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Fesses rouges et tabliers blancs, saison 2, épisode 32
Un texte et des dessins de Ramina, que je remercie
Chapitre 32: Nouvelle fessée pour une paire de bas nylon
Béatrice s'amuse des arguments dérisoires de son fils qu'elle écoute avec un sourire narquois. Elle aime le sentir en son pouvoir, l'entendre supplier sous la menace de la fessée qu'elle retarde à plaisir pour mieux lui faire comprendre qu'elle dispose de ses fesses à volonté et au moment où elle le décide. Et tout cela, évidement, pour son bien. Pour le corriger de ses travers et le préparer à sa vie d'homme... Comme elle dit...
– «Tu as déjà pris deux fessées... mon pauvre chéri... Qu'est que c'est que deux malheureuses fessées quand on a un derrière aussi bien entraîné que le tien? Et entraîné par mes soins, donc... performant, n'est-ce pas!»
– «Mais maman, c'est que madame de Blagnac et madame Stéphanie fessent très fort!»
– «Et alors? Ça ne peut que te faire du bien. Je vais même t'en mettre une troisième pour faire bonne mesure. Tourne-toi devant moi, et baisse ton pantalon en réclamant ta fessée!»Le malheureux sait qu'il est inutile de tergiverser. Il déboucle sa ceinture et descend lentement son pantalon en tortillant du derrière qu’il présente bien arrondi sous le regard ironique de sa mère qui adore ce petit jeu de mise en condition. Elle définit les règles et les fait appliquer à la lettre. Il obéit, le petit doigt sur l'élastique du slip.
– «Maman, s'il te plaît, veux-tu bien me donner une fessée?»
– «Une fessée, mais bien sûr mon chéri, avec plaisir! Maman se régale toujours à te claquer les fesses! Mais qu'est-ce qu'il a encore fait comme bêtise, le vilain garçon, pour que je lui flanque encore une fessée?»
– «Je n'ai pas fait attention et je n'ai pas ramené le modèle de bas nylon que tu voulais...»
– «Effectivement, se tromper sur mes bas nylon, ça mérite une très longue et très cuisante fessée! C'est tout?»Elle boit tranquillement une gorgée de thé et croise, très haut, les jambes en faisant crisser ses bas nylon sur ses cuisses.
– «Maxime, tu m'écoutes?... Je t'ai posé une question... C'est tout?»
– «Euuuh non... Aussi... J'ai abîmé la pochette...»Béatrice ne sourcille pas, mais laisse apparaître un petit sourire, masquant à peine sa satisfaction d’avoir à corriger de nouveau son irresponsable progéniture.
– «Et bien mon ami, tu sais ce qui t’attend!»Sans le moindre état d'âme, elle dirige l'humiliante séance de préparation à la punition. La leçon n'en sera que plus marquante et plus efficace. L'air hautain, provocateur, elle recroise les jambes dans l'autre sens, nouveau crissement de nylon, elle sait que la vue de ses bas nylon et de ses jarretelles le trouble énormément et contribue à alimenter sa soumission. Elle use sans modération de ce pouvoir de séduction un peu pervers.
– «Bien! Maintenant...Une fessée ça se demande à genoux... Alors mets-toi à genoux et présente-moi tes fesses... en te déculottant! Tu dois me montrer que tu as mérité ta fessée, non seulement que tu l’acceptes mais que tu la réclames en me donnant envie de te l'administrer.»Il s'exécute, à genoux, plié en deux entre ses cuisses et se déculotte en s'appliquant à bien déployer ses fesses pour les lui mettre à disposition. Libérées de l'étreinte du nylon, elles s'épanouissent hors du slip, encore rouges des fessées précédentes. D'un geste nonchalant, maman en prend possession. Elle les caresse d'une main presque affectueuse pour en apprécier la chaleur.
– «Hummm effectivement, encore bien chaudes, jolie couleur... tenace en plus. Elles t'ont bien soigné le derrière mon chéri! Confirmation que les fessées de Claridge sont parfaitement efficaces... Celles de Stéphanie aussi à ce que je vois!»
– «Arrête! Maman s'il te plaît... j’ai encore mal!»
– «Tu as raison, passons à la fessée! Maintenant qu'elles t'ont bien astiqué le derrière, je vais te le faire reluire!»
– «Oooh maman, non, pitié!»
– «Mon cher, une paire de fesses c'est comme une paire de chaussures... ça s'entretient régulièrement... Pour assouplir le cuir.»Béatrice, ravie de sa formule, regarde son grand garçon avec le sourire engageant qui accompagne généralement l'annonce d'une bonne nouvelle.
– «Allez, reculottes-toi et amène moi tes fesses que je te les fasse danser sur mes jarretelles!» s'exclame-t-elle en les faisant joyeusement claquer sur ses cuisses. «Rien de tel qu'un bon tour de chauffe à travers le slip pour préparer une fessée déculottée. Le nylon, ça favorise la cuisson et la fait monter plus vite!»
– «S'il te plaît maman, pas trop fort... J'ai le derrière encore très sensible des dernières fessées!»
– «Justement mon chéri, tu vas d'autant mieux sentir celle-là! Et pour que tes fesses l'apprécient pleinement, il faut que je te la mette très fort, tu comprends... et bien claquante.»
– «Oh maman pitié... Non!»
– «J'ai dit, très fort et bien claquante! Ça t'apprendra à faire attention quand je t'envoie acheter mes bas nylon. La dernière fois déjà, tu t'étais trompé sur la taille. On vérifie toujours avant d'acheter.»
– «Pitié maman, je ferai attention... je te promets.»
– «Et bien moi je te promets une grosse fessée, bien cuisante! Tends-moi tes fesses correctement au lieu de pleurnicher comme un gamin! Allez!... Mieux que ça, pousse sur les mains et cambre les reins. Je veux un derrière bien arrondi et ferme sous la main pour que ça claque fort!»Tout en lui donnant ses consignes, elle le stimule à grandes claques sur les fesses pour l'obliger à les lui présenter dans la position exigée. Le volumineux fessier est à peine en place, bien déployé, que la fessée commence à claquer immédiatement à plein rendement.
Béatrice, poitrine en avant, le buste bien droit pour donner de la vitesse à sa frappe, fesse avec assurance et autorité. Bien calé sur ses cuisses, le lourd fessier habitué à la raclée, il en a déjà deux au compteur, donne du répondant et se met aussitôt en mouvement. Moulé, serré, dans le nylon, il offre une surface ferme et résistante qui incite à taper dur plutôt qu'à économiser l'énergie. C'est ce que fait Béatrice avec une maîtrise acquise à l'expérience par une longue pratique régulièrement actualisée. Sûre de sa force et de sa légitimité à punir, les dents serrées pour concentrer son attention, elle claque à pleine main, chaque fesse, l'une après l'autre. Tantôt à l'horizontale en ajustant le centre bien charnu, là où ça cuit vraiment, tantôt à la verticale pour les faire rebondir en rythme sur ses genoux. Puis elle recommence inlassablement sans se priver d'exprimer le plaisir qu'elle y prend.
– «Tu entends comme elle claque bien ta fessée! Que du bonheur! Et tu sens surtout comme le nylon fait monter la chaleur. Il n'y a rien de mieux comme matière pour bien chauffer les fesses et les préparer à point avant la déculottée!»Maxime, commence à gémir en se tortillant de douleur. La cuisson de ses fesses serrées dans son slip, remonte rapidement à un niveau de température propre à déclencher un état d'alerte incendie dans une maison sécurisée.
– «Oh oui maman, je la sens... ça cuit, ça cuit trop fort... C'est ma troisième fessée!»
– «Bien sûr que ça cuit... Et ce n'est pas la dernière. Je te l'ai déjà dit Maxime. Tes fesses c'est comme un diesel, il faut un long moment d'échauffement pour obtenir du rendement!»Le pauvre garçon, très peu sensible à la comparaison se met à brailler à pleins poumons.
– «Ouaiiiiie maman, pitié! S'il te plaît, arrête!»Béatrice s'amuse ouvertement des cris du malheureux et lui appuie encore un double aller et retour bien cuisant sur chaque fesse avant d'interrompre la correction.
– «Tu as raison, j'arrête... Il est temps de passer à la fessée déculottée!»Maxime hurle en se démenant sur les cuisses de sa mère. Il tape des mains par terre de désespoir et d'indignation.
– «Ah non maman! Pas la fessée déculottée ! Tu m'as déjà bien puni... Pitié pas la déculottée, j'ai les fesses en feu!»Béatrice est inflexible. Elle ne cède jamais aux supplications de son fils. Il a beau essayer, implorer un tant soit peu de clémence, elle applique toujours jusqu'au bout le tarif de la punition qu'elle a décidé de lui infliger. Elle savoure sa propre sévérité en annonçant la suite de la correction avec insistance.
– «Si mon cher, maintenant que tes fesses sont prêtes... c'est la fessée...» Elle prend soin de bien articuler. «Dé-cu-lo-ttée! Sans pause! Et estime-toi heureux que je ne te la mette pas au martinet... pour cette fois seulement. Au moins tu te souviendras qu'il faut être attentif quand je te demande d'aller faire une course. La prochaine fois tu feras attention! Allez... On reprend... Les fesses bien en l'air que je te déculotte »Maxime pousse un râle à fendre l'âme, mis à part celle de sa mère, indifférente à son désarroi. Elle lui appuie sur les reins pour lui faire arrondir les fesses afin de faciliter le glissement du slip, et le déculotte d'une seule main avec dextérité. Le rutilant derrière, déjà bien enluminé, soulagé de la pression du nylon, semble s'épanouir au-dessus de l'élastique qu'elle descend lentement et fait claquer en haut des cuisses.
Maman est habituée à déculotter, elle le fait en souplesse, enveloppant d'un regard gourmand la belle paire de fesses qui s'étale à sa merci, frémissante, sur ses cuisses.
Plié en deux, la tête frôlant le sol, Maxime gémit faiblement, pétrit d'angoisse dans l'attente de sa fessée. Il sent le mouvement du bras qui s'élève à la recherche de la prise d'élan maximum.
– «Tu es prêt mon chéri? Deuxième service! Et une fessée déculottée! Une! Pour t'apprendre à être attentif aux consignes quand je te demande quelque chose. Ce n'est pas la première pour ce motif et, étourdi comme tu es, certainement pas la dernière!»Le démarrage est particulièrement cuisant sur un derrière déjà bien échauffé par les fessées précédentes, surtout la dernière quelques minutes auparavant. Le souffle court, les dents serrées par l'effort, sur un sourire carnassier, Béatrice fesse avec son énergie habituelle. La main ferme, doigts et paume tendus elle distribue les claques d'une fesse sur l'autre, stimulée par la chaleur irradiante qui s'en dégage et les ruades de sa victime.
– «Attention Maxime, on garde la position pour bien profiter de sa fessée!.. Voilà, comme ça… C'est parfait, ça claque sec... Comme j'aime entendre claquer tes fesses quand je les corrige!»
– «Roaaaaah maman... pitié, s'il te plaît moins... moins fort! C'est … C'est trop dur!!»Béatrice trouvait toujours amusant d'entendre son fils persister à implorer sa clémence pendant ses fessées, alors qu'elle ne la lui accordait jamais. Inflexible, elle allait au bout de ses sentences qu'elle exécutait sans arrangement possible.
La fessée à travers le slip avait déjà été difficile à encaisser mais celle-là, déculottée, sans transition ni mise au coin, devenait pratiquement insupportable. Agrippé au pieds de la chaise pour se maintenir à tout prix en position, Maxime résiste encore un moment mais sa mère fesse tellement fort qu'il ne peut endiguer les sanglots qui commencent à lui échapper et se transforment en une longue plainte continue.
Dix minutes de fessée au claquage intense, le laissent pantelant à bout de souffle sur les cuisses de sa mère, rayonnante de satisfaction du devoir accompli. Le fessier tout entier irradie d'un rouge velours écarlate uniformément réparti du bas des reins jusqu'en haut des cuisses. L'écran total parfait! Elle le tapote affectueusement, tout au plaisir d'en sentir le feu continu.
– «Félicitation mon cher, tu as bien pris ta fessée! Et je me suis appliquée pour que tu la sentes bien...»
– …
– «Alors...Qu'est-ce qu'on dit à maman?»Maxime, effondré en larmes sur les genoux de sa mère, est plutôt concentré sur la cuisson de ses fesses. Il met un temps avant de réagir. Il sait qu'il a obligation de répondre et de la remercier de lui administrer encore ces corrections pour parfaire son éducation... C’est du moins ce qu’elle prétend, pour les justifier. Elle le relève en lui caressant le derrière. Il est brûlant, et pour cause. Il essuie ses larmes mêlées de morve, d'un revers de la main.
– «Merci... Mer... Merci maman pour cette... cette fessée...»Elle fronce les sourcils et prend un air interrogateur. La formule de politesse n'est pas complète. Il doit recommencer.
– «Merci maman pour cette bonne fessée!»
– «Quand même! C'est toujours un plaisir mon chéri... Alors vivement la suivante, n’est-ce pas! En attendant... Un quart d'heure de pénitence sous le bureau avec interdiction de te reculotter! Et tu retourneras demain chez madame de Blagnac pour échanger ma paire de bas.»En pénitence depuis dix minutes après ses fessées, Maxime transpirait entre les jambes de sa mère, coincé dans l'espace exigu de dessous son bureau. Elle avait ôté ses talons aiguille et il devait respectueusement embrasser ses pieds, gainés de nylon, pour la remercier de l'avoir aussi bien claqué les fesses. Pour joindre l’utile à l’humiliant elle lui avait ordonné d’en profiter pour consulter le catalogue des références de bas nylon que proposait Claridge De Blagnac dans sa boutique de lingerie.
Il l'entendait au-dessus de lui, discuter tranquillement au téléphone.
– «Mais bien sûr Madame Bellebouge, quelle question! Vous venez avec votre grand garçon Gérôme. Il sera content, de retrouver le petit Peter qui sera là avec Madame Lamalisse, sa maman. On fessera bien sûr. A l'origine ça devait se faire chez Gladys mais elle ne peut pas chez elle ce samedi... Alors ça sera donc ici, à la maison.»Maxime frémit en serrant les fesses.
Tags : Fessée, En travers des genoux
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Commentaires
2PeterPanSamedi 28 Janvier 2023 à 09:49Re-bonjour Ramina,
Question à l'auteur : Gérome portera t-il, comme à l'occasion son kilt du Pensionnat , comme lors d'une lointaine soirée chez madame Gladys, pendant laquelle Maman Térèze, sous l'effet euphorisant de deux doigts de Porto, s'était allée à quelques confidences ? Peter, quant à lui, mettra très certainement sous la direction de sa bonne maman Louise son blazer-pantacourt à bretelles, comme pour l'office du Dimanche... Attendons la suite.
Peter.
3raminaSamedi 28 Janvier 2023 à 16:13Bonjour Peter,
Pour sûr Bill, merci, John, de rien Jack !! Probable qu'il y ait du Kilt, kilt kilt hourra !! Dans l'air. Pratique, économique, fonctionnel, indémodable, infroissable, retroussable, accessoire vestimentaire, indispensable qui met les fesses immédiatement à portée de main. Quand au Blazer pantacourt à bretelles... pas impossible non plus, les bretelles sont les jarretelles des garnements en culotte courtes. Je ne sais pas quand la mère Bellebouge s'est torchée au Porto, mais ça la décoincerait un peu si ça lui arrivait plus souvent . Même si c'est pas demain la veille qu'on la verra danser sur une table avec la culotte sur la tête . Trop raisonnable et bien éduquée la mère Théréza .
" Malice , complice, coulisses , Max'iiss" le fils et le Saint Espriss, hi, hi, rimes en feu d'artifice , bel exercice ! Bientôt sur les cuisses de Béatrice au dernier salon où l'on... fesse ! Sapristiss... ça rime pas ! Ramina
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PeterPanSamedi 28 Janvier 2023 à 19:59
Bonsoir Ramina,
Nos lecteurs attendent avec impatience le déroulement de cette soirée tant attendue chez Dame Béatrice. Cette bonne madame Louise et son fils Peter feront leurs premiers pas dans le cercle très fermé du Fem'Dom'Club, une sorte de confrérie des épouses les plus sévères de Synthol. Elle sera parrainée par madame Gladys Tapefort, sa plus proche voisine, croisée par hasard au PolyPrix, à Adville-Plage .Car, pour faire partie du Cercle, un parrainage est absolument nécessaire. Voir Règlement, Alinéa numéro UN. "Tenue correcte exigée. En textile naturel ou synthétique. Pas de cuir. De plus, cette adhésion donnera avantage à des achats groupés en partenariat avec des services tel que salon de coiffure, lingerie, cordonnerie, esthéticienne, pharmacienne et infirmières libérales. Annonce: ouverture du cabinet de soins de Mlles Pikouze et Hurgo, sis 12 place de la Poste, Synthol- sur-Mer." . Ca va chauffeeeer !
Peter.
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PeterPanDimanche 29 Janvier 2023 à 08:47
Bonjour Ramina,
Ha ha ha ha ! Je vois d'ici la soirée : Pit' et ses copains dans leur coin, en train de frimer... les maris aux fourneaux... les épouses au Porto...Maladresses et austres goujateries meubleront l'ambiance... Sur ce, colère volcanique des épouses... franche rigolade des garçons... les filles feront les pimbêches comme d'hab'... Oui, franchement , ça ne sera pas triste.
Peter.
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Bonjour Ramina,
Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes pour " Madame Béatrice" - Bérénice - Bérengère - (la galanterie interdit de mentionner l'âge et le poids de ces dames. Leur séduction en serait ternie)- 1,85 m - P 42 fillette - Mère au foyer - ancienne championne de Ju-jitsu - Bac L option Philo. "Avec Maman Béatrice, la fessée se fait malice et complice en coulisse ! Dixit Maxi'sss son fiiiils"." Maxime, mon fils, comme tous les jeunes hommes de son âge, se laisse facilement distraire . Un jupon qui passe et hop, il lui court après, c'est tout à fait normal... Mais là, Il n'est plus question de frivolité...Le moment est trop grave pour plaisanter." s'insurge l'imposante Maman, la fille d'Hercule et... de Vénus ! De plus, elle doit tout organiser pour la soirée de Samedi, après l'apéro dinatoire du Samedi précédent, qu'elle a manqué pour obligations familiales. Elle se réjouit déjà de l'évènement. Elle pourra surtout épater ses fidèles amies et surtout madame Lamalisse et son fils Peter, nouvellement arrivés dans ce quartier de Synthol, à deux pas des plages. "Ce p'tit garnement, je m'le mettrai volontiers sur mes genoux, les fesses à l'aire pour... le dégourdir un peu ! Qu'est ce qu'il a l'air bien empoté !! Moi, les godelureaux de cet acabit, je les dresse... à coups de claques sur les fesses". Murmure t-elle en raccrochant son téléphone. " Il est beaucoup trop souvent dans les jupes de sa mère. Je ne supporte pas ce genre de garçon !" (...) "Alors Maxime, tu les as trouvées ces références ou bien il faut que je vienne t'aider ? (...) Et puis maintenant, lèves toi et viens me resservir un Cognac ! Allez, dépêches toi un peu ! " La belle patronne du salon de coiffure de Synthol " Chez Béa', le rendez-vous incontournable de tout ce que compte de Messalines quinquagénaires, pense déjà à la toilette qui fera d'alla la reine de la fête. C'est sûr... Ca-va-chauffeeeeer !
Peter.