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Chez ma tante, un récit de Claudinette
Un récit de Claudinette, avec me dit-elle, une partie réelle et une partie imaginaire. Et, malheureusement, inachevé…
J'ai à peine agrémenté son texte…
Chez ma tante
J'avais 13 ou14 ans, mes parents en voyage m'avaient confié pour quelques jours aux bons soins de ma tante.
Son fils, mon cousin avait à peu près le même âge que moi. Et pendant mon séjour nous dormions dans le même lit.
Un soir avec des airs mystérieux et un regard coquin il me dit:
- «Regarde ce que j'ai trouvé à l’école» et il me présente une revue porno de l'époque! Viens dans ma chambre, on va la regarder ensemble».Il se couche et je fais pareil à côté de lui. Pendant qu’il tournait les pages, mes mains s'activaient sous le drap l'une sur son zizi, l'autre sur le mien: déjà bien raides tous les deux! Quand tout à coup la porte de la chambre s'ouvre brusquement et ma tante apparaît!
Elle n’était pas encore couchée, et elle portait encore sa blouse de maison et un tablier à bavette blanc par-dessus.
- «Que faites-vous, polissons?»Et avant que nous ayons le temps de réagir elle ouvre le drap découvrant... le pot au rose.
- «Vous n'avez pas honte!» s'exclame-t-elle.Elle saisit mon cousin par un bras, le sort du lit, le couche sur ses grosses cuisses à moitié découvertes, à moitié recouvertes par son tablier, et lui assène sur ses fesses nues une fessée magistrale!
Je voyais ses seins plantureux s’agiter par entrebâillement de sa blouse, sous la bavette du tablier. Elle ordonne à mon cousin de se mettre au coin puis elle se tourne vers moi… J'étais plus mort que vif! Et je m'attendais à subir le même sort !
Elle me sort du lit et s’apprête à me coucher sur ses cuisses… Mais elle se ravise et me dit :
- «Tu n'es pas mon fils, donc ce n'est pas à moi de te punir, aussi je raconterai tout à ton père quand il rentrera!»J'avais très peur de mon père et je lui dis:
– «Non ma tante je vous en supplie, pas à mon père…»Alors elle me dit:
- «Bon, je te donne le choix: ou bien je te punis moi-même ou bien je raconte ce que vous faisiez à ton père… Je te donne toute la nuit pour réfléchir… tu viendras me donner ta réponse demain matin... En attendant, recouche-toi.»J’obéis sans demander mon reste, la laissant emmener mon cousin je ne sais où…
J'ai passé une très mauvaise nuit. Je ne cessais de penser à ce qui se passerait le lendemain matin.
J'avais pris ma décision, comme il n'était pas question pour moi que mon père soit mis au courant je choisissais d’être puni par ma tante ! Mais comment cela allait-il se passer, je me remémorais la scène avec mon cousin, cela me faisait peur mais en même temps m’excitait, car je revoyais les grosses cuisses de ma tante et surtout ses gros seins que je voyais tressauter par l'ouverture de sa blouse.
Le matin arrive enfin... Tout tremblant je descends rejoindre ma tante... Elle m'attendait, debout, l'air sévère. Elle était vêtue stricte blouse de ménage, très longue, et d'un tablier bleu ajusté, la bavette gonflée par sa poitrine rebondie.
Moi, je portais un petit polo, et un short, dans ma naïveté, j'avais fait exprès de le monter très haut et de replier les revers pour dégager mes fesses le plus possible pour en imaginant qu’elle ne me déculotte pas !!!
Elle me toise du regard et dit:
- «Alors Claudinet (je m'appelle Claude et depuis toujours, et parce que je suis mignon on m'appelle Claudinet) as-tu bien réfléchit à mes directives et qu'as-tu choisis?»J'ai la tête baissée et dans un souffle je dis:
- «Il ne faut pas le dire à mon père.»Elle me saisit par les cheveux, me redresse la tête et dit d'une voix autoritaire:
- «Qu'est-ce que ça veut dire ça ! Sois plus précis et parle plus fort!!»Alors j'ai bien été obligé de dire:
- «Je choisis que c'est vous que me punissiez, ma tante et j'ajoutais «s'il vous plaît?»D'habitude je la tutoyais mais cette fois la situation m'a incité à la vouvoyer. Elle eut alors un étrange sourire, assez cruel, et je me suis senti fondre de crainte mais aussi d'un certain plaisir.
Elle s’assit, tira sa blouse et son tablier sur ses cuisses, laissant apparaître furtivement, pendant qu’elle se réajustait, le haut de ses bas noirs et un peu de la chair blanche de ses cuisses, vite cachés par son tablier:
- «Approches», ordonne-t-elle, «baisse ton short sur tes talons!»J'essaye timidement de protester:
- «Mais... ma tante...!?»Grosse erreur! Et là elle m'assène une gifle retentissante et crie sur un ton qui n'admet aucune discussion:
- «Obéis!!»J'obtempère immédiatement et baisse mon short et je me dis qu’il me reste mon slip!
Elle m'attrape par un bras et d'un geste vif elle me couche sur ses cuisses... D'un autre geste preste elle baisse mon slip sous mes fesses me voilà cul nu... Sous ses yeux je me sens devenir écarlate, je sens le tissu de son tablier et, à travers ce tissu, la douceur de sa chair sur ma peau nue. Je frissonne de peur mais aussi e crois d'une petite jouissance.
Alors commence la fessée... Je n'en avais jamais reçu auparavant, mes parents étaient contre! Au début je n'ai pas eu trop mal, je pense qu'elle retenait ses coups et j'étais sous le coup de la surprise. Puis j'ai commencé à avoir mal. Je serrai les dents car la veille au soir, pendant qu'elle fessait vigoureusement mon cousin, il criait comme un goret qu'on égorge, et je m'étais dit: «Quand ce sera mon tour je ne dirais rien.»
Comme les claques se faisaient plus vigoureuses, malgré moi je me lis à gémir.
- «Tais-toi» ordonna-t-elle, et elle me frappe de plus belle!Alors je ne peux plus me retenir. Et me mets à crier aussi. Les fesses me brûlent, et en même temps mon sexe se durcit très fort. Il frotte sur le tissu du tablier de ma tante. Je m'agite et le frottement se fait plus fort et tout à coup je sens quelque chose qui jaillit de mon zizi tout dur.
Je ne comprends pas ce qui m'arrive. Je crois que malgré et dans la douleur j'ai fait pipi!
Elle a senti aussi quelque chose et arrête de me frapper. Elle me repousse brutalement ; je tombe par terre. Elle se lève son tablier relevé et dit furieuse:
- «Mais qu'est-ce qu'il m'a fait ce petit cochon...»Je regarde et je vois bien apparent sur son tablier bleu quelque chose de blanc qui ressemble à du yaourt... Je ne comprends pas alors elle dit moitié colère moitié ironique:
- «Mais il a joui ce petit coquin.»Alors j'ai réalisé ce qui venait de m'arriver sous l'effet de la fessée et de l'excitation d’être couché sur ses cuisses. Je venais d’éjaculer pour la première fois de ma vie... et cette jouissance provoquée par un mélange de douleur et de plaisir intense allait me marquer pour le restant de ma vie. J'étais devenu masochiste!
Elle m'ordonne de me lever et s'exclame:
- «Tu n'as pas honte petit vicieux! Regarde ce que tu as fait! Mon tablier est tout taché! Ça ne va pas se passer comme ça, file au coin!»Je me lève et fais mine de remonter mon slip et mon short... Je reçois une nouvelle gifle:
- «Non, reste comme ça, cul nu, c'est tout ce que tu mérites!»Je me dirige vers le coin à petits pas car je suis entravé par mon short et instinctivement je place mes mains pour cacher mon zizi. Je reçois une nouvelle gifle et:
- «Mets tes mains sur ta tête et ne bouge pas. Je reviens! Ce n’est pas fini!»Je me mets à trembler de tout mon corps de honte et de crainte de ce qui va se passer. J'entends ses talons. Je n'ose pas regarder. Et tout à coup une brûlure atroce cingle mes fesses puis une autre. Machinalement je place mes mains sur mes fesses pour me protéger et je me retourne. Elle tient un martinet! Je savais qu'elle en possédait un et qu'elle s'en servait sur mon cousin, il me l'avait dit mais je ne l'avait jamais vu, et encore moins subit.
Je la regarde en suppliant:
- «Non ma tante...»
- «Retournes toi mains sur la tête et si tu bouges je t'attache!!»J'obéis, mort de peur!
Et les coups de martinet s'abattent sur mes pauvres fesses déjà toutes rouges de la fessée, jusqu'à ce que je m'écroule à ses pieds en criant et en pleurant!! Alors elle s’arrête et m'ordonne de me relever:
- «Relève toi, enlève ton short et ton slip, tu n'en auras plus besoin, et monte devant moi l'escalier, tu vas rejoindre ton cousin au grenier pour la suite de la punition!»J'obéis et monte devant elle, rouge de honte en pensant qu'elle voit mes fesses, et me demandant, résigné, ce que je vais encore subir?
En montant l'escalier, je jette un regard dérobé en arrière et je vois que ma tante tient toujours le martinet! Elle a surprit mon regard et m'en assène deux coup sur les cuisse et dit:
- «Regardes devant toi et dépêches-toi de monter!»Nous arrivons devant la porte du grenier. Je m'étais plusieurs fois demandé, lors de nos jeux avec mon cousin, ce qu'il pouvait bien y avoir dans ce grenier? Je lui avais posé la question et à chaque fois il s'était dérobé et avait simplement répondu d'un air gêné:
- «On n’a pas le droit d'y rentrer.»Je me disais qu'il y avait peut-être des objets fragiles ou précieux? J'allais le savoir!
Elle tourne la clef dans la serrure et ouvre la porte. Comme j'hésite un peu à entrer, car la pièce est assez sombre, elle lève le martinet:
- «Qu'est-ce que tu attends?»Je pénètre en vitesse en rentrant les fesses mais pas assez vite et je n'échappe pas à deux nouveaux coups de martinet sur mes fesses nues encore douloureuses de la raclée précédente.
Je m'habitue à la pénombre, il y a tout ce que l'on trouve en général dans un grenier, c'est à dire du bric-à-brac, puis je distingue, dans un coin un peu mieux éclairé par une lucarne juste au-dessus, un lit et, couché dessus... mon cousin! Elle me pousse vers le lit avec le manche du martinet et dit:
- «Voilà ton nouveau domaine vilaine Claudinette!»C'est la première fois qu'elle m'appelle ainsi. Je la regarde interrogateur:
- «Tu comprendras plus tard» ajoute-t-elle!Le lit est particulier c'est ce que l'on appelait un lit-cage, en métal, une fois ouvert il y avait à la tête et au pieds des barreaux et je découvre que les poignets et les chevilles de mon cousin sont attachés à ces barreaux.
Il portait juste son haut de pyjama, et le bas de son corps était enveloppé de linge... Je ne comprenais d’ailleurs pas très bien ce que c'était? Devant mon regard interrogateur ma tante me dit:
- «Tu vas assister au change de ton grand bébé de cousin!!!»Je ne comprends toujours pas.
Elle attrape un grand tablier de caoutchouc, qui était pendu dans le grenier, l’enfile par-dessus l’autre, renoue la ceinture par devant. Elle détache ses jambes et défait le lange qui enveloppe son bas-ventre et le haut de ses cuisses, en dessous il y a une sorte de grosse culotte fermée avec des scratches. Elle l'ouvre et je découvre avec stupeur que c'est tout mouillé dedans et tout jaune. Je comprends alors que c'est du pipi!! En fait il était langé comme un petit bébé! Elle se met à le gronder:
- «Petit cochon tu as encore fait pipi au lit!Tu sais ce que cela mérite!»Mon cousin se met à pleurer ! Moi je veux prendre sa défense:
- «Mais ma tante il était attaché, il ne pouvait pas aller aux toilettes!»Je reçois deux coups de martinet et:
- «Tais-toi! Il n'avait qu'à se retenir, et on va bien voir ce que tu feras quand tu seras mis au lit.»
- «Mais ma tante c'est tout petit, c'est un lit d'une personne!»Nouveaux coups de martinet et:
- «Vous serez bien serrés ça vous tiendra chaud!»Et elle se met à rire! Puis elle ordonne à mon cousin de se retourner sur le ventre, ce qu'il fait avec difficulté car ses bras sont toujours attachés aux barreaux du lit. Il supplie:
- «Non pas le martinet. Pas le martinet. Je n'ai pas pu me reten...»Il n'a pas le temps de terminer sa supplique, les coups de martinet s'abattent sur ses pauvres fesses! Et il se met à pleurer de plus belle!
Puis elle le remet sur le dos. Elle prend des torchons pour nettoyer succinctement son bas-ventre. Elle lui relève ses jambes en arrière et lui dit de les écarter pour nettoyer sa raie des fesses! J'ai honte de voir son petit trou ainsi exposé et je frémis en pensant que cela va m'arriver.
Ma tante lui dit de soulever ses fesses et replace une couche en dessous. Elle la referme puis l'enveloppe d'un grand lange et lui rattache ses chevilles aux barreaux du lit.
Elle se tourne vers moi et avec un grand sourire pervers elle m'ordonne:
- «A ton tour! Couches-toi dans le lit à coté à coté de ton cousin!»Et comme je ne m'exécutais pas assez vite elle m'assena quelques coups de martinet, et vite je me couchais.
- «Pas de ce coté» ordonna-t-elle... «tête-bêche.»Je ne comprenais pas! Nouveaux coups de martinet!
- «Ta tête vers les pieds de ton cousin! Je veux que chacun aie sous le nez les langes de l’autre.»J'obéis et me couchais comme elle voulait, sur le dos. Elle passe à mon poignet des petits bracelets avec des anneaux, on aurait dit des petits colliers de chat, puis elle passe une cordelette dans les anneaux et la fixe aux barreaux du lit. Puis elle me dit:
- «Soulèves tes fesses, Claudinette.»Elle glisse en dessous ce que j'avais repéré sur mon cousin: une couche…Je me suis senti rougir de honte! Elle me met une sorte de crème sur le bas ventre et sur mon zizi, m'ordonne de relever mes jambes en arrière. Elle les écarte et les pousse jusque sur mon torse. Ma raie des fesses et mon petit trou se trouvent ainsi bien exposés. Elle me met aussi de la crème partout comme j'avais déjà vu faire sur les bébés. Malgré ma gène, ces attouchements m'ont provoqué une excitation et mon zizi a commencé à se durcir!
Elle s'en est aperçue et m'a donné quelques coups de martinet sur la poitrine et le ventre! Non seulement ça ne m'a pas calmé mais cela a augmenté mon excitation!
- «Petit cochon» a-t-elle crié. «Tant pis, je te mets ta couche comme ça!»Elle a rabattu le bas de la couche sur mon zizi et mon bas ventre puis les deux cotés et enfin elle m'a enfilé une grosse culotte en caoutchouc et pour terminer m'a passé des bracelets aux chevilles et les a attachés avec une cordelette aux barreaux du lit!
Alors elle dit :
- «Je te préviens, je t'ai mis une couche par sécurité mais tu n'as pas le droit de faire pipi, si tu t’oublies dans ta couche tu seras puni! Et si tu fais caca la punition sera beaucoup plus sévère!»J'étais langé et prisonnier...
Elle enlève son tablier de caoutchouc, le pend à côté du lit, et sort de la pièce.
Je demande à mon cousin combien de temps on risquait d'être attaché comme ça. Il me dit:
- «Peut-être un jour ou deux ça dépend!»
- «Ça dépend de quoi?»
- «De l’envie qu’elle aura de nous punir, c’est tout.»Je n'étais plus excité et je tremblais comme une feuille de crainte de ce qui pouvait advenir si j'avais envie.
D'autant plus qu'elle est revenue presque tout de suite revenue tenant deux biberons qu'elle nous met dans la bouche et nous oblige à boire complètement. C’était de grands biberons, pleins d’une tisane tiède, qui n’avait pas mauvais goût. Elle en mit un dans la bouche de mon cousin, un dans la mienne, les tenant de ses bras écartés, penchée sur les barreaux. Je voyais sa grosse poitrine qui m’excitait terriblement. Il nous fallut cinq minutes pour boire, sans envie. Et elle sortit en éteignant la lumière.
Nous voici, mon cousin et moi, couchés tête-bêche, ce qui veut dire que nos têtes étaient à peu près à la hauteur de nos bas-ventres respectifs; et donc tout contre nos couches! Et comme les liens qui nous attachaient aux barreaux du lit était assez lâches, on pouvait en se tortillant un peu toucher avec nos bouche nos couches et sentir et deviner leur contenu; sentir physiquement et «odoriférant»; oubliant le désagrément de notre situation.
Et c'est comme cela aussi que le besoin des couches a été ancré en moi …besoin qui devait ressortir bien des années plus tard.
Voici comment finit, de manière abrupte, le récit de Claudinette.
Impossible d'en rester là, non? Alors, commentez, demandez-lui d'écrire la suite, donnez-lui des idées bien cochonnes…
Tags : Fessée, Martinet, Couche, Bondage
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Commentaires
2raminaJeudi 9 Juin 2022 à 10:39Bonjour zéatous!
Étonnant comme ce sont des ''tantines'', fesseuses, tourmenteuses, vicieuses, perverses, qu'ont retrouve souvent à l’œuvre dans de sulfureux récits, comme celui de notre amie Claudinette. ça commence par quelques savoureuse fessées déculottées bien cuisantes, sur les fortes cuisses de la tante, aussi bien pourvue en volume de poitrine , avec un coup de poignet bien percutant . Et ça ne rate pas, le pauvre garçon a ses première émotions et se lâche complètement sur les cuisses de tantine qui lui en remet ensuite une couche ... une vraie cette fois ci ! Après, forcément ça dégénère ! Fessée au martinet, pipi au lit, biberonné, langé, attaché tête bêche avec le cousin qui subit le même traitement... ça laisse des souvenirs, et pas que des vacance chez tatie !. Alors qu'est ce qu'il peut arriver de plus pire ou de mieux meilleur, à Claudinette déjà bien servie. Ou si, tiens, le martinet double usage, pour fessées déculottées avec le manche enfoncé dans le derrière... Un bon gros manche cannelé pour qu'il reste bien en place pendant toute la durée de la fessée Ah oui, ça serait bien ça , si ça se trouve ! (rire) Ramina
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ClodinetteJeudi 9 Juin 2022 à 13:51
Notre Chère Tatie ( Marie souillon) reproche la fin brutale de ce récit ....la suite se déroule sur des annéees et serait trop lonlongue à raconter et je suis trop paresseuse ! j'en ai quand même deja ecrit des petits bouts dont un récit mi-reel mi imaginaire et corrigé et complété par tatie ( quelques blouses et tabliers !) sous le titres LA REVELATION vous le trouverez ici , si vous cherchez bien *et merci pour les commentaires et bisous à toutes
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ClodinetteJeudi 9 Juin 2022 à 13:56
ha oui j'ai oublié : Ramina , tu ne crois pas si bien dire à propos du second usage du martinet ! j'ai d'aillleurs une photo qui montre bien que j'ai subit cette expérimentation de la part de ma Maitresse : j'aurais bien mettre la photo ici mais je sais pas comment faire ? je vais l'envoyer à Tatie pour qu'elle l'a publie ! merci
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ClodinetteVendredi 10 Juin 2022 à 19:47
Merci pour tes commentaires ;j'aurais bien voulu te montrer la photo du martinet en place pour l'autre usage que tu lui donnes dans ton commentaire
comment te la faire parvenir ?
androgine@ymail.com
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3raminaJeudi 9 Juin 2022 à 20:26Bonsoir Claudinette, Je ne pense pas que marie Souillon te reproche véritablement la fin brutale de ton récit. C'est plutôt une manière de t'encourager à écrire une suite que nous lirons avec plaisir . Comme Léo, écrivons. les récits restent le meilleur moyen de partager nos émotions, les vécus comme les fantasmes . Ramina
4raminaSamedi 11 Juin 2022 à 10:42Clodinette, bonjour,
Envoie la photo de l'autre usage du martinet (hi, hi!) à marie souillon, elle me la transmettra... Ramina
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clodinetteSamedi 11 Juin 2022 à 17:39
coucou Ramina je lui ai déja envoyé la photo !...demande lui bisous
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5raminaDimanche 12 Juin 2022 à 13:17Merci Clodinette je vais voir ça avec curiosité. Une fessée ( à la main je suppose ) avec un manche de martinet planté dans le derrière c'est toujours une curiosité ! Ramina
6raminaLundi 13 Juin 2022 à 01:14Merci Clodinette j'ai bien reçu les photos transmises fidèlement par Marie Charlotte . Effectivement, je ne croyais pas si bien dire . Comme quoi un manche de martinet bien calé entre les fesses peut procurer de délicieuses sensations, moins cinglantes que les lanières , mais sans doute plus excitantes. J'aime beaucoup les bas nylon et les talons aiguilles très élégants, les fesses déculottées avec le slip en dentelles en travers des cuisses pour bien dégager l'espace de pénétration. Un fondement bien occupé ! Le must ! (rire) Ramina
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clodinetteLundi 13 Juin 2022 à 08:55
MERCI Chère Ramina tes commentaires me ravissent ! c'est vrai que j'adore porter de jolies tenues feminines....et surtout agrémenter mes belles (!) gambettes de bas et de les cambrer sur des hauts talons !
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Combien de temps êtes-vous restés dans cette inconfortable position ?
en réponse à Léo Claudinet est resté que 24 heures attachée contre son cousin car ses parents sont revenus de leur voyage ....assez longtemps cependant pour qu'il ne puisse pas se retenir et qu'il fasse un gros caca dans sa couche ...ce ququi lui a valu une double fessée au martinet dont il se souvient encore ....