• Une affaire de famille, Chapitre 1

    Merci à Ramina pour ce nouveau récit.


    On y retrouve des personnages déjà très actifs dans de précédents récits célébrant les bienfaits de la fessée, punitive et érotique. Tante Gladys bien sûr, dont la réputation de sévérité n'est plus a faire,  comme celle de ses amies, toutes ferventes adeptes inconditionnelles de la fessée. Notamment Edwige la pétulante voisine à l'humeur ravageuse... Patricia, digne fille de sa mère, Arnold son fiancé anglais, Bettina, la vicieuse soubrette, Edouard le mari soumis, et un petit nouveau, le cousin Peter... soi même!  A force de réclamer de se faire rougir le derrière, il a fini par se retrouver dans l'histoire ... et quelle histoire... ça claque sec! Bonne lecture aux amateurs de femmes sévères... très sévères!

    UNE AFFAIRE DE FAMILLE

    Chapitre 1 : CHACUN SON TOUR

     

    Le nuage de lait se dispersa lentement en volutes blanches qui éclaircirent la surface brune du thé. La petite cuillère tinta contre la tasse en porcelaine lorsque Patricia la saisit pour la porter à ses lèvres. Elle but une gorgée avec précaution. Le liquide était encore un peu trop chaud. Elle reposa la tasse sur la table basse, pris un biscuit pour patienter, croqua dedans et se renfonça dans son fauteuil en croisant haut les jambes dans un électrisant crissement de nylon sur ses cuisses. 

    Assise dans la canapé en face d’elle, Gladys, sa mère, tasse dans une main, son portable dans l’autre, consultait ses rendez vous de la semaine.

    Tout était tranquille en ce lundi après midi. Ces dames profitaient d’un moment de détente bien mérité après un week-end mouvementé, consacré rituellement au bilan des  mauvais comportements de la semaine et des corrections qui s’en suivaient. Deux jours, rythmés par le claquement des fessées, les cris, les pleurs et les supplications d‘Edouard le beau père et  d’Arnold le fiancé anglais de Patricia.

    Elle avait rencontré Arnold lors d’un stage de discipline domestique à Londres où, moyennant généreuse rétribution, son imposant postérieur était à disposition pour les  démonstrations de fessées. Elle  avait été positivement impressionnée par la qualité d’endurance de son imposante paire de fesses pendant les nombreuses séances de travaux pratique, qui venaient en appui  des cours théoriques. Le hasard avait bien fait les choses en lui mettant sous la main un derrière aussi attractif. Le fessier supplémentaire idéal, propre à satisfaire un peu plus, les exigences disciplinaires de la maison. Usant outrageusement de son pouvoir de séduction, elle avait réussi à  ramener le jeune homme en France après en avoir fait son prétendant. Pour la plus grande satisfaction de Gladys qui voyait arriver, avec bonheur, ce fiancé idéal, doté d’un solide fessier rompu à l’exercice de la fessée.

    Le calme était provisoirement revenu dans la maison, à peine troublé par la diffusion, en sourdine, d’une musique jazz swing entraînante. Ce silence relatif était presque pesant dans un salon qui semblait encore raisonner du claquement des fessées de la veille et des clameurs de souffrance des punis. La pièce tout entière, fréquemment utilisée pour l’administration des corrections, baignait dans un climat de transition entre le retour à l’apaisement et la perspective des fessées à venir.

    Gladys estimait comme une évidence la nécessité de maintenir une stricte discipline domestique et conjugale par une pratique régulière de la fessée. Elle en vantait les bienfaits, affirmant que c’était la méthode la plus efficace pour inculquer les règles de savoir vivre aux messieurs dont l’éducation n’était pas terminée. Pour ne citer que l’entourage proche, en dehors du cercle de famille, elle en faisait profiter son neveu Peter, malgré son âge avancé, dont les comportement souvent immatures nécessitaient l’emploi de fréquentes mesures disciplinaires. Avec l’arrivée d’Arnold, et surtout de son plantureux fessier, s’ouvraient de nouvelles perspectives pour agrémenter les séances de corrections.  

    Elle y avait initié sa fille Patricia à l’exercice de la fessée, dont elle qui avait très vite appris à maîtriser la pratique. Notamment sur le derrière de son frère et aussi celui de Peter son incorrigible cousin. Ses écarts de conduite, son insolence, ses mensonges et un manque de travail récurrent, justifiaient un régime de fessées, particulièrement sévères. Peter l’embobineur, vantard, faisait le malin pour tromper son monde. Même pas peur, des magistrales fessées de sa tante et sa cousine, alors que, prétendant avoir les fesses fragiles,  il clamait en redouter la sévérité, une fois allongé sur leur cuisses.

    Par son aptitude à fesser Patricia commençait à rivaliser avec sa mère, experte en !a matière qui avait fini par lui laisser prendre l’initiative de corriger aussi Edouard, son beau père, lorsque les circonstances l’exigeaient. Le malheureux n‘en avait pas besoin d’autant. Son impétueuse belle fille, se faisait un plaisir de faire profiter ses grosses fesses de son talent de claqueuse, en complément de service, aux cuisantes fessées déculottées que son épouse lui administrait déjà régulièrement.

    La vie de famille se déroulait dans un harmonieux équilibre entre l’acceptation du devoir de respect et l’obligation d’obéissance en toutes circonstances. Sous l’autorité des femmes de la maisons, l’utilisation systématique de la fessée facilitait grandement l’adhésion aux règles de comportement. Gladys se plaisait à souligner qu’une paire de fesses rouges et cuisantes au fond d’un slip était l’argument le plus convaincant pour imposer une bonne discipline domestique. Les fessées claquaient tous les jours, voir plusieurs fois par jour, selon les nécessités et surtout l’humeur de ces dames. A ces raclées quotidiennes s’ajoutait le cérémonial tant redouté du bilan de week-end, régulièrement soldé par une généreuse distribution de fessées. Chaque faute répertoriée, chaque négligence  ou désobéissance commise pendant la semaine était sanctionnée par un nombre équivalent de fessées.

    Ces dernières journées de samedi et dimanche s’était déroulées dans un climat caniculaire pour les fesses d’Edouard, Arnold et celles, prétendument si fragiles, de Peter en séjour chez sa tante Gladys. Soumis aux rituels règlements de compte, il furent  contraints de multiplier les allers et retours sur les genoux des deux femmes pour se les faire rougir à maintes reprises. Aucune clémence, aucun échappatoire  possible. Entre les fessées déculottées et les séjours d’exposition au coin culotte baissée,  ils avaient passé plus de temps le slip en travers des cuisses plutôt que les fesses dedans.

    Selon une des expressions favorites de Gladys selon laquelle: «Il n’y a rien de plus efficace que des fesses rouges et cuisantes, après une solide fessée déculottée, pour bien commencer une journée. »

    Edouard et Peter, ce dernier hurlant comme d’habitude à l’injustice, s’étaient pris chacun leur fessée, côte à côte dans l’entrée dès le matin, avant de partir, la premier au bureau, l’autre de retourner à l’institut. Arnold quant à lui, avait eu droit à un régime de faveur avec une retentissante fessée déculottée la tête coincée entre les cuisses de sa douce fiancée. La position bien humiliante, préférée de Patricia. Ces fessées matinales, sans réel motif étant présentées comme des mesures de prévention, sous forme de "fessée d’entretien" en rappel aux règles de bonne conduite que ces messieurs sont censés respecter durant la journée. Il faut croire que ces dames estimaient insuffisante leur ration de fessées du week-end, pourtant généreusement fournies. Preuve, s’il en était, ces corrections avaient été administrées sur des derrières encore rouges et cuisants des fessées de la veille. Les malheureux s’étaient retrouvés dehors, les fesses en feu, fraîchement reculottées, empressés de s’essuyer les yeux pour essayer de dissimuler leurs larmes aux passants.

    Comme à chaque fois, Gladys avait toujours le bon argument pour justifier cette  première déculottée de la journée.
    – «Un fessier chauffé au rouge, stimule l’activité et incite à un meilleur comportement au travail!» avait-elle lancé avec un sourire satisfait en reculottant son mari.

    D’une claque aux fesses à travers le pantalon, elle l’avait  envoyé vers la porte en ajoutant:
    –  Pour Peter, c’est comme Robin, je ne me fais pas de souci, il y a une bonne discipline à l‘Institut. Mais pour toi, Edouard, il faudrait  que je vois du côté de tes secrétaires. Je devrais bien en trouver au moins une qui serait ravie de s’occuper de tes fesses quand je le lui demanderais.»

    Patrica s’en était amusé avec son ironie habituelle:
    – «Ça doit être assez réjouissant de pouvoir déculotter et fesser son supérieur hiérarchique sans risquer son poste.»

    Claquant des talons aiguille, la main brûlante encore emplie de la rondeur charnue des paires de fesses, les deux femmes étaient parties se resservir un café au salon en se félicitant mutuellement de la qualité des fessées qu’elles venaient d’administrer sur les derrières de ces messieurs. 

    Patricia finit par déguster son thé à petites gorgées. Elle reposa sa tasse avec la trace de son rouge à lèvre sur le bord. Elle l’effaça d’un doigt.
    – «Je voudrais bien voir la tête de la sœur qui va découvrir la couleur des fesses de Peter quand elle va le déculotter pour lui mettre sa première fessée. Elles étaient bien rouges en partant. J’espère qu’elles le sont resté au moins jusqu’à la fessée suivante.»
    Gladys avec un petit sourire en coin:
    – «De toute façon, il a sûrement du s’en prendre une pendant le contrôle des carnets de correspondance ce matin.»
    – «Ah bon, tu crois… pourquoi?»
    – «Parce qu’il a encore oublié le sien ici!»
    – «Non, c’est pas vrai!» s’exclame Patricia l’air étonné et amusé à la fois.
    – «Si ! Il est resté sur la commode de l’entrée. Il l’a posé là ce matin quand tu l’a déculotté pour lui mettre sa fessée. Il devait être tellement occupé par la cuisson de ses fesses qu’il l’a oublié en partant. Le pauvre chéri!»

    – «Incroyable ! Ce n’est pourtant pas faute de lui flanquer des fessées! Et des bonnes!»

    Gladys cette fois relève la tête de l’écran de son portable et réplique avec une logique implacable.

    «Et bien tu vois, pas encore assez! Il lui en faudrait même des plus sévères!..»

    Patricia hoche la tête en soupirant, ce qui eu pour effet de soulever son opulente poitrine qui s’extériorisa un peu plus en dehors de son bustier. Elle étend ses jambes, enlève ses escarpins en les poussant du bout des doigts de pieds et pose ses talons sur la table basse. Elle en profite pour ajuster la couture de ses bas nylon qui souligne le galbe de ses mollets. Les avant bras pendants négligemment sur les bras du fauteuil, le dos des mains relevé, elle jette un coup d’œil distrait à son vernis à ongles.

    – « out à fait d’accord avec toi maman. Il ne faut pas lésiner sur les fessées si on veut obtenir des résultats. Tu sais, maintenant que tu m’y as fait prendre goût, plus je fesse, plus j’aime ça et plus j’ai envie de fesser!»

    – «Oui, j’ai remarqué ça», répond Gladys en éteignant son portable. Et tu fesses de mieux en mieux.»

    Patricia, réceptive au compliment, esquisse un petit sourire de contentement.

    – «En attendant», reprend elle, «si les leçons du week-end ont été retenues, j’en connais un qui ne devrait pas traîner en rentrant du bureau ce soir pour éviter une nouvelle fessée!»

    – «Oh tu sais, Edouard est capable de tout. Malgré le recadrage de ce week-end  ça ne m’étonnerait pas qu’il nous donne encore une raison de lui flanquer une raclée ce soir. Avec lui, comme avec ton frère d’ailleurs, il n’y a pas besoin de chercher longtemps... les motifs de fessées arrivent tout seuls ou on finit bien par en trouver.» 

    Gladys s’adossa plus profondément au canapé, croisa haut les jambes, et, changeant brusquement d’attitude regarda fixement sa fille.

    – «Dis moi, ma chérie, je ne voudrais pas paraître désagréable, mais peux tu m’expliquer, s’il te plaît, à quoi rime cette nouvelle façon de se tenir?»

    Patricia, surprise, quitte ses ongles des yeux et, un petit frisson dans le dos, regarde sa mère d’un air méfiant. Celle ci poursuit sur le même ton neutre, posé... Le calme avant la tempête. 

    – «Depuis quand, maintenant, tu t’amuses à mettre les pieds sur la table?»

    Le visage de la jeune femme change instantanément de couleur. Elle pâlit et, comme piquée par une guêpe, réagit aussitôt en reposant ses pieds parterre. Nouveau frisson. Elle bredouille.

    – «Mais maman… euh… je… c’est...c’est que»

    – «C’est que quoi?» l’interrompt sèchement sa mère d’un ton presque menaçant. «Je t’ai posé une question… C’est quoi cette manière de se tenir?»

    – «Je me détends les jambes maman.  J’ai les chevilles un peu douloureuses en ce moment.»

    – «C’est ça oui… Façon peu élégante de se détendre les jambes. Et puis si tu portais des talons moins hauts, tu n’aurais peut être moins mal aux chevilles.»

    – «Maman… ça te vas bien de dire ça, tu as pratiquement les mêmes!»

    – «Et alors, je ne vois pas le rapport. Je les supporte très bien et je ne me plains pas.»

    Gladys commence à montrer quelques signes d’agacement. Son niveau de tolérance à la contestation n’est pas plus élevé que la température d’un derrière en manque de fessée depuis une journée.

    – «Patricia, il va falloir que tu changes de ton ma petite. D'ailleurs, je te trouve bien insolente depuis un certain temps!»

    Patricia perdait peu à peu de sa superbe et sentait que les choses pouvaient rapidement mal tourner si elle persistait à répondre.  Elevée à la fessée, comme son frère, elle se méfiait du caractère impétueux de sa mère et de ses réactions lorsqu’elle sentait son autorité remise en cause. Elle essaya maladroitement de faire redescendre la tension en évitant, cependant, d’avoir l’air de faire des concessions. Question d’amour propre.

    – «C’est bon maman, c’est bon!» dit elle en remettant ses pieds dans ses chaussures. «Ce n’est pas grave. Pas la peine de t’énerver pour ça!»

    Elle lisse à nouveau ses bas sur ses cuisses, rajuste une jarretelle et se rassied correctement en soupirant, pour bien montrer qu’elle obéit de son plein gré et non sous la contrainte.

    – «Voilà, ça te convient mieux comme ça?»

    La phrase de trop qu’il ne fallait pas prononcer et l’attitude provocante qu’il valait mieux éviter. Gladys maîtrisant de moins en moins sa colère montante, lui lance un regard noir en pointant un doigt menaçant dans sa direction. Il y a de la fessée dans l’air et elle l’aura bien cherchée.

    – «Cette fois ma chère, tu dépasses les bornes, ça fait plusieurs fois que ça arrive et que je te préviens. Ce n’est pas parce que je te laisse mettre des fessées à ton frère et maintenant ton beau père qu’il faut te croire à l’abri de t’en prendre, toi aussi. Je peux encore t’allonger sur mes genoux, te déculotter et t’en flanquer des sévères tu sais!»

     Patricia réalise un peu tard qu’elle est allé trop loin. Son statut de seconde main pour faire respecter la discipline dans la maison vient de changer en un rien de temps. Elle vient de manquer ouvertement de respect à sa mère et tel qu’elle la connaît, elle sait que ça va chauffer pour ses fesses. Maline, elle se fait suppliante comme une gamine prise en défaut.

    – «Oh maman, je t’en prie. Je suis désolée. Pas la fessée s’il te plaît! Pas la fessée!»

    Gladys est ravie d’avoir trouvé l’occasion de remettre sa fille à sa place, sous son autorité. Elle  s’amuse intérieurement à l’entendre implorer sa clémence pendant qu’elle savoure à l’avance la correction qu’elle lui prépare.

     – «Mais bien sûr que si ma chérie, la fessée!  Mademoiselle se croit tout permis! Elle s’imagine que je n’oserais pas la mettre en travers de mes cuisses, la déculotter et lui rougir les fesses comme elle le mérite... et bien mademoiselle se trompe lourdement!»

    – «Non maman, pas la fessée! S’il te plaît, pas la fessée déculottée! … je te demande pardon! Plus à mon âge, la fessée!»

    – «Tiens donc!.. C’est une question d’âge maintenant! Ça ne te gène pourtant pas de déculotter et fesser régulièrement ton frère qui n’a que trois ans de moins que toi et encore moins de claquer les fesses de ton beau-père qui en a presque cinquante!  Et je ne parle pas de Peter, le faux jeton qui fait semblant d’aimer se vautrer sur tes cuisses tout en accusant  toujours son autre cousin Rodolphe!» 

    L'argument est imparable, Patricia, pour une fois, ne trouve rien à répondre et sent déjà le courant d'air de la déculottée sous sa jupe. Gladys a pris le dessus et continue sur sa lancée.

    – «Que ça te plaise ou non  ma fille, tu as encore besoin de fessées! De bonnes fessées! Et je suis là pour ça! Le respect et l’obéissance c’est valable pour tout le monde, les fessées aussi! Tu n’en es pas dispensée, au moins tant que tu vivras dans cette maison!»

    Très remontée elle enchaîne direct sur un ton qui ôte toute idée de contestation.

    ­– «Amène moi tes fesses, et dépêche toi! Tu sais que plus on me fait attendre plus les fessées sont longues et sévères!»

    Patricia enrage. Les lèvres pincées, elle se lève de son fauteuil sans rien dire, et se retient de ne pas trépigner sur place. Elle sait que le moindre signe de rébellion ou la plus petite manifestation d’humeur sera prétexte à une fessée supplémentaire. Ses tentatives d’apitoiement n’ont servi à rien. Sa mère est inflexible, aucun argument ne peut la faire changer d’avis lorsqu’elle a décidé de flanquer une fessée. Insister, c’est lui donner l’occasion d’en mettre une deuxième.  

     Une affaire de famille, Chapitre 1

    « Fessés de soubrettesUn travesti bien ridicule »
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  • Commentaires

    1
    Peter Pan
    Lundi 10 Juin à 18:25

    Amis des affaires de famille... nombreuses bonsoir,

    Merci à notre éditeur favori d'avoir accédé dans les plus brefs délais, plus vite que Tardy et La Déroute réunis, à la demande exprès de mon confrère en écriture Rami afin de corriger un léger défaut de publication... Revenons à ce qui nous occupent. Comme vous le savez, chers z'auditeurs et trices, la famille est  toujours au centre des préoccupations de ces Dames Aux Mains Fermes, qui ont à coeur de mener leur petit monde à la baguette et bientôt, n'en doutons pas une seconde, au mar-ti-net... Chez les Tapefort, les bonnes manières en famille ne souffrent d'aucune approximation. Pour l'instant,  mère et fille s'affrontent... Et comme je le dis souvent: ça va chauffeeeeeer !!!

    Pit. 

     

    2
    Lundi 10 Juin à 23:41

    Bonsoir Peter, Merci pour ce beau dessin de bonnes sœurs en habit.

    Bonne nuit.

    Paul.

      • Peter Pan
        Mardi 11 Juin à 09:27

        Bonjour Paul, 

        Merci pour ce compliment. Le dialogue se prêtait à une évocation graphique de l'école religieuse et je n'ai pas résisté au plaisir de dessiner ces "nobles dames" dans leur discipline favorite : la fessée ! J'ai gardé cette fois la couleur noire de leur habits et surtout le scapulaire blanc qui contraste merveilleusement avec quelque reflets grisâtres. Je pensais bien qu'un tel dessin ne passerait pas inaperçu aux yeux d'un créateur de ta qualité et je ne me suis pas trompé. Dans la fantasmagorie des chatiments corporels collectifs, ces dames figurent en bonne place.  Ca va chauffeeeer ! 

        Peter.

    3
    CLODINETTE
    Mardi 11 Juin à 18:28

    J'en ai marre ....y'en a que pour les arnold, édouard  Patricia Peter et compagnie à recevoir des fesséees de Dame Gladys et moi , mes fesses ,  végètent dans leur solitude ! c'est pas juste ! je vaischercher un utre site pour la peine ! 

    clodinette eplorée !

      • Peter Pan
        Mardi 11 Juin à 19:20

        Bonsoir Moizelle Claudie Nette, 

        Mais enfin, que nous vaut ce petit vent de révolte ?? Quelle mouche vous pique ? Osez trépigner sur place ?? Faire des caprices comme un vilain garnement  ??? Cela mériterait une grooooosse fessée déculottée sur les doux genoux d'une nounou bien en chair aux belles rondeurs maternelles !!! Allons... allons... reprenez vous !! Gageons que tout cela n'est qu'une averse passagère !!! 

        Pit' et Kolégramm'

    4
    RAMINA
    Mardi 11 Juin à 20:51

     

    Amis de la fessée domestique, tique, tique... Bonjour

    Les affaires de famille se règlent en famille, sous les fessées ! Car chez les Tapefort la fessée, fait partie de la vie courante et des activités normales de la maison. Ach, die streng didziplineuuu !! Fessées punitives , et  fessées jouissives. C'est le sport familial favori des femmes autoritaires. Pour ces dames, tout les prétextes sont bons  pour se faire plaisir en claquant une belle paire de fesses. Souvent à la maison ça claque sans raison  ! Ces messieurs, Edouard, Arnlod et compagnie, à force de s'en prendre, ont de solides fessiers, particulièrement rebondis et donc fort endurants.  Même Peter, le faux jeton provocateur,  bien qu'il prétende avoir les fesses fragiles ...   Ces dames fessent comme elles respirent, Gladys, en maitresse de maison intransigeante sur le respect des règles de  vie commune. Elle est efficacement secondée par Patricia, quand elle ne se fait pas corriger comme dans cet épisode et surtout Bettina, la vicieuse soubrette qui aime faire jouir ses punis sous d'humiliantes fessées. Tout un joyeux programme... qui ne fait que commencer ... Ramina
     
    5
    Ramina
    Mercredi 12 Juin à 07:47
    Horreur malheur!! Ainsi donc les fesses de notre Claudinette, pour le moment en jachère, se languissent de ne plus claquer . Il faut croire que la petite manifestation d'humeur et d'impatience de notre amie semble justifiée et mérite toute l'attention de Tante Gladys comme celle de Bettina dont il adore les fessées la tête coincée entre ses cuisses. Que le malheureux orphelin, par la force des choses, d'une maîtresse chérie un peu lointaine, soit rassuré. Quelques cuisantes séances de fessées, dans un autre récit en préparation, seront à même de combler son déficit de claquées en lui chauffant sévèrement le derrière entre les jarretelles. Tout vient à point, sur les fesses, à qui sait attendre ! Ramina
    6
    Clodinette
    Mercredi 12 Juin à 07:51
    Des promesses des promesses comme font les politicards avant les élections...Rami na gro bis et pic et pic et kilogramme...et mes fesses attendent toujours .. Clodie pas nette du tout !
    7
    CLODINET
    Mercredi 12 Juin à 18:59

    sur le deuxième dessin, celui de droite, la soeur qui est debout tient aussi un martinet !!! je n'avais pas remarque au premier coup d'oeil, j'tais fascinée par la position de Peter sur les genoux de la soeur assise et la rougeur de ses fesses ! on peut se demander si elle n'attend pas son tpur pour fouetter aussi legarnement ! pauvre Peter qui doit souffrir  et en plus il n'a pas le plaisir du contact des cuisses revètue de bas nylon ....au fait que porte-t-elles sous leur grande  les soeurs ? c'est très impressionnant tout ça mais je prefère quand même les tenues de Tante Gladys et surtout de Miss Bettina !

    tu penes tujours à mes dessins Peter ?

    merci d'avance

    Clodinet

     

      • Peter Pan
        Mercredi 12 Juin à 19:36

        Bonsoir mon bon Clodinet,

        En effet, Peter, toujours aussi indiscipliné, en prend de sévères fouettées sur les genoux de ces nobles Dames. Bien fait pou lui ! Et toc !! Que portent ces Dames sous leurs robes ? Ben, nosé, Senor !  Ben, c'est sûr que les tenues affriolantes de ces maitresses femmes , c'est quant même aut' chose !!                                                                                                                   (PS : Je pense à l'illustration de ton récit et à sa mise en page : saynète unique ou mini-BD, j'hésite encore... )

        Peter.

    8
    CLODINET
    Jeudi 13 Juin à 10:46

    courage cher Peter courage  ! je te fais un massage des mains au musclor !

      • Peter Pan
        Jeudi 13 Juin à 11:33

        Hello mon bon Clodinet, 

        Un massage des mains au Musclor ? tiens donc, quel est cet onguent mystérieux ? Mais merci d'avance pour tes bons soins. 

        Pit'.



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