• Fesses rouges et tabliers blancs, saison 2, épisode 29

    Un texte et des dessins de Ramina, que je remercie


    Chapitre 29 : Fessées en double chez Madame De Blagnac 

     

    Il règne, comme très souvent, dans la boutique de Madame de Blagnac une joyeuse ambiance de fessées et déculottées en tous genre. Maxime allongé sur les cuisses de Stéphanie attend sa deuxième fessée en tremblant, pendant que, juste à côté, Edwige se régale à tester la souplesse des lanières de son nouveau martinet sur les fesses déculottées de Stéphen, son mari. Elle lui a coincé la tête entre ses cuisses pour le maintenir en position fesses en l'air, bien déployées,  et rendre facilement accessible toute la vaste surface à corriger. Claridge, imperturbable, continue à sermonner Maxime en insistant avec jubilation sur les règles disciplinaires de la maison.
    – «Les fessées ici, ça se déguste déculotté, fesses en l'air, mon cher. Tendues, bien déployées à la main du début jusqu'à la fin. Au moindre relâchement du derrière ou mauvaise présentation, c'est une fessée supplémentaire immédiatement après, C'est comme ça qu'on retient les bonnes positions à prendre pour favoriser le déroulement de ses fessées!» 

    Stéphanie déculotte son puni avec un plaisir manifeste:
    – «Telle qu'on connaît sa mère, exigeante comme elle est, elle lui a certainement appris à bien présenter ses fesses!»

    L'élastique du slip claque sèchement en haut des cuisses.

    Les mains à plat sur le sol Maxime frémit en sentant l'air lui rafraîchir le derrière, pas pour longtemps. La jeune femme ajuste sa position, frotte ses mains l'une contre l'autre pour les échauffer un peu et lève la droite très haut au dessus du fessier en pénitence pour prendre un maximum d'élan.
    – «Allez y...Très fort!» encourage Claridge debout, bras croisés, la poitrine hors limite de son bustier. «Une belle fessée... Bien claquante, comme on les aime!»

     Stéphanie n'a pas vraiment besoin de stimulation pour être efficace. Les fesses de Maxime retentissent immédiatement sous une averse de claques qui les mettent rapidement en mouvement. Elles tressautent en cadence, serrées ou écartées selon l'angle de frappe, exécutant une danse frénétique des plus excitantes à voir. Elles sont encore sous l'effet de la première récente fessée et Maxime ressent très vite sur toute la surface, une cuisson envahissante qui lui arrache d'abord des gémissements puis de bruyants sanglots qu'il ne peut retenir. Ses belles fesses sévèrement claquées ne mettent pas longtemps à reprendre de la couleur. Elles s'enluminent du superbe rouge resplendissant dont l'éclat met si bien les formes rebondies en valeur. Stimulée par l'excitante vision du fessier virant à l'écarlate, Stéphanie accélère la cadence. La fessée gagne en ampleur et en sévérité. 

    Le bruit des claquées de plus en plus fortes envahit tout l'espace de la boutique, déjà bien occupé par l'éclat de la fessée au martinet qu'Edwige continue à faire sonner sur les fesses de son mari. A ses cris, pleurs et lamentations viennent s'ajouter ceux de Maxime, haletant et tortillant des fesses sur les cuisses de sa correctrice. Le claquement simultané des deux fessées résonne du sol au plafond en une retentissante symphonie que les trois femmes apprécient d'une oreille avertie.

    En cette fin d'après midi, la boutique de madame de Blagnac retrouve la chaude ambiance des séance de fessées qu'elle organise chaque mois, en soirée.

    Sous son allure légère et d'une apparente retenue, Stéphanie déploie une étonnante énergie à fesser qui dénote un caractère beaucoup plus autoritaire qu'il n'y paraît et une manière déjà bien affirmée de claquer un derrière. Si elle n'a pas la frappe lourde et puissante de sa patronne, sa main sèche, nerveuse et rapide fait sérieusement  crépiter le derrière de Maxime. Celui ci témoigne de l'efficacité de la correction pas ses cris  ininterrompus. De toute évidence elle n'en est pas à sa première fessée, loin de là et il n'est pas étonnant de la voir évoluer dans le sillage de madame de Blagnac, experte en la matière. Celle ci d'ailleurs, portée par une constante exigence de sévérité, continue de la stimuler.     
    – «C'est bien Stéphanie, vous avez un joli coup de main et une bonne vitesse d'exécution, mais ce n'est pas encore suffisant pour bien lui faire ressentir sa fessée!»
    – «Ah mais madame, je peux taper plus fort, sans problème.»
    – «Et bien ne vous gênez pas, claquez moi ces fesses beaucoup plus fort que ça! Allez-y franchement, plus fort encore! Le garçon est habitué à s'en prendre des sévères, Si vous saviez ce que sa  mère lui met comme fessées et déculottées à la main et au martinet!»

    La voix saccadée par la percussion des claques qui tombent en rafales sur ses fesses, Maxime lâche, entre deux sanglots, une plainte dérisoire qui amuse beaucoup les deux femmes.
    – «Raaahhhh! S'il vous plaît madame, pas plus fort!! Je la sens très bien la fessée!!! Ouaiiiie!!! Oh oui... très bien! Ça cuit!! ça cuit!!»
    – «Continuez Stéphanie, encore!» répond Claridge, indifférente à ses supplications en accompagnant les claques de signes de tête encourageants. «Claquez les bien ses belles fesses! Rougissez-les, claquez-les fort! Allez, allez, plus fort encore. Profitez-en, une bonne grosse fessées bien sévère, c'est ça dont il a besoin! Il faut qu'il ramène un beau derrière bien rouge et bien cuisant à la maison. Je tiens à ce notre amie Béatrice soit satisfaite de la cuisson et de la couleur de ses fesses quand elle va le re-déculotter pour lui flanque une nouvelle fessée dès qu'il sera rentré. Elle adore claquer un derrière en pleine cuisson d'une précédente fessée. C'est notre participation à l'éducation de son fils!»

    Stéphanie de se fait pas prier et accélère une cadence déjà bien soutenue, arrachant des cris de plus en plus stridents à sa victime qui tortille frénétiquement du derrière sur ses cuisses. Le plantureux fessier rayonne maintenant d'un resplendissant rouge cramoisi. Claridge commente avec un humour ravageur.
    – «Excellent Stéphanie, voila la fessée qu'il lui fallait  Vous entendez comme il s'exprime bien? A partir d'un certain niveau de cuisson de leur fesses, ces messieurs deviennent, en général très performants dans les aiguës. Façon de nous indiquer que la fessée est efficace. Maxime vous récompense de l'énergie déployée à le corriger.»
    – «Pour ça oui!» répond l'intéressée en continuant à lui faire rebondir le derrière sous les claques. «Ça fait plaisir à entendre, on ne se démène pas pour rien.»

    Maxime trépigne de douleur en tapant des mains sur le sol qu'il inonde de ses larmes. Il n'en peut plus:
    – «Pitié madame Stéphanie!! Pitié! Arrêtez la fessée, ça... ça  suffit! J'ai... j'ai eu la punition que voulait maman!»

    De Blagnac, magnanime à bon compte, après deux fessées consécutives.
    – «Très bien, Stéphanie, belle fessée, bien cuisante! Vous pouvez vous reposer la main, il a pris sa dose! Béatrice ne manquera pas de constater à la couleur de ses fesses qu'on a corrigé le jeune homme comme il se doit. Vous pouvez le reculotter... bien serré.»

    D'une dernière rafale bien appuyée, la jeune femme achève d'enluminer l'éclatante paire de fesses. Maxime épuisé, s'écroule, à bout de souffle, entre ses jambes, Elle le remet à genoux fesses en l'air et le reculotte sans ménagement. Il mugit, les fesses sous pression dans un slip de nylon devenu trop serré.

    Toujours prête à vanter la qualité de ses articles de lingerie, Claridge, sans scrupule, saisit l'occasion.
    – «Solidement reculotté dans un slip à fessée, il sentirait encore mieux et durablement l'effet de sa correction!»

    C'est alors que la voix enthousiaste d'Edwige se fait entendre près de la cabine d'essayage.
    – «Et bien moi je vais t'en prendre trois!»

    Elle est en train de reculotter son mari qu'elle tient toujours courbé en deux entre ses cuisses. La correction s'est terminée par une trépidante danse des fesses aux lanières. Elle le libère.
    – «Ils sont tout à fait efficaces, faciles à manier, bien enveloppants, parfaits pour l'avant et l'après fessée!»

    Stéphen s'est écroulé par terre les fesses en feu entièrement recouvertes de superbes traces rouges nettement visibles à travers le nylon transparent du slip. Le teste du martinet à tourné en magistrale fessée de démonstration.
    – «Tu peux te relever et remonter ton pantalon maintenant!»

    Il s'exécute en grimaçant. Ses fesses sont extrêmement douloureuses. Triomphante, claquant du talon aiguille, elle le traîne par l'oreille vers la caisse, l'exhibant comme un trophée obtenu haut la main au cours d'une fessée victorieuse. Il suit péniblement en couinant, à petits pas courbé en deux à côté d'elle, stimulé par une main ferme et claquante  au derrière.
    – «Tu restes là et tu ne bouges pas! Et je ne veux pas t'entendre pleurnicher, sinon c'est une nouvelle fessée en rentrant à la maison!»

    Claridge à laissé Stéphanie finir de s'occuper de Maxime qui sort du magasin, les fesses en feu, lui aussi, la pochette de bas nylon pour sa mère à la main. Elle ouvre un tiroir derrière la caisse:
    – «J'ai trois modèles de couleurs différentes», précise t-elle. «Noir, blanc  ou rouge... comme tu veux.»
    – «A ton avis?» répond Edwige en posant son sac et le martinet encore chaud sur le comptoir. «Tu me conseilles quoi?»

    Claridge étale les trois slips de couleur devant elle.
    – «Et bien... si tu veux mon avis, le noir est certainement le plus stimulant par contraste avec la couleur de la peau, le blanc très transparent est pratique. Il facilite le suivi de la couleur des fesses pendant les fessées. Le rouge, lui, est intéressant comme valeur de référence pour s'amuser à obtenir des fesses de la même couleur.»
    – «Ah oui, il est bien celui là...»
    – «J'ai un modèle rouge plus foncé, que je conseille pour les fessées très sévères.»

    Edwige songeuse, est en pleine réflexion lorsqu'elle surprend son mari, à côté d'elle en tain d'esquisser le geste de se frotter le derrière à travers son pantalon.
    – «Qu'est ce que j'ai dit Stephen? On ne bouge pas! Je ne t'en ai pas encore assez mis sur les fesses sans doute!! Essaye encore une fois tiens. Je te re-déculotte immédiatement et je te flanque une nouvelle fessée sur le champ!»

    Elle se retourne vers Claridge.
    – «Je vais prendre un slip de chaque couleur et deux rouge foncé... Excellent modèle, très astucieux et très utile. Monsieur à besoin de fessées de plus en plus sévères!»

     Elle regarde son mari avec un sourire prometteur.
    – «Avec cet excellent martinet, voilà de quoi renforcer ta discipline mon chéri! Tu as intérêt à filer droit et bien préparer tes fesses. Je n'ai pas fini de te les rougir...les fessées vont claquer sec et encore plus souvent! A commencer par la nouvelle qui t'attend en rentrant à la maison pour le geste non autorisé que tu viens de faire.»

    Stephen blêmit, en entendant l'avertissement, pour le moment sans frais. Il savait que son  épouse pugnace mettait toujours ses menaces de fessées à exécution. C'est à ce moment que la sonnerie du téléphone retentit dans la magasin, sans que ni Claridge ni Stéphanie ne réagisse. 

    Edwige payait toujours par carte. D'un doigt à l'ongle vernis, elle compose son code sur l'appareil, pendant que Claridge de Blagnac plie soigneusement ses articles et les range dans une élégante boite rouge... La couleur, très évocatrice, n'est pas choisie par hasard. Sur le couvercle, la photo édifiante d'une avantageuse paire de fesses masculine solidement culottée dans un ''slip à fessée" très suggestif. La transparence de l'empiècement en nylon, parfaitement tendu sur les rondeurs écarlates, permet d'apprécier  la sévérité de la fessée que monsieur a dû recevoir. Un slogan percutant garantit les vertus calorigènes de la lingerie pour homme: '' Slip à fessée, cuisant fessier!" Difficile de faire mieux et plus explicite.

    La sonnerie du téléphone insistait, stridente, pour la cinquième fois. Claridge glisse le paquet dans un sac en papier portant en évidence le logo et le nom du magasin ''Pour le plaisir des Dames''.
    – «Stéphanie, vous voulez bien décrocher, cette sonnerie est agaçante! C'est vrai quoi Si on ne répond pas tout de suite c'est qu'on est occupé.»
    – «Bien sûr madame...»
    – «Edwige, veux tu un paquet cadeau pour le martinet?» 

    La belle femme sourit d'un air narquois, et se tourne vers son mari qui se dandine le plus  discrètement possible d'un pied sur l'autre. Les fessées continuent leur effet , visible sur ses joues encore brillantes de larmes.
    – «C'est gentil mais, ce n'est pas la peine, merci.Il a déjà eu son cadeau sur les fesses! Il va le prendre à la main pour rentrer.»

    Claridge sourit d'un air entendu. La sévère épouse le lui rendit avec un clin d'oeil complice, et ajouta:
    – «Tu me connais... Toujours mon petit côté démonstratif. Il va marcher à côté de moi son martinet à la main pour bien montrer qui commande à la maison et comment sa femme prend soin de ses fesses.»

    Stephen pâlit d'un coup, à l'inverse de ses fesses, rouges et cuisantes, atrocement serrées dans son slip. Il laissa échapper un murmure qui ressemblait presque à une plainte qu'Edwige interpréta aussitôt comme un signe de contestation, évidemment prétexte à une nouvelle fessée. Elle ne lui laissait aucune marge de manœuvre et ne tolérait aucune remise en cause de ses décisions le concernant.
    – «Qu'est-ce qu'il y a Stephen? Tu as l'air contrarié... il m'a semblé percevoir un murmure de contestation. Tes deux fessées ne t'ont pas servi de leçon?  Attention, je t'entends encore une fois et je te déculotte sur le champs pour t'en mettre une troisième! Et ce n'est pas Claridge, ni Stéphanie, que ça va déranger!»
    – «Certainement pas, bien au contraire!» s'exclame de Blagnac en tendant son ticket de paiement à sa cliente qui consulte le prix indiqué d'un regard amusé.
    – «Et bien dis donc, au moins on voit qu'on n'achète pas n'importe quoi!»
    – «C'est tout à fait justifié tu sais. Ces slips, comme le martinet, sont fabriqués en petite série, en Angleterre. Comme chacune le sait, c'est le pays de la fessée où l'on trouve les meilleurs accessoires. Là on est quand même sur des articles haut de gamme. Tu as déjà pu te rendre compte de leur efficacité.»
    – «Bien sûr, c'était une remarque en passant. Comme on dit fort justement, qui aime bien, châtie bien. Et quand on aime, on ne compte pas, n'est ce pas... on fesse!»
    – «Et on fesse sans compter!» enchaîne Claridge dans un grand éclat de rire, ravie de son bon mot.

    Stéphanie une main posée sur le récepteur du téléphone l' interpelle.
    – «C'est madame Gladys qui appelle, au sujet de votre soirée de samedi... Elle ne peut pas l'organiser chez elle comme prévu. Elle propose de faire ça chez madame Klakerspank.»
    – «Ah bon, et Béatrice, elle est d'accord?»

    Stéphanie reprend l'appareil et transmet la question. La réponse est rapide.
    – «Oui, elle est d'accord, madame Gladys dit qu'elle a même accepté avec enthousiasme.»
    – «Ça ne m'étonne pas. Elle est toujours partante pour ce genre de réunion. Dites-lui que je vais la rappeler ce soir.»
    – «Allez Stephen, tu prends ton martinet et on s'en va!»

    Edwige, son paquet à la main, propulse son mari vers la porte d'une grande claque aux fesses. Il en fait tomber son martinet. Elle lui en remet deux autres alors qu'il se baisse, derrière tendu, pour le ramasser. Il pousse un petit cri de douleur en se relevant.
    – «Que veux tu mon chéri, si tu me présentes comme ça ton derrière c'est inévitable, ma main part toute seule!» Elle ironise. «Je ne sais pas pourquoi, elle est attirée par tes fesses comme par un aimant!»

    Claridge, derrière sa caisse, l'interpelle.
    – «Tu seras de la partie j'espère... avec Stephen bien sûr?»
    – «Evidemment, on ne va pas manquer ça! Aller avance, toi! Dépêche-toi. Il y a une nouvelle fessée qui t'attend à la maison pour avoir tenté de protester tout à l'heure. A force de te faire claquer le derrière, tu vas bien finir par comprendre que toute contestation avant une fessée est parfaitement inutile, sinon de t'en prendre une supplémentaire à chaque fois... Mais je peux continuer à t'en mettre comme ça autant qu'il t'en faudra, moi ça me convient tout à fait!»

     

    Fesses rouges et tabliers blancs, saison 2, épisode 29

     

    Fesses rouges et tabliers blancs, saison 2, épisode 29

     

    « Humiliation de soubrette mâleDes tenues différentes, mais chacune est idéale dans son genre »
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    1
    PeterPan
    Vendredi 6 Janvier 2023 à 19:17

    Bonsoir Ramina, 

    C'est le festival des Fesseuses ! Ca promet pour la prochaine soirée de Samedi . Mais qui donc y sera convié ? Béa, Claridge, Edwige, Gladys de Tapefort, Ma'me Térèze et son Gérome, peut-être la nouvelle adhérente à la Ligue Maternelle de Synthol : Louise Lamalisse, accompagnée de son bon petit diable de Peter ? Pour Maame Louise, tout dépend de l'ambiance quil y régnera. Connaissant la rigueur et le tempérament volcanique de ces vertueuse épouses, elle déclinera peut-être l'invitation, arguant la possible séance de fessées susceptible de tomber à la moindre maladresse de la  gent masculine qui y sera présente. " Le téléphone retentit au 7 rue des Bouleaux. Ce lundi 15 mars. il est 19 heures. Maman Louise prépare une quiche au saumon, et un potage au potimarron. Peter, au salon, quitte ses illustrés pour décrocher le téléphone. "Qui est-ce, poussinet ? (...) J'appelle Maman. (Maman, c'est la grosse dame du tripot.). Mame Lamalisse à l'appareil ! Bonsoir, Mame Klakerspank. (...) Invitée ? Samedi 20...  pour 20 heures 30 (...) Je suis en pleine retouche... un vieux tailleur jupe en drap de laine... Pour une amie de ma fille Natacha. Ah elle peut venir également ? Bien. Je viendrais aussi avec mon p'tit Peter. (...) La présent des dames fortes l'impressionne beaucoup.(...)  Il rougit pour un rien à cet âge.  J'espère qu'elles ne le fesseront pas devant tout le monde. Elles sont si sévères... Ah, il y aura peut-être Robin... et... et Gérome aussi. Tant mieux il se sentira moins seul. Mais... quelle tenue pour cette soirée, puisque nouvelle arrivée (...) Mon tailleur jupe plissée des Dimanches fera l'affaire. (...). Ma petite Natacha ressortira son uniforme d'étudiante. Et mon fils ? (...) En pantacourt à bretelles ou... ou en kilt comme au pensionnat des Soeurs.(....) C'est cela oui. Mes amitiés à votre époux. (... / Clic). "

    Peter.  

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    2
    PeterPan
    Samedi 7 Janvier 2023 à 10:24

    Bonjour Ramina, 

    J'improvise comme à mon habitude... Merci d'avance.  "Mercredi matin. Temps couvert. Louise, accompagné de son fils Peter, passe à la boutique de Madame Claridge, dont ce surnom familier montre toute la notoriété de cette irremplaçable commerçante dans tout Synthol. Tous les hommes en âge de l'être se retournent sur son passage, au grand dam de leurs épouses qui les sortent de leur torpeur "erotico-fétichiste" d'une retentissante paire de gifles. Cette célébrité  glamouresque la grise un peu. Elle en rajoute toujours  en claquant sec des talons sur l'asphalte du trottoir, Sa démarche outrageusement chaloupée ne passe jamais inaperçue, sauf pour les myopes.  Madame est ponctuelle et la lourde grille de fer émerge de son sommeil de plomb à huit heures tapantes, réglée comme une pendule suisse. Elle retourne l'écriteau  sur la porte vitrée. "Ouvert". En lettres manuscrites les horaires : Lundi au Samedi (sur RV) - De 8 h à 19 h 30. Sauf Dimanche et fériés". "Voilà, nous y sommes, mon poussin !" Madame Claridge observe la scène tout en allumant la caisse. Maman Louise pousse la porte, l'air contrariée. "Bonjour madame Louise. Eh bien  vous en faites une tête ? - C'est mon fils ! Il avait peur de rentrer parce qu'il croyait que vous alliez le fesser ! - Eh, bien, mon garçon ! Vous avez peur de la fessée ? J'ai l'air parfois sévère, certes. Mais je suis aussi une maman, moi aussi. Et une bonne maman fait les gros yeux lorsque c'est absolument nécessaire. - Tu entends, Peter . - Oui... oui mam... maman. - Aaaah, la la... ces garçons, j'vous jure. - Alors, Ma'me Louise, on se permet quelques folies ? - Peter, mon poussin, va t'asseoir là-bas, il y a des illustrés . Je dois parler avec Madame De Blagnac ". Elle parle tout bas. La belle commerçante sourit  avec malice. "Nous somme entre femmes , Confiez vous." -  Voilà, je voudrais m'offrir un caprice. - Dans le genre... sobre.... plus coquin... plus... dans la tendance ? - Je ne sais pas. j'hésite encore. -  Comme vous êtes très classique dans votre garde-robe... je vous proposerai ce nouveau modèle venu d'Italie... Capriccio. A la fois habillé et un brin coquin. - Mon Dieu ! Ce modèle ? Mais ça... ça ne fait pas trop.... trop Olé ! Olé ?  Pour une femme de mon âge ! - Aucune crainte. C'est un article qui est plébiscité par mes clientes, de tous âge. - Mais j'ai un peu.. forci sur les hanches... ces temps-ci. - Vous êtes encore belle pour votre âge. - Vous me flattez." Maman rosit légèrement. - Il y a aussi le modèle Bellissima. Qui conviendrait mieux à votre silhouette. - Vraiment ?  - Un mélange entre la gaine de maintien et le deux pièces. Mais il est uniquement sur commande et d'après mesures. - Mon Dieu ! Si ma mère me voyait ?  Après tout, soyons folle ! - Parfait, Suivez moi dans l'arrière boutique, ma bonne Louise ! - Tu ne bouges pas, Peter. Maman revient. " A ce moment-là, la clochette rententit... Qui était-ce  ?"  Mystère. Peter.

      • PeterPan
        Samedi 7 Janvier 2023 à 11:45

        Re-bonjour à tous...

        Je continue mon impro. Re-merci d'avance. " La  clochette de laiton retentit. C'est Madame Bellebourge et son fils Gérome. "- Salut, Pit ! Quest-ce tu fais là ? - J'attends ma mère. - Gérome, on dit bonjour ! Coupa Maman Térèze. "Bonjour, Mes... mesdames !  Une voix dans l'arrière boutique : Bonjour Madame Térèze. Encore quelques minutes et je suis bientôt à vous ! - Ma bonne Louise, c'est du 115 qu'il vous faudra. Vous êtes une "fausse maigre" comme l'on dit. - Merci du compliment. - Ne le prenez pas mal. Vous n'êtes pas la seule. A nos âges, nos maris ne font plus attention à nous. Ils n'ont d'yeux que pour les belles sirènes au balconnet très... pigeonnant ! Si vous voyez ce que je veux dire ?!" Et toutes deux éclatent de rire. "Eh bien, on ne s'ennuie pas ici ! " Murmura Mam'e Térèze, l'air en colère. Gérome va s'asseoir à côté de son nouveau copain. "Au fait, tu l'as lu le dernier "Michel Vaillant ?" - Ah, celui à Indianapolis... le rallye ? - Ouais ! Tu l'veux pour les vacances ? - Ben, j'dis pas non. - Fais gaffe, c'est c'ui de mon cousin. - Et le dernier Rahan  , avec les Mammouths dans la neige ? - Ouais, je t'l'amènes demain en cours. - D'ac' ! Ca marche ! " Les deux femmes , à la min hilare, reviennent à la boutique. "oh, j'allais oublier. Une amie m'a parlé de magnifiques tabliers en coton des Indes. Très enveloppants,  à volants pour la cuisine et... (murmurant à l'oreille de Claridge) pour ce que vous savez... - Certainement. Deux modèles, à bavette pour les... groooosses mères-poules et  le modèle court à la taille pour les élégantes. - Eh bien, je vous choisis ces trois modèles pour faire un roulement.... pour les lessives. Claridge sort son carnet de commande de sous le comptoir et le remplit tout en parlant.- e- Oh, un petit cadeau de la maison, ma bonne Louise.  Une manique en cuir ouatinée dedans... pour fesser votre bon petit diable de Peter ! Oh le vilain garnement à sa maman chérie !" Dit-elle en ricanant." Coupez. Peter. 

    3
    ramina
    Samedi 7 Janvier 2023 à 16:01

    Bonjour Peter, le gars qu'on n'arrête plus !

    On achève bien les chevaux... pas lui . indestructible !!  Dans le genre doux délire difficile de faire mieux... ou plus pire!  Il commence par commenter,  puis très vite , habité par le démon de l'écriture, virage à 180°,  bretelle de dégagement, sortie de route ! Le voilà parti à refaire l'histoire, réécrire le texte à sa sauce piquante, en introduisant ses personnages, mélangés à ceux du récit initial ... Tiens c'est pas compliqué y a plus qu'à lui laisser raconter la suite !

    Très drôle et malin , l'univers conjugué des pétroleuses incendiaires   Claridge de Blagnac, Béatrice Klakerspank avec le petit monde feutré, jupe plissée du dimanche de Thérez Bellebourge , et autre Lamalisse ... faut suivre les gars ! Mélange de genre, façon, tout est dans tout et réciproquement !   C'est en même temps la fête du slip et celle de la culotte de velours côtelé à bretelles. Des femmes au décolleté ravageur, en porte jarretelles et des rombières de sorties de messe en culotte montante de coton et au corsage amidonné boutonné  jusqu'au cou . !!! Y en a pour tous les goûts, blouses à volant et bas nylon à couture. le goupillon et le martinet... Mais le style Peter reste, mesuré, feutré, chic modeste et  de bon goût. On boit le thé le petit doigt en l'air assise sur le bout des fesses, on discute avec la pince à sucre et on hésite à mi voix en rougissant, entre de la gaine de maintient et le deux pièces ... sans dire ce de quoi il s'agit réellement, lingerie Aubade ou Playtex orthopédique ? Ah le charme discret de ces dames au chapeau vert  et des bons comtes farfelus de l'ami Peter...  Faut suivre les gars ! 

    Comment ça madame ... dans votre bureau... tout de suite ...  ah bon ...mais, mais j'ai rien dit qu'à des compliments. Quand même ? Et ... orthopédique, c'est pas un gros mot !   Ramina



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