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Fesses rouges et tablier blanc, sixième épisode
Un texte et des dessins de Ramina, que je remercie.
Une montée d'escalier claques aux fesses
Leur punition terminée, Edouard et Robin, envoyés au coin, cuvent leurs fessées, le nez au mur sous le regard goguenard de Gladys et Patricia, tranquillement assises dans le canapé du salon. Bettina est invitée à y rester pour profiter elle aussi du spectacle des deux paires de fesses écarlates et cuisantes qui tressaillent au dessus des slips, baissés au milieu des cuisses. Les deux hommes sont priés de garder le silence afin d'épargner à ces dames le désagrément de sanglots et gémissements trop bruyants. Au moindre murmure, c'est le retour immédiat sur les genoux de Gladys pour une fessée supplémentaire.
– «On dirait qu'ils ont du mal à s‘en remettre», fait remarquer Patricia en contemplant les gros derrières gonflés de claques, exposés côte à côte «Sûr qu’ils vont se souvenir de cette correction».
– «Manquerait plus qu'on se donne du mal pour rien», dit Gladys. Elle interpelle Robin, pour la leçon d'après fessée.
– «Bon, Robin, tu ne vas pas resté là, à pleurnicher, parce que tu t’es pris deux malheureuses fessées! Viens ici, tout de suite, et attention, tu connais la règle... interdiction de te frotter les fesses. Il faut que tu ressentes l’effet des fessées le plus longtemps possible.»
– «Mais maman j’ai maaal, ça cuit! Oh la, la ça cuit!» gémit le pauvre garçon.
– «Attention Robin, je t'ai dit de venir ici! Tout de suite!»Le slip tendu entre ses cuisses , les jambes entravées par son pantalon en accordéon sur les chevilles, il se déplace d'une démarche ridicule, traînant les pieds comme s'il marchait sur des patins. Gladys le saisit par les oreilles et le met à genoux devant elle entre ses jambes écartées. De son index tendu elle lui soulève le menton pour l’obliger à relever la tête. Il a les joues brillantes de larmes, et presque aussi rouges que ses fesses, mais ça ne l'émeut pas pour autant.
– «Regarde bien maman dans les yeux Robin, et n‘en profite pas pour te frotter le derrière... Sinon c'est?… c'est quoi?»Elle l'interroge du regard. Il sait ce qu'il doit répondre sans hésiter. Il le fait , en ravalant ses larmes et sa morve, la voix hachée par les sanglots.
– «C'est la, fessée maman, la fessée!»Elle insiste à plaisir pour bien l'humilier.
– «Bien sûr la fessée! Et quel genre de fessée?»
– «Déculotté maman, c'est la fessée déculotté.»
– «C'est bien mon chéri. Maintenant si tu ne veux pas que je t'en mette une autre tout de suite , qu’est ce que tu dois dire à Bettina et à ta soeur qui t’ont si bien claqué les fesses pour te punir de ton mauvais comportement? Hein, qu’est ce qu’on dit?»Robin, hagard, à genoux slip aux cuisses entre les jambes de sa mère, les fesses flamboyantes, renifle sa morve mêlée de larmes en balbutiant d'une voix entrecoupée de hoquets. Il a du mal a retrouver sa respiration.
– «Me-er-ci... ma-a-man, meeeerci... Paaat... Patricia et Betinaaa pour ces bonnes fessées! Je... je ne recommencerai plus, c’est... c'est promis!»
– «De rien mon cher, c’est toujours un plaisir de te claquer les fesses», ironise Patricia.Bettina y va aussi de son sarcasme.
– «Surtout qu'elles claquent vraiment bien!»
– «Parfait! S‘exclame Gladys. C'est fou comme il devient raisonnable après quelques fessées bien claquées au derrière! N’est ce pas trésor? Tu les sens cuire tes fesses?»
– «Ou... Oui maman!»
– «Très bien. Maintenant monte dans ta chambre. Tu descendras pour le dîner quand je t’appellerai.»
– «Tu ne le remets pas au coin pour qu’on profite de la belle rougeur de ses fesses? Demande sa sœur.d’un ton faussement innocent.
– «Non, il en a pris assez pour aujourd’hui, ce ne sont pas les occasions qui manqueront de lui faire exhiber la couleur de ses fesses après une déculottée.»Bettina insiste en balançant la tête avec un regard interrogatif.
– «Bon! On ne le reculotte pas non plus? Le nylon entretien très bien la chaleur.»Gladys sourit et répond d’un air entendu.
– «Pas encore Bettina, vous allez trouver plus pratique qu’il reste déculotté. Il va avoir besoin d’un bon coup de main pour monter dans sa chambre, si vous voyez ce que je veux dire?»La soubrette hésite un instant et son visage s’illumine.
– «Oui Madame, tout à fait, j'ai compris. Par coup de main, vous voulez dire claques aux fesses.»Les deux femmes échangent un clin d’œil complice et Bettina passe discrètement derrière Robin. Celui ci, encore à moitié sonné par les fessées qu’il vient de recevoir, attend les consignes en gémissant, debout, toujours déculotté, au milieu du salon. Avec un sourire féroce Bettina le propulse vers l’escalier d’une formidable claque en plein milieu des fesses. Sous la poussée, il trébuche, les jambes toujours entravées par son slip et son pantalon et se rattrape à la rampe de l’escalier pour ne pas tomber.
– «Fais attention Robin», s'exclame Gladys. «Si tu me craques l'élastique de ton slip, c'est une nouvelle fessée assurée.»Bettina s'esclaffe.
– «En tous cas, moi, voilà ce que j'appelle un vrai bon coup de main! Et quel plaisir de claquer une belle paire comme celle là!».Elle saisit de nouveau Robin par le col de sa chemise. Raison de plus pour en profiter un maximum.
Robin se laisse faire, toute résistance annihilée par les fessées successives. Elle lui fait alors monter les escaliers au train, en lui claquant les fesses à chaque marche. La main est rapide et virevolte sèchement sur la surface enluminé du derrière en feu. Le malheureux s'efforce de suivre la cadence, tant bien que mal, en proférant quelques larmoyantes protestations, dont elle se moque éperdument. Il n'y a que ses fesses qui l'intéresse.
– «Hop! Hop! Hop! Allez, on lève bien haut les jambes, on creuse les reins, on pousse fort sur ses fesses pour bien les arrondir à ma main et on monte en vitesse!»Robin obéit aussitôt et monte les marches cambré au maximum, en présentant son imposante paire de fesses, étroitement moulées dans un slip près à éclater.sous la pression. Bettina s'en amuse, en lui faisant joyeusement crépiter le derrière. Il était écarlate en bas, il finit cramoisi en haut.
– «Ah Madame, je suis certaine qu'il n'a jamais monté les escaliers aussi vite.»
– «Oui, et çà mérite une récompense», lance Gladys, plantée mains sur les hanches en bas des marches. «Que diriez vous d'une dernière petite fessée, bien méritée?»
– «J'en dis que c'est encore un excellente idée!» S'exclame Bettina en se frottant les mains.
– «Et toi Patricia? Tu en penses quoi?»
– «Que du bien maman, toutes les occasions sont bonnes!»
– «Parfait, à l'unanimité! Allez y Bettina, une brève mais intense!»La jeune femme ne se fait pas prier. En un tour de main elle reprend Robin sous son bras, lui remet les fesses en position, et lui réactive aussitôt une nouvelle fessée sur le derrière qui n‘en peut plus.
– «Juste une petite fessée d’entretien pour finir en beauté.» dit elle en claquant à pleine main le postérieur offert, qui redevient très vite, extrêmement cuisant.Gladys suit d’en bas le déroulement de la correction.
– «Pas trop longue Bettina. Gardez en pour demain!»Robin vient à peine de se remettre à crier et à trépigner sur place que Bettina obéit et met fin à la fessée. Elle le libère. Une main plaquée sur ses fesses cuites et recuites, le pantalon relevé dans l’autre, il se précipite en pleurant dans sa chambre sous les éclats de rire moqueurs des trois femmes.
– «A mon avis», dit Gladys en se dirigeant tranquillement vers le salon suivie de Patricia, «après ce qu’on vient de lui mettre sur les fesses, ça va peut être lui faire passer l'habitude des tournées de bière au comptoir avec ses copains et de nous raconter des bobards en guise d'excuse.»
– «Il n’y a que comme ça qu’il comprend» ajoute Patricia
– «Oui, la fessée! Il n'y a rien de meilleur que la fessée! En plus, ça maintient le derrière en forme et ça nous fait faire de l’exercice.»Patricia enchaîne alors:
– «Au fait maman Edouard... il est toujours au coin.»Gladys prend alors un air sévère.
– «Il est très bien là où il est. Je me demande d'ailleurs s'il a bien compris la leçon, lui aussi!»
– «C'est vrai le pub après le bureau, ce n'est pas un bon exemple pour Robin. Tel beau père, tel fils, il n'y en a pas un pour rattraper l'autre!»Les deux femmes échangent un sourire complice. Patricia s'exclame:
– «Au fait, nous aussi on pourrait boire quelques chose, après tant d’efforts. Tu veux quoi, maman, un cocktail ou un Whisky?»
– «Pour moi chérie, un whisky... sans glace. Les femmes fortes boivent le Whisky sec... Sec comme des claques sur les fesses!»
Elle rit.
– «Bettina, venez vous joindre à nous et apportez des petites choses à grignoter.»Elles se félicitent en trinquant à la santé des derrières qu'elles corrigent.
(à suivre)
Tags : Fessée, En travers des genoux, Soubrette, Tablier-taille
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Commentaires
2raminaJeudi 21 Avril 2022 à 17:48Saluté Peter!
Bien enlevé et percutant le commentaire. Et oui les femmes fortes boivent des boissons fortes et le Whisky sec ...comme ... des claques sur ... Euh, je l'ai déjà dit. Passque ça change du Porto pour les ramollos. Pour le moment C'est Robin et Edouard qui dégustent Ouanemortime sur les fesses. Mais le cercle des amies ferventes adeptes de la fessée va peu à peu s'élargir pour une valse des derrières de derrière les fagots.J'aime pas les fagots, ça cingle trop et ça laisse de vilaines marques sur les fesses !
Toujours nul en anglais Le gars Gérôme va bientôt devoir repasser sur les cuisses accueillantes de Patricia pour des cours très particulier- ement cuisants ... Clap sur your bottom . Moi aussi je suis nul en English.
Ah ma po'v Dame on n'est pas sortis de l'asperge !
Ramina
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Hello Ramina...
Excellent. Ha ha ha ! Bien à propos ce : "les femmes fortes boivent le Whisky sec...". "C'esssst l'Apéro-trique " "A elles le Gin, à nous l'spanking ! "Samedi matin , pas de paresse ! Gladys et Pat' : pan sur les fesses !" Les "Spanking Girls" ont encore frappé... ces !! Pourtant, Rob la Frime et Ed' la Gaffe devraient être habitués à ce rodéo sauvage. A croire que ça leur plait, Franchement. Remarquez : Gérome ne vaut guère mieux et quelque chose me dit que ça va être sa fête dans peu de temps... Ah ces Mamans poules... PeterP.