Bonjour Marie Souillon, 

Je suis bien d'accord avec vous. Le dessin permet une "recomposition tous azimuts " d'une réalité imaginée dans l'esprit de son auteur. Il s'imagine une saynète comme celle-ci, en faisant même abstraction des notions de danger, vide, vertige et autres contraintes. Son personnage peut prendre mille poses, faire mille choses sans jamais craindre la chute. Alors que le cinéma ou la photo demande une préparation minutieuse, puisque les acteurs/trices sont limités dans leur jeu, sans le recours à des techniques mécaniques ou autres. D'où l'ambiance parfois loufoque ou absurde des personnages de dessins animés, comme la mythique scène du Loup de Tex Avery , au cabaret face à une superbe pin-up tout en jambes (merci mon cher confrère Ramina), La liberté de création est absolue, au contraire de la photo et du cinéma qui sont limitées par les contraintes précédemment énumérées. Vive le dessin !              Peter.

Hello les mécanos de l'analyse d'image!

Pour ça, c'est pas moi qui dirais le contraire . Expressif, sensuel , érotique, dit Souillon, le dessin de fessée excite tout court...  Il permet toutes les fantaisies, les positions et les scènes les plus extravagantes et surtout d'exprimer ses plus savoureux fantasmes sans souci d'une quelconque réalité. Il n'a qu'a voir les postérieurs surdimensionnés de mes fesseuses et fessés que je m'amuse à dessiner, comme les épouvantables déculottées qu'ils reçoivent ! Oula, la, , ça craint ! Même pas peur de l'exagération! .  Comme dit justement Peter, liberté de création, sans aucune contrainte de réalité... encore que celle ci, rejoint , voir dépasse, parfois nos fictions ! Serions nous visionnaires ? Fessées en images pas sages mais déculottage et claquage, ça déménage... sans dommage. Bon, ça c'est fait ! Ramina

• • PeterP

    Mardi 16 Août 2022 à 16:39

    Cher confrère, 

    J'acquiesce en tout points. Et je dirai même plus : "Avec les fessées de Peter, on pleure. Avec les fessées de Ramina, on crie : Hou la ! hou la ! hou la !" (Rires).  Imaginons deux secondes, ce que donnerait nos sagas fessatrices (j'invente une expression ! ) si elles étaient mises en dessins animés !!!  Quant j'étais gamin, années 1970, on achetait quelques fois au bouquiniste au marché , les Pif-poche ou Pifou-Poche avec en marge de chaque page le même décor avec un personnage qui évoluait et bougeait vite en feuilletant le petit poche. Ca faisait dessin animé. A cette époque, les choses étaient beaucoup plus simples. On vivait plus sereinement. De nos jours, toute cette technologie nous fait aller plus vite, Mais pour quel but au fond ? Ca stresse inutilement. (Peter fait son grincheux. rires)           Grincheux... euh... Peter.