• Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 2

    Une histoire originale de Ramina, sur une idée de Clodinet(te)


    Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 2: La fessée de Sacha

     

    Pris en flagrant délit de branlette, les deux garçons allongés côte à côte sur le lit, le slip au milieu des cuisses, étaient littéralement pétrifiés. A tel point que Justinet ne se rendait même pas compte qu'il tenait encore son sexe dans la main droite et celui de son cousin dans la gauche. La mine réjouie de sa tante Gladys en disait long sur son état de jubilation à contempler la scène. L'occasion de sévir était trop belle. La perspective d'une bonne séance de fessées l'excitait tellement qu'à chaque fois elle en mouillait son slip d'enthousiasme avant de commencer. Ce qui constituait un stimulant efficace pour ensuite les administrer.

    Campée au pied du lit sur ses douze centimètres de talons aiguille, les bras croisés sous son opulente poitrine qui débordait généreusement de son provocant décolleté, elle toisait les deux jeunes gens, avec un sourire goguenard.
    – «Et bien mes gaillards, on n'en mène pas large maintenant! Vous savez tous les deux ce qui attend vos fesses! Surtout toi Sacha qui est habitué... Alors dis moi, qu'est ce qui attend tes grosses fesses, hein? Je veux te l'entendre dire!»
    – «La fessée maman... la fessée sur mes grosses fesses, comme tu dis.»
    – «Bien sûr la fessée… sur tes grosses fesses! Comme à chaque fois que tu te comportes mal, comme, par exemple, de te branler avec ton cousin devant une revue porno. Ça, ça mérite la fessée… et quel genre de fessée s'il te plaît, tu peux préciser?» 

    Sacha n'a pas à réfléchir. Il sait  ce qu'il doit répondre et que sa mère l'oblige à répéter, comme un humiliant rituel, à chaque fois qu'elle lui ordonne de venir sur ses genoux pour lui présenter ses fesses à déculotter. C'est une façon un peu perverse de le mettre en condition. Il n'a d'autre choix que d'obéir.
    – «Oui maman c'est la fessée déculotté!» Il poursuit avec zèle pour s'attirer des bonnes grâces qu'elle ne lui accorde jamais. «Avec toi maman les fessées c'est toujours déculotté.»

    Gladys poursuit l'astreignant dialogue en insistant avec une évidente jubilation.
    – «Tout à fait, tu es bien placé pour le savoir. Et alors, pourquoi  maman fesse t-elle toujours déculotté?»

    Sacha, les larmes aux yeux, répond sans hésiter comme un garçon docile qui a bien retenu la leçon que sa mère lui a apprise.
    – «Parce que, tu le dis tout le temps quand tu me déculottes, maman, les fessées cul nu sont les meilleures parce que les plus efficaces!»

    Clodinet, immobile et silencieux à côté de lui, a lâché les deux membres, qui sous le coup de l'émotion, ont considérablement rétréci. Mort de trouille, à l'idée de se retrouver bientôt à la place de son cousin, il entend sa tante continuer imperturbablement à le passer sur le grill de son jeu de questions insidieuses.  Elle semble se délecter de le tenir ainsi à sa merci.
    – «Tout à fait mon garçon, et pourquoi les fessées déculotté, sont-elles plus efficaces? Hum? Tu dois pouvoir me le dire si tu as bien retenu mes leçons! Je t'écoute Sacha!»
    – «Je sais maman! Je sais!!» s'exclame t-il en se redressant, assis sur le lit, comme s'il répondait à la question d'un professeur qui lui vaudrait une bonne note.

    Il a juste perdu de vue que sa mère est tout simplement en train de le conditionner à recevoir la fessée déculotté qu'elle a décidé de lui mettre . Il tombe tête baissée dans le panneau  en répondant avec enthousiasme.
    – «Parce que les fessées déculottées claquent mieux sur les fesses, maman, et les rougissent plus vite!»

    Il a à peine terminé sa phrase qu'il se rend compte, trop tard, qu'il vient de décrire et solliciter la fessée que sa mère s’apprête à lui administrer .

    Clodinet, recroquevillé sur le lit, les mains en coupe sur son sexe dans un dérisoire sursaut de pudeur, est  vivement impressionné par le comportement pervers de sa tante. Avec un mélange de respect et de crainte il la découvre complètement différente de la Tante Gladys qui leur rend visite de temps en  temps. Bien sûr tout le monde connaît son caractère autoritaire, son tempérament impétueux. Elle est sévère et impose chez elle une stricte discipline domestique, mais avec une rigueur maîtrisée. Là, en l'absence du reste de la famille, Patricia, la sœur de Sacha, partie chez une amie, et son frère Robin chez son copain Gérôme, elle donne l'impression de se lâcher complètement et révèle un aspect plus trouble de sa  personnalité. Sa manière de les regarder, tous les deux serrés l'un contre l'autre comme deux gamins effrayés sous la menace de la fessée, n'est pas faite pour les rassurer.
    – «Alors les garçons, on fait moins les malins maintenant», ironise t-elle, le menton haut levé. «C'est fini les branlettes sauvage sous les draps!! D'ailleurs je vois qu'ils sont bien ramollis, tout rétrécis, vos petits zizis..…»'

    Elle rit, d'un rire jubilatoire qui les fait frissonner jusqu'au fond de la raie des fesses.
    – «Et bien je vais vous la redonner la trique, moi», s'exclame-t-elle. «Entre mes cuisses avec une bonne déculottée aux fesses! Vous allez voir comme c'est jouissif!»  

    Clodinet voudrait bien se reculotter mais il n'ose pas et reste le sexe à découvert. Il esquisse un début de supplication.
    – «Ooh tantine, s'il vous plaît, pas trop sévère la fessée… promis, juré… On... on ne recommencera pas, pitié... hein Sacha… tu promets aussi?»

    Sacha ne répond pas, entièrement soumis à l'autorité de sa mère, il la sait inflexible quand elle annonce un séance de fessées et totalement indifférente aux supplications qu'elle trouve indignes et ridicules. La plus timide demande de clémence vaut un retour immédiat sur ses genoux et une fessée supplémentaire encore plus sévère pour tentative de contestation de son autorité. Autant dire que ça enlève l'envie de recommencer. Avec tante Gladys, on obéit aux consignes, dès la fessée annoncée, on se déculotte et on va docilement la chercher sur ses genoux sans pleurnicher. Sur ses genoux ou dans une toute autre position qu'elle choisit de préférence bien humiliante. C'est son credo: la fessée c'est bien, humiliante c'est encore mieux.

    Elle n'a porté aucune attention à la supplique de Clodinet qui a compris. Prudent, il n'insiste pas. Le visage rayonnant d'un sourire féroce, elle saisit son cousin par un bras, le sort du lit sans ménagement et, le traîne triomphalement  jusqu'au tabouret à fessées qui trône au milieu de la chambre. Elle en a placé un dans chaque pièce de la maison, afin de perdre le moins de temps possible entre l'annonce d'une fessée et son exécution.  Elle peut ainsi en claquer une instantanément quelque soit l'endroit où elle a décidé de le corriger, quand la fessée est annoncée. Elle s'y assied lourdement en prenant le temps de bien y caler son vaste fessier pour trouver la meilleure assise possible. Le bois du tabouret fait entendre comme un grincement sous le poids du pesant derrière qui en déborde de chaque côté. Elle a besoin d'une position stable pour fesser à l'aise et taper aussi fort qu'elle l'estime nécessaire. Sacha ne bronche pas. Il est habitué à voir sa mère prendre tout son temps pour préparer ses fessées.

    Elle le saisit par le bras et l'allonge sur ses fortes cuisses à moitié découvertes dans l'ouverture de son tablier qu'elle a pris soin de ne pas boutonner jusqu'en bas. Elle aime ça, tantine, fesser en s’appliquant à faire rebondir le derrière de son puni sur ses jarretelles et sentir son sexe durcir entre ses cuisses gainées de nylon. Elle ordonne:
    – «Présente bien tes fesses Sacha, je veux que tu montres à ton cousin comment je t'ai dressé à les positionner à ma main pour rendre tes fessées très claquantes!!»

    D'un coup de talon aiguille sur le sol elle fait pivoter le tabouret pour bien orienter ses fesses vers Justinet afin qu'il ne pas perdre une miette du croustillant spectacle. Tout en relevant tranquillement les manches de son chemiser pour fesser à l'aise, elle interpelle son neveu avant de commencer.  Son ton faussement affectueux, son sourire pervers rendent l'annonce plus menaçante.
    – «Profite bien du spectacle, Clodinet, tu vas avoir la chance d'assister, en direct, à une sévère séance de fessées administrées par tante Gladys. A cette heureuse occasion, tu vas pouvoir te rendre compte de ce qui attend tes fesses quand j'en aurai fini de me faire la main sur celles de ton cousin.»

    Le regard impérieux, frémissante d'impatience  elle savoure ce pur moment de domination en regardant son puni se positionner de lui même sur ses cuisses.
    -- «Allez Sacha, tends bien tes grosses fesses comme je t'ai appris a le faire. Tu sais que maman aime que tes  fessées soient bien retentissantes, pour ça, il lui faut un derrière  ferme sous la main!»

    Aucune contestation possible, bien dressé, Sacha s'exécute. Il doit montrer sa soumission  à la fessée. Il se tortille sur les genoux de l'intransigeante maman, pour lui présenter une paire de fesses obéissantes, bien déployées, prêtes à claquer fort. Les mains en appui sur le sol, il creuse les reins au maximum et  pousse autant qu'il le peut  sur son volumineux fessier pour en développer les imposantes rondeurs.
    – «Regarde maman, je te les présente bien mes fesses comme ça?»
    – «C'est presque parfait mon chéri, garde les dans cette position! je sens que je vais me régaler!»

    Elle  lui assène alors une  magistrale fessée dont les puissantes claquées lui font retentir le derrière dans toute la maison. C'est un bruit habituel chez les Tapefort. A la grande satisfaction de tante Gladys, les pleurs et les supplications ne tardent pas à venir amplifier le niveau sonore déjà très élevé de l'éclatante fessée, preuve de sa belle efficacité. 

    Clodinet observe la scène avec une certaine inquiétude, impressionné par la sévérité de sa tante et les furieux tressautements du gros derrière de son cousin qui se tortille frénétiquement en hurlant sur les cuisses de sa mère. C'est la troisième fessée de la journée qu'elle lui administre, qui  ravive instantanément la cuisson des précédentes, sans que ça l'émeuve pour autant. C'est même avec un certaine jubilation  qu'elle le fait de nouveau gémir sous les cuisants allers et retours qu'elle distribue, sans aucun état d'âme, d'une fesse à l'autre.

    Malgré la peur de devoir aller mettre ses fesses à la place de celles de son cousin sur les cuisses de Tantine, Clodinet ne perdait rien de la spectaculaire démonstration de force et d'autorité offerts par la maîtresse de maison. 

    Il voyait ses seins plantureux, débordant de son décolleté, s’agiter au rythme de la fessée par l'entrebâillement de sa blouse, sous la bavette du tablier ouverte par derrière. Ce qui mettait aussi en valeur son imposant fessier, étroitement moulé dans sa courte jupe pleine à craquer.

    Au bout d'un bon quart d'heure de fessée à cadence infernale,  Gladys, la main cuisante d'avoir claqué si sévèrement, ponctue la correction d'un triomphal doublé en plein milieu du fessier écarlate et le fait se relever debout devant elle.
    – « Aaaah, que ça fait du bien!!» jubile t-elle, en tapotant les belles rondeurs flamboyantes, «rien de tel qu'une bonne fessée déculottée pour entretenir la forme!  Elle a bien claqué celle là, hein! Tu l'as bien sentie sur tes fesses? Dis-moi que tu l'as bien sentie!» 

    Sacha en larmes est trop préoccupé par la cuisson de son postérieur qu'il se tient à pleine main en dansant d'un pied sur l'autre, pour tenir une conversation. Mais il est obligé, à chaque séance, de commenter et d'évaluer l'intensité de cuisson de ses fesses en rendant compte du niveau de sévérité de la correction que sa mère vient de lui administrer. Il est contraint, ensuite, de la remercier pour la qualité de sa prestation. C'est le complément d'humiliation qui fait partie de la punition.
    – «Oh oui maman! Je l'ai bien sentie, tu me l'as bien claquée, tu m'as fessé très fort comme tu le fais d'habitude!»

    Gladys s'en amuse  et le propulse vers le coin, d'un puissant aller et retour si fortement appuyé  qu'il manque de tomber, empêtré dans son slip, tendu entre ses cuisses. Elle a tapé si fort que sont postérieur en feu tressaute encore douloureusement quand il arrive à  destination. Le nez collé au mur, le derrière cramoisi bien exposé, il cuve sa fessée en gémissant.

    Clodinet plus mort que vif, et qui préparait ses fesses à subir le même sort, sentait des gouttes de sueur descendre le long de sa colonne vertébrale et s'insinuer dans sa raie.

    Tante Gladys, d'autorité, le sort du lit où il était resté spectateur et s’apprête à le coucher sur ses cuisses… Mais elle se ravise et lui dit:
    – «En fait, tu n'es pas mon fils, donc ce n'est pas à moi de te punir, aussi je raconterai tout à ta mère quand tes parents rentreront. C'est bien elle qui te corrige d'habitude!»

    Il avait très peur de sa mère, pas loin d'être aussi sévère que sa sœur, et se met à pleurnicher en se dandinant d'un pied sur l'autre:
    – «Non ma tante je vous en supplie, pas à ma mère…»
    – «Bon, je te donne le choix: ou bien je lui raconte ce que vous faisiez ou je te flanque la même fessée déculottée que celle  je viens de mettre à ton cousin. Tu vois la couleur de ses fesses, et bien c'est rien par rapport aux fessées que je lui met d'habitude… Je te donne toute la nuit pour réfléchir… tu viendras me donner ta réponse demain matin... En attendant, recouche-toi avant que je décide de t'en mettre une tout de suite. Tu m'as l'air d'en avoir une solide paire qui doit certainement claquer très bien!»

    Il obéit sans demander son reste, la laissant emmener son cousin, les fesses crépitantes sous ses claques pour le faire avancer plus vite.Telle qu'il la percevait maintenant, elle allait très probablement lui flanquer une autre fessée avant de l'envoyer se coucher. Il allait certainement avoir du mal à dormir, les fesses écarlates et cuisantes...  

    Clodinet allait  passer une très mauvaise nuit. Il  ne cessait de penser à ce qui allait se passer  le lendemain matin. 

     

    ( à suivre )

     

    « Une jolie chatouillatriceLe gros ventre sous le tablier »

    Tags Tags : ,
  • Commentaires

    1
    PeterP
    Mercredi 9 Novembre 2022 à 18:38

    Bonsoir cher confrère...

    Enfer et damnation ! Je commente avec une semaine de décalage ! It's shameful ! (C'est honteux ! ). Revenons à nos deux moutons blancs comme neige. Cette Tante Gladys ne fait pas dans la dentelle ! Diantre ! quelle femme ! Quelle autorité !  Un vrai colonel en jupon !  Difficile pour ces deux pauvres godelureaux de refreiner leurs désirs et simultanément rester fidèles aux strictes consignes maternelles. Le désir a ses raisons que la morale ignore !  Hélas, les deux adolescents  ont été bien imprudents... Dans ce genre de situation, les tantes ont l'avantage  d'un coup d'avance. Elles ne se laissent pas attendrir par leurs neveux car elles n'ont pas ce lien maternel direct avec leurs punis, La fessée ne sera pas amoindrie par les tentatives de faire amende honorable pour échapper à la punition promise. Le pauvre Clodinet doit s'en mordre déjà les doigts. Qu'allait-il faire dans cette galère ??? La journée suivante va se révéler riche en émotions." Tomber de Charybde en Sylla ! " Quelle déveine ! Courage, les champions .                 

    Peter.



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :