• Et le jeudi suivant...

    Un extrait d'un texte que j'ai trouvé sur:

    http://fessee.erog.fr/pages/et-le-jeudi-suivant-3388883.html#

    Je vous le livre pour le cas où il disparaisse...


     

    ET LE JEUDI SUIVANT…

          « Oui, chère amie,  c’est comme je vous le raconte. Ce Jérome, il fallait que je le déculotte toutes les semaines, dans la buanderie, malgré ses seize ans. Je le mettais sur mes genoux,  lui levais son tablier noir, lui baissais la culotte de tricot et la grande culotte de dessous en coton blanc que lui mettait sa mère et pan-pan, la fessée pendant dix minutes. Et, vous ne me croirez pas, mais il aimait ça, j’en suis sûre. D’ailleurs, même si je ne disais rien, je m’en rendais compte en le reculottant après sa correction. Ça a duré un an ! Et puis, en 39, après qu’il a passé son CAP, je ne l’ai plus revu. Il avait été engagé comme aide-comptable dans un grand cabinet de Boulogne.

         Et voilà-t-y pas qu’en 1942, pendant l’occupation, un beau dimanche après-midi, alors que je faisais le ménage avec ma blouse écossaise mauve, j’ai entendu frapper à ma porte. J’ai ouvert et qu’est ce que j’ai vu ? Mon Jerome ! Je l’ai bien reconnu tout de suite, même si c’était un jeune homme maintenant. Il avait mis son complet des dimanches, une belle cravate à pois, ses cheveux étaient tout collés, il empestait l’eau de Cologne et il tenait un bouquet de fleurs à la main. Dés qu’il m’a vue, vous n’allez pas me croire, mais il s’est mis à genoux devant moi en me tendant son bouquet et il m’a fait une déclaration ! Il m’a dit qu’il n’avait jamais pu m’oublier et qu’il m’aimait !

         —  Pas possible !

         — Oui, ma chère ! Il m’a dit à genoux qu’il m’aimait et qu’il voulait que je sois sa bonne amie ! Je dois dire entre nous que ça m’a fait quelque chose. C’était un beau jeune homme, aussi grand que moi, avec de grands yeux bleus et des cheveux châtain clair, et mon mari était prisonnier ! Il n’était pas question que je fasse comme d’autres et que j’aille avec les Allemands ! Mais là c’était différent. Alors, je l’ai pris par le bras, je l’ai relevé, j’ai pris les fleurs et je l’ai fait entrer dans ma cuisine. Il avait l’air un peu penaud, maintenant. Il ressemblait au grand garçon que j’avais connu, si je peux dire, trois ans plus tôt. Et alors ça m’a donné une idée. J’ai commencé par bien fermer les fenêtres et les rideaux pour pas qu’on puisse nous voir des remparts ni nous entendre et j’ai fait semblant de me mettre en colère !

         — Je vois où vous vouliez en venir, ma chère…

         — Attendez que je vous raconte. Je lui ai dit qu’il était un garnement de me dire des choses pareilles et que puisqu’il se conduisait comme un galopin, j’avais bien envie de le punir comme un petit polisson qu’il était. « Oh, qu’il m’a répondu, vous voulez me donner la fessée ! » « Tout à fait, petit vilain, que je lui ai dit. Une bonne fessée, comme celles que je vous donnais autrefois toutes les semaines au collège. Qu’est-ce que vous en dites ? »  Il est devenu tout rouge et il a baissé la tête en me disant que c’était vrai, qu’il l’avait méritée et que si je voulais je pouvais la lui donner tout de suite. Mais moi, je lui ai répondu que je ne donnais pas la fessée aux  « margats » quand ils étaient déguisés comme des hommes, mais seulement quand ils étaient habillés comme des petits garçons, ou bien alors en filles… Et comme je n’avais rien chez moi pour le mettre en gamin, il faudrait d’abord qu’il s’habille en fille avec des vieux  habits à moi, d’avant guerre, que j’allais lui donner. Et ben, ma chère, vous ne me croirez pas, mais il n’a pas beaucoup protesté… Il a seulement baissé les yeux

         —  Je le crois sans peine, répondit madame Marie en riant.

         — Alors j’ai pris mon temps. Je l’ai laissé là tout gêné, pendant que je mettais les fleurs dans un vase et puis je lui ai dit de ne pas bouger et je suis allée lui chercher des habits de fille dans un placard de ma chambre où je gardais mes vieilles affaires. J’ai trouvé tout ce que je voulais. Et je suis revenue avec les habits sur mon bras. J’avais profité de l’occasion pour mettre des chaussures à hauts talons à la place de mes pantoufles, pour avoir l’air plus grande que lui.  Il était toujours là, debout au milieu de la cuisine, les bras ballants, l’air piteux. J’ai pris l’air sévère et je lui ai montré les fringues que j’ai posées une à une sur la table en lui expliquant comment les mettre. D’abord un soutien-gorge dont j’avais garni les bonnets avec du coton, en satin blanc avec des bretelles et une petite dentelle tout autour. Et puis un porte-jarretelles assorti qui descendait très bas par devant et qui était très échancré par derrière. Et puis des grands bas de fil noir et des pantoufles  bleues à talons plats avec des brides. Et puis une culotte que j’avais achetée dix ans plus tôt quand j’étais jeune fille, à la mode des années vingt-trente, en simili-soie blanche, très montante et un peu ample, avec des grands volants de dentelle qui couvraient le haut des cuisses. Le jeune homme est devenu tout rouge quand il a vu cette culotte  mais il n’a rien dit. Il y avait aussi la chemise et la combinaison courte assorties, avec les mêmes dentelles. Et enfin un robe que je mettais quand j’avais quinze ans et que j’étais déjà grande fille. Elle était en drap léger bleu marine, avec des manches longues et des poignets en piqué blanc, la jupe  plissée et un grand col marin. Je lui ai dit de prendre tout ça et d’aller se changer dans ma chambre mais avant d’aller dans la salle de bain prendre une douche et surtout bien se laver les cheveux pour enlever cette colle dégoûtante qu’il avait mise dessus.

         Il a tout pris sans dire un mot, la tête basse, l’air plus contrit que jamais, surtout que je n’avais pas l’air commode !  En l’attendant, j’ai vite cousu deux bracelets en élastique et dessus des gros nœuds de ruban bleu. J’avais mon idée. Enfin il est revenu, la tête basse. C’était à se tordre ! Il avait vraiment l’air d’une grand fille un peu godiche. La robe était suffisamment large mais un peu courte pour lui ce qui fait qu’elle lui arrivait à mi-cuisses et que, quand il marchait, on voyait un tout petit peu du volant de la combinaison blanche. Ça faisait très coquin ! Ses cheveux, encore humides, pendaient lamentablement bien qu’il ait essayé de se faire une raie. Je lui ai ordonné d’un air froid d’aller chercher dans la salle de bains un séchoir, un peigne et une brosse. Après qu’il  me les a tendus avec un sourire timide, je l’ai fait asseoir et je lui ai dit que j’allais lui servir de coiffeuse. Je lui ai mis un torchon propre sur les épaules, je lui ai séché les cheveux, les ai brossés et peignés et, avec les bracelets élastiques que j’avais cousus, je lui ai fait des couettes, une de chaque côté avec les gros nœuds bleus qui faisaient très drôle. Puis je lui ai dit de se lever, me suis assise à mon tour un peu loin de lui et je l’ai longuement regardé, l’air glacial, même si j’avais envie de sourire. On aurait vraiment dit une grande écolière avec sa robe courte genre costume marin. Une grande élève qui avait eu de mauvaises notes et qui se tenait, les yeux baissés, un doigt dans la bouche comme font les gamines,  toute intimidée et confuse devant la maîtresse qui la grondait. Je lui ai ordonné de me regarder et je lui ai fait un sermon où je lui disais que pour moi il n’était qu’un petit galopin prétentieux et que j’allais lui faire regretter d’avoir eu le culot de me faire une déclaration… Et il savait comment ! Avec une bonne fessée, d’abord sur son fond de culotte en attendant mieux ! Les sourcils froncés, je lui ai fait signe en agitant l’index recourbé de ma main droite, de venir près de moi…

         Il m’a obéit en me regardant fixement, avec une lueur trouble dans les yeux. Quand il a été tout contre mes genoux, je lui ai pris les mains dans les miennes et je lui ai ordonné, l’air de plus en plus sévère, de me demander lui-même que je lui donne sa correction. Il m’a répondu en bredouillant un peu : « J’ai… mérité… d’avoir… la fessée sur ma culotte blanche et je vous prie, madame, de me la donner sur vos genoux…  » J’ai failli sourire, mais ça aurait tout gâché. Alors, je l’ai regardé avec un regard bien noir et j’ai pointé mon doigt sur mes genoux. J’ai pas eu besoin de le lui répéter.  Je l’ai aidé et il s’est allongé de lui-même, avec un drôle de soupir, sur mes cuisses que j’avais un peu écartées, bien en avant. Ses jambes ont décollé du plancher et il s’est appuyé, de l’autre côte, sur un barreau de la chaise.  Je peux vous le dire, chère amie, mais j’étais hors de moi lorsque je lui ai retourné sa robe sur les épaules, et puis la combinaison et que j’ai vu sa culotte bien gonflée par sa lune. Il n’avait pas des fesses de femme, bien sûr; sinon, il n’aurait pas pu mettre une de mes vieilles culottes de jeune fille, mais son derrière, comme quand il avait seize ans, était bien rond et bien ferme.

         J’ai bien tendu la culotte sur ses fesses en tirant par en haut, par en bas et sur les côtés et, pif-paf, pan-pan, j’ai  commencé à lui donner sa fessée. Je claquais comme je le fais encore maintenant, bien sur la partie la plus renflée du postère, un peu plus haut que le bas de sa lune. Et ça y allait, vous pouvez me croire. Je claquais encore et encore. Sur mes genoux, le jeune homme, il se tortillait pendant que je le corrigeais; il faisait sauter ses fesses  mais moi, je ne ratais jamais ma cible. Et pif et paf. Ça a bien duré vingt minutes parce que je m’arrêtais entre chaque centaine de claques et que je passais ma main sur le fond de sa culotte de jeune fille, en laissant traîner mon doigt en bas entre les deux fesses. Il poussait des drôles de petits cris pendant que le lui claquais son postérieur, et encore et encore.  Je sentais son corps se tordre sur mes genoux. Une véritable anguille, ce grand gamin ! Vous auriez vu comme il les remuait, ses fesses bien prises dans la culotte blanche qui au milieu s’enfonçait un peu dans la raie ! Mais j’ai continué sans me lasser. À la fin, quand je l’ai redressé, qu’est-ce que j’ai vu qui tendait sa robe par devant ! Je l’ai troussé et j’ai poussé un cri d’indignation, avant de le remettre sur mes genoux pour lui donner une seconde fessée furieuse sur sa culotte. Et puis je l’ai troussé encore une fois. C’était tout aussi vilain ! Il y avait même une petite tache sur la culotte ! Alors je lui ai dit de ne pas bouger. Je suis allée chercher un morceau de linge blanc bien propre, je lui ai baissé sa culotte par devant et j’ai bien enveloppé l’objet, comme une poupée, bien serré, avant de le glisser sous le porte-jarretelles ! Vous auriez vu sa tête ! J’ai remonté la culotte et je l’ai mis au piquet les mains derrière le dos pour qu’il tienne ses jupes bien levées au dessus de ses fesses revêtues de blanc ! Mais on voyait tout de même un peu de rose au travers de la rayonne bien tendue, la preuve que son postérieur, dans cette culotte de jeune fille coquette, devait être bien rouge !  Comme j’aime que soient les fesses des gamins !

         Je l’ai laissé là une demi heure. Lorsqu’il bougeait, malgré  que je le lui avais défendu, je le prenais sous mon bras gauche, le pliais en avant et lui donnais quelques douzaines de claques en plus sur le fond de sa charmante culotte à volants de dentelle. À la fin, après lui avoir pour la troisième fois remis une centaine de claques, je lui ai rabaissé les jupes et lui ai demandé de m’attendre. Je suis revenue aussitôt avec un tablier blanc de soubrette que j’avais gardé de quand j’étais bonniche chez une bourgeoise de la ville, avec des volants de broderie anglaise, une bavette, des bretelles croisées dans le dos et une large ceinture. Je lui ai mis le tablier, j’ai boutonné les bretelles par derrière, j’ai noué la ceinture avec un grande coque et je lui ai ordonné de m’aider à faire le ménage. Ça a duré une bonne heure et demi. Chaque fois qu’il lambinait en balayant ou en essuyant les meubles, dans la cuisine ou dans ma chambre à coucher, il y avait droit avec son grand tablier blanc, bien courbé sous mon bras, les jupes troussées, sur le fond tout tendu de sa jolie culotte ! Quelques bonnes dix douzaines de claques où main couvrait ses deux fesses, les doigts sur la droite et la paume sur la gauche.

         Je l’ai repris comme ça cinq fois. À  la sixième, comme je voyais qu’il était aussi lambin et qu’en plus il avait l’air de se moquer de moi en douce, je me suis remise sur ma chaise et, toujours avec mon doigt recourbé,  je lui ai fait signe de s’approcher encore une fois. Quand il a été contre moi et que le lui ai tenu les mains dans les miennes, j’ai pris un visage sévère et menaçant et lui ai dit que cette fois, j’aillais lui baisser sa belle culotte de jeune fille avant de lui donner sa fessée. Il était vraiment à croquer avec son tablier et son bonnet de bonniche ! Il avait vraiment l’air d’une grande lycéenne que sa gouvernante réprimande avant de la corriger sur son derrière parce qu’elle a eu de mauvaises notes en classe. Mais je ne me suis pas laissée attendrir, vous pensez bien, chère amie. Je l’ai remis sur mes genoux, l’ai troussé, la robe, puis la combinaison et, bien qu’il disait en gémissant « Non ! Non ! Madame, pas ma culotte ! », j’ai pris de chaque côté la ceinture élastique de  son petit pantalon et l’ai très lentement fait glisser le long de ses hanches et de son postérieur ! Dommage que vous étiez pas là, vous auriez bien ri. Je l’ai laissée, bien étalée, sur le haut de ses bas de fil noir ! Et j’ai pu admirer le contenu de la culotte. Il avait vraiment, pour un garçon de son âge, un ravissant derrière, bien dodu et bien rond, encore un peu rose des gros pan-pans-culotte qu’il avait reçu, avec deux beaux hémisphères de chaque côté de sa raie médiane qu’il serrait parce qu’il avait peur. C’était plus petit qu’un derrière de fille mais très rebondi et je le caressais avec plaisir !

         Mais assez ri comme ça ! Le garnement avait mérité une fessée déculottée et il allait la recevoir. Vous savez comme j’ai la main large et que  je ne me fatigue pas vite. Et pif, et  paf ! Qu’est-ce que je lui mis comme fessée déculottée. La paume sur la fesse gauche et les doigts sur la droite. Je visais surtout la partie la plus bombée de son derrière, un peu au dessus du pli entre les fesses et les cuisses, mais je déplaçais bien mes claques pour que toute la surface elle ait sa part, qu’elle soit bien rougie et bien cuisante. Je te l’ai bien claqué une demi-heure. Comme la fois d’avant, entre chaque centaine à peu près, je me reposais en caressant ses bonnes fesses rouges et en passant lentement mon doigt dans la raie, jusque tout en bas !  Il fallait voir comme ça le faisait trembler, le polisson ! Et puis, pan-pan, je recommençais à le claquer ! Il poussait des petits cris et il pédalait dans le vide mais ça ne me faisait aucun effet. Il l’avait voulue, sa fessée, eh bien il allait l’avoir. J’avais les sourcils froncés et la bouche mauvaise et je te le claquais, il fallait voir ! En même temps je le sermonnais et lui faisais honte, lui un grand garçon, un jeune homme habillé en collégienne, avec un tablier blanc, et qui recevait la fessée comme une gamine qui a fait trop de fautes dans sa dictée, avec sa culotte baissée, sur les genoux de la bonne religieuse, devant toutes les filles de la classe ! Quelle honte, garnement, tenez  tenez sur votre lune rebondie, que je lui disais ! Pan-pan sur vos fesses ! À  la fin, quand je l’ai remis au coin, mains au dos, jupes troussées et culotte aux cuisses, les fesses écarlates,  il tremblait comme une feuille !

        Je l’ai laissé là un moment et puis je n’ai pas pu résister ! Je l’ai pris par la main  et je l’ai emmené dans ma chambre. Là j’ai enlevé ma blouse et en sous-vêtements, culotte et bustier de satin rose, je l’ai lentement déshabillé et je lui ai défait doucement sa poupée. Et puis je lui ai demandé de me faire pareil. Il a obéi. Ses mains tremblaient. Et alors, quand nous avons été tout nus l’un et l’autre, je l’ai conduis vers mon lit et je lui ai tout appris. Dans les débuts, il était un peu maladroit ou trop rapide, vous voyez ce que je veux dire. Mais il suffisait de quelques bonnes fessées pour le remettre  en  forme.  Ça a duré deux ans. Chaque dimanche et pendant ses vacances tous les jours il venait chez moi se mettre en fille, recevoir ses fessées et apprendre le reste. Je lui ai même cousu d’autres culottes blanches, avec du tissus, des élastiques et des rubans roses et de la broderie anglaise qui me restaient.  Jusqu’à ce qu’à la Libération, il passe la ligne pour s’engager dans l’armée. Il a été blessé et dans un hôpital américain, à ce qu’il parait, il a rencontré une infirmière qui l‘a emmené aux États-Unis. Je l’ai vu de loin, une fois, dans la rue, avec elle. C’était une grande et forte fille. À un moment elle l’a menacé avec son doigt. Alors je suppose qu’elle le traite comme moi je l’ai traité.  Je ne me suis pas approchée parce que mon mari était revenu et que c’était avant qu’on divorce et qu’il retourne en Allemagne pour se remarier avec une fille de là-bas. Parfois je le regrette un peu, Jérome,  parce qu’il était vraiment très gentil et bien fessu. Mais je vois qu’il se fait tard, chère amie et qu’il faut que vous alliez retrouver les braves demoiselles. Ne vous inquiétez pas pour le gamin. Il a intérêt à être sage ! Sinon pan-pan ! »

    « Couche et tablierUne nounou en noir et blanc »

    Tags Tags :
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :