• 10 Les fessées de Clodinet - par Tante Gladys et Bettina

    Texte et dessin de Ramina, que je remercie.


    10  Les fessées de Clodinet - par Tante Gladys et Bettina

     

    Bonjours mes chérubins aux fesses rouges… du moins je l’espère…

     

    Avant de vous donner des nouvelles des fesses de Clodinet, je dois vous faire part d’une de mes théories sur l’administration des fessées. Oui je sais, j’en ai beaucoup, mais celle ci me semble plus importante que d’autres. il faut donc que je vous en parle.

    Quand je fesse sévèrement Edouard, ce qui arrive très souvent – au passage fesser sévèrement est pour moi un pléonasme.  Je ne sais pas pourquoi j’éprouve le besoin de  préciser puisque, je considère qu’une vraie bonne fessée, digne de ce nom, se doit d’être toujours sévère, naturellement et systématiquement sévère. Je n’imagine pas qu’on puisse fesser autrement, d’ailleurs, je fesse toujours comme ça!

    Mais bon – je disais donc, avant de m’interrompre toute seule – quand je fesse Edouard, Clodinet ou Sacha  leur gros derrière déculotté bien calé sur mes genoux, et qu’ils se mettent enfin à pleurer et supplier, c'est la réaction tout à fait normale que j’attends. Ce qui ne veut pas dire qu'il est temps de mettre fin à la fessée, bien au contraire, elle ne fait que commencer. C’est justement quand les fesses sont bien rouges et cuisantes, que la correction devient vraiment efficace. Alors pourquoi s’arrêter en si bon chemin. Je continue donc, en redoublant d’intensité, à grandes claques retentissantes, jusqu’à obtenir une parfaite cuisson du derrière. Je ne m’arrête, toujours à regret, que lorsqu’il apparaît enluminé jusqu’au fond de la raie, de cette resplendissante rougeur écarlate, du bas des reins jusqu’en haut des cuisses. Le meilleur témoignage de la réussite d’une fessée exemplaire, tout comme les tortillements et les pédalages dans le vide, pendant son application.

    Dernièrement, j’ai pris Edouard sur mes genoux et je l'ai fessé encore plus fort et plus longtemps que d’habitude… comme ça, sans motif particulier, uniquement pour le plaisir  de claquer son imposante paire de fesses. Je vais me gêner tiens! J’adore  fesser, mon mari, et tout autant Clodinet et Sacha quand ils sont à la maison, comme en ce moment. Quand on a d’aussi belles paires de fesses, sous la main ça serait vraiment stupide  de s’en priver! Vous ne pouvez pas savoir le sentiment de puissance que je ressens, quand je les déculotte, allongés sur mes cuisses, et que je sais pouvoir leur mettre autant de fessées que j’en ai envie. C’est moi qui décide et ils les reçoivent tellement bien!  A force de leur en flanquer régulièrement, on leur a formaté le derrière à s’en prendre souvent et longtemps. Pensez donc, de belles paires, fermes, et endurantes,  faites pour la fessée, on ne va tout de même pas se priver d’en profiter... et largement encore.

    Pour tout vous dire, Edouard a sa première fessée de la journée dès le matin au saut du lit, dans la cuisine. Une pièce que j’apprécie particulièrement pour sa qualité de résonance C’est l’endroit où les fessées, sont le plus retentissantes grâce aux surfaces carrelées. Les fesses de ces messieurs y offrent un rendement sonore de bien meilleure qualité que lorsqu’on les corrige au salon. Vous êtes bien placé pour savoir que le claquement des fessées qu’on administre est un merveilleux stimulant à la sévérité.

    Pour en revenir à mon chéri, je le cueille tous les jours au petit déjeuner, avec une solide fessée, bien cuisante, au derrière,  pour l’envoyer, au bureau le slip plein à craquer d’une belle paire gonflée de claques, chauffée au rouge écarlate. C’est tellement agréable de commencer la journée devant le spectacle de ses belles fesses flamboyantes se tortiller frénétiquement sur mes cuisses alors que je les fais tressauter en cadence sous les claques. Vous ne pouvez pas savoir à quel point ça m’excite quand il commence à pédaler dans le vide en criant, se cabrant même en tendant involontairement ses fesses vers ma main qui les cueille alors, avec gourmandise d’une volées de claques retentissantes. C’est tellement bon de  claquer un gros fessier bien ferme et bien rebondissant. En gourmande, je ne m’arrête, que lorsque j’ai obtenu de belles fesses éclatantes, chauffées au rouge jusqu’au fond de la raie.

    Mais bon, mes pauvres chéris je parle, je parle, et je vous devine impatients de savoir la suite de la punition que ma délicieuse soubrette doit infliger à Clodinet. C’est comme après l’annonce d’une fessée, j’aime bien la faire attendre pour augmenter la pression sur les fesses de mon puni. Ça m’amuse de le faire patienter, tremblant, la boule au ventre, allongé, déculotté sur mes genoux. C’est toujours un grand moment de domination.

    Mais j’en reviens à Bettina. La pétulante créature a très vite montré un niveau de compétence qui dépasse largement les fonctions habituelles d’une soubrette chargée de l’entretient d’un intérieur. Beaucoup plus qu’une simple domestique, elle s’est révélée une partenaire efficace, à faire respecter les règles de fonctionnement de  la maison. Elle a tout de suite fait preuve d’un redoutable talent, et d’une sévérité sans faille, pour administrer les fessées nécessaires au bon fonctionnement de la discipline domestique.

    Dans le cas présent, concernant la punition de nos deux dévergondés, je lui ai confié le derrière de Clodinet qui a une fessée de retard sur Sacha. Celle que je lui ai flanquée il y a à peine une heure pour bien préparer ses fesses à ce qui va suivre. Un préchauffage en quelque sorte! Il était au coin, déculotté, les fesses à l’air, comme d’habitude, mais là, je l’ai obligé à se retourner pour assister à la fessée de son cousin. Je vous ai déjà parlé de l’esprit de solidarité devant la fessée entre cousin.

    Chère Bettina... quelle énergie! Elle n’a pas mis longtemps pour faire rattraper son retard de punition à Clodinet. Il ne lui a pas fallu plus de dix minutes pour lui remettre les fesses à égalité de cuisson avec celles de Sacha. Histoire de le surprendre, au lieu de le corriger coincé entre ses cuisses comme il a l’air d’y avoir pris goût, elle l’a positionné plié en deux sur ses genoux , la tête au ras du sol, le postérieur tendu vers le plafond, bien arrondi à sa main. Elle s’est même offert le luxe d’ironiser pendant qu’elle préparait ses fesses.
    - «C’est quand même plus agréable de faire reluire une paire de fesses comme celles là que d’astiquer le carrelage du salon!» s’est elle exclamé en déculottant, un Clodinet subjugué, entièrement soumis à la fessée.

    Il soulève même ses fesses pour faciliter le passage du slip. Elle s’amuse à en faire claquer l’élastique sur ses cuisses, en me lançant un clin d’oeil.
    - «Tant qu’à flanquer des fessées, autant varier les plaisirs! L’autre position c’est pour la suivante.»
    - «S’il vous plaît Bettina», murmure timidement Clodinet d’une voix caverneuse qui remonte de sur carrelage. «J’aurais préféré la fessée avec…»
    - «Oui je sais», l’interrompt la soubrette en lui emprisonnant le sexe entre ses jarretelles. «La tête entre mes cuisses, pour me renifler le derrière… petit vicieux!  Mais c’est moi qui décide de la position. Celle-là c’est le hors-d’œuvre, l’autre c’est pour le  plat de résistance!»

    A l’entendre diriger les opérations, je me dis cette que jeune femme a une autorité naturelle et un sens de la répartie qui me ravissent littéralement .Bien que je sois habituée, ayant moi même une puissance de feu respectable et respectée, je me surprend, admirative, devant son impressionnante force de frappe.

    Et d’astiquer le derrière de mon Clodinet d’une éclatante fessée déculottée. Il a beau brailler, pleurer, supplier, indifférente à sa douleur et l’humiliation qu’elle lui inflige, elle mène sa correction  jusqu’à ce que ses fesses resplendissent d’un magnifique rouge écarlate. Elle le laisse un court instant, pantelant, gémissant sur ses genoux, puis l’envoie s’effondrer au sol
    - «Oooh Bettina... vous fessez vraiment fort…» pleurniche t-il en se tenant les fesses à pleine main.
    - «Je fesse comme j’aime fesser, mon cher, et j’aime les fessées vigoureuses! Et cessez de vous plaindre comme un gamin. Quand on a une paire de fesses aussi bien développée que la vôtre, c’est tout à fait normal  de s’en prendre des sévères. Elles sont faites pour ça! Et puis, je croyais que vous aimiez ça, les cuisantes fessées!»
    - «Ah, quand même… Vous y allez fort… pour être cuisante... celle-là… ça cuit, vraiment...»
    - «Et bien qu’est ce que ça va être avec le martinet!»

    J’ai trouvé cet échange entre Clodinet et Bettina, absolument savoureux. En bonne patronne, satisfaite de son personnel, je ne peux m’empêcher de la complimenter.
    - «Superbe fessée, bien claquée, rondement menée, ma chère. Vous ne lui avez même pas laissé le temps de jouir! Vos bas nylon sont intacts cette fois ci!»
    - «Je me le réserve pour la fessée suivante… Il a déjà les fesses en feu, ça ne sera pas difficile de le faire jouir quand je le fesserai la tête entre mes cuisses… ça l’excite tellement! Et mes bas nylon auront moins de chance de se prendre une giclée!!»

    Elle l’interpelle sur un ton guilleret:
    - «N’est-ce pas Clodinet qu’on aime ça les fessées avec l’empreinte de mes jarretelles et de mes bas nylon sur tes joues!  Pour les savoir aussi rouges que les fesses!!»
    - «Euuuh… ou… oui Mademoiselle. C’est… c’est vrai...mais... vous fessez dur…très ....» 

    Il n’ose pas insister, trop préoccupé, par l’effet de cuisson de la retentissante fessée qu’elle vient de lui mettre. Il a l’impression de sentir sa main ferme et brûlante, claquer encore, et encore sur son postérieur déculotté. Un peu comme si la fessée n’était pas finie. En fait c’est la séance de fessées qui n’est pas terminée…

    Elle rit, Bettina, elle rit, d’un rire féroce, et d’une claque retentissante en plein milieu des fesses, l’expédie au coin, aux côtés de Sacha. Là où je l’ai déjà renvoyé, en lui ravivant le derrière d’une belle claque bien sonore. Et puis que voulez-vous, il est difficile de résister devant des fesses aussi appétissantes que provocantes. Je lui en remets une tournée, en le maintenant d’une main, debout, face au mur et de l’autre lui fait sèchement sauter les fesses à grandes claques bien retentissantes. Suivant ma méthode Bettina fait subir le même traitement à Clodinet qu’elle maintient le nez collé au mur, le derrière rebondissant sous une nouvelle salve de cuisants allers et retours. Malgré le formidable claquement des deux fessées en simultané, nous trouvons, très stimulant le concert de pleurs et de supplications, exécuté dans un parfait ensemble musical! Je ne vous cache pas  que ça fait énormément de bien. Cette fois j’en trempe carrément mon petit slip de nylon!

    Estiment que les postérieurs enluminés de nos deux grands garçons sont maintenant à égalité de traitement, nous finissons par abréger leur trépidante cavalcade fessière. 

    J’adore ce calme, envahissant, après le claquement assourdissant des fessées déculottées. Quand on n’entend plus que les efforts de nos punis à ne pas gémir et sangloter trop bruyamment  sous la menace de devoir revenir immédiatement, nous présenter leurs fesses pour une nouvelle correction. 

    Pendant que ces messieurs, au coin, cuvent leur première raclée, Bettina, soucieuse de sa tenue, rajuste ses jarretelles, un peu détendues sous les furieux rebondissement des fesses de Clodinet sur ses cuisses.

    Je sermonne encore nos pénitents avec autorité:
    - «Nous passons au boudoir. Quand nous reviendrons dans le salon, je veux vous voir tous les deux en position sur vos chaises à fessées, déculottés, slip aux cuisses, les fesses bien exposées, en attente des fessées. Je veux voir des fesses, dociles prêtes à claquer immédiatement!» 

    Bettina, n’est pas en reste. Elle est  à côté de moi, perchée sur ses quinze centimètres de talons aiguille… comme les miens. Elle en impose aussi.
    - «Et on veut voir les martinets à portée de main, accrochés au dossier des chaises! Et on prépare ses fesses pour la fessée au martinet … C’est compris?»

    Clodinet comme Sacha, les mains plaquées sur leur fesses en feu, font, oui, de la tête en murmurant leur approbation entre deux sanglots. Ils n’ont pas le choix.
    Je lance un regard satisfait à Bettina. Son imposant physique dégage une autorité naturelle, une exigence de sévérité. Elle inspire la fessée, au-delà de mes espérances. Ah mes chéris, j’ai trouvé mon alter ego, ma deuxième main claqueuse. Nous sommes complices, partenaires, dans l’exercice de la discipline. C’était déjà le cas avec Patricia, ma fille, en séjour en Angleterre, le royaume de la fessée! Les fesses de ces messieurs n’ont qu’à bien se tenir!

    J’adresse un grand sourire à ma soubrette, qui me le rend en rabattant sa courte jupe après avoir retendu ses jarretelles.
    - «Après le temps des efforts, c’est l’heure du réconfort. Je pense que nous avons bien mérité une petite douceur en récompense de notre belle dépense d’énergie. Que diriez vous chère Bettina  d’un petit Glenlivet pure malt avec quelques toasts, que vous pourriez nous préparer, histoire de refaire le plein d’énergie, pour la suite?»
    - «Avec grand plaisir, Gladys!»
    - «Et moi avec glaçons… je prends toujours des glaçons dans mes whisky, même les meilleurs. Je me moque des rituels de consommation traditionnelles.»

     Eh oui, mes petits, pause fessées, pour reprendre des forces. Il en faut ,pour bien corriger les gros derrières si agréablement endurant de nos punis! 

    La main encore imprégnée de la délicieuse chaleur des fesses de Sacha que je viens de corriger, je m’installe avec Bettina dans mon confortable petit boudoir. On se détend avant la reprise de la séance. Le bruit des glaçons tinte joyeusement dans les verres. Le pur malt est excellent, les toast aussi. Bettina cuisine aussi bien qu’elle fesse. Cette jeune femme a toutes les qualités requises pour me plaire.

    Nous parlons de quoi..., comme par hasard de l’autorité des femmes, de la discipline domestique, nous célébrons les bienfaits de la fessée comme méthode d‘éducation, de discipline. Nous évoquons les fessées à venir, leur durée, la fréquence des séances. Un rythme de fessées quotidien, s’impose naturellement, gage d’efficacité. Nous parlons du déculottage, de la qualité des fessées à la main, comparées à celle avec des instruments… On rit en évaluant l’intensité de rougeur nécessaire des fesses en fonction de l’exigence de sévérité des correction. Bref on discute de nos méthodes et de nos préférences  en matière d’administration des fessées, aussi naturellement que si on échangeait des recettes de cuisine. Et tout cela, à voix suffisamment haute pour que Sacha et Clodinet, en train de préparer leurs fesses dans la pièce à côté, perçoivent distinctement l’objet de notre conversation, histoire de les mettre mentalement en condition. 

    Une demie heure  plus tard, le claquement sec et déterminé de nos talons aiguille sur le carrelage du salon, annonce le retour des fessées ... annoncées plus cuisantes encore que les précédentes. On est sévères ou on ne l’est pas!

     

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    1
    Peter Pan
    Mercredi 18 Octobre 2023 à 09:53

    Bonjour Taaaante-Glaaaaadyssss, 

    -Z'avez lu, les potos ? - Quoi, Pit ? - Ben... Tante Gladys... elle porte des petits slips en nylon noir. Quel scoop ! -  Ben ouais. Je les ai vu Mardi, sur l'étendoir en train de sécher. Et c'était sa boniche... la grosse dondon en jupon... - Ha, la Betty Boop en jarretelles ? - Ouais, Pit. Et t'as encore ta leçon de piano, mercredi, avec la Tantina de Burgos ? - Ouais, Romaric. Mais c'est la cousine, Marie-Sophie, qui m'oblige à y aller. - Et y'aura les deux cousins ? - Surement. J'les ai entendus pleurnicher dans le salon, avec la grosse Betty Boop, mercredi dernier ! - Elle est sympa, la Tantina ? - Madame la Comtesse ? Ca dépend. Ca marche au cordeau avec elle. - Ah bon ? - Elle me fait faire mes gammes avec le martinet posé sur ses genoux.  Et ça m'fout les boules pendant toute la leçon. - J'vois ça d'ici. - L'autre jour, j'ai fait une fausse note et ça a pas trainé : déculotté en travers de ses genoux et la danse du martinet pendant cinq minutes ! quel concerto en chambre ! - Elle devait être à moitié bourrée !!  elle carbure au Loch Gladys 45 ° à ce qui parait !! - Elle a le feu quelque part, après !! Et c'est mon derche qu'a dégusté !! -Tu devrais en parler à ta mère, Pit. - Allez, c'est l'heure. Tchao, les potos ! " Et Peter, en bermuda en velours côtelé à bretelles , tire sur ses longues chaussettes , et prenant un bonne bouffée d'air pur, sonne à la porte de l'immeuble... "J'vais en recevoir une bonne avec les deux cousins en même temps. Ca va encore être ma fête ! j'le sens ! Mamma mia !".

    Peter.

    2
    ramina
    Mercredi 18 Octobre 2023 à 12:49

    C'est cela... , bonjour Peteeeeeerrrr, le flatteur !

    Manque pas de culot celui là ! Alors comme ça, petit voyeur, on reluque ma lingerie fine en train de sécher . Et il s'en vante, l'inconscient. C'est très bien,  comme ça, je saurai tout de suite qui devra préparer ses fesses s'il me manque un slip ou un porte jarretelles ... Fétichiste !  Et vicieux avec ça , comme certainement de mater les fesses de Bettina pendant qu'elle accroche le linge sur l'étendoir . Il faut dire qu'elle sait en jouer de manière provocante ...l'impertinente ! Mais c'est pas une raison pour essayer de voir la couleur de sa petite culotte !  Parce qu'en plus, ça ne lui suffit pas de collectionner mes petits slips de nylon  , le voila qui collectionne les fessées pendant ses leçons de piano . Des leçons de piano, voyez vous ça... aussi peu doué qu'il est ! Pourquoi pas de la cornemuse ... ça irait bien avec son kilt !  Mais je lui apprends à connaître ma musique et le sens du rythme . Pas besoin de métronome, le martinet  est tout aussi efficace pour battre la mesure sur ses fesses.  Je t'en foutrai moi des leçons de piano à queue ! Parce que je ne suis pas dupe , tout ça pour passer du temps sur mes cuisses...pervers pépère !    Tante Gladys



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