• Une affaire de famille, Chapitre 5

    Merci à Ramina pour ce nouveau récit.


    On y retrouve des personnages déjà très actifs dans de précédents récits célébrant les bienfaits de la fessée, punitive et érotique. Tante Gladys bien sûr, dont la réputation de sévérité n'est plus a faire,  comme celle de ses amies, toutes ferventes adeptes inconditionnelles de la fessée. Notamment Edwige la pétulante voisine à l'humeur ravageuse... Patricia, digne fille de sa mère, Arnold son fiancé anglais, Bettina, la vicieuse soubrette, Edouard le mari soumis, et un petit nouveau, le cousin Peter... soi même!  A force de réclamer de se faire rougir le derrière, il a fini par se retrouver dans l'histoire ... et quelle histoire... ça claque sec! Bonne lecture aux amateurs de femmes sévères... très sévères!


     

    UNE AFFAIRE DE FAMILLE

    Chapitre 5: Cuisantes fessées en double

    Une co-production Ramina /Peter Pan

     

    Concentrée sur Patricia allongée en attente de sa fessée sur les genoux d’Edwige, Gladys ne prête pas encore trop attention à l’arrivée de Bettina, tenant à bout de bras, par l’oreille, son neveu Peter, gesticulant en protestant avec véhémence et sa mauvaise foi habituelle.
    -- «Que c’est pas lui… qu’il a rien fait! Que c’est pas juste, qu’on s’en prend toujours à ses fesses fragiles!!… Que tout le monde elles sont moches, que tout le monde elles sont méchantes!… Toutes elles en veulent à mes fesses fragiles!»

    Le petit voyeur, de quarante deux ans, pris, pratiquement, la main dans le slip, à s’exciter comme un adolescent en chaleur, devant la fessée déculottée de sa cousine, ne recule devant aucune flatterie et autres subterfuges, pour nier l’évidence.
    -- «Que c’est pas sa faute si Patricia a de trop belles fesses… aussi comme celles de Bettina… qu’elles sont trop sévères avec lui... et qu’elles aiment trop flanquer des fessées… qu’elles fessent bien , mais trop fort, pour un oui pour un non! Comme sa tante qu’arrête pas de le déculotter pour lui claquer le derrière et le punir injustement…»

    Relevé fermement, par l’oreille, sous la poigne de Bettina, le braillard impénitent, poussé par une trouille bleue de l’inévitable fessée qui l’attend, essaye encore d’emberlificoter.
    -- «Aïe, aïe, Ouaaaaïe!!! Vilaine, mégère, vous me tordez l’oreille!! J’ai rien fait de mal!! C’est pas moi, la fessée c’est pour Patricia… pas moi, s’il vous plaît… pas juste, pas juste!!!»

    Pour la vicieuse soubrette, c’est une véritable aubaine. Trop heureuse de trouver l’excellent prétexte d’une nouvelle fessée à administrer, elle se moque des pitoyables pleurnicheries de sa future victime, comme de son premier porte-jarretelles. Encore que, ce jour là, ça l’avait vraiment excitée d’enfiler, sa première paire de bas nylon. 

    Pendant que Peter se fait sévèrement sermonner par la soubrette, les dents serrées le regard rivé sur l’imposant derrière de Patricia, Edwige vient de déclencher une magistrale fessée qui éclate avec force et retentit aussitôt joyeusement dans toute la maison. Contraint de suivre le rythme infernal des claquées, le lourd fessier rebondit en cadence sur les cuisses de l’énergique fesseuse qui s’en donne à cœur joie. La correction est sévère, comme elle se plaît à systématiquement les administrer. Patricia la tête dodelinant au ras du carrelage, la bouche grande ouverte, suffoque déjà de douleur à sentir monter la cuisson de ses fesses.
    – «Raaaaaah maman, c'est pas possible!! Ouaiiiiie! Elle fesse trop fort!!» s'égosille la malheureuse. C'est pas une main qu'elle a, c'est un battoir! Ouaaaaaaaiiiiiie! Pitié! Dis-lui de taper moins fort… s’il te plaît!»
    – «Au contraire ma chérie, c’est excellent pour tes grosses fesses, il faut qu’elles en profitent un maximum. Quand on en a une aussi belle paire, il est tout à fait normal de se prendre de solides déculottées comme celle là! Tu devrais pourtant être habituée, toi que j’ai élevée à la fessée!»
    -- «Ouiiii, la fessée! la fessée! C’est bien fait pour elle!! Bien fait pour elle!!» braille Peter dressé sur la pointe des pieds pour essayer d‘atténuer la douleur de son oreille que Bettina continue de tirer vers le haut en le soulevant. Il continue à vitupérer.
    -- «Ouiii, bien fait pour elle!…plus fort la fes...» Bettina le fait taire d’une claque au derrière, à lui faire sauter les boutons de bretelles. Il termine quand même son mot dans un souffle à peine perceptible. « ... sssée!»
    -- «Ça suffit maintenant Peter! Tu ferais mieux de préparer tes fesses au lieu de t’en prendre à celles de ta cousine!»

    La cousine en question finit par craquer, c’est sa deuxième fessée en peu de temps. Elle se lâche en supplication tandis qu’Edwige, insensible à la souffrance qu’elle inflige, continue à lui claquer le derrière avec une féroce énergie.
    – «Nooon, maman, aiiiiie … dis lui de fesser moins fort... ça... ça fait... tr...trop mal!!» Balbutie la jeune femme durement secouée par les formidables claquées qu'Edwige, impitoyable, lui expédie à la volée en s’appliquant à bien les répartir sur toute la surface des fesses.

    Gladys, indifférente à ses supplications, justifie la rigueur de la correction.
    -- «Enfin Patricia, tu pleurniches comme si tu ne savais pas. Une vraie bonne fessée n’est jamais trop sévère, ça doit faire mal, c’est fait pour cuire et rougir les fesses!.. D’ailleurs je vais prendre le relai pour terminer ta punition. Edwige, maintenant que tu les lui as bien chauffées, repasse-les-moi, veux-tu, je vais les finir à la main!»
    -- «C’est toi la maîtresse de maison, c’est-toi-qui-dé-cide...» répond l’intéressée en ponctuant chaque dernier mot d’une claque retentissante en allers et retours d’une fesse à l’autre. «Tu vas te régaler, je te les ai bien préparées, elles sont à point! Je te les reculotte?»
    -- «Oui, bien sûr, tu me les reculottes, le slip bien serré sur les fesses pour entretenir la cuisson. C’est toujours agréable de re-déculotter un derrière, chauffé au rouge d’une récente fessée, pour lui en claquer une autre plus sévère, par dessus.»
    -- «Tout à fait d’accord ma chérie. C’est ce que je n’arrête pas de répéter à Stephen quand je lui flanque plusieurs fessées consécutives. J’ai mis un temps fou et lui ai claqué un nombre appréciable de fessées, avant de lui faire admettre que pour d’obtenir des fesses bien claquantes il faut qu’elles aient été sévèrement préparées par une ou plusieurs fessées précédentes. En clair, plus les fesses sont cuisantes, plus elles sont retentissantes au fur et à mesure qu’on les corrige.»

    Sur ces bonnes paroles elle pousse Patricia en dehors de ses cuisses, la fait mettre à genoux entre ses jambes écartées et la reculotte en prenant de bien lui ajuster son slip tendu, sur ses fesses écarlates. Elle gémit en sentant les élastiques s’étirer sur ses volumineuses rondeurs en pleine cuisson et lui rentrer dans la raie des fesses.
    -- «C’est parfait! dit Gladys. «Voila un magnifique postérieur bien corrigé, prêt pour la fessée suivante!»

    Elle se tourne alors vers Bettina qui s’est approchée de la scène de fessée sans lâcher Peter qu’elle tient toujours fermement par l’oreille. Il couine en poussant des cris de cochon qu’on égorge.
    -- «Ouaïïïe, Ouaïïïe!! J’ai rien fait, j’ai rien fait … rien fait de mal!! Lâchez-moi, vous me faite, mal… tortionnaire… sadique!!»
    -- «Alors qu’est ce qu’il a encore fait celui là, hein? Mais ça n’arrête pas les cochonneries! Quand ce n’est pas d’aller fouiner dans les tiroirs à slips et soutien-gorge de sa cousine, c’est de se tripoter en la regardant prendre sa fessée!»
    -- «Et ce n’est pas tout», ajoute Bettina qui prend plaisir à aggraver son cas dans la réjouissante perspective de pouvoir lui flanquer, elle même, une bonne correction. «Le petit vicieux s’est amusé à filmer la fessée avec son portable… que j’ai dans la main...» Elle a un sourire entendu… et en remet une couche. «Maintenant qu’il s’est bien astiqué le recto, je propose, pour faire bonne mesure, de lui faire reluire le verso … les fesses je veux dire!»
    -- «Effectivement, il en a mérité une bonne, l’incorrigible neveu. Vous allez pouvoir lui faire reluire les fesses à volonté, pendant que je m’occupe de celles de sa cousine.»

    Bettina jubile. Elle ne cache pas son plaisir de disposer du derrière du neveu à corriger, alors que celui-ci recommence à pleurnicher en se présentant comme victime de "ces femmes sadiques et perverses!" se répandant en insultes et grossières protestations.
    -- «C’est pas juste, c’est pas juste! J’ai rien fait! Sorcières, grosses bourriques lubriques, vilaines et méchantes qui en veulent toujours à mes fesses!!»

    Sa mauvaise foi est d’autant plus évidente que la trace de sa branlette sur le devant de son bermuda en dessous de la ceinture est encore nettement visible. Cela fait sourire Edwige, confortablement installée dans son fauteuil, jambes haut croisées, jupe retroussée jusqu’au jarretelles. Elle attend la suite du croustillant spectacle.
    -- «Et bien en voilà un qui fait vraiment tout pour s’en prendre une sévère… bien méritée!!»

    Indifférente aux vociférations de son neveu, Gladys claque son talon aiguille sur la chaise à fessées, fait relever Patricia, et la fait basculer autour de sa cuisse montée à l’horizontale, les fesses calées en position idéale pour la fessée suivante. La jeune femme projetée en avant, bras et jambes ballant dans le vide, est obligée de s’agripper au dossier de la chaise pour ne pas tomber et présenter ses fesses parfaitement positionnées. Son imposant fessier, gonflé de claques, rouge et cuisant des précédentes fessées, est de nouveau en place, entièrement déployés tendu vers le plafond. En quelques secondes, Gladys ajuste la position du derrière pour le placer bien à sa main, et, en un tour de main, le re-déculotte. Elle descend le slip sur le haut des cuisses jusqu’aux attaches des jarretelles, afin de bien dégager toute la surface des fesses à claquer. La main ferme, elle commence aussitôt une nouvelle éclatante fessée . Les claques, puissantes, cuisantes, retentissent dans toute la maison sur le flamboyant fessier qui rebondit en cadence sur la cuisse relevée de la maîtresse de maison. Le formidable claquement de la fessée doit s’entendre jusque dans la rue par la fenêtre grande ouverte à cet effet. Cela doit se savoir que Gladys est en train de fesser.

    Bettina qui s’est rapprochée sans lâcher Peter, intervient une deuxième fois.
    – «Alors madame j’en fait quoi de celui là?»
    Gladys leva la tête et vit son neveu tenu fermement par l’oreille par la soubrette.
    -- «Je viens de le surprendre en train de filmer la fessée de sa cousine en se tripotant», insiste la jeune femme.

    En voyant la mine sévère de sa tante, Peter serre instinctivement les fesses en se disant qu’il aurait mieux fait de rester derrière la porte de sa chambre à écouter, plutôt que s’exposer sur le pallier pour assister au spectacle en première loge. Mais, le son des claques tombant sur les fesses déculottées de sa cousine avait été trop fort. La curiosité perverse avait eu raison de lui et il ne put s’empêcher de penser à la correction qu’il allait recevoir. Aucune de ces trois femmes sévères, Patricia comprise, n’étaient du genre, à la modération pendant ces séances de fessées . Au contraire, quant elles corrigeaient ensemble, c’était toujours à celle qui taperait le plus fort. Il était bien mal parti le Peter!

    Gladys reprit la fessée de Patricia tout en ordonnant.
    - «Déculottez moi ce petit voyeur et amenez-le moi slip aux cuisses!»

    Bettina sourit, ravie.
    -- «Je te l’avais dit que ça allait chauffer pour tes fesses, vilain vicieux...» murmure la soubrette à l’oreille de Peter qui rougit de la tête aux pieds.
    Un avant goût de la couleur à venir de ses fesses. Une boule se contracta dans son ventre. Bettina, toute joyeuse, s’assit sur le fauteuil en face du divan et le plaça devant elle. Peter baissait la tête les joues cramoisies et ne put s’empêcher de ressentir une irrépressible excitation à se faire déculotter. Il regarda les mains de la soubrette déboutonner ses bretelles et baisser son bermuda jusqu’à ses chevilles. Elle lui souleva les pieds pour le retirer complètement et le laissa tomber à côté d’elle. Pendant ce temps, Il entendait toujours à côté d eux, le claquement sec et régulier de la fessée que Gladys continuait d’administrer à Patricia. Cette dernière poussait maintenant des petits couinements en tortillant frénétiquement ses fesses au rythme des claques qui les faisaient furieusement rebondir.
    - «Regarde-moi quand je te déculotte», ordonne Bettina.

    Peter leva les yeux. Et Bettina, les yeux rivés sur ceux de son puni, lui baissa son slip, découvrant une érection naissante.
    -- «Et bien mon cochon, on dirait que l’annonce d’une fessée te fait autant d’effet que d’en regarder une!»

    Elle se leva et l’emmena par le bras devant sa tante.
    Gladys qui fessait toujours, leva les yeux et vit son neveu le sexe au garde à vous, dressé à côté d’elle, elle le regarda en fronçant les sourcils, et lui dit:
    - «Tu vas me baisser cela tout de suite!»

    Tout en continuant à fesser Patricia, elle claqua de son autre main les fesses de son neveu deux à trois fois puis, en le regardant sévèrement, elle ordonna:
    - «Bettina flanquez moi une fessée à ce petit pervers et mettez lui en une sévère, en attendant celle que je lui prépare, quand j’en aurai terminé avec les fesses de sa cousine!»

    Peter, n’avait plus du tout la tête à fanfaronner, et fantasmer sur la soubrette, qu’il exhortait souvent en rêve, par pure provocation.
    – «Oh oui, oh oui, Bettina, la fessée  Fessez-moi, fessez-moi!»

    En réalité, connaissant l’ extrême sévérité de la jeune femme et la manière vicieuse d’administrer les fessées, il savait que ses fesses ne pesaient pas lourd entre ses mains et n’en menait pas large. Finies la rigolade et les provocations. Courage… fuyons! Plutôt "mort de trouille!" que "même pas peur!». A quarante deux ans passés, il trépigne comme un gamin à qui sa mère vient d’annoncer une fessée déculottée. Comme à son habitude, il proteste avec véhémence et la mauvaise foi habituelle avec laquelle il prétend avoir les fesses fragiles.
    -- «Raahhh, non, non, pas la fessée! Pas la fessée, j’ai rien fait! C’est pas juste...c’est pas juste, j’ai rien fait! Vous êtes méchante tantine. et Bettina aussi!!»

    Ces gesticulations intempestives n’émeuvent pas pour autant les deux femmes, que ses jérémiades et tentatives de manipulations amuseraient plutôt.

    Bettina le reprit par l’oreille et le ramena à côté de la chaise à fessée, elle s’y assit et le coucha en travers de ses cuisses, qu’elle entrouvrit juste le temps que sa virilité en émoi se cale entre ses jarretelles. Elle resserra les jambes et commença par lui caresser les fesses, à les tapoter pour en éprouver la souplesse, tout en lui pressant le sexe entre ses fortes cuisses gainées de nylon. Ce qui était loin d’arranger son excitation.

    Sa fessée, en écho de celle de Patricia, commença d’un coup, rapide, cinglante et cuisante. Bettina s’en donne à cœur-joie, sans aune retenue. Elle qui se vante de considérer la fessée comme son activité physique favorite, qu’elle pratique régulièrement dans le cadre de la stricte discipline en vigueur dans la maison. Elle adore fesser, déculotter et flanquer des fessées dès que l’occasion de présente. Et même s’il ne s’en présente pas, elle finit toujours par trouver prétexte, même insignifiant, à en claquer une bien sévère sur un derrière présenté en bonne position. Gladys lui a donné carte blanche Ou plutôt carte rouge concernant les séances de fessées, nécessaires au maintient de la discipline. Ça l’excite, surtout quand elle a sous la main, les belles paires bien fermes de ces messieurs de la famille.

    Justement le cousin Peter, qu’elle vient de surprendre en train de se s’astiquer devant la fessée de sa cousine, est le candidat idéal pour une humiliante fessée déculottée, qu’elle se réjouit à l’avance de rendre particulièrement sévère. La fessée est donc magistrale, sévèrement claquée cuisante et fortement retentissante, comme elle se plaît à les administrer. Une formidable fessée, lancée de haut, à plein régime. Ça claquait. Ça résonnait fort sur les fesses du malheureux. Elles rougissaient à vue d’œil, ses fesses. Et elles vivaient. Elles se contractaient, elles s’ouvraient, elles se resserraient en cadence.

    Peter a commencé doucement à se plaindre puis de plus en plus fort. De plus en plus profond. Et il s’est mis à protester et crier sans la moindre retenue, ni la moindre pudeur.
    -- «Aaaiiiiie, aiiiiie!! Roooouaiaiiiie, ça chauffe! Ça cuit!! Mes fesses fragiles, mes pauvres petites fesssssses!! Aaarrrrrétez... Bettinaaa!! Vipèèère sadique, tortionnaire, trop forte la fessée!! ça fait mal!! Je le dirai à maman Louise!»
    -- «Ne l’écoutez pas Bettina», tonne Gladys en retirant une de ses savates rouges à fleurs brodées, qu’elle se met à abattre avec vigueur sur le fessier écarlate de Patricia, en larmes. «Il nous fait le coup à chaque fois. Continuez, et tapez plus fort ça va le calmer!»

    Bettina ne se le fait pas dire deux fois. Elle fait pleuvoir les claques, recouvrant chaque centimètre carré de la peau des fesses de son puni qui rougissent à vue d’œil. Une fois le cul bien chaud, elle suit l’exemple de Gladys et attrape une de ses mules apportées à cet effet... Elles ressemblaient en tous points à celles de sa maîtresse sauf qu’elles étaient noires. La semelle en cuir résonna avec un claquant d’enfer sur les fesses du pauvre Peter qui se mit rapidement à couiner sur les genoux de sa tortionnaire. Son fessier tout entier lui cuisait atrocement. Il commença à tortiller du derrière, et à le soulever en émettant des espèces de borborygmes plaintifs d’arrière-gorge. Son sexe en panique ne cessait de frotter en cadence sur le nylon des cuisses serrées de la soubrette. Il allait exploser.
    -- «Raaaah, moizelle Bett… Bettina… Ouille… ouille … aiie arr… arr… arrêtez, pitié s’il… s’il vous plaît… ça claque trop fort! Je sens que je vais... je vais…»
    -- «Que tu vas quoi?» ironise la soubrette en accompagnant, à grandes claques sonores les glissements d’avant en arrière, du ventre de son puni sur ses jarretelles. «Tu vas jouir sur mes bas nylon, petit cochon? Parce que tu ne sais pas te retenir… c’est ça hein, tu vas jouir!»
    -- «Non, non Moizelle Bettina!» pleurniche Peter, humilié, les fesses cuisantes, sa virilité ingérable, stimulée par le frottement continu entre les cuisses gainées de nylon de la soubrette. «Noooon...Je ne vais pas … je… je ne vais ... je ...pas... jou...»

    Bettina intraitable, continue la fessée. Elle s’amuse de la situation et du désarroi de son fessé.
    -- «Mais si mon ami tu vas exploser, mais si! J’y compte bien et je m’y emploie, pour te punir ensuite, et te tester, si tu es capable de jouir une deuxième fois sous une nouvelle fessée…!» 

    Patricia, quant à elle, sous l’effet des puissantes claquées qui lui mettait les fesses en feu, ne peut s’empêcher de se tortiller en pleurant et gémissant de la même façon , sur les fortes cuisses de sa mère . Elle en aurait trempé son petit slip de nylon, si elle ne l’avait eu tendu en travers des cuisses. Ce devint rapidement un concert de claques, de cris et de lamentations qui emplirent joyeusement le salon, dans la plus totale indifférence des deux femmes qui continuaient inlassablement à fesser sur le même rythme avec la même intensité.

    Peter, effondré, les fesses en feu, sur les cuisses de Bettina, incapable de résister à la cadence infernale des claques qui lui faisaient rebondir le derrière, émit comme un râle suspect de plaisir ou d’agonie. Il venait de se lâcher complètement sur les bas nylons de la vicieuse soubrette. Triomphante d’avoir réussi à le faire jouir sur ses cuisses, elle prend un vicieux plaisir à accompagner sa jouissance jusqu’au bout, rythmant ses spasmes en continuant à lui ajuster sa fessée de stimulantes claquées sur la raie des fesses, afin de lui chauffer la rondelle en même temps.

     

    Les deux femmes échangent un clin d’œil complice et, satisfaites de la séance, décident d’un commun accord de suspendre l‘administration des fessées. Patricia, en larmes, les fesses en feu, se laisse glisser lentement de la cuisse de sa mère, jusqu’au sol. Peter doublement honteux et confus, de la magistrale fessée déculottée qu’il venait de recevoir et aussi de n’avoir pu se retenir de jouir sur les genoux de Bettina, saute d’un pied sur l’autre devant elle en se tenant les fesses à pleines mains. Malgré leurs timide protestations, ils sont immédiatement envoyés au coin, déculottés slips aux cuisses, les reins cambrés au maximum, pour arrondir leurs fesses écarlates, largement déployées, aux regards des trois maîtresses femmes, enchantées du spectacle et de l’efficacité des fessées.

     

    ( A suivre )

     

    Une affaire de famille, Chapitre 5

     

    Une affaire de famille, Chapitre 5

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