques larmes de joie. Elle semble vivre un fort moment de bonheur qu’elle-même ne pourrait pas décrire avec des mots, seuls les ressentiments parlent d’eux-mêmes. Etrangement, la cuisinière se met lui à sourire, de surcroît de la même manière que Johanna et la regarde un court instant. Elle va vers elle et lui libère d’abord les bras puis le bassin… La cuisinière est en sueur, son front est moite, et des auréoles marquent sa blouse sous les bras. Johanna se rend compte qu'elle est dans le même état, excitée et en sueur; son entrecuisse, aussi, est étrangement humide.

    Elle se relève péniblement suite à la position durablement occupée sur la table en bois, sa bourrelle lui intercale quelques coussins entre le mur où cogne la table et son dos. Ensuite, elle lui détache ses chevilles et lui pose dessous une pile de torchons pour caler ses jolis pieds de servante. Johanna n'a toujours pas confiance et craint toujours pour elle-même ne sachant pas ce que cette femme va encore inventer comme torture… La cuisinière se met devant elle et prend son pied droit, pose la paume de sa main sur la plante et se met à la caresser puis à la masser. Elle fait la même chose pour la base des orteils et entre ceux-ci, sans oublier les coussinets puis les talons. C’est le jour et la nuit pour Johanna qui ressent cette fois un bien intense ne comprenant toujours pas pourquoi la femme lui donne cette fois autant de plaisir. Peu importe puisqu'elle est reposée et détendue. Curieusement, la cuisinière est devenue délicate et montre son amour pour les pieds de femme sous un angle différent. Elle passe à l’autre pied et se réjouit de ce contact avec les pieds de Johanna qu’elle ne peut plus se passer de toucher, que ce soit pour les chatouiller ou pour les masser passionnément. Johanna se laisse aller au bien-être que lui offre la femme habituellement revêche, ferme les yeux et laisse les bonnes ondes se propager.

    Une fois terminé la visite indésirable, Johanna se laisse rechausser ses mules, baiser sur la bouche et elle serre dans ses bras sa bourrelle (pour les chatouilles…) et sa bienfaitrice (pour le massage…). Elle quitte libre la cuisine et ressort de cette double expérience aussi heureuse que traumatisée…

    Demain, peut-être, si elle a encore faim…

     
     
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