• Fesses rouges et tabliers blancs, saison 2, épisode 22

     Un texte et des dessins de Ramina, que je remercie


    Chapitre 22 :  Les fessées de Maxime

     

    Maxime vient s'allonger docilement en travers des larges cuisses de sa mère qui le positionne penché en avant, la tête en bas vers le sol, les fesses relevées à la bonne hauteur pour disposer aisément de toute la surface, bien déployées à sa main. Connaissant  les réactions de son grand dadais, qui a déjà joui plusieurs fois  sur ses cuisses pendant ses fessées, elle a pris la précaution de mettre un tablier pour protéger ses bas nylon des projections non contrôlées.
    – «Mets tes mains bien à plat parterre. Un bon appui au sol rend le derrière plus ferme. Ça permet de taper plus fort.» 

    Tout en lui donnant ses consignes, elle saisit  l'élastique de son slip et le déculotte d'un habile tour de main. Elle descend le nylon au milieu des cuisses pour bien dégager la surface à corriger, tapote nerveusement les deux fesses pour en prendre la mesure, et enclenche aussitôt une formidable fessée dont l'éclat retentit jusque dans l'entrée.

    Le pauvre jeune homme, pourtant habitué à s'en prendre des sévères, suffoque un peu en laissant échapper quelques gémissement spasmodiques. Béatrice, bien entraînée et mise en forme par les corrections administrées au salon de coiffure, utilise toute sa force physique pour rendre la correction efficace. Elle fesse dur et sur un tempo déjà très élevé pour une entrée en matière.
    – «Je t'avais prévenu que j'allais taper fort. Je me suis tellement bien chauffé la main tout à l'heure au salon, que c'est comme si j'entamais une troisième fessée!»
    – «Ah oui maman ta... ta main... elle fait mal! Tu fesses vraiment fort! Beaucoup plus fort que... que d'hab...que d'habitude!»
    – «Et bien ce sont de mauvaises habitudes. Plus la fessée est sévère meilleur c'est pour tes fesses. Ça ne peut que te faire du bien! La prochaine fois tu rouleras moins vite ou je te fesserai encore plus fort, à raison d'une séance supplémentaire par point enlevé sur ton permis!  En attendant tu vas me déguster ça!»

    Sa main très ferme, compacte, virevolte d'une fesse à l'autre en insistant d'abord sur le sommet bien charnu puis en élargissant la frappe sur toute la surface autour. Aucune parcelle de chaire n'échappe à ses puissantes claquées, allongée de toute sa hauteur, en cuisants allers et retours.

    Le fessier rapidement en feu du malheureux, rebondit au même rythme sur les fortes cuisses gainées de nylon, tandis que son ventre s'irrite douloureusement sur les boucles métalliques des jarretelles.

    Toujours insatisfaite et jamais à court d'imagination pour pimenter les fessées, l'exigeante maman accentue le mouvement en le faisant sauter sur ses genoux pour lui cueillir les fesses à la volée au moment où elles prennent de la hauteur. Elle a les cuisses et les mollets musclés ce qui lui permet d'exécuter la manœuvre sans aucune difficulté. La fessée n'en est évidemment que meilleure. Elle est beaucoup plus cuisante, et les fesses déjà bien rouges montent plus rapidement en cuisson comme en coloration. La maman fesseuse se régale à voir le derrière de son fils s'enluminer sous sa main d'un écarlate de plus en plus resplendissant.

    Dix longues minutes à ce train d'enfer, et Maxime, en larmes, est déjà épuisé. Il a rendu grâce et abandonne ses fesses déculottées, à l'implacable sévérité de sa mère. Forte de sa légitimité auto proclamée à corriger son fils, indifférente à la cuisson de son postérieur, elle fait durer la fessée jusqu'au bout de sa capacité d'endurance. Portée par cette frénésie punitive, elle tente à chaque fois de repousser un peu plus loin les limites de ce qu'il peut supporter pour obtenir un fessier toujours plus performant. Fesser plus souvent, plus fort et plus longtemps... Le prix d'une parfaite éducation dans une perspective de réussite.

    Encore quelques claques rageuses, bien appuyées, pour parfaire la cuisson du derrière et la maîtresse femme conclut brillamment la première partie de la correction. Satisfaite de sa prestation, elle contemple la belle paire de fesses en train de chauffer sur ses genoux.
    – «Excellente préparation!  Nous allons pouvoir passer à la fessée au martinet. Elle est toujours meilleure sur des fesses bien rouges. Les tiennes m'ont l'air tout à fait prêtes.»

    Maxime, gémissant, est effondré pantelant sur les cuisses de sa mère qui lui tapote affectueusement le postérieur sans se soucier du surcroît de souffrance qu'elle lui inflige.
    – «Parfait! Monsieur a bien pris sa fessée parce qu'il a compris combien il la méritait. Comme la suivante d'ailleurs qui ne va pas tarder à tomber.»
    – «Oooh maman... pas trop fort le martinet s'il te plaît...»
    – «Comment ça pas trop fort? Je n'ai même pas encore commencé que tu te plains déjà! Elle sera comme d'habitude mon cher. Alors prépare toi!»

    Toujours parfaitement obéissant , il se met aussitôt dans la position d'attente habituelle, devant elle, à genoux à ses pieds. Nourrie d'un sentiment de puissance absolue, elle prononce alors la phrase rituelle.
    – «Va chercher ton martinet et rapporte moi aussi mes bas '' Gio''! Et dépêche-toi, sinon je rajoute 25 coups... Et remonte ton slip... pas le pantalon!»

    Maxime s'exécute immédiatement. Il se reculotte en grimaçant et, le pantalon aux chevilles, traverse le salon en trottinant pour aller chercher ce que sa mère lui demande. Elle s'amuse de voir ses grosses fesses rouges débordantes du slip, tressauter au rythme de la marche saccadée.

    Béatrice Klakerspank organisait les séances de fessées au martinet de son fils comme un véritable cérémonial qui se déroulait selon une mise en scène parfaitement réglée. A la maison ou en public devant ses amis, elle en faisait un véritable spectacle exhibition, démonstration de fessées à l'appui. A l'humiliation des fessées déculottées au martinet, elle ajoutait celle de les lui administrer dans une position particulièrement avilissante qu'il subissait comme une double peine. Elle lui flanquait ses raclées la tête coincée entre ses cuisses, les joues soumise au frottement continu de ses bas nylon. Et elle ne se gênait pas pour en accentuer le va et vient au rythme régulier des cinglées. 

    Maxime revient dans le salon son martinet à la main. Il attend debout, après lui avoir donné la paire de bas dans sa pochette. Sans se soucier de lui, elle s'est débarrassé de sa jupe et, après avoir ôté les nylon, qu'elle porte enfile la nouvelle paire devant lui. La jambe ostensiblement haut levée sous ses yeux, elle les déroule soigneusement le long de ses cuisses et les attache un à un à ses jarretelles. Bien qu'elle réitère son exhibition à chaque séance, elle se plaît à lui en rappeler l'usage.
    – «Je préfère ceux-ci aux autres. Le nylon est plus rêche... parfait pour mieux te chauffer les joues entre mes cuisses pendant la fessée. Je vais te les rougir autant que tes fesses!» 

    Maxime est transformé en statue de sel. Il tremble un peu sur ses jambes et, son martinet toujours à la main, attend sagement sa deuxième fessée. La plus douloureuse. Sa mère teste avec satisfaction, le crissement de ses bas nylon en frottant ses cuisses l'une contre l'autre.
    – «Et bien Maxime, s'exclame-t-elle avec un sourire goguenard, qu'est ce tu as à me regarder comme ça? Ce n'est pas la première fois que tu as l'occasion de reluquer mes jarretelles, profite en, au lieu de faire cette tête!»

    Le pauvre garçon fait une grimace douloureuse. Debout, devant elle, il attend qu'elle soit prête à l'accueillir. Lorsqu'elle lui fait signe de se mettre en position, il lui tend le martinet et, docile, vient encastrer sa tête entre ses fortes cuisses qu'elle resserre comme un étau autour de son cou. Il sent aussitôt le contact irritant des bas nylon qu'elle commence déjà à frotter sur ses joues pour assurer sa prise. Cambrée sur ses talons aiguille, le mollet ferme, les jambes musclées bien tendues, elle le tient fermement entre ses cuisses, la nuque ployée sous son opulent fessier. Comme une fière cavalière maîtrisant sa monture au dressage, elle pèse sur lui de tout son poids pour lui faire courber l'échine et cambrer les reins, l'obligeant ainsi à se présenter les fesses hautes, bien tendues. Exigeante sur les positions, elle finit toujours par obtenir ce qu'elle veut. Le derrière rebondi est bien en place pour profiter à fond du martinet.
    – «C'est comme ça que je te veux quand je fesse au martinet! Depuis le temps que je t'en mets sur le derrière tu devrais tout de même savoir comment le positionner!»
    – «Oui maman! Je...  je vais savoir!»

    Maxime est près à dire oui à  n'importe quoi pour abréger la séance. La position est très humiliante et déjà difficile à tenir alors que la fessée n'a même pas encore commencé. Il respire mal, coincé entre les cuisses puissantes qui lui broient les joues, la nuque écrasée sous ses lourdes fesses dont il sent la douce tiédeur à travers le slip de nylon. 

    Sans complexe, Béatrice a enlevé sa jupe pour fesser à l'aise et va officier en slip, le bas du bustier flottant par-dessus son porte jarretelles.
    – «Maintenant déculotte-toi entièrement, le slip au milieu des cuisses, pour que le martinet se régale! Je veux de la surface à cingler du bas des reins jusque sous les fesses!»

    Le ton est ferme, empreint d'une autorité qui n'admet aucune discussion.
    – «Oui... maman...»

    Elle le regarde faire avec un petit sourire. Satisfaite d'obtenir de son fils autant de respect et d'obéissance. 

    Maxime se déculotte .avec précaution, son postérieur, encore sensible de la fessée à la main, tressaille douloureusement au frottement du nylon et des élastiques. La séance peut commencer, son calvaire aussi. Il sait ce qui l'attend.    

    Béatrice, en petite tenue, toutes jarretelles dehors, fesse avec force et conviction. Habituée à manier le martinet, et connaissant par cœur le derrière de son fils, quelques allers et retours lui suffisent pour trouver la bonne distance et ajuster sa frappe. Sa correction doit être exemplaire. Elle s'y emploie avec dextérité et lui aligne les cinglées en un cuisant balayage qui s'imprime alternativement sur chaque fesse. Les belles lanières de cuir mat, claquent en cadence sur toute la surface offerte qui se strie d'un superbe rouge foncé, zébrant progressivement  la chaire déjà écarlate de la fessée précédente.

    Maxime ne résiste pas longtemps. Il commence à geindre et pousser des plaintes plus fortes au rythme des coups de martinet qui lui arrachent des hurlements à chaque fois que les lanières, habilement dirigées de haut en bas, viennent lui cingler la raie des fesses.

    Sa mère, en pleine action, se soucie peu de ses gémissements. Elle continue à fesser sans ralentir la cadence, seulement perturbée lorsqu'il s'agit de le remettre en place quand il commence à gigoter un peu trop. Ce qu'elle fait naturellement, sans difficulté et sans interrompre la fessée, tout juste en ralentissant le rythme pendant la reprise de martinet à pleine puissance. Elle est beaucoup plus forte que lui et capable de le repositionner plusieurs fois sur ses genoux ou entre ses cuisses pendant une raclée sans lui lâcher le derrière une seconde.

    Les cinglées continuent à claquer sans relâche. La correction  est difficiles à supporter mais Béatrice ne tiens jamais compte de ses gémissements, bien au contraire! Elle va toujours jusqu'au bout de la sentence annoncée, durée, nombre de claques à la main, de coups de martinet, et se plaindre ne lui vaudrait qu'une "ration" supplémentaire... 

    Dix minutes de fessée au martinet, déculotté, fesses en l'air, à se tortiller la tête coincé entre les cuisses de sa mère... C'est très long et très douloureux.

    Béatrice conclu la terrible raclée par deux envolées de lanière en travers du fessier cramoisi et d'une dernière bien appuyée entre les fesses. Ça fait très mal ! Maxime hurle. Elle desserre les cuisses. Il s'écroule par terre à genoux. Durement éprouvé par le frottement continu des bas nylon, ses joues sont écarlates et cuisantes. Presque aussi luisantes que ses fesses.

    Martinet en main, lanières brûlantes pendant le long de sa cuisse, sa mère le regarde de toute sa hauteur.
    – «Tu as compris maintenant? Inutile de dissimuler et mentir. Je t'imprimerai la leçon à chaque fois sur les fesses. Ça sert à ça la fessée!»
    – «Oui maman... mes fesses aussi ont compris!»
    – «On verra ça! Maintenant tu vas te mettre au coin! En pénitence, sous mon bureau. Et dépêche-toi ou je t'en remets une cinglée!»

     

    A suivre

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  • Commentaires

    1
    PeterP
    Vendredi 18 Novembre 2022 à 09:58

    Bonjour à tous...

    Beau duel Mère-Fils ! Maman Béa inculque une fois de plus les vertus de la fessée disciplinaire à son petit Maxou' chéri. Et le fils ne fait pas le poids face à son exubérante et redoutable Maman.  Cette superbe  Virago quinquagénaire prend un sadique plaisir à recadrer son garnement adoré. Difficile pour Maxou de résister à tant de ténacité maternelle... De plus, elle s'amuse à jouer les pseudo-tentatrices à le fesser sur ses genoux en étant simplement parée de sa gaine-bustier... sachant la sensibilité masculine naissante chez son fils. Elle en rajoute un peu dans le style : "il faut savoir parfois ne pas succomber au désir, Maxou chéri !". Dur ! Dur ! D'être un garçon obéissant !! Et ce ne sont pas ces Castor et Pollux de camarades de Ste-Geneviève qui le contrediront !!! Ah ça non, ma bonne dame ! Robin Tapefort, son pote des tournées à l'Olympic, en sait quelque chose.... Quant à Gérome, et Peter, pour eux c'est moi sûr...                                                   Peter.

    2
    ramina
    Vendredi 18 Novembre 2022 à 16:19

    Joli commentaire, ami Piter !

    Duel mère fils , certes mais très inégal ! L'autorité de maman vient très vite à bout de la résistance de Maxime la victime. D'autant plus que maman "Béa" est irrésistible et du coup le Maxime en question ne résiste pas. Béatrice, Gladys et ses amies font partie du cercle des poètes de la fessée, loin d'avoir disparu, mais convaincues des bienfaits de la discipline domestique. Dans un  quartier où l'on claque régulièrement le derrière des désobéissants, mal élevés, insolents ou coupables d'autre mauvais comportements . On y fesse d'ailleurs les fenêtres ouvertes pour que tout le monde soit au courant des habitudes disciplinaires de chaque foyer .Les Gérôme, Peter, Robin  maintenant Maxime,le fils de la coiffeuse qui décoiffe , en savent tous quelque chose ... Avis aux per (et mères)  turbateurs... Oui, bon d'accord, je sais... c'est tiré par la manche... euuuh..., les cheveux !  Ramina 

     

    3
    PeterP
    Vendredi 18 Novembre 2022 à 16:41

    Bonjour ami Rami'

    Ben dis donc, la Mère Noëlle va offrir des martinets aux ados boutonneux pas sages cette année !!! Va y avoir du Rififi dans le Landernau !!! Toutes les mères-poules vont être sur le pont... Même le p'tit Peter va goûter au martinet de Maman Louise. A moins que grand'soeur Nat'-à-chat (rires) prenne la relève sa mère.  Mais, au fait, ce lundi , ne serait-ce pas la leçon d'Anglais de Gé-gé-la-Flemme ? " - You know your text for today, my dear pupil ? - Oh, yes, miss Patricia ! " ("vous connaissez votre texte pour aujourd'hui, mon cher élève ? -Oh, oui, Moiselle Patricia ! ") Quel menteur ! - Peter, ne soyez pas médisant avec votre camarade Gérome. De l'indulgence, je vous prie ! Allons reprenez , Gérome. " Coupez.        Peter. 



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