• Une matinée de pluie chez Marinette

    A partir d'un texte récupéré sur Internet, que je voulais juste adapter à mes fétichismes, je suis allé beaucoup plus loin…


     Une matinée de pluie chez Marinette

    J'avais bavardé longtemps, sur Internet, avec cette Marinette, rencontrée sur un site tout à fait "normal", nous avions échangé sur nos goûts et, par deux fois, nous avions même discuté en webcam. Après des mois et des mois de conversations, coquines ou amicales, cochonnes parfois, sur son incontinence, sur mes goûts dans ce domaine, le temps de la rencontre était arrivé.

    J'allais chez elle, une maison en bordure d'un petit village. Comme nous en avions convenu, j'avais mis un change complet, un pantalon confortable, une chemise, une veste. Evidemment je n'avais pas fait ni pipi ni caca, surtout qu'elle me l'avait interdit. J'avais roulé une bonne heure, sous une pluie constante, avant d'arriver chez elle, en début de matinée.


    Le portail était ouvert, je rentre et gare ma voiture à côté d'une autre, la sienne certainement. Je n'ai pas eu besoin de sonner que déjà la porte s'ouvre.

    Marinette m'ouvre, c'est la femme mûre, bien mûre, que j'avais vu en webcam, assez forte, quelques rides, souriante. Mais au lieu de l'allure plutôt coquette que je lui avais vue en webcam, c'est une ménagère rustique qui m'accueille, comme prévu, disons, une blouse boutonnée devant, rose, un fichu à carreaux sur les cheveux (ils étaient gris et courts, dans nos webcam), des pantoufles aux pieds.

    Nous nous embrassons sur les joues, comme de vieilles connaissances.
    - Bonjour Julien, rentre, tu veux boire un café?
    - Oui, volontiers.
    - Je le prépare dans la cuisine. Pendant ce temps, rentre dans le petit salon, enlève tes vêtements et mets ce que je t'ai préparé. Ensuite, tu me rejoins dans la cuisine.

    Le petit salon est coquet, mais on sent bien que ce n'est pas une pièce à vivre, qu'il sert rarement. Sur la table, une blouse, un fichu comme celui de Marinette, des pantoufles de femme. Sur les dossiers des chaises, des cintres. De toute évidence, les cintres sont pour mon pantalon, ma chemise et ma veste, je les enlève, les pose bien proprement sur les cintres, que j'accroche aux dossiers, j'enlève mes chaussettes, je reste dans mon change complet. Je mets les pantoufles, j'enfile la blouse, c'est une blouse de femme, rose à carreaux vichy, boutonnée dans le dos. Je boutonne deux ou trois boutons en bas, je l'enfile, je boutonne le haut, mais un bouton me résiste, je le laisse. Je noue le fichu sur mes cheveux. Je me regarde dans une glace au mur. J'ai l'air ridicule, vraiment. Mais cette sensation me plait. Je passe dans la cuisine.

    C'est une grande cuisine campagnarde, à l'ancienne, Marinette est assise devant la grande table, une cafetière, deux tasses, le sucrier, des biscuits dans une assiette. Elle sourit en voyant ma tenue, sans rien dire, me fait pivoter sur moi-même pour jouir du spectacle, ajuste maternellement les deux derniers boutons.

    Nous buvons le café en bavardant agréablement, de nos échanges passés, du temps qu'il fait, du trajet que j'ai fait pour venir. Deux tasses de café y passent, puis, n'y pouvant plus tenir, je demande:
    - On y va?
    - Oui, si tu veux, si tu te sens bien avec moi.
    - On fait tout ce dont on a parlé?
    - On va voir, on va essayer.

    Tendrement, je me penche, je prends sa main et je l'embrasse. Marinette sourit:
    - Lèves-toi que je vérifie l'état de ta couche.

    Elle retrousse ma blouse de fille et évidemment ma couche trempée apparaît devant ses yeux.
    - Tiens ta blouse retroussée et apporte-moi le tablier de caoutchouc.

    Elle me désigne du doigt un grand tablier de caoutchouc blanc pendu au mur. Je vais le chercher, tenant ma blouse retroussée, tant bien que mal, et le lui rapporte. Elle enfile le lien autour du cou, le tablier la couvre largement et descend à ses chevilles, elle noue la ceinture, faisant un tour complet de sa taille imposante pour faire le noeud devant.

    Elle se rassoit, me penche en travers de ses genoux et commence à me donner une fessée au-dessus de ma couche et sur mes cuisses. Surpris, je me débats. Après avoir reçu une vingtaine de claques sur les fesses et les cuisses, elle me dit de me remettre debout, mains sur la tête, ce que je fais, laissant retomber ma blouse. Elle m'envoie nez contre le mur, là où sont pendus les torchons. Je remarque avec inquiétude que, à côté des torchons, est pendu un martinet.
    - A genoux, reste les mains sur la tête.

    Au bout de dix minutes, je dois venir à genoux près d'elle, toujours les mains sur la tête. Evidemment je commençais à me dandiner, car j'avais encore envie de faire un gros pipi. Mais je ne voulais pas lui demander par honte.

    Elle me fait mettre debout devant elle:
    - Fais pipi dans ta couche, là, maintenant, tout de suite.

    Comme j'hésite, je la voie prendre une sorte de bouilloire, remplir un grand verre et le tendre vers mes lèvres. Elle l'incline pour me le faire boire, c'est une sorte de tisane, qui a bon goût d'ailleurs, encore tiède:
    - J'en ai fait plusieurs litres, ça va nous servir. Avec ça, mon petit, tu feras pipi, crois-moi.

    Elle me caresse par dessus la couche, et je me lâche, honteusement, pendant qu'elle vérifie à travers ma blouse que je fais bien un gros pipi. Après avoir fini, elle attend un moment que la couche absorbe bien, relevant ma blouse, me faisant tourner, tapotant dessus gentiment.

    Puis elle me fait à nouveau retrousser ma blouse, heureusement, les mains sur la tête, c'était pénible. Elle prend une nappe en toile cirée qu'elle pose sur une chaise, ouvre ma couche, la défait doucement, la pose sur la chaise protégée par la toile cirée, le côté absorbant, bien sûr, vers le haut. Elle me fait mettre à quatre pattes, le nez dedans. Comme j'hésite un peu, elle appuie sur ma nuque pour que j'aie bien le visage dans mon pipi.

    J'entends des déplacements de choses, comme des meubles, j'entends qu'elle tire une chaise, et je comprends qu'elle s'assied dessus, je sens ses jambes se poser sur moi, une sur mon dos, à hauteur des épaules, l'autre sur ma nuque, me maintenant dans ma couche pisseuse.

    Et elle commence à me donner une fessée avec le martinet sur les fesses et les cuisses.
    Elle fesse lentement, doucement, prenant tout son temps, les fesses, les cuisses, un peu les mollets qui sont sur le carrelage. Pendant qu'elle me fesse, elle me parle doucement, me rappelant les choses cochonnes que nous avons échangé sur Internet. Elle me parle comme on parlerait à un enfant, d'un ton tendre et grondeur, appuyant de temps en temps une phrase d'un coup de martinet plus fort et plus douloureux.

    Je ne peux rien dire, le nez dans mon pipi, heureusement son pied n'appuie pas trop et je peux respirer, je me suis appuyé les bras sur la chaise, devant ma tête, j'ai un peu mal aux genoux sur le carrelage, la douleur des coups de martinet me fait bander, de temps en temps un coup me fait bouger le cul, ce qui l'amuse:
    - Ah, tu tortilles le popotin sous le martinet, mon bébé cochon, j'aime bien la danse du cul.

    La fessée continue, elle prend son temps, c'est douloureux, certes, mais le plus excitant est l'humiliation, être sous sa coupe, sous ses pieds, impuissant, et bander de honte. Puis je sens qu'elle se lève:
    - Reste comme ça, le nez dans ta pisse, gros cochon.

    Je n'ose pas bouger. Les coups de martinet reprennent, sur mes fesses, bien plus fort, je comprends maintenant que, assise, elle ne pouvait pas frapper trop fort mais que maintenant, debout, elle y allait vigoureusement. Cette fois, ça faisait vraiment mal, et je gémissais de douleur dans ma couche pisseuse.

    Puis les coups s'arrêtent, un instant de soulagement. Elle me fait lever la tête de dessus la couche, vient devant moi, elle a toujours son grand tablier de caoutchouc. Avec un torchon, elle essuie mes yeux et le reste de mon visage.
    - Lève-toi, va te voir dans la glace.

    Parmi les choses que je l'avais entendu déplacer, il y avait un miroir sur pied, le genre cadre en bois qui bascule. Elle me prend par la main, ma blouse retombe sur mes jambes, me fait faire quelque pas jusqu'au miroir, me fait tourner le dos à celui-ci. Elle se met en face de moi avec un miroir plus petit, pour que je vois le grand miroir derrière.
    - Trousse-toi, vilain garnement, trousse ta blouse.

    Je me vois de dos, dans la miroir, enfin, je sais que c'est moi, mais je vois juste une blouse vichy rose boutonnée dans le dos et un fichu qui cache mes cheveux. Je vois aussi Marinette, en blouse et grand tablier de caoutchouc, le martinet passé à la ceinture du tablier, qui me tend le miroir. Je trousse doucement ma blouse, et je vois les marques des lanières, légères mais bien visibles, sur mes mollets, mes cuisses, et, sur mes fesses, une rougeur uniforme. La même rougeur monte à mes joues.
    - Dis moi merci, vilain garnement.
    - Merci Marinette.
    - Merci pourquoi?
    - Merci pour le martinet, Marinette.

    Puis elle me tourne face au miroir, et je vois mon visage sous le fichu, la blouse rose, un peu humide devant, je suis ridicule, j'ai honte, je suis prêt à pleur de honte. Marinette m'embrasse tendrement dans le cou.
    - Tu as honte, et tu aimes ça, c'est bien d'avoir honte avec moi, mon bébé. Mets toi à genoux, mains dans le dos.

    Je m'agenouille devant le grand miroir, c'est encore plus honteux que d'être debout mais, je dois le dire, j'aime ça. Marinette m'attache les poignets dans le dos avec la ceinture de ma blouse et avec un torchon. Au moins, elle ne m'imposera plus les mains sur la tête.

    Dans le miroir, je la vois s'activer derrière moi. Le torchon avec lequel elle m'avait essuyé le visage, je la vois le presser dans ma couche qui est restée sur la chaise, pour bien le mouiller. Elle fait ça à mains nues, de toute évidence le pipi ne la dégoûte pas. Elle revient avec le torchon, en fait une boule, me fait ouvrir la bouche, me le met dedans. Non seulement c'est trempé de pipi, le mien, mais bon, du pipi quand même, mais en plus ça me gêne, ça me remplir la bouche. Elle fait tenir ce bâillon avec un autre torchon qu'elle serre derrière ma nuque.

    Puis elle va cherche un paillasson en plastique, me fait me reculer, le pose devant le miroir, me fait avancer pour que je m'agenouille dessus. Au début, je pense que c'est gentil de sa part, que c'est plus souple que le carrelage. Oui, certes, mais les petits picots du plastique sont douloureux, enfin, pas vraiment, mais ça gratte, ça irrite. Je la regarde d'un air pitoyable, elle comprend, et elle me dit:
    - Et si je te faisais asseoir dessus avec ton cul tout rouge, ce serait pire, mon bébé.

    Pour rendre plus pénible encore cette sorte de piquet, elle mis entre mes genoux, par terre, un minuteur de cuisine mécanique qu'elle remonta, sans me dire combien de temps elle mettait. J'entendais son tic-tac, mais je ne pouvais pas savoir combien de temps j'allais rester.

    Marinette enleva son tablier et vaqua à ses occupations. Je la voyais du coin de l'oeil; je l'ai vue, aussi, boire un grand verre de sa tisane. Il est bien évident que si elle m'avait mis au piquet devant un miroir, c'était pour ma honte, et que je devais me regarder, et pas tourner la tête. De toute façon, comme j'étais placé, même en tournant la tête, je n'aurais pas vu grand chose.

    A genoux, les genoux et les mollets torturés par le paillasson de plastique, les fesses et les cuisses cuisantes, je méditais sur ma situation.

    Est-ce que la rencontre correspondait à ce que j'espérais? Oui, Marinette était tout à fait mon genre, et elle jouait, au moins pour le moment, le rôle prévu dans nos échanges. Mais j'avais plus mal que ce que je croyais, pas trop mal, non, mais disons que la séance de soumission était, vraiment, de la soumission, pas un jeu inoffensif. Pour l'instant, le jeu n'était pas très sale, et le goût de mon pipi, je le connaissais, même si je n'avais jamais eu l'idée de ma bâillonner avec un torchon pisseux roulé en boule.C'était mon deuxième piquet mais je n'étais pas abandonné, je sentais la présence de Marinette, de temps en temps elle disait "Ça va, bébé?" sachant très bien que je ne pouvais pas répondre. Mais elle me surveillait du coin de l'oeil.

    J'avais envie de faire caca. Il avait été convenu que je devais arriver chez Marinette sans avoir fait pipi ni caca. Je m'étais donc retenu depuis quelques heures avant mon départ. Quand j'étais arrivé, j'avais un peu envie et de pipi et de caca, mais en ayant fait abondamment pipi, la pression sur mon rectum s'était relâchée. Là, elle remontait. Je me tortillait un peu, mais il fallait me retenir, je n'avais pas de couche, j'étais nu sous ma blouse. Je pourrais, certes, attirer l'attention de Marinette, mais alors, je ne respectais pas le piquet qu'elle m'avait infligé. Il ne me restait qu'à attendre. Est-ce que j'allais tenir?

    J'en étais là dans mes réflexions, quand le minuteur sonna. Enfin! la punition était finie!

    Marinette arriva, sans son tablier, mais le martinet à la main. Elle troussa ma blouse sur mon cul, la faisant tenir avec une épingle à linge, et me donna une bonne vingtaine de coups de martinet, tranquillement, avant de laisser retomber ma blouse, de prendre le minuteur entre mes genoux, le remonter et me laisser devant le miroir, sans autre changement que d'avoir le cul plus chaud qu'avant:
    - Encore un peu d'attente, vilain garnement, mais dis-moi, comment allons nous faire pour ton caca?

    J'étais bâillonné, bien incapable de lui répondre, et je le savais bien…
    - Qu'est-ce que je vais faire de toi? Te mettre sur le pot? Te donner un lavement? Te mettre des suppositoires de glycérine? Qu'en penses-tu?

    Je ne pouvais rien dire, mais j'aurais préféré le pot, bien sûr. Mais, quand, après quelques minutes seulement, le minuteur sonna à nouveau, j'ai compris que son choix était fait.

    Elle avait mis au centre de la cuisine une grande bassine de tôle, le genre vraiment ancien. Elle me fait me lever du paillasson de punition, en m'aidant à me relever, j'étais un peu ankylosé. Elle détacha mes mains, et je dus me mettre à quatre pattes, les genoux dans la bassine, les mains par terre à l'extérieur.

    Une fois à quatre pattes, elle remit son grand tablier de caoutchouc, elle m'écarta bien les genoux, mouilla un torchon à l'eau tiède et commença à me laver les fesses, puis le sexe. C'était doux, c'était bon, et je bandais. Quand elle cessa de me nettoyer, je sentis quelque chose forcer ma rondelle et je sentis l'eau d'un lavement se répandre dans mon petit cul.

    Je voulais lui dire d'arrêter, mais j'étais toujours bâillonné. Je grognais en signe de protestation, je reçu pour simple réponse deux très fortes claques sur mes fesses tendues.
    Elle me dit :
    - Tu vas le garder un moment, je ne t'ai mis qu'un litre. Comme tu te retiens de faire caca depuis un bon moment, tu es sûrement constipé, ça t'aidera à faire sortir.

    Mon ventre me tire et est tendu par ce lavement, qui vient s'ajouter au contenu de mes entrailles. Je serre mes fesses, heureusement, je suis à quatre pattes et c'est mon ventre qui descend, c'est plus facile.

    Quelques minutes après, elle m'autorise à me vider, plaçant une petite cuvette de plastique entre mes cuisses écartées. Je me lâche dans un gargouillis d'eau et de pets, dont je sens l'odeur, mais de toute évidence, ça ne la gène pas.

    Elle pose la cuvette devant moi, que je puisse bien voir le liquide marron, qui sans doute n'a pas fait entièrement sortir le contenu de mon rectum. Quelques claques sur les fesses, et je sans à nouveau la canule qui me pénètre et le liquide qui m'envahit, pendant plus longtemps, ou plus vite, enfin, je sens que je suis plus rempli que la première fois.

    Elle me fait me lever, me fait trousser ma blouse et me remet ma couche, encore trempé de mon pipi, qui est tout froid. Elle enlève mon bâillon, et me dit :
    - Viens, on va faire une promenade.
    - Où ça? Il pleut…
    - Justement on va marcher dans le bois, il n'y aura personne.
    - Non, s'il te plait...

    Je reçois une paire de gifles, pas méchantes, non, juste pour me rappeler que je n'ai qu'à obéir.

    Elle me tend une paire de bottes de caoutchouc, se baisse pour m'aider à les mettre à la place de mes pantoufles, et me tend ensuite une longue pèlerine de caoutchouc, sans manches, avec des fentes sur le côté pour les mains, et une capuche. Elle la rabat sur ma tête, me montre comment je suis dans le miroir. On ne voit ni ma coiffe, ni ma blouse, juste les bottes sous la longue pèlerine. En une minute, elle enfile aussi des bottes de caoutchouc, un imperméable long avec capuche, me fait boire un grand verre de tisane, fait de même, et nous voici dehors.

    Mon ventre commence déjà à me faire souffrir, nous sortons par l'arrière du petit jardin, la forêt est à quelques dizaines de mètres. Il pleut doucement, les odeurs de la campagne sont délicieuses. Marinette passe la main dans la fente de ma pèlerine, me la fait sortir, et nous marchons mains dans la main, dans un large sentier sous les arbres.

    En marchant quelques gouttes s'échappent dans ma couche, mais je me retiens au maximum. Evidemment, en marchant, il est difficile de me retenir, mais je fais tout ce que je peux. Nous sommes seuls dans le sous-bois mouillé, c'est délicieusement tendre. J'ai peur d'être surpris mais, si quelqu'un nous croisait, il ne verrait qu'un couple qui se promène sous la pluie, bien protégé. Nous échangeons quelques mots, sur notre promenade, la beauté de la forêt sous la pluie.

    Arrivé dans une clairière, nous nous asseyons sur un tronc d'arbre couché. Je sens la couche qui rend son humidité. Marinette tire d'une poche de son imperméable un biberon:
    - Tiens, mon bébé, bois tout.

    Comme j'ai les mains sous la pèlerine, une seule sortie par la fente, c'est elle qui me fait boire le biberon, c'est tiède et sucré, une tisane aussi, sans doute, mais dans du lait, il faut que je me presse pour avaler, parce qu'elle l'incline pour qu'il se vide vite. Je bois tout, elle range le biberon, nous nous levons. Je ne sais pas si c'est la boisson ou le changement de position, mais je me vide dans ma couche. J'ai honte, j'ai surtout peur des fuites et du bruit, mais après tout, qui pourrait m'entendre gargouiller et péter, dans cette forêt déserte, sous la fine pluie.
    Marinette me dit :
    - Viens, on rentre à la maison pour que je te change.

    Une fois la porte ouverte, nous enlevons les imperméables mouillés, pendus au patères, et nous enlevons les bottes pour remettre les pantoufles. Marinette s'assieds, me fait m'agenouiller devant elle, et je dois lui lécher les pieds, qui sentent la transpiration et le caoutchouc.

    Elle remet son tablier de caoutchouc, me fait trousser ma blouse, enlève ma couche, lourde du lavement que j'ai rendu, avec dedans du caca mou, mais à peine ai-je enlevé la couche qu'il faut qu'elle me tende la bassine pour que je rende dedans le reste du lavement. Je rougis d'humiliation, elle rougit de plaisir de me voir ainsi humilié. Elle étale vite une nappe en toile cirée par terre, me fait coucher dessus et, avec un torchon, me nettoie grossièrement, en me branlant doucement. Je gémis de plaisir, je lui dit des mots tendres, elle me répond sur le même ton, elle branle doucement, excitant et retenant à sa guise, jusqu'à me faire jouir sous ses doigts.

    Une fois remis de mon orgasme, je prends le jeu en main. Dehors, il pleuvait toujours, une pluie fine, qui donnait envie de rester bien au chaud.

    Comme j'ai compris que Marinette aimait ça, je garde la tenue qu'elle m'a imposée, la blouse de femme boutonnée dans le dos, avec le fichu. Je dois dire que cette tenue m'excite aussi.

    Je veux vérifier si elle porte aussi une couche et dans quel état elle se trouve. Je me plaque donc contre elle, collé à sa grosse poitrine molle, blouse contre blouse, je l'embrasse tendrement, puis plus goulument, et mes mains descendent vers ses fesses. En effet, sous la blouse ample, je sens la couche que, jusqu'à présent, je faisais que deviner.

    Je remarque que sa couche est vraiment lourde, épaisse, elle doit être très sale. Je le caresse à travers sa blouse, puis je retrousse cette dernière pour voir sa couche, dans le grand miroir derrière elle. Marinette, au naturel, a certainement un cul imposant, mais la couche le grossit encore. J'attrape son grand tablier en caoutchouc qui était sur la table, je le mets et le noue comme elle, je m'assieds, puis je la penche en travers de mes genoux.

    Je trousse sa blouse au bas du dos, baisse sa couche aux genoux. Elle est lourde et trempée, elle a bien absorbé sa pisse, dont l'odeur me montre aux narines. Son cul est gros, un peu mou, avec de la cellulite, à peine mouillé.  Je commence à lui donner la fessée qu'elle mérite. Il ne s'agit pas pour moi de me venger de ce quelle m'a fait, non, mais d'applique le principe bien connu "couche mouillée, c'est la fessée".

    Je lui claque donc le cul, en espérant qu'elle ne le bouge pas trop, parce qu'elle est bien grosse et que si elle danse du cul, j'aurai du mal à la maintenir sur mes genoux. Après lui avoir rosi les fesses, je suce mon index et en plus de la fessée je lui stimule sa petite rondelle. Mon doigt rentre facilement et, à l'intérieur, je sens son caca qui ne demande qu'à sortir. Mais ce n'est pas le moment. Je lui enlève sa couche, je la fais se mettre par terre sur la toile cirée, sur le dos. Je pose sa couche pisseuse sur son visage, j'écarte ses cuisses et je me mets à la gougnotter.

    Elle est entièrement épilée, ses lèvres sont charnues, sa moule sent la pisse et la sueur, et je m'applique, à grand coups de langue, à la faire jouir, aussi lentement que ce que, tout à l'heure, elle m'a branlé. Quand je sens qu'elle commence à mouiller, je descend pour lui lécher le trou du cul, et darder ma langue à l'intérieur. Le goût acre du caca qui va sortir me confirme qu'elle a envie, je lèche bien pour décontracter et, au premier pet, je reviens sur sa moule, suçant le clitoris, mettant ma langue le plus loin possible, jusqu'à ce qu'elle jouisse, avec des gémissement étouffés par la couche qu'elle a sur le visage.

    Je lui demandai de se mettre à plat ventre, en gardant le nez dans sa couche. J'écartai ses grosses fesses, je léchais encore son trou du cul et sa raie en sueur, puis, prenant le martinet:
    - Maintenant, Marinette, je vais te donner le martinet, tu vas compter chaque coup, et me dire merci après chacun d'entre eux.

    Et je commençais à lui faire sentir les lanières du martinet de bazar, sur les fesses, les cuisses, les mollets, et à chaque coup elle comptait et me remerciait.

    Lassé de la voir à plat ventre, je lui ordonnai de se mettre à quatre pattes. Je maintiens sa blouse retroussée avec une épingle à linge, je ramasse la couche pisseuse par terre, je la lui présente:
    - Ne t'en fais pas, tu vas la garder, tu n'es pas quitte pour autant de garder la figure dans ta pisse, grosse salope.

    Je prends un torchon, je le passe sous la couche, je le noue sur sa nuque. Un deuxième pour que ça tienne mieux. J'ai devant moi une grosse vieille, le cul déjà rouge, la blouse sur les reins, la tête dans une couche.

    Je la fais marcher à quatre pattes, en aveugle, la guidant pour qu'elle ne se fasse pas mal en heurtant un meuble, toujours en lui cinglant son gros fessier au martinet. La cuisine était grande, je lui en fis faire plusieurs fois le tour.

    Il me fallut une bonne centaine de coups pour arriver à lui donner la teinte que je voulais, et à la faire gémir sous le martinet comme elle avait gémit sous ma langue.

    Je la fis se relever, en l'aidant, bien sûr, elle était d'une agréable lourdeur.
    - Mains sur la tête, Marinette!

    Elle s'exécuta et resta debout. Je vérifiais bien que les deux torchons tenaient bien la couche, qu'elle n'avait pas bougé. J'appuyais un peu, la collant sur son visage, en prenant bien soin de ne pas  l'empêcher de respirer. Je pris le paillasson de plastique sur lequel elle m'avait fait agenouiller, je le posai sur la chaise. Et, prenant Marinette par la main, troussant sa blouse sur ses grosses fesses, je la fit asseoir sur le paillasson:
    - Quand j'étais à genoux dessus, tu m'as dit que c'était bon pour les fesses, aussi, non?

    Elle s'assoit, sans rien dire, remarquez, il est difficile d'articuler quand on a sur le visage une couche pleine de pisse, tenue par deux torchons. Son cul est maintenant bien étalé, large, sur le paillasson. Je prends un torchon, je lui attache les mains dans le dos, à la traverse de la chaise, et, avec deux autres, les chevilles aux pieds. Je ne serre pas, il s'agit juste qu'elle comprenne qu'elle est immobilisée.

    J'en profite pour déboutonner entièrement sa blouse. Je l'ouvre sur ses nichons, ils sont très gros, mous, ils tombent, ils ont quelques vergetures, les grossesses et les allaitements, sans doute. Son ventre fait des bourrelets, il a des vergetures aussi, j'ai devant moi une grosse femme très mûre, et je dois dire que j'aime son physique, c'est ce que je recherchais. Je caresse ses nichons, je les tripotes, les soupèse, les fait retomber, je caresse aussi son ventre, je remonte les mains sur ses flancs, ça la chatouille un peu. Elle se tortille sur le paillasson, ça doit la piquer, l'irriter, c'est fait pour ça. Je ne touche pas sa moule, pour ne pas l'exciter trop, je descend lui caresser les cuisses, les mollets. Arrivé aux pieds, j'enlève ses pantoufles et je chatouille doucement. Elle se tortille encore plus, j'imagine que la paillasson est un supplice, enfin, un petit supplice.
    - Tu as mal aux fesses, Marinette? Veux-tu que j'enlève ta couche de ton visage, ma grosse?

    J'entends une réponse étouffée, qui me semble affirmative. Comme nos jeux sont certes sales et bizarres, mais pas sadique, je ne veux pas qu'elle s'étouffe, et je dénoue les torchons. J'enlève sa couche, son visage est humide de sa pisse, mais toujours rond et aimable, avec juste quelques traces de souffrance quand elle bouge son cul. Je lui souris, elle me sourit. Que faire de la couche pisseuse que je tiens en main? Je la pose sur ses nichons, le côté humide sur la peau, bien sûr, ses nichons sont assez vastes pour l'accueillir, et elle ne glisse pas. Elle me dit:
    - Merci mon chéri, je commençais à étouffer dans ma pisse, regarde, je suis toute dégoûtante, non?

    Pour lui prouver qu'elle ne me dégoûte pas, loin de là, je m'assois sur ses cuisses, blouse retroussée. Je sais que je pèse sur ses fesses qui frottent le paillasson, c'est un peu exprès.

    Je me penche vers son visage, et je commence à le lécher. Je commence par ses yeux, le pipi ne pouvant que les irriter, et je lèche les paupières qu'elle ferme, les sourcils. J'aime le goût du pipi, et le goût du sien, avec celui d'un peu de sueur, est bien agréable. Je descend, je lèche ses joues rondes, et je rentre même la pointe de la langue dans ses narines. Elle se laisse faire, est-ce la langue dans ses narines qui la fait moucher un peu, ou fait-elle exprès? En tout cas, comme j'aime la morve aussi bien que la pisse, je nettoie ce peu de morvelle avec le plus grand plaisir. Après avoir tout bien léché, je l'embrasse goulument sur la bouche, je rentre ma langue, je fouille sa bouche, elle fouille la mienne. Ce n'est pas un tendre baiser, ni un baiser fougueux, c'est une profonde salade de museau, et, avec tout ce que j'ai léché sur elle, c'est un palot glaireux dont nous nous régalons tous les deux.

    Pendant que je l'embrassais, je me pressais contre elle, et la couche pisseuse qui était sur ses nichons coulait dessus. Je la pressais bien sur ses grosses tétasses, pour que tout coule sur son ventre, ses cuisses. Oh, il n'y avait pas grand chose, mais de quoi la mouiller un peu.

    J'enlevais la couche, je m'agenouillais devant Marinette, et je me mis à lécher ses nichons mouillés, dessus, dessous, les soulevant, les tétant. Je léchais la pisse, j'adorais de plus en plus, je continuais sur son ventre, le liquide étant rentré entre les bourrelets, que je devais écarter pour pousser la langue au fond. Tout en léchant, je la caressais sur les côtés, je la chatouillais, ça la faisait glousser de rire et, comme son popotin se tortillait sur la paillasson de torture, ça lui arrachait aussi quelques gémissements.

    Je continuais vers le bas, épargnant sa moule, que je voulais laisser mouillée, et je léchais le peu de pipi qui était allé sur ses cuisses. Je me couchais pour lui lécher les pieds, ils étaient presque secs et, du coup, je les chatouillais en les léchant, provoquant les mêmes rires et les mêmes gémissements.
    - Arrête, Julien, gros cochon, je t'en supplie, je ne sens plus mes fesses. Et puis, il va être l'heure de déjeuner, si tu veux manger, tu dois me détacher.

    Devant cette logique féminine, je ne peux rien faire d'autre qu'obéir. Je détache ses chevilles, puisque je suis à ses pieds, puis ses mains. Elle se lève en se frottant les fesses, et, très vite, rabaisse sa blouse et la reboutonne devant. Comme elle est encore pisseuse, malgré mes léchouilles, le tissu de coton se mouille un peu, mais ça ne la gène pas. Elle va chercher un tablier de cuisine, blanc, les bretelles de la bavette croisées dans le dos, l'enfile, et m'en tends un autre, identique:
    - Tiens, mets ce tablier, tu vas faire la Julie et m'aider.

    Je ne demande pas mieux que de descendre d'un cran de plus dans le ridicule en mettant, sur ma blouse boutonnée dans le dos, ce tablier de femme, et elle m'aide à le mettre.

    Je veux quand même voir ses fesses, et je trousse sa blouse. Son cul est bien rouge, rouge du martinet, tout irrité, en plus, par la station sur le paillasson de crin. Rouge, gros, un peu moi, cellulitique, très excitant. Je penche Marinette sur le bord de la table de cuisine et, laissant sa blouse remontée, je m'agenouille derrière elle pour embrasser ses fesses, encadrées par les pans du tablier. Elle se laisse faire, retenant sa blouse sur ses reins.

    Je lui embrasse et lui lèche les fesses, pour mettre un peu de douceur là où je lui ait fait mal. Puis je rentre la langue dans la raie culière, humide et odorante, et je descend sur son trou du cul, que je lèche en écartant les fesses.  A force de le lécher délicatement, il arrive ce qu'il doit arriver, et elle me lâche un pet sur la figure.
    - Oh, excuse moi mon chéri, je fais la cochonne…
    - Je croyais que tu m'appelais Julie depuis que tu me fais porter un tablier comme le tien.
    - Oui, tu as raison, pardonne-moi Julie.
    - Tu sais, Marinette, il n'y a rien à pardonner, j'adore les pets, je veux dire tes pets.
    - Ça tombe bien, j'ai fait des haricots avec de la saucisse à manger, pour péter tout l'après-midi.
    - En attendant, veux-tu faire quelque chose de vraiment sale?

    A la manière dont son cul se trémoussait, j'ai compris qu'elle était excitée, mais qu'il lui était difficile d'en parler comme ça, elle ne me voyant pas, et moi ne voyant que son cul. Je me levais, l'embrassais sur la bouche, et la laissais, pendant cinq minutes, s'activer à la préparation de notre repas. En tablier de femme comme elle, je l'aidais à mettre les haricots à mijoter. Pendant qu'elle les mettait à feu doux, je me collais contre elle, par derrière, ma saucisse bandante contre son cul, empoignant ses nichons, et je l'embrassais dans le cou.
    - Alors, Marinette, on fait quelque chose de vraiment sale?
    - Oh oui…

    Je lui expliquai ce dont j'avais envie:
    - Je veux te voir chier devant moi, Marinette
    - Faire caca?
    - Non, faire caca, c'est dans la couche, comme faire pipi. Chier, comme pisser, c'est sans la couche. J'ai bien senti, en te léchant la rosette, que tu en avais envie.

    Marinette ne disait rien, de toute évidence, l'idée lui plaisait, mais elle avait du mal à en parler. Je la guidais donc, et, d'abord, je la fis monter sur la table de la cuisine. C'était une grande table rustique, en bois massif, recouverte d'une toile cirée à carreaux vichy rouge. Elle monta sur la chaise, puis sur la table, et je la fis s'accroupir, pas trop loin du bord. Puis j'allai prendre le grand miroir sur pied, et je le mis en face d'elle, un peu sur le côté, et la chaise un peu de l'autre. Elle était accroupie, le tablier cachant toutes ses jambes. Avec des épingles à linge, je retroussais sa blouse derrière, son tablier et sa blouse devant, sur son ventre. On voyait maintenant ses cuisses et sa moule grasse et charnue. Elle même se voyait dans le miroir, c'était excitant et pour elle, et pour moi. Je plaçais près de la table, à côté d'elle, une chaise, pour qu'elle puisse appuyer un bras sur le dossier, et donc rester accroupie sans trop d'effort. Je fis pareil de l'autre côté, elle était donc accroupie, bras écartés, c'était très excitant. Je pris une assiette dans le buffet et je la posai entre ses cuisses. Elle me dit:
    - Quand je pousse, je pisse aussi, met un grand bol, on ne sait jamais.

    Quelle ménagère précautionneuse! Je pris un bol assorti, je le plaçai au bon endroit. Je la vit se concentrer, pousser un peu. Il en sortit quelques pets, et un petit jet de pisse qui tomba juste dans le bol. Je rapprochai la chaise pour sentir la bonne odeur de la pisse chaude. Je vis sa rosette brune se contracter, puis se dilater, et un petit bout de merde poindre, puis revenir en arrière. Elle poussa encore, elle était accroupie à une quinzaine de centimètres au dessus de l'assiette, dans une position pas très confortable, je pense.

    Je vis pointer un bout de merde, qui rentra aussitôt, puis qui ressortit. C'était un bel étron, marron, ni trop clair ni trop foncé, de bonne consistance. Il sortait doucement, pendouillait un peu au-dessus de l'assiette. Marinette se regardait dans le miroir, très amusée, et moi j'étais fasciné par cet étron qui sortait. Il toucha l'assiette, Marinette se releva un peu, mais l'étron se casse et tomba dans l'assiette, avec un petit bout qui dépassait dehors. Je lui dit:
    - Merci Marinette, c'est splendide, j'adore te voir chier. Tu es belle quand tu chies.
    - Attends, je n'ai pas fin, il en vient un autre.

    Et, comme le premier, même couleur, même consistance, Marinette, souriante, chie un deuxième étron sous mes yeux.

    La position accroupie sur la table lui est incommode, je le vois bien, je l'aide à la quitter, à descendre de la table, elle rajuste sa blouse et son tablier. J'ai devant moi une grosse ménagère, bien différente de la salope impudique qui chiait à l'instant. Il ne reste, sur la table, qu'un bol de pisse et une assiette contenant les deux étrons. Je prends l'assiette, je la pose sur un torchon étalé sur une chaise, et je m'agenouille devant, faisant signe à Marinette de faire pareil de l'autre côté de l'assiette. Je me penche, je renifle la bonne odeur de merde, Marinette fait pareil et je lui dis:
    - Ça sent bon la campagne, non?
    - Oh oui…
    - Embrassons les étrons…

    Je me penche, j'embrasse du bout des lèvres un étron, puis l'autre. Le goût est acre, mais je le sens à peine, je n'ai fais que poser les lèvres. Marinette fait pareil, mais pour elle, c'est moins, comment, dire, moins sale, moins humiliant que pour moi, puisque c'est sa merde.

    Tous deux agenouillés, nous joignons nos lèvres par dessus l'assiette odorante. Je me penche à nouveau sur les étrons et, au lieu de les embrasser, je donne un coup de langue dessus. Là, le goût se sent bien, et je me sens, vraiment, humble, ridicule, sale, d'embrasser l'étron de Marinette. Elle se penche et fait comme moi, et nous nous embrassons à nouveau. Marinette se lève, prend le bol de pisse, boit un peu, me le tends, je fais pareil.

    Voilà, nous avons, elle et moi, embrassé et léché sa merde et bu sa pisse, nous sommes tout excités, et cette excitation nous donne une faim de loup.

    Marinette se remet à la cuisine pour préparer notre déjeuner, mettant fin, ainsi, à cette matinée pluvieuse et vraiment cochonne.

     

    Et comme le récit se nomme "Une matinée de pluie", et que la matinée est terminée…

     

    FIN

     

    Le récit d'achève là, mais si quelqu'un veut écrire la suite… Le repas, l'après-midi, etc… Je serais heureux de la publier…

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  • Commentaires

    1
    Ramina
    Lundi 5 Septembre 2022 à 13:53

    Hello les furiosos du scato

    Qu'on adhère ou pas, il convient de saluer la franchise, la hardiesses, la totale liberté d'expression de Souillon, pour exposer frontalement, en détails et sans détour, ses étonnants fantasmes . La meilleure façon de lui rendre hommage c'est peut être justement de ne pas proposer de suite à un récit très exhaustif sur le sujet ,  que dire de plus , tout est dit ! Ramina

    2
    clodinette
    Mardi 6 Septembre 2022 à 10:41

    je pense que notre chère Tatie autrice remarquable de ce récit extrème qui m'a beaucoup excite jusqu'à un certaine point ! aurait pu faire décrire à Marinette le repas qu'elle prépare pour le déjeuner ! cela nous aurait remis de nos émotions !

    clodinette



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