• Comment je suis devenu une tante, seconde partie

    Et voici donc la suite…

     

    La situation était satisfaisante pour les deux, je crois. Je n'avais jamais été aussi bien sucé, mon amie-amante était belle et gentille, il était agréable de sortir et de faire l'amour avec elle, mais elle était, comment dire, d'un "classicisme" trop grand pour moi, qui avait pas mal roulé ma bosse sur ce plan. Louis suçait parfaitement, et c'était amusant de me faire servir avec dévouement, empressement, par une domestique qui ne me refusait rien. Certes, il fallait le fesser, ce qui prenait du temps, mais ce n'était pas désagréable, et, quand il se tortillait sur mes genoux, c'était excitant. En plus, Louis était intéressant, dans les moments de détente, il me parlait de ses études de lettres classiques, si différentes de mes études d'ingénieur, mais j'aimais profiter de son étonnante culture. Il me donnait aussi des liens Internet sur les sujets qu'il étudiait, fier de me montrer que, au-delà de ses perversions, il était aussi quelqu'un de très intéressant.

    Mais au bout de quelques mois, la situation allait changer. Il passa sa thèse de doctorat. Il m'invita à la soutenance, je passais inaperçu au milieu des professeurs, de sa famille, des amis, j'avais l'air, sans doute, d'un professeur venu d'une autre université. J'arrivais à comprendre sa thèse, sur "la sémantique des structures parentales dans le bassin Est de la Méditerranée". Il parlait latin, grec, arabe classique, hébreu, et comprenait les base de quelques autres langues anciennes. Il était brillant, et c'était amusant, pour moi, de penser que cette pointure intellectuelle faisait chez moi la bonniche, la suceuse, et recevait des fessées.

    Louis me dit donc, deux ou trois jours après sa soutenance, qu'il allait prendre tout de suite un poste de chargé de cours, qu'il aurait un grand studio sur le campus, qu'on proposait aux jeunes enseignants célibataires (enfin, il fallait avoir quelques relations dans la hiérarchie de l'Église, mais sa famille n'en manquait pas), et qu'il ne pourrait plus travailler comme auxiliaire de ménage. Mais il me demanda s'il pouvait continuer à venir me servir, le soir, le week-end, quand il n'avait pas de cours à assurer.
    Je dois avouer qu'il m'aurait manqué. J'acceptais donc, avec plaisir, lui dis-je, mais si nous avions plus de temps, nous ferions sans doute plus de choses, et il acquiesça en souriant.

    Quand la société qui l'employait m'annonça qu'elle allait me changer de personne, et me proposa deux demi-journées plutôt qu'une journée, j'acceptais. Même si la prestation était moins bien faite, Louisette compenserait en venant plus souvent, et je prendrais bien soin de la faire travailler. Avant le changement de rythme, comme nous pensions, Louis et moi (enfin, surtout lui, je pense), à des jeux plus, comment dire, plus complets, je lui donnais rendez-vous en ville.

    Je l'emmenais devant une boutique droguerie bazar, repérée auparavant, bien sûr, et je lui dit de rentrer deux minutes après moi, sans montrer qu'il me connaissant, et d'acheter un martinet, en précisant bien que c'était pour qu'on s'en serve sur lui. Il rougit, mais la honte dans le magasin de vêtements l'avait tellement excité, et puis, il aimait m'obéir.
    Je rentrai dans le magasin, pour acheter un paillasson en plastique, de la corde à linge, de la chainette et des mousquetons, tous objets ménagers et inoffensifs.
    Il rentra, et demanda à la dame (j'avais quand même repéré le magasin, j'en avais fait plusieurs avant, pour voir qui servait et ce qu'ils avaient, c'était donc un magasin tenu par une dame), et qui avait ce qu'il fallait.
    - «Bonjour madame. Je voudrais…»
    - «Oui monsieur?»
    - «Je voudrais acheter un martinet, s'il vous plait?»
    - «Bien sûr, monsieur, voici, nous avons trois modèles. C'est pour quelle taille d'animal?»
    - «Euh, c'est pour moi, madame…»
    Je regardais la conversation, sans avoir l'air de rien, il était rouge…
    - «J'en vends aussi pour ça, nous avons deux tailles, et la petite taille avec lanières rondes ou lanières carrées, vous connaissez la différence?»
    - «Euh, non…»
    - «Les lanière carrées marquent trop, je n'aime pas en vendre, prenez plutôt les lanières rondes.»
    J'étais derrière la dame, examinant les paillassons, il me regarda, je lui fis signe en dessinant un rond, je ne voulais pas le torturer, quand même. Je lui fis aussi signe d'en prendre deux, en lui montrant deux doigts, et en faisant signe des mains pour deux tailles.
    - «Je vais prendre les lanières rondes dans les deux tailles, s'il vous plait, madame», et il ajouta, pour bien faire comprendre que c'est lui qui le recevrait «Je suis douillet».
    La dame ne dit rien, une bonne vendeuse ne fait pas de remarques de ce genre, elle l'encaissa, il sortit, et quand elle revint vers moi, elle avait un petit sourire. J'avais fini de choisir, je pris un paillasson de plastique rouge, trois cordes à linge de 10 mètres, 10 mètres de chainette avec des mousquetons, deux nappes en toile cirée…
    Je le félicitais à la sortie, et je partis avec toutes nos emplettes.

     

    Louis venait chez moi deux ou trois fois par semaine, souvent un jour entier le week-end, ou pour l'après-midi et la soirée, ou juste la soirée. Dès qu'il arrivait, scooter rangé dans le garage, il se mettait en tenue, et je lui donnais toujours une tâche ménagère à faire. La dame qui venait faire deux demi-journées entretenait le courant, et Louisette faisait le reste. Je lui donnais à faire le carrelage à quatre pattes, les vitres côté jardin, la maison avait une petite façade sur la rue, et elle était en "L" sur le jardin, qui dominait la campagne. il faisait donc les grosses corvées, et je l'utilisais aussi pour le repassage, un peu de couture (il savait coudre), bref, soit des choses humiliantes et rebutantes, soit des choses très féminines qui prenaient du temps.
    Et, bien sûr, il me suçait, toujours à genoux, parfois les mains attachées, et je le fessais, en travers de mes genoux, à la main, ou au martinet, dans diverses positions.

     

    Je me demandais parfois comment je m'étais laissé glisser d'un simple jeu à une relation gentiment perverse. Et pourtant, après trois ou quatre semaines de ces jeux, j'allais aller plus loin.

    Sur les étagères supérieures du placard où Louisette rangeait ses blouses et ses tabliers, en faisant du rangement, je trouvais un sac. Il contenait trois blouses de femme; c'étaient celles que ma femme de ménage précédente, Corinne, utilisait avant que sa société ne lui fournisse les chasubles règlementaires. Elle les avait rangées et laissées chez moi, allez savoir pourquoi. Elles étaient propres, mais sentaient le renfermé. Je les mis en machine et, quand Louisette vint, il les trouva dans le repassage.

    Elle se permit, humblement, de demander d'où elle venaient, et je lui expliquais. Je l'autorisai à les essayer, mais Corinne était une femme corpulente, et Louisette, plus fine, flottait dans ces blouses. Je riais d'elle:
    - «Non, vraiment, elles ne sont pas à ta taille, Corinne, qui t'a précédé, était charpentée comme moi.»
    - «J'ai eu une tante, enfin, une cousine de mon père, assez âgée pour être ma tante, qui avait des blouses comme ça.»
    - «Et elle te punissait?»
    - «Oh non, mais j'aurais bien aimé, monsieur…»
    Je me fis décrire cette personne, le contexte, ce qu'elle aurait voulu. Et puis la conversation s'arrêta là, sur ce point, il repassa les blouses, les rangea avec les siennes, et il continua son service, dans tous les sens du terme.

     

    Je ne sais pas ce qui me passa dans la tête, mais le lendemain, seul, il me prit l'envie d'essayer une de ces blouses. Je l'enfilai sur ma tenue de maison habituelle, pantalon et veste de survêtement, et, ma foi, j'étais à l'aise dedans, la blouse était, juste, un peu courte. Je regardai dans le miroir du couloir, j'avais l'air d'un homme en blouse, tout simplement. Je sortis les trois blouses, et je les essayais toutes les trois, mais sans rien dessous. Le tissu était assez épais pour que je n'aie pas froid, la blouse descendait aux chevilles, je mettais chez moi des Scholl, pieds nus, ça allait bien avec. Les manches longues cachaient mes bras poilus. Il ne restait que mon visage, masculin. J'essayais avec des lunettes rondes, dont je ne me servais plus depuis que j'avais fait refaire mes cristallins. C'était déjà plus féminin, mais flou. Je me mis sur les cheveux un torchon en guise de foulard, pris dans une pile de linge de maison stockée dans une armoire, et qui datait de mes parents. Ma foi, ainsi fagoté, j'avais beaucoup moins l'air d'un homme. Avoir la bite, pendante sous la blouse, à l'air, c'était bien confortable, et je me disais que, pour fesser ou pour me faire sucer, cette tenue était plus pratique que le survêtement. Et, en plus, ça me sortait de mon rôle ambigu d'employeur, qui n'était plus de mise depuis que ma relation (il fallait bien que j'utilise ce terme) avec Louis avait évolué.

    Je me rappelais que, quand nous discutions avec Louis de ses goûts, à la fin de nos rencontres, il ne me parlait pas particulièrement du maître, mais de son rôle de domestique. Et que, sur le plan homosexuel, il avait un petit ami "masculin" pour les rapports sexuels "normaux", si tant est que le mot "normal" puisse s'appliquer à des rapports homosexuels. Mais je suis un peu "vieux jeu". Les liens Internet qu'il m'avait envoyés étaient assez divers quant au sexe des protagonistes. Enfin, quand il avait parlé de sa "tante", il avait l'air particulièrement excité.
    Et moi, je me demandais s'il ne fallait pas que je fasse bien la différence entre Marc Lacroix, ingénieur retraité, joueur de bridge, père de famille (même si la famille, un enfant, était adulte), hétérosexuel, amant occasionnel d'une femme charmante, et le pervers qui profitait de Louis, pour le plus grand plaisir de ce dernier.

    Tout en continuant, la fois suivante, à faire parler Louis sur ce fantasme de tante en blouse, je faisais quelques emplettes. Chez un opticien, une paire de lunettes de femme, rondes, à verres neutres. Puis je retournais dans le magasin de vêtements professionnels, et j'achetais un tablier-taille de grosse toile bleue, et un tablier à bavette en caoutchouc blanc. J'en profitais aussi pour acheter une blouse et deux tabliers pour Louisette, maintenant que je connaissais sa taille, c'était facile. La dame me reconnut, et me demanda si "J'étais content de ce que j'avais acheté pour le jeune homme". Je la remerciai et sortit avec mes emplettes. Je fis aussi le tour de quelques sex-shops, sans acheter, juste pour voir qui vendait quoi. Sauf un truc, une paire de faux seins, modèle d'entrée de gamme, sans doute les mêmes que ceux de Louis, de toute façon, c'était pour porter sous des vêtements.
    J'essayais le tout, faux seins, blouse, tablier, petites lunettes, torchon blanc noué en fichu. Bon, je ressemblais un peu à Anémone dans "Le grand chemin" ou, rapport à la corpulence, Kathy Bates dans "Dolores Claiborne", mais bon… L'avantage, au moins, c'est que, sous la blouse de femme, mon petit bide était, comment dire, plus discret.

    Maintenant, comment présenter la chose à Louis, je veux dire à Louisette? Certes, c'était mon soumis, ma domestique, ma servante, mais à qui était-il soumis, au final? Quoique, dans les différents liens Internet qu'il m'avait donné, il y avait bien des hommes, bien mâles, qui mettaient parfois des blouses de femme pour dominer… Je décidai d'imposer la chose, et puis, si ça le rebutait, eh bien, j'en serais pour quelques emplettes et la fin d'une amusante aventure…

    Quand il vint, en début d'après-midi, il sonna comme d'habitude. Je lui ouvris, nous nous dimes bonjour amicalement, sans contact, il nous semblait que tant nous serrer la main que nous faire la bise était incongru. Il accrocha son blouson et son casque au porte-manteaux, et je lui dit de se mettre en tenue, en lui précisant la blouse boutonnée dans le dos et une chasuble, puis de m'attendre dans la cuisine, debout contre le mur, mains sur la tête. Il avait l'habitude de ce genre de choses, et, pendant que je montais dans mon bureau, il s'habilla. Je ne sais pas s'il remarqua la nouvelle blouse et les nouveaux tabliers, Il fila dans la cuisine se mettre face au mur où pendaient les torchons, là où je le mettais souvent au piquet.

    Je me déshabillais, gardait les Scholl, pas de slip, les faux seins, une blouse mémère à carreaux bleus, le torchon blanc noué en fichu sur les cheveux, les lunettes (compliqué, où mettre les oreilles, sous le fichu, ça coince bien les lunettes) et le gros tablier-taille en toile bleu, il descendant au niveau de la blouse et se refermait presque derrière. Un coup d'oeil dans la glace, impressionnant, même pas ridicule, non, juste impressionnant.
    Je descendis, je rentrai dans la cuisine, Louisette était face au mur, mais sur la tête.
    - «Louisette, ferme les yeux, baisse bien la tête, retourne toi et mets-toi à genoux.»
    - «Oui monsieur.»
    Il obéit, et s'agenouilla, les yeux bien fermés, face à moi, mains sur la tête.
    Roulement de tambour, enfin, pas vraiment, mais dans ma tête, pendant une trentaine de secondes. J'avais le trac, je l'avoue.
    - «Baisse les mains de la tête, et ouvre les yeux.»
    Il baissa les mains, ouvrit les yeux, une joie intense envahit son visage, il se jeta à mes pieds et les embrassa frénétiquement, sans oser relever la tête, restant prosterné en me léchant des orteils aux chevilles.

    Je le relevais et lui dis:
    - «Il va falloir que nous parlions sérieusement, d'accord?»
    - «Oui monsieur»
    - «J'ai une méthode pour ça, que j'ai apprise en faisant du management, nous allons l'appliquer.»
    Je mis deux chaises, les dossiers dos à dos, je le fis s'asseoir sur l'une, moi sur l'autre.
    - «Comme ça, nous pouvons parler librement, nous ne voyons pas comment nous sommes habillés, nous ne voyons pas nos visages, mais nous allons nous tenir les mains, et tout ce qui est non-verbal passera par là.»
    Et c'est ce que nous fîmes, dos à dos, sans nous voir, nous tenant les mains. Je commençais.
    - «Vois-tu, Louis, quand j'ai découvert tes goûts, je les ai acceptés, parce qu'ils m'amusaient et qu'ils étaient confortables pour moi.»
    - «Oui monsieur, et vous avez été la première personne que je connaisse à les accepter.» Sa main me pressa gentiment.
    - «Mais ma situation était quand même bizarre, un homme normal, hétérosexuel, acceptant ta vie de domestique. Le fait que je sois, indirectement, ton employeur, mettait un peu d'ordre dans tout ça. Et puis, tu es un garçon intéressant, sur un plan général.»
    - «Merci monsieur.»
    - «Après tout, un homme qui se fait sucer par sa femme de ménage, c'est normal, et pour se faire sucer, peu importe qui suce, non?. Avec les fessées, j'ai commencé à me poser des questions. Et, quand je t'ai vu soutenir ta thèse, la différence entre Louis et Louisette m'a fait comprendre que ma situation était, à moi aussi, compliquée.» Sa main se crispa.
    - «C'est si gentil d'être venu à ma soutenance, monsieur, ça m'a fait un plaisir infini.»
    - «Mais, après, j'ai perdu le prétexte d'être ton patron. J'étais devenu un monsieur qui jouait sexuellement avec un homme plus jeune, sans être homosexuel. J'avais le plus grand mal à être Marc Lacroix, ingénieur, joueur de bridge, et de te dominer dans la même tenue que celle que je porte toujours chez moi.» Nouvelle crispation.
    - «Je comprends, moi je changeais de peau, et pas vous…»
    - «Oui, et je n'allais pas me déguiser en biker cuir et chaines, de toute façon, tu n'aurais pas aimé.»
    - «Non, monsieur, je n'aurais pas aimé, ça ne rentre pas dans mes goûts de soumission domestique.»
    - «Ensuite, lisant les textes que tu m'avais conseillés, regardant les photos, je suis allé un peu plus loin dans tes fantasmes, en trouvant, je le reconnais, que c'était plutôt amusant, et très confortable.»
    - «J'en suis heureux, monsieur, pour moi, comment dire, c'était merveilleux.»
    - «Et quand tu as été troublé en repassant les blouses, ça m'a donné une idée, une idée bizarre comme les tiennes.» Sa main se relâcha.
    - «Une idée merveilleuse, monsieur, vraiment.» Et sa main caressa la mienne.
    - «Donc, tu veux continuer comme ça?»
    - «Oh oui monsieur!»
    - «A mes conditions, me traiter comme ta tante, avec respect, obéissance absolue, et affection en plus?» J'avais lâché le mot "affection", j'aurais aussi bien pu dire "amitié"…
    - «Oui, en vous vouvoyant toujours, avec une obéissance servile et une affection népotique»


    Heureusement que j'avais lu sa thèse, et que je savais que "népotique" est relatif au liens d'un neveu vers son oncle (ou sa tante). Je me levai, je le fis se lever aussi, et se mettre à genoux devant moi.
    - «J'ai choisi comme prénom Marthe, ça ressemble à mon prénom masculin, mais c'est plus strict que Marcelle. Tu m'appelleras Tante Marthe, ou ma tante, et tu me vouvoieras, en t'adressant à moi au féminin, compris?»
    - «J'ai compris, ma tante.»
    - «J'imagine que tu as en tête, comment dire, un discours, une phrase d'engagement de servitude? Comme je te connais, ça doit te trotter dans la tête? Et puis, tu es un littéraire, non?»
    - «Ma tante, ma bonne tante Marthe, je vous promets d'être une nièce humble, soumise et servile, que vous pourrez insulter comme une tapette, punir à votre volonté avec ou sans raison, et qui ne s'occupera que de votre ménage, de votre service, et de votre plaisir, comme une bonniche salope. Et j'embrasse votre tablier en signe de ma soumission.»
    Et il embrassa le bas de mon tablier.

    Pour inaugurer nos nouveaux rapports, je me suis assise, je l'ai fait venir devant moi, j'ai retroussé son tablier et sa blouse, j'ai baissé sa culotte, je l'ai couché sur mes genoux, sa quéquette dans mon tablier de grosse toile, et je lui ai flanqué une magistrale fessée, alternant les claques sur l'une et l'autre fesse, laissant la main appuyée après les coups, écartant la raie des fesses entre deux claques, puis recommençant à fesser. En frappant, je l'insultais, le traitait de bonniche, de salope, de petit pédé, de vicieuse, de tapette, de sale perverse, et à chaque fois il me disait "Oui ma tante". Quand la main commença à me faire mal, je l'envoyais au piquet, à genoux, culotte baissée, retenant sa blouse se des mains pour montrer son cul nu. Puis je l'envoyais chercher le martinet, le grand, dans le placard de rangement des tabliers, et il dut me le porter à genoux, me l'offrant de ses deux mains, moi restant assis sur la chaise.
    - «Tante Marthe, je vous en supplie, donnez-moi du martinet, punissez moi encore, fouettez-moi moi, je suis votre nièce et votre servante, et je mérite la suite de cette bonne correction.»
    Je le fis se pencher, cul nu toujours, sur la table de la cuisine, bras tendus, et je lui cinglais les fesses déjà rouges, les cuisses, les mollets, jusqu'à ce qu'il se mette à pleurer et à me supplier, cette fois, d'arrêter. Il sanglotait, chialait comme un enfant, il commençait à avoir les marques rouges des lanières. Je posai le martinet, je le reculottait, en frottant ses cuisses et ses fesses au passage, le faisait remettre à genoux devant moi.
    - «Suis-moi au salon, à genoux, Louisette.»
    Il obéit, je m'installais bien confortablement dans le fauteuil, point besoin de serviette, je n'avais qu'à remonter mon tablier et déboutonner le bas de ma blouse pour sortir ma bite.
    Il me suça, le visage trempé de larmes, si longuement qu'elles avaient toutes séchées avant que je gicle dans sa bouche en gémissant de plaisir.

    Le reste de l'après-midi se passa tranquillement, travaux domestiques sous mon regard. Être nu sous la blouse, avoir ma bite libre, sans la contrainte d'un slip et d'un pantalon, me faisait un effet curieux. Je pouvais bander, débander, je la sentais libre, et ça me libérait l'esprit, et me faisait trouver la situation moins, comment dire, moins extraordinaire que quand j'étais en pantalon. Louisette dina avec moi, mais, cette fois, je l'autorisait à mettre le couvert pour deux, même s'il du me servir. Je voulais, un peu, le rassurer, et lui montrer que la position de la "nièce" n'était pas tout à fait la même que celle de la domestique. Après le repas, une fessée, une fellation, et une discussion d'un quart d'heure, sans nous changer, pour faire le point sur la nouvelle situation. Puis il se changea, je me changeait aussi, et il repartit. Arrivé chez lui, j'eus droit, encore, à un SMS "Merci, merci pour tout".

     

    A partir de là, le rythme de ses visites resta le même, mais les pratiques avaient subtilement évolué. De m'appeler "ma tante" au lieu de "monsieur" changeait son comportement, et de jouer la tante en blouse changeait encore plus le mien. Il y avait toujours les activités ménagères, mais le caractère punitif était bien plus important.

    Il fallait que je pimente ces activités, donc, ce qui demandait de l'imagination. Heureusement, Louisette me donnait des adresses Internet dans lesquelles je pouvais piocher des idées.
    Par exemple, les travaux de couture, j'avais toujours un bouton à consolider, des choses comme ça. Ces travaux étaient certes très féminins, mais n'étaient ni rebutants, ni humiliants. Je les lui faisais faire après une fessée, assis, cul nu, sur le paillasson de plastique qui lui piquait les fesses. Je le faisais se relever, me montre son cul irrité, puis se rasseoir pour continuer sa couture.
    Je l'entravais aussi, chevilles enchainées, pour le gêner dans ses corvées, en lui laissant juste de quoi faire de petits pas, ou bien, je serrais sa blouse, au dessus des genoux, par une ceinture de blouse, pour qu'il soit entravé à se niveau. Bien sûr, je ne faisais ça que quand il travaillait au rez-de-chaussée, il n'était pas question de courir le risque d'une chute dans les escaliers de l'étage. Je pouvais, aussi, lui entraver les poignets avec une chainette, pour le priver, cette fois, d'une partie de la liberté de ses mains. C'était très amusant pour moi de le voir travailler dans ces conditions, et très humiliant pour lui, ce qui le remplissait de bonheur.
    Je variais les humiliations selon la "hauteur des travaux". Ce qui était en hauteur, les dessus de meubles, par exemple, il devait monter sur un escabeau, bien sûr, mais, avant, retrousser sa blouse par derrière avec des épingles à nourrice, pour que je vois bien sa culotte de femme par en-dessous. Les portes basses des meubles, il devait, bien sûr, les nettoyer à genoux. Et pour tout ce qui était plus bas, les plinthes, les dessous de meuble, frotter le sol, il devait, bien sûr, se mettre à quatre pattes.

    En tout cas, entre la dame "officielle" de la société, et ma Louisette "offerte", ma maison n'avait jamais été aussi impeccable. En plus, Louisette s'occupait de mon linge, lessive, séchage, couture, repassage, pliage et, même, à l'intérieur de mon garage, qui était large et profond, du lavage de ma voiture, extérieur (ça ne me posait pas de problème, avec les rouleaux) mais surtout intérieur (c'est toujours compliqué à faire, l'intérieur de la voiture). Il ne me restait que le jardinage, le jardin était petit, et j'aime jardiner, et la cuisine. Et, pour la cuisine, que j'aime beaucoup faire aussi, j'en faisais maintenant une bonne partie avec Louisette comme aide, en cuisinant plusieurs portions que je congelais et même, parfois, Louisette partait avec une portion dans un Tupperware.

    Mais le ménage n'était pas tout, Louisette aimait se faire dominer, et j'y prenais goût, enfin, Tante Marthe y prenait goût. Marc, lui, se serait contenté du confort et du service, mais Tante Marthe faisait ressortir chez moi un côté pervers dont je ne m'étais jamais douté.

    Pour savoir ce que Louisette aimait, ou pas, et ce que j'étais prêt à faire, ou pas, les liens vers les sites Internet n'étaient pas le plus pratique. Je mis donc une autre méthode au point. Chaque fois que Louisette venait me voir, ou presque, je faisais une "séance de discussion", où il pouvait me dire ce qu'il avait ressenti, aimé, pas aimé, ce qu'il aimerait à l'avenir, et, moi, pareil mais dans l'autre sens. Ma culture d'ingénieur, d'analyse, allait parfaitement avec sa culture littéraire, je savais disséquer les pratiques, il savait, longuement, expliquer ses désirs.
    La discussion durait chaque fois un quart d'heure ou vingt minutes, une pause dans son travail… Je m'asseyais sur une chaise de cuisine, je mettais toujours un tablier par-dessus ma blouse. Il s'agenouillait devant moi, tout près, assez pour toucher mes genoux, et pour que je puisse lui toucher la tête. Il enlaçait mes genoux, ou posait ses mains sur ma taille, et moi, je le tenais par le menton, ou lui tirait une oreille, parfois, je lui mettait la tête dans mon tablier.
    Je lui posais des questions, il me répondait. Il me disait "Ma tante, aimeriez vous me faire ceci?", ou "Tante Marthe, je crois que je mériterais que vous me fassiez cela…", et nous en discutions, dans le détail, mais toujours dans cette position où il demandait, quémandait, et où j'acceptais ou pas. Et de mon côté, si j'avais une idée (c'était rare), je lui demandais s'il pensait que telle ou telle chose était appropriée entre une tante et sa nièce, et, sincèrement, il me disait si ça l'excitait ou si ça le rebutait. Et, bien sûr, nous ne passions à l'acte qu'une fois que, dans le respect de nos rôles dans le jeu, nous étions tombés d'accord.

    Je commençais par bien vérifier, avec lui, que le rôle de Tante Marthe lui convenait. Ce qui comptait pour lui, c'était de servir, peu importe qui, pourvu que la personne soit plus âgée, et le punisse. Et la tante pouvait être, plus facilement, vicieuse et perverse qu'un monsieur employeur. De plus, être ma "nièce" le rajeunissais, ce qui convenait à son fantasme de jeune servante d'une personne mûre.. Nous avons parlé de son analité, qui n'était pas importante, mais je me suis procuré un plug, pour jouer de ce côté. Je lui ai demandé, aussi, comment il jouissait, puisqu'il ne le faisait pas dans nos séances, et nous avons trouvé une solution. Entre autre sujets, les odeurs corporelles, les jeux de bouche cochons, les massages (pour me faire masser moi, bien sûr), les caresses, éventuellement (idem) et d'autres punitions ou pratiques punitives qui l'excitaient et que je me sentais capable de faire. Sur les fessées, nous avons beaucoup discuté, aussi, et également, sur le vocabulaire et les insultes qui le faisaient rougir de honte, donc de plaisir. Ces moments de discussion, Louisette à genoux devant moi, sont toujours un plaisir, une fois que le bon "ton" est trouvé pour les rendre humiliants pour lui, amusants pour moi, et fructueux pour la poursuite de notre relation.
    Relation dans laquelle, d'une part, je payais les soins du ménage en jeux de domination, il faut bien le dire et, d'autre part, je m'amusais aussi dans le rôle ambigu que j'avais choisi.

     

    Pour la suite, que dire? Que j'avais investi dans un plug gonflable de qualité, un paddle en caoutchouc, quelques blouses et tabliers de plus… Que mon ménage était impeccablement tenu, entre la société de service et ma bonniche à titre gratuit. Que la relation m'amusait et me détendait, et que, avec ma "vieille maîtresse", mon bridge, mon sport, quelques dossiers professionnels que je suivais en tant que travailleur indépendant, ma vie d'ingénieur retraité était bien remplie, et, comme j'avais l'habitude de le pratiquer à titre professionnel, bien compartimentée. Et que, si Louisette était une bonniche perverse, bonne suceuse et impeccable domestique, Louis était un jeune homme intéressant. Il rata, d'un rien, le concours de l'agrégation la première fois. Il enseignait, il faisait un peu de recherche, il bûchait son concours, il avait une liaison discrète avec un petit ami, et ce qu'il faisait chez moi le détendait, purgeait ses passions, et lui permettait de mieux se concentrer sur le reste. Il eut son agrégation à la deuxième fois, ça faisait presque un an et demi que nous nous connaissions, et j'en fut à la fois content et un peu fier.

    Pour le reste, ce ne seraient que des récits pornographiques sans intérêt, non? Il y eut des révérences, des humiliations, des corvées ménagères, des fellations, des fessées légères ou plus lourdes. Il y eu des insultes, de "petite tapette" à "grosse salope". Louisette aimait me lécher le trou du cul et les pieds, ce qui était bien agréable. Il m'arrivait de l'attacher par terre pour m'asseoir sur sa figure, ou l'écraser de mon poids, ce qu'elle aimait bien. Même, assez régulièrement, il m'arrivait, sans déplaisir et avec amusement, de la branler quand elle était attachée et de la faire jouir, après une longue attente, dans un torchon qu'elle devait lécher ensuite.
    Bref, que des jeux auxquels nous prenons encore plaisir, maintenant, l'un et l'autre, comme une parenthèse dans nos vies ordinaires respectives.

     

    FIN

    Fin de l'histoire, mais si vous avez des commentaires, des questions, si vous voulez la suite, dites le moi.

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  • Commentaires

    1
    chris
    Dimanche 23 Octobre 2022 à 11:57

    super phantasmens la suite la suite la suite oui

      • Dimanche 23 Octobre 2022 à 14:58

        Oh, finalement, je ne crois pas que je ferai une suite…

      • chris
        Dimanche 23 Octobre 2022 à 20:32

        merci marie

    2
    clodinette
    Dimanche 23 Octobre 2022 à 18:00

    Décidément les Tantes ont de plus en plus la côte sur ce site . J'aime beaucoup et avec tendresse cette Tante Marthe qui bien évidement est totalement et exclusivement hetero  ! celui ou celle que dira le contraire recevra successivement une féssée à deux mains suivie d'une volée de cous de martinets à lanières rondes pour faire moins mal ! 

     Bisous Tatie chérie de ta Clodinette 

    3
    ramina
    Dimanche 23 Octobre 2022 à 19:18

    Hello les hétéros et les tutos recto-verso !

    Clodinet le souligne fort justement, nette tendance dominante sur le blog , aux tante, tantines , tantounette, taties, tatas, tou styles de prestations, confondus. Fesseuses, vicieuse, suceuses, soumises ou dominantes, bonniches ou servantes maîtresses bisexuelle ou trans, sans atlantique,  mais toujours disposées à rendre sévices comme service. Le récit est  réaliste mais totalement, entièrement et exclusivement fantasmatique écrit dans un style direct, sans tabou , sans complexe ( manquerait plus que ça !) sans peur et  sans reproche. Souillon, Chevalier Bayard de l'expression libre du plaisir sulfureux donc  jouissif. Plaisirs , interdits par les ligues vertueuses, l'église pas catholique, et autres associations castratrices, défenseuses des bonnes mœurs, dont on se tamponne le coquillard tant que ça ne nuit pas à la santé de l'entourage consentant ! ben oui! !  Et si on ne parle pas la bouche pleine, parce qu'on est bien élevé même en dessous de la ceinture, on garde les mains libres pour sexe-primer autrement ... Au bonheur de ces Messieurs Dames!

    Comment ça Madame, j'exagère... Mais j'ai pas dit un seul gros mot ... Oui mais quand même ... ben si c'est de la liberté d'expression ... la liberté de me déculotter aussi... ah bon ? Pour apprendre à suc... consommer avec modération ... Ah ben elle raide celle là ... Non madame, non, ça m'a échappé!! S'il vous plaît , pas la fessée, j'ai rien dit, j'ai rien dit  !!! Ramina

      • Dimanche 23 Octobre 2022 à 19:26

        En matière de chevalier, ce n'est pas tant le chevalier Bayard que le chevalier d'Eon…

    4
    ramina
    Dimanche 23 Octobre 2022 à 19:53

    Référence plus appropriée, cher ami.

    Eon l'espion de Louis XV si bien travesti en femme,  qu'il a fallut attendre sa mort pour que l'autopsie révèle sa masculinité à travers ses virils attributs .  Ramina

    5
    Lundi 24 Octobre 2022 à 14:56

    Bonjour Marie,

    Beau texte, avec la fin que tu as fait, difficile, en effet de prévoir une suite, dommage pour nous, en attendant, je te mets des photos de ma nouvelle blouse polyester/coton que j'ai trouvé samedi dernier chez Emmaüs pour 3€ :

    Blouse Polyester coton devantBlouse polyester coton dosBlouse polyester coton côté

    Bon après-midi.

    Paul.

      • Lundi 24 Octobre 2022 à 15:59

        J'aime bien cette blouse, et puis le prix c'est une affaire

         

      • Lundi 24 Octobre 2022 à 16:45

        Bonjour Marie,

        Oui, j'ai flashé sur cette blouse mauve pâle avec ses lignes, je me doitais que tu l'aimerais, c'est pour cela que je l'ai mise en photo, tu sais que je suis nylon et que je préfère de loin le nylon, mais celle-là, je n'ai pas pu m'empêcher de l'acheter, vu le prix, plus qu'attractif, j'ai la chance d'avoir un Emmaüs près de chez moi, une fois, j'y ai trouvé 18 blouses nylon, j'étais fou, j'ai tout acheté, j'avais l'impression de me retrouver 40 ans en arrière où il n'y avait que des blouses nylon sur les portants.

        Bonne fin d'après-midi.

        Paul.

    6
    ramina
    Lundi 24 Octobre 2022 à 16:01

    Paul, ta collection et toi... cette passion blousante et bluffante ...cette recherche permanente, Vous êtes impressionnant !

    Ramina

      • Lundi 24 Octobre 2022 à 16:40

        Bonjour Ramina,

        C'est vrai que cette collection me bouffe un peu comme celle des postes de radio 4 gammes d'ondes.

        Bonne fin d'après-midi.

        Paul.

    7
    ramina
    Lundi 24 Octobre 2022 à 18:43

    Poste de radio 4 grammes d'ondes   ? No comprendo !                    Ramina

      • Lundi 24 Octobre 2022 à 18:56

        Bonsoir Ramina,

        Ce sont mes deux collections, les blouses et tabliers nylon ET les postes de radio à transistors 4 gammes d'ondes Grandes Ondes, Petites Ondes, Ondes Courtes et Modulation de Fréquences que je trouve chez Emmaüs parce qu'ils ne sont plus fabriqués sauf les postes haut de gamme en Chine.

        Bonne soirée.

      • PeterP
        Mardi 25 Octobre 2022 à 08:36

        Hello cher confrère...

        Oui, c'est vrai. Poste radio 4 grammes d'ondes ?  Je me souviens qu' à la maison, nous avions un gros poste de radio  cubique, lourd, de couleur ocre en bois vernis, avec les 2 gros boutons de chaque côté pour chercher les fréquences, Mes parents l'avaient ramené de leur premier logement en Normandie. On l'a conservé pendant une bonne quinzaine d'années avant de le remplacer par les mini-poste à cassettes audio. C'est cela, je suppose ?                                                                Peter

         

      • Mardi 25 Octobre 2022 à 11:45

        Bonjour Peter,

        Comme, j'ai été élevé par ma grand-mère le gros poste à lampes du salon, comme tu le décrit, tournait en permanence toute la journée sur Radio Luxembourg, il n'y a que le dimanche que j'étais autorisé à zapper sue Europe1 car ma grand-mère avait horreur de la voix de Madame Geneviève Tabouis, je pouvais donc écouter "l'homme à la voiture rouge", feuilleton radiophonique, suivi de SLC "salut les copains". Après, j'ai pu zapper aussi sur les ondes courtes qui sont restées ma passion, bon maintenant, il n'y a presque plus de radio étrangères en langues française, contrairement à cette époque ou pratiquement tous les pays avaient des émissions de propagande en ondes courtes pendant la guerre froide, suivant leurs camps respectifs, ce qui me permettait de me faire ma propre opinion.

        Bonne fin de matinée.

        Paul.

    8
    ramina
    Mardi 25 Octobre 2022 à 11:05

    hello, les dingo de la radio... de papa  !

    Ah , oui! Bien sûr, mes parents en avait un aussi , comme dans la plupart des familles, sur le buffet de la cuisine entre les deux petits placards avec une porte . Je me souviens avoir été perplexe à l'arrivée des postes à transistor. Gamin je croyais que le son des gens qui causaient dans le poste arrivait par le câble, relié à la prise enfoncée dans le mur... C'était l'alimentation. Alors pensez donc plus de fil , comment c'est possible que ça marche ?

    Aujourd'hui, tu montes dans ta bagnole et il y a une voix qui vient de tu sais pas où, qui te dit par où tu dois passer et t'indique sur un écran, ta destination au mètre près, le temps que tu vas mettre, ton heure d'arrivée, le nom des bleds que tu vas traverser, manque plus que la quantité de flotte qu'il va tomber à la prochaine averse... Et  ça n'étonne personne !    Ramina

      • Mardi 25 Octobre 2022 à 11:25

        Bonjour Ramina,

        Moi, c'était surtout la télé qui m’intriguait, le réparateur venait souvent car il n'y avait que des lampes dans la télé des années 50, et elles claquaient souvent, au point que les parents avaient acheté un régulateur pour mettre en dessous, je m'imaginais, tout gosse, qu'il venait changer le film dans le poste, mais ce qui m'intriguait déjà, c'est comment il arrivait à synchroniser tous les films de toutes les télé pour que les gens voient les mêmes choses en même temps. Pour la radio, c'était différent, je me doutais que c'était le grand fil en tire bouchon au plafond du salon qui amenait le son, sur les gros postes à lampes, eux aussi.

        Bonne fin de matinée.

        Paul.



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