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ABY rétro
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C'était, bien avant Internet, le temps de ces publications d'amateurs que l'on appelait des "fanzines".
Cette première couverture nous montre une grande et forte femme donnant le bain à un homme musclé, rien d'infantilisant, à part le décor.
Ici, une couverture d'inspiration japonisante.
Un autre fanzine, une couverture connue, avec le landau géant.
Et la version toutencaoutchouc!
Tags : ABY
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Commentaires
Bonjour Ramina,
La dernière revue caoutchouc, je l'achetais sur Paris dans les années 2000.
Bon après-midi.
Paul.
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Peter PanSamedi 7 Octobre 2023 à 15:12
Re-hello...
Les personnages en couverture en photo 2 ont une suite où cette nounou fesse ce grand garçon cul nu sur ses genoux devant un groupe de femmes habillées. La honte, quoi...
Peter.
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3Peter PanSamedi 7 Octobre 2023 à 15:08Hello messieurs les dingos du landau (pôv' Pit)
Notre ami Ramina a tout à fait raison. On devait attendre d'être le dernier client dans la boutique pour aller à la caisse payer le coupable "objet du désir" et parfois la patronne demande pile à son époux : Chéri, la revue... biiiiiip, c'est combien ? (Ca m'est arrivé une fois et la seule, Bonjour la honte !! Plus qu'à te mettre un sac sur la tête pour sortir !!! ). Et bien sûr, les fameux catalogues de La Déroute et austres 3 Belges qui ont oeuvrés pour notre connaissance du "mystère féminin". Et j'approuve pour : "morale et principes "à la c...biiiip...n !" Même chose pour les gauchers, victimes d'ostracisme teintés de moralité vertueuse !! Comme je le disais pour un autre article.
Peter.
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Mardi 10 Octobre 2023 à 12:27
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4Peter PanMardi 10 Octobre 2023 à 14:32Rebonjour Paul,
Oui, en particulier si c'était la patronne qui encaissait et que des clientes attendaient derrière toi.
Peter.
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Amis du rétro bambino, bonjour!
Comme quoi les revues régressives ne datent pas d'aujourd'hui , ni d'internet . Ces petits fanzines devaient se vendre sous le manteau pour les initiés seulement ... certainement interdits d'affichage comme le "Paris Hollywood" des années 50 que tu achetais en rougissant un peu devant la marchande de journaux. Elle sortait de dessous le comptoir, la revue, aux couleurs bistre, de jeune femmes potelées en porte jarretelles et bas nylon avec l'entrejambe flouté... honte à toi.. Tu rentrais vite chez toi pour feuilleter le magazine d'une seule main en te disant que c'était pas bien de se tirelipotter la zigounette, tant la censure et la morale catholique à la con ( formule de Paulo ! ) était culpabilisante . Pareil de la même chose devant les pages lingerie des catalogues des trois Suisses Redoutables ...Quand on pense qu'à une certaine époque , des bien pensant de la médecine familiale , faisaient attacher les mains des ados, au lit, pour les empêcher de se faire du bien avant de s'endormir ...Personne n'en est jamais devenu sourd !! Ramina